Belle fille 10
La nuit dernière, nous avons fait l’amour Aurélie et moi. Cette fois, elle a pu jouir. En effet, j’ai su me contenir pour cela. C’est avec la bouche qu’elle m’a ensuite emmenée à l’extase. Ma chérie a tout avalé ma semence et nous nous sommes endormis en faisant un gros câlin.
À mon réveil, je constate qu’elle dort profondément et préfère la laisser récupérer, pour aller faire ma toilette. Après quoi, je lance un regard vers le lit et vois ma belle toujours endormie. Sa position sur le ventre m’offre le spectacle de sa croupe et je ne me lasse pas de la regarder.
Je descends à pas de loup et consulte mon téléphone. Pas de nouvelles de mon épouse Brigitte, la mère de mes amantes. Je m’interroge sur son silence. Elle, d’habitude si prolixe dans ses messages, ne donne pas beaucoup de nouvelles de son séjour chez sa sur.
Pour penser à autre chose, je m’applique à arroser le jardin, tant que le soleil n’est pas trop fort.
Enfin mon amour apparaît, Elle a enfilé une culotte noire qui laisse apparaître une bonne partie de son abondante toison blonde. En haut, elle porte un tee-shirt sans manche qui moule sa poitrine. Mes yeux se portent involontairement sur ses tétons dressés sous le tissu, avant de se reporter sur son visage. Une nouvelle fois, je perçois un rayonnement quasi surnaturel qui émane d’elle. Je suis fasciné à chaque fois que je la regarde !
Je m’approche pour l’embrasser, mais elle se défile pour dire :
– Oh non ! Je dois avoir une haleine de chacal !
– Je m’en moque, approche !
Je n’éprouve aucune gêne à l’embrasser et, de bon matin, me revoilà avec une bandaison dans la poigne de la coquine. Elle glisse sa main dans mon short et part à la recherche de mon gland gonflé. Moi, je glisse la mienne entre ses jambes et frôle son clitoris bien sensible. Nos langues ne se délient pas quand je la pose sur la table de la terrasse. En un tour de main, elle a ouvert ma braguette pour se saisir de mon membre et le guider vers son entrejambe.
Debout, je la prends, alors qu’elle est au bord de la table, les jambes relevées. Elle a gardé sa culotte qui frotte sur ma hampe quand je vais et viens en elle.
Je lui ôte son haut pour me délecter de sa poitrine, sans cesser de faire coulisser ma verge dans son antre. Elle me souffle à l’oreille :
– Frappe moi les fesses, s’il te plaît !
Sa requête me paraît saugrenue. Jamais je ne lui ai donné de fessée. Ni à elle, ni à sa sur. Je répugne la violence, surtout vis-à-vis des femmes !
Constatant mon indécision, elle se saisit de ma main sur sa hanche et imprime le geste qu’elle attend de moi. Si mon mouvement n’est pas pertinent pour lui claquer la fesse, je comprends aisément qu’il me faut franchir un pas de plus dans la débauche. Non, je suis trop coincé ! Il me fauts toutefois, réussir cette épreuve pour découvrir d’autres choses.
Ma première claque est timide, mais elle roucoule ! J’y vais un peu plus fort à la deuxième et là, ça lui plaît davantage. Elle se tortille en geignant de bonheur aux claques suivantes et monte au septième ciel en peu de temps. Si rapidement, que je m’en étonne. Elle se retient de crier pour ne pas alerter les voisins, mais sa jouissance n’en est pas moins forte.
Je continue mon va et vient, mais une fois qu’elle ait repris son souffle. Elle se relève et me fait m’appuyer les fesses sur le bord de la table. Elle s’agenouille et enserre mon sexe entre ses seins pour me masturber avec, tout en m’aspirant le gland entre ses lèvres. Cette nouvelle pratique m’excite tant, que je ne puis me retenir bien longtemps. Malheureusement, mes jets lui éclaboussent le visage et le cou. Pour me faire pardonner de l’avoir souillée, je m’applique à tout laper.
– Oh mon chéri ! Comme je t’aime !
