Rester en bons termes avec son ex-belle-famille peut vous amener vers des découvertes surprenantes et ma foi plaisantes.
Deux mois après ma rupture avec Amélia, je croisais sa tante Sophia, au détour d’une rue. Durant notre conversation, elle me proposa de passer chez elle car elle avait un garage plein d’objets que je pourrai récupérer pour mon nouvel appartement.
La semaine suivante, moi James, 27 ans, je me présentais donc chez Sophia qui vivait seule. Par une fenêtre à l’étage, elle me dit de monter, elle était dans le dressing.
— Excuse-moi, je me suis mis à trier des vêtements et je n’ai pas vu le temps passé, me dit-elle en me faisant la bise. Si tu veux, le temps que je finisse, tu peux aller fouiller et on boit un café après.
— Pas de soucis, à tout à l’heure alors.
J’entrai donc dans le garage plein de divers meubles et objets ; puis commençai à m’affairer, éclairé par deux fenêtres ouvertes faisant face à la maison me permettant d’apercevoir Sophia.
Tout à coup, je l’entendis m’appeler :
— James, peux-tu venir m’aider, je n’arrive pas à attraper un carton sur l’étagère.
— Bien sûr, j’arrive.
Je la rejoignis dans le dressing. Je montai sur la chaise et lui passai le carton. Le temps de descendre, elle avait déjà ouvert ce dernier et sorti ce qui s’y trouvait : une montagne de maillot de bain.
— Impressionnante ta collection de maillots de bain ! Il y en a vraiment beaucoup, fis-je remarquer.
— Oui je sais, rigola-t-elle, mais je suis folle des maillots de bain ! En vieillissant j’en achète moins c’est vrai mais j’adore ça, c’est plus fort que moi.
— Tu en as combien ?
— Honnêtement je n’en sais rien, je n’ai jamais compté. Je pense que beaucoup ne me vont plus précisa-t-elle.
— Il y en a vraiment de toutes les couleurs.
— Et de tous les styles aussi : du maillot de bain de piscine classique au bikini qu’on n’ose pas mettre ajouta-t-elle en rougissant. Il faudrait que je les essaye un de ces jours.
— Veux-tu que je t’aide à les remettre dans le carton avant de redescendre ?
— Non je vais me débrouiller, je me connais je sais que je ne vais pas résister à en essayer quelques-uns.
— Pas de soucis, si tu as besoin de moi, je ne serais pas loin !
— Il est possible que tu me sois encore indispensable oui ! conclut-elle avec un large sourire tout en me fixant.
Un peu troublé, je recommençais à fouiller dans le garage. Presque comme un réflexe, je jetais un il à la fenêtre. C’est durant un de ces courts moments que je compris que Sophia ne plaisantait pas quand elle affirmait qu’elle ne résisterait pas à l’envie d’essayer quelques maillots.
Elle m’apparaissait rapidement à travers la fenêtre, tantôt en maillot de bain, tantôt nue de dos. Malgré la fenêtre de l’étage toujours ouverte, la petite taille de Sophia, l’angle de vue ainsi que le fait qu’elle était souvent au fond de la pièce ne me permettaient d’apercevoir seulement le haut de son buste. Bien entendu, j’essayais d’éviter que nos regards se croisent, cela me rendrait tellement mal à l’aise. Il faut dire que sans être un canon de beauté, Sophia reste encore belle physiquement pour ses 52 ans : petite brune avec quelques formes bien placées. Le petit manège dura une dizaine de minutes puis stoppa quand je sentis qu’elle m’avait vu en train de l’observer.
Je me penchais à nouveau sur mes recherches quelques instants sans m’enlever de la tête ce qu’il venait de se passer. Machinalement je rejetais un il par la fenêtre et m’aperçus que celle en face était fermée mais que la porte-fenêtre du rez-de-chaussée donnant sur la chambre était maintenant ouverte. Sans m’en préoccuper davantage, je m’affairais encore une fois à mes occupations. J’avais terminé et m’apprêtais à revenir vers Sophia quand en passant une dernière fois devant cette fameuse fenêtre du garage, je regardais une ultime fois en direction du dressing. Mais ce qui m’interpella ne fut pas l’oiseau posé sur le rebord de cette fenêtre mais un étage plus bas, Sophia était devant son miroir et continuait ses essayages de maillots de bain posés sur le lit. Bien entendu, avec la baie vitrée ouverte, je pouvais quasiment tout voir. Je dis quasiment car là encore, comme précédemment à l’étage, suivant la position de Sophia, soit je ne la distinguais pas du tout, soit je pouvais à peine deviner ses formes.
Je décidais de rester un petit peu plus dans le garage et de continuer mon exploration tout en matant. Puis, je me dis que tout de même, Sophia est bien naïve d’avoir ouvert la porte alors que je suis juste en face, ou alors très coquine de l’avoir fait délibérément. Je suis persuadé de la première solution mais au fond de moi je crois que je préférerais que ce soit la seconde : bizarrement je me sens de plus en plus attiré par cette femme qui a quasiment le double de mon âge. Durant le quart d’heure suivant, je reprenais mon manège du chat et de la souris avec Sophia : voir sans être vu. Sauf qu’à jouer avec le feu, on finit par se brûler. Ainsi, durant une inattention, je me retrouvais à regarder au même moment où Sophia se trouvait face à la fenêtre ouverte de sa chambre. Nos regards se croisèrent, je rougis fortement et me cachais, réaction bête puisque je savais qu’elle m’avait vu. N’osant plus sortir et ne sachant quoi faire, je restais là sans bouger au beau milieu du garage. Je décidais de continuer à fouiller durant quelques minutes le temps de trouver une excuse plausible. Peut-être inconsciemment, mon regard se tourna vers la fenêtre et je fus surpris que celle-ci était toujours grande ouverte. Par contre, Sophia avait disparu.
M’étant déjà fait avoir deux fois, je n’étais plus à ça près, je restais devant la fenêtre sans chercher à me cacher. Quelques minutes plus tard, Sophia réapparut habillée d’un nouveau maillot. Effectivement comme elle me l’avait précisé dans son dressing, certains bikinis étaient difficilement portables en public et celui-ci en faisait partie. Je me suis dit que malgré le fait qu’il devait peut-être mieux lui aller il y a quelques années, il ne cachait pas grand-chose : le haut ne masquait qu’une toute petite partie de ses seins, en fait quasiment rien et le bas était un minuscule string bien tendu qui laisser deviner les lèvres de sa chatte. Je me mis à bander fortement. Sur son épaule était posée une serviette de bain. Elle mit un peu d’ordre dans ses affaires restées sur le lit et sortit vers la piscine. En me regardant, elle me lança :
— J’ai très chaud, je vais me baigner un petit peu. Quand tu as terminé, viens me rejoindre si tu veux.
Troublé par le fait qu’elle ne revienne pas sur ce qui vient de se passer quelques minutes auparavant et par sa tenue, je bafouillais :
— OK mais je n’ai pas de maillot.
— Tu peux venir en caleçon, tu auras de toute façon plus de tissu que moi me dit elle en riant et avec un clin d’il.
Je rentrais dans le garage excité mais partagé : j’avais envie de continuer ce petit jeu mais j’étais très timide. Et puis je bandais comme un âne et elle allait s’en apercevoir. En même temps, je pense que c’était son but aussi. Je décidais tout de même d’aller me baigner aussi. Je sortis du garage, me dirigea vers le salon pour me déshabiller, pas entièrement bien sûr. J’allai dans un coin tranquille et avant d’enlever mes vêtements, je jetai un coup d’il sur la piscine. Sophia était allongée au bord du bassin, une jambe plongée dans l’eau. Les yeux à demi fermés, elle se caressait les seins à travers le maillot, faisant durcir ses tétons. Mon érection s’étant un peu calmée durant les minutes précédentes elle revint cette fois à m’en faire craquer le boxer et le short. Je ne pourrais véritablement pas la masquer.