— Et moi donc ! À ce propos, je veux te dire que, même si j’apprécie les rapports avec Laetitia, je préfèrerais être plus longtemps avec toi
– Moi aussi ! Mais tu l’as compris, en échange de te faire l’amour, elle nous laisse ensemble après !
– D’accord, mais c’est toi que j’aime plus que passionnément!
— Plus que maman ?
Cette dernière réflexion me chagrine un peu et relance ma torture interne. Je trompe ma femme avec ses filles et, en plus, je suis follement amoureux d’Aurélie ! Cette dernière constate mon air contrit et s’excuse d’avoir demandé une telle chose. Je lui réponds quand même :
– Je suis perdu ! Je t’aime si intensément ! Mais, avec ta mère, nous avons une longue vie commune. Je ne veux pas lui faire de peine. Tu sais, je suis extraordinairement heureux avec toi. Ces derniers jours, nous avons vécus comme un vrai couple. Pas seulement comme des amants, mais comme de vrais amoureux. J’aimerais tant que tu soies ma compagne pour la vie !
– Oh ! Et moi, si tu savais ! Mais, profitons du temps dont nous disposons, après, on verra !
Je l’enlace et elle appuie sa tête contre mon épaule. Nous restons une éternité serrés l’un contre l’autre. Je suis si bien ! Sans comprendre pourquoi, j’ai le sentiment de ne faire qu’un avec elle. Comme si je ressentais tout ce qu’elle éprouve.
Quand je lui en parle, elle m’avoue éprouver la même chose à mon égard.
Notre long baiser confirme nos propos.
Un peu plus tard, j’évoque les interrogations que j’ai quant à sa mère. Pourquoi ne donne-t-elle pas de nouvelles ? Pourquoi de telles dépenses en lingeries et en téléphonie ?
Aurélie me rassure et propose comme explication que mon épouse veut me faire des surprises. Le téléphone, c’est pour me l’offrir, les vêtements coquins, c’est pour m’allumer. D’autre part, elle doit avoir fort à faire avec tante Françoise, qui est quand même un peu spéciale !
Me voilà rasséréné et décide de penser à autre chose.
Nous sommes toujours enlacés quand mon téléphone émet le signal d’un texto. Je compulse le message qui provient, non pas de Brigitte, mais de Laetitia :
Regardez comme Florian aime le gode ! Il ne s’arrête plus ! Chut, il ne sait pas que je vous envoie ça ’
Aurélie et moi regardons la photo jointe. On y voit le cul, je suppose, de son copain agenouillé. On distingue un sexe tendu entre les jambes et surtout sa main qui maintient le sexe enfoncé dans son derrière.
Aurélie s’exclame :
– Ouah ! Il se l’est enfoncé profond !
Je trouve cette photo à la fois dépravée, mais aussi très excitante, sans trop savoir pourquoi !
Elle ajoute :
– Ça te fait envie, pas vrai ?
– Pour tout te dire, c’est vrai que j’ai apprécié ! C’est une sorte de révélation pour moi, mais je ne me sens pas homo pour autant !
Ma chérie me lance un regard espiègle, accompagné d’un petit sourire taquin.
Pour détourner la conversation, je lui propose que nous allions au restaurant pour le déjeuner.
Elle accepte et me dit :
– D’accord, mais un snack ou un restaurant rapide, j’ai d’autres projets pour cet après-midi !
– Comme tu veux ma chérie. Mais quels sont ces projets ?
– Si tu es d’accord, j’aimerais faire l’amour dans un endroit insolite, un lieu interdit. Ou bien là où nous pourrions être surpris, tu comprends ce que je veux dire ?
– Oui, comme notre première fois dans le petit bois ?
— Oui ! Peut-être que des voyeurs se branlaient en nous regardant ! Ça m’excite de penser à ça !
– C’est gênant, mais pourquoi pas si ça te fait envie ! Tu as une idée de l’endroit ?
— Pas encore ! On peut improviser
Quand nous sortons, elle a revêtue une robe rose pâle, très courte, qui laisse transparaître son string noir. Pas de soutien-gorge sous son décolleté. J’éprouve de la jalousie que l’on puisse admirer ses jolies courbes. C’est un réflexe paternel, mais également une volonté primaire de territoire, de chasse gardée. Je me tire les oreilles intérieurement que cette pensée égoïste m’ait traversé l’esprit.