Je me déshabillai, attendis quelques minutes que mon érection se calma un petit peu et me dirigea vers la piscine. Sophia avait stoppé ses caresses et était dans la piscine, accoudée au rebord, seul son buste dépassait. Masquant un peu l’avant de mon boxer avec mes mains, je m’installai dans la même position que Sophia, face à elle.
— Finalement tu t’es décidé me dit-elle.
— Oui, ça fait vraiment du bien et j’ai eu chaud dans le garage étouffant.
— Je te comprends. Moi aussi le fait de bouger sans arrêt m’a fait transpirer un peu malgré le petit courant d’air grâce aux fenêtres ouvertes… Qui n’ont pas servi qu’à cela aussi ajouta-t-elle d’un air mutin.
— Oui c’est vrai j’avoue et je m’excuse dis-je tout penaud en rougissant.
— Ce n’est pas grave, c’est de ma faute, je n’avais qu’à faire attention. J’espère que ce que tu as vu ne t’a pas trop perturbé, je n’ai plus 20 ans.
— C’est vrai mais tu es encore très bien physiquement osais-je souffler en détournant le regard.
— Quand même, regarde, j’ai pris un peu de poids, j’ai plus de formes sur des parties pas vraiment sexy de mon corps. Je ne rentre plus dans les standards des silhouettes d’aujourd’hui.
— Je n’ai jamais aimé les filles filiformes, j’ai toujours préféré trop de formes que pas assez.
— Oui tu étais avec ma nièce qui avait quelques jolies formes c’est vrai.
— Voilà, c’est le parfait exemple.
— Tu sais je n’ai jamais été mince, j’ai toujours eu un petit embonpoint, moins que maintenant mais quand même un peu. Je m’en suis rendu compte car je ne rentre quasiment plus dans aucun des maillots que j’ai essayés tout à l’heure. Je ne m’en plains pas, c’est l’avancée dans la vie qui veut ça. D’ailleurs le bikini que je porte est un des derniers que je peux à peu près porter, du moins physiquement.
— Oui c’est bien de préciser, riais-je.
— Qu’est-ce que tu en penses ? Sois honnête, n’hésite pas et ne sois pas timide, dis-moi réellement ce que tu as pensé quand tu m’as aperçu marchant vers la piscine avec ce maillot.
Hésitant un instant, je finis par me lancer :
— En fait, je me suis dit que le bikini devait faire partie de ceux que tu as qualifiés de "osés", qu’il ne masquait pas grand-chose mais que tu étais encore bien roulée malgré les formes dont tu sais maintenant que je les apprécie.
— Merci, ça me fait plaisir. Effectivement, c’est bien ce maillot dont je parlais. Je crois que je ne l’avais mis qu’une seule fois avant, un jour ou j’étais seule.
— Alors pourquoi aujourd’hui ?
— Je voulais voir si je pouvais encore porter des choses sexy et je voulais aussi voir l’effet que cela te ferait.
— D’après toi ?
— Grâce à ce que tu m’as dit plus ce que j’ai cru deviner quand tu m’as rejoint dans la piscine et ce que je pense voir à travers l’eau, je crois que l’effet est plutôt réussi !
— OK je suis vaincu, même l’eau fraîche du bassin n’a pas voulu m’aider à masquer. Ton maillot est tellement suggestif tout en laissant l’imagination travailler, du coup c’est dur de se contenir.
— C’était le but recherché. Et alors, que te suggère ton imagination ?
— Elle essaye de deviner ta taille de soutien-gorge ou de haut de maillot dans ce cas présent !
— Ah oui d’accord ! Bon, je veux bien te le dire mais je te laisse chercher, tu as droit à 3 propositions.
— Je devrais m’en sortir ! Et je gagne quoi si je trouve ?
— Tu verras, surprise !
— OK alors je dirai 95D, 100C, oh soyons fou 110C.
— Dommage tu n’étais pas loin.
— Quelle est la réponse du coup ?
— Vérifie par toi-même !
À ce moment-là, Sophia enleva le haut de son bikini, me révélant sa poitrine bien en place qui était plus généreuse que je le croyais. Elle s’approche de moi, prend mes mains et les plaque contre ses seins.
— Alors, tu as une autre proposition à faire, me lance-t-elle.
— Peu importe la taille, ils sont parfaits répondis-je en la fixant.
— À moi de jouer maintenant, dit-elle en plongeant les mains sous l’eau pour les poser sur mon boxer au niveau de mon sexe.
Terriblement excité, je bandais comme jamais et la laissai me caresser à travers le tissu.
— Ne te fais pas de fantasmes, je ne suis pas un étalon.
— Hum, elle a l’air de bonne taille quand même cette bite. Mais ce n’est pas juste, toi tu as pu profiter de la marchandise avant de deviner. Moi, je n’ai pas cette chance-là
— OK je vais m’assoir sur le rebord de la piscine.
Je me mis en position sans qu’elle ne lâche mon boxer.
— Ah ! Oui ! Un joli relief au niveau du bas-ventre. Alors je vais dire un bon 16 cm. J’ai bon ?
— Presque ! Essaye encore.
— Attends, je vais changer de méthode.
Je la vis se mettre entre mes jambes, fermer les yeux, m’enlever le boxer, récupérer ma bite dans ses mains et plonger sa bouche dessus. Sans réellement me sucer, elle engloutit entièrement mon sexe dans sa gorge puis toujours les yeux fermés, ressortit.
— OK alors je modifie et dis 18cm et là je sais que j’ai bon.
— Effectivement, c’est ça. Quelle méthode, la meilleure à mon goût.
— Ma gorge profonde ne me trompe pas ! Je vais recommencer pour m’assurer du coup quand même ajoute-t-elle en riant.
Elle replongea sur ma bite mais cette fois-ci, elle débuta par quelques petits coups de langue sur le bout du gland, puis telle une glace, lécha toute la longueur de ma queue avant de la prendre dans sa bouche pour une fellation des plus bandantes. Je me retiens de jouir malgré les va-et-vient de différentes intensités qui ne cessaient de m’exciter. Concentrée sur ce qu’elle faisait, Sophia me jetait de temps à autre des regards de plaisirs.
— Ta bite est trop bonne, j’aime la sucer !
Je commençais à découvrir la partie cachée de la personnalité de Sophia et j’avoue que cela me convenait parfaitement.
Elle me suça durant quelques minutes avant de tout lâcher et de se diriger vers les escaliers de la piscine. Elle me rejoignit au bord.
— Ne bouge pas, je veux que tu me manges la chatte.
Elle se mit debout au-dessus de moi, ma tête entre ses cuisses. Elle déplaça la ficelle du string de son bikini et se baissa un petit peu pour que je puisse aisément avoir la bouche collée à son sexe rasé. Juste avec la langue, je lui léchai le clitoris d’abord doucement puis plus rapidement avant de pénétrer dans son vagin ou je m’aidais d’une main pour lui caresser et doigter la chatte. Elle gémissait d’abord discrètement puis un peu plus intensément. Je la sentais me tenir la tête pressée contre son sexe et parfois murmurer : ’’ Vas-y, continue, bouffes moi la chatte, fais-moi jouir ! "
Au bout d’un certain temps, elle s’enleva d’au-dessus de moi.
— Viens, lève-toi, on va aller dans un endroit plus confortable.
Je me mis debout, elle m’attrapa par la bite et m’amena quelques mètres plus loin sur un transat en bois bien solide. Elle s’assit à l’extrémité de celui-ci, je restais debout et elle recommença à me sucer doucement durant quelques secondes puis mit ma bite entre ses gros seins et me branla énergiquement tout en essayant de me lécher le bout du gland. Je basculais ma tête en arrière tellement j’aimais ça.