Elle est si belle, si rayonnante, si sexy, pourquoi cacherait-elle cette féminité exacerbée ?
Elle remarque bien ma gêne et me dit :
– Ça ne te plait pas ?
— Si beaucoup ! Mais tous les hommes vont te regarder !
– Justement, c’est ce que je veux ! Je veux qu’ils voient la chance que tu as d’être avec moi ! J’ai envie de les voir baver ! Tu acceptes mon délire d’aujourd’hui !
Comment lui refuser ! Et puis ça va me permettre de progresser, de vaincre mes préjugés.
Nous prenons l’autoroute et, est-ce par provocation, qu’elle pose ses pieds sur le tableau de bord ? Sa robe est à la limite de sa culotte et je ne me lasse pas de la regarder, dès qu’il m’est possible de le faire. Je glisse une main sur sa cuisse. La coquine décroise et ouvre ses jambes pour m’inviter à la caresser.
Les camionneurs que je dépasse doivent se rincer l’il, surtout qu’elle me demande d’effectuer les dépassements très lentement quand nous sommes à leur proximité. Heureusement qu’il y a peu de circulation et qu’il reste d’autres files pour me dépasser.
Elle descend une bretelle de sa robe et découvre son sein droit, puis ostensiblement retrousse sa jupe et écarte les genoux outrageusement. Je glisse ma main pour taquiner son clitoris et elle se cambre quand je le pinçote.
Elle mouille énormément et soupire de plus en plus. Elle annone :
– Reste à coté de ce camion là et fais moi jouir devant le chauffeur !
Je dépasse lentement le camion et arrive à hauteur de la cabine.
Aurélie presse mon klaxon pour attirer l’attention et dégage complètement sa poitrine avant de regarder le gars.
Elle me dit :
– C’est bon, il regarde, branle moi bien maintenant !
Piqué à son jeu, je tente de retirer son string et elle le fait elle-même rapidement, puis reprend une position encore plus osée. Entre le pouce et l’index, je masturbe son clitoris, tandis qu’elle fixe le chauffeur en se caressant les seins.
Puis se tortille, se met à geindre et hurle un orgasme qui résonne dans l’habitacle quand je fais coulisser un doigt à l’entrée de son vagin ! Je ne l’ai jamais vue réagir aussi vite. Cet exhibitionnisme semble la ravir à outrance.
Après quoi, tandis qu’elle se réajuste, j’accélère. Un appel de phare éclaire mon rétroviseur. Le type a beaucoup apprécié, visiblement !
Arrivés en ville, nous dénichons un petit snack-bar et ma chérie fait sensation, je le perçois bien. Je me maîtrise pour ne pas foudroyer du regard les gens qui la reluquent. Ma puce en rajoute un peu en tortillant son fessier quand elle marche.
En contrepartie, elle se love contre moi et je n’hésite pas à la bécoter en public.
Nous nous installons à une petite table, la seule qui reste disponible. Dans le brouhaha ambiant, il est difficile de communiquer. Tout est dans nos touchers et regards. Elle me tapote la main et m’indique quelque chose derrière moi. Je ne dois pas me retourner, mais en lançant un coup d’il dans le miroir face à moi, je vois un trentenaire avec sa femme et ses enfants qui semble fasciné par ma bien aimée. Je fronce les yeux en signe de reproche et ma chérie me fait une moue attendrissante pour que j’accepte. Je cligne des yeux pour approuver son nouveau désir.
Elle me parle sans que je ne l’entende, mais croise et décroise ses jambes sous la table. Elle réajuste sa robe, puis négligemment joue avec un pan. Je devine tout cela en la voyant se mouvoir.
Je jette un coup d’il dans le miroir et le gars en prend plein les mirettes, vu ses yeux écarquillés. Je me penche à l’oreille d’Aurélie pour lui demander:
— Il aime le spectacle ?