Puis je pris un peu les choses en main en la faisant se retourner, se mettre à genoux sur le transat et lui mangeais la chatte sans retirer le string qui m’excitait au plus haut point. C’était finalement la première fois que je voyais son cul d’aussi prêt et ma foi même s’il était bien charnu il me faisait autant d’effet que ses énormes seins. Je lui titillai le clitoris du bout de la langue puis me relevai tout en lui baissa le string.
— Baise-moi fort, fais-moi crier, vas-y me dit-elle en se passant la main sur la chatte pour la préparer à ma bite.
Restant debout, je la pénétrais doucement, elle poussa un petit "Oh !" de plaisir et la levrette commença lentement. Puis j’accélérais le rythme petit à petit avant d’y aller fortement en faisant claquer mon bassin contre ses fesses. J’y ajoutais quelques fessées qui faisaient monter le plaisir puisqu’elle criait de plus en plus fort : ’’Oui, c’est bon, plus fort, baise-moi fort, je la sens bien, encore ! ’’
Je ralentis la cadence pour ne pas jouir trop vite et me retirai pour changer de position. Elle me regarda avec un regard plein d’envie et de désir.
— Allonge-toi ! Souffla-t-elle.
Je me mis sur le transat et elle vint se positionner au-dessus et face à moi pour me chevaucher. Elle prit ma bite dans une main et se l’enfourna dans un râle de plaisir. Prenant les choses à son compte, elle commença par de légers mouvements de bassins d’avant en arrière en me fixant du regard. Je posai mes mains sur ses seins et jouai avec ses tétons. Puis elle accéléra le mouvement. Se campant bien sur ses jambes, Sophia montait et descendait sur mon sexe. La tête jetée en arrière, elle poussait de petits cris aigus mêlés à des gémissements discrets.
Je décidai enfin de reprendre le dessus et sans me retirer d’elle, je la fis basculer quasiment sur moi, ses seins au niveau de ma bouche. Je mis mes mains au niveau de ses hanches ayant la volonté de la baiser avec un peu plus de violence. Tout en lui dévorant les seins, je fis des mouvements de va-et-vient de plus en plus fort faisant encore une fois claquer nos deux corps, ici son cul et le haut de mes cuisses. Je la sentais commencer à lâcher prise, elle criait de plus en plus fort: ’’OUI, VAS-Y, DÉFONCE-MOI, J’AIME ÇA, OUI, OUI ! ’’. Elle finit par s’affaler sur moi dans un orgasme incontrôlable. Cette situation m’ayant excité au plus haut point, je me sentais venir aussi et bizarrement elle aussi puisqu’elle me dit en se retirant ma bite de sa chatte :
— A-t-on tour, jouis-moi dessus, vas-y, je veux sentir ton sperme chaud sur mon corps.
— Allonge-toi à ma place.
Je me mis à ses pieds, debout face à elle et me mis à me branler. Vu la situation, quelques toutes petites secondes me suffisent pour lui éjaculer dessus. Le jet lui souilla le ventre et une partie des seins.
Je décidai enfin de reprendre le dessus et sans me retirer d’elle, je la fis basculer quasiment sur moi, ses seins au niveau de ma bouche. Je mis mes mains au niveau de ses hanches ayant la volonté de la baiser avec un peu plus de violence. Tout en lui dévorant les seins, je fis des mouvements de va-et-vient de plus en plus fort faisant encore une fois claquer nos deux corps, ici son cul et le haut de mes cuisses. Je la sentais commencer à lâcher prise, elle criait de plus en plus fort:
’’ OUI, VAS-Y, DÉFONCE-MOI, J’AIME ÇA, OUI, OUI ! ’’
Elle finit par s’affaler sur moi dans un orgasme incontrôlable. Cette situation m’ayant excité au plus haut point, je me sentais venir aussi et bizarrement elle aussi puisqu’elle me dit en se retirant ma bite de sa chatte :
— A-t-on tour, jouis-moi dessus, vas-y, je veux sentir ton sperme chaud sur mon corps.
— Allonge-toi à ma place.
Je me mis à ses pieds, debout face à elle et me mis à me branler. Vu la situation, quelques toutes petites secondes me suffisent pour lui éjaculer dessus. Le jet lui souilla le ventre et une partie des seins.
— C’était trop bon ! Lâcha-t-elle en soupirant.
Elle se releva, me caressa la bite du bout des doigts comme pour un remerciement et reparti, toujours nue et sans s’être enlevé le sperme, vers la piscine.
— Viens, si tu veux te rafraîchir ajouta-t-elle en me faisant un clin d’il.
Le sexe pendant, je la rejoignis.
— Ah, ça fait du bien ça, on devrait toujours avoir une piscine à proximité après avoir baisé lui fis-je remarquer.
— C’est vrai qu’il n’y a rien de tel pour se détendre. Je t’avoue que je n’en peux plus, je ne sens plus mes jambes.
— Je peux te poser une question, enfin deux ? Lui demandais-je.
— Bien sûr, dis-moi.
— Depuis quand tu as envisagé que cela se passe comme ça ? Quand j’étais encore avec ta nièce ?
— Honnêtement, je t’ai toujours trouvé beau gosse et très gentil mais pour le sexe, ce n’est qu’une question de hasard et aujourd’hui l’enchaînement des choses ont fait que le désir est monté et je me suis décidé à me lâcher.
— Ah, c’est réussi lui rétorquais-je en riant. Justement j’en arrive à ma seconde question ou remarque, je ne sais pas trop comment formuler ça mais je ne t’ai pas reconnu là, excuse-moi l’expression mais j’avais une coquine pour ne pas dire autre chose en face de moi.
— Tu peux le dire oui, une chienne. En fait ça fait un moment que je n’avais pas fait l’amour et jamais avec quelqu’un d’aussi jeune donc j’ai voulu me surpasser. Tu m’as fait retrouver ma jeunesse car tu ne la sais pas mais j’étais une petite salope à mes 20 ans, je baisais énormément, j’adorais ça et j’adore toujours ça d’ailleurs surtout aujourd’hui, c’était génial !
— OK intéressant à savoir. Pour moi aussi c’était une première avec une personne "plus âgée" que moi et je l’espère, pas la dernière.
— Tu sais où me trouver, ma porte et ma chatte te seront toujours ouvertes, rigola-t-elle.
— C’est noté. Tu as mon numéro de toute façon. Je vais te laisser, il se fait tard et j’ai entraînement tout à l’heure.
Je sortis de la piscine, me séchai avec la serviette de Sophia et me rhabillai.
Elle me rejoint devant la petite porte du jardin, toujours nue. On se bisa en se collant un peu, on rit en remarquant qu’on avait baisé sans jamais s’embrasser et avant de partir elle me remercia :
— C’était un plaisir de t’avoir.
— Plaisir partagé. Au fait je sais que maintenant tu t’en fous mais j’ai récupéré quelques objets dans le garage.
— Il faudra que tu reviennes pour poursuivre tes fouilles… Ou autre chose.
— Plutôt ou pas alors.
— Allez, va-t’en. Rentre bien. À bientôt j’espère.
— Oh oui c’est promis.
Je m’installai au volant et pris la direction de mon nouvel appartement. En chemin, j’étais perdu dans mes pensées liées au fait que c’était quand même bizarre de baiser la tante de son ex mais que c’était quand même vraiment bon, quand mon portable vibra : Sophia m’avait envoyé une photo, elle avait remis son micro bikini et avait ajouté en commentaire : ’’ je le garde… Ou pas ?".
Je lui répondis en préparant mon sac de sport : " oh que oui mais j’aimerais bien en découvrir d’autres !’’.
La réponse ne se fit pas attendre : " il faudra que tu reviennes souvent alors parce qu’il y en a pas mal" avec un smiley rire. Je conclus par un "promis et cette fois-ci je prendrais moi aussi un maillot, bisous’’. Je ne lus la réponse que bien plus tard : un beau " Oh non ! Bisous à toi aussi" plein de promesses.