— Elle me confirme d’un bref signe de tête et me désigne sa main. Elle écarte deux doigts et je vois alors son genou dépasser de la table, d’un mouvement, elle ouvre sa robe, puis reprend une position décente. Ça n’a duré que deux ou trois secondes, mais ce type a pu admirer l’entrejambe et certainement l’abondante pilosité de ma tendre aimée.
Elle se penche à mon oreille pour me demander si nous pouvons quitter l’endroit. Elle est chaude me dit-elle !
Je dois aller aux toilettes auparavant. Quand j’en reviens, ma belle à un petit sourire coquin.
A la sortie, elle me dit qu’elle a recommencé à s’exposer longuement, et même, se taquiner, pour allumer le gentil papa tout rouge de confusion. Et ce, toute la durée de mon absence.
Nous arpentons les rues piétonnes et elle me propose d’aller au cinéma.
– Ma chérie, tu ne crois pas que l’on devrait plutôt rentrer pour se faire un câlin ?
– L’un n’empêche pas l’autre ! On peut se faire un câlin au ciné !
Je comprends son invitation et sa volonté de provoquer, mais j’accepte de me lancer dans cette nouvelle aventure qui m’est proposée.
Le film choisi n’a pas d’importance, nous prenons le premier venu. Quand nous entrons dans la salle, la projection est commencée, c’est ce qu’elle voulait.
Il n’y a pas grand monde et nous nous dirigeons vers le fond.
Nous montons quelques marches et, malgré l’obscurité, je vois bien qu’en passant, elle effleure l’épaule d’un gars en costume, assez âgé. Il se retourne et la regarde, surpris de cette mignonne qui vient de le caresser.
Nous nous asseyons au milieu de la rangée et je comprends son manège quand elle me demande passer avant elle. Je lui chuchote :
– Pourquoi as-tu allumé ce mec ?
– Pour le faire rêver, nous ne risquons rien !
Je suis à peine assis, qu’elle s’agenouille sur son fauteuil, les fesses en l’air, et se penche pour m’embrasser passionnément. Quand elle se détache, elle jette un regard derrière elle et s’assure que le vieux ne regarde plus l’écran, mais bien le postérieur qu’elle lui expose.
Elle replonge sur moi et je distingue que le type s’est carrément tourné vers nous. Je glisse à ma chérie :
– Attends, il se lève Il s’approche, soyons plus raisonnable !
– Pas question d’être raisonnable ! Au contraire !
En disant cela, ses mains s’activent à m’ouvrir la braguette et se saisir de mon membre. Je regarde au dessus de son épaule et le gars s’est assis à quatre sièges de nous. Non, il se déplace et vient à deux sièges pour mieux voir. Il nous mate sans vergogne. Aurélie change de position et tend, au maximum, une jambe en arrière pour toucher le pied de l’homme. Ce dernier ne résiste pas et s’assied maintenant sur le siège au plus près de ma chérie.
Il me regarde, comme pour attendre un assentiment. Je ne réagis pas à sa requête, mais plutôt à la bouche de mon amour qui, désormais, m’emprisonne la verge.
Elle me suce avec passion et s’arrête brusquement en frémissant. Je vois clairement la main du gars courir sur la jambe de ma belle. Curieusement, je ne suis pas outré quand il lui palpe les fesses. Si elle se laisse caresser par cet inconnu et que ça lui plaît, alors, j’accepte ! Je ne me reconnais plus moi-même J’avoue que cette situation me stimule !
Elle me suce maintenant très lentement et adapte ses postures pour faciliter les trajets de la main baladeuse.
Le gars lui pelote un sein à travers le décolleté, cherche l’autre sans pouvoir l’atteindre. Il souffle fort et décide de changer de position. Il s’agenouille sur le sol, soulève un pan de la robe et plonge sa tête entre les fesses de ma fille.
Là, Aurélie ne reste pas de marbre et l’aide même à ôter sa culotte. Quand il se met à lécher son derrière avec application, elle se cambre davantage, geint de plaisir et me souffle :
— Ouah ! Il a une bonne langue ce type !
Elle sursaute quand il lui glisse un doigt dans la chatte, mais se laisse besogner. Elle ne me suce plus, elle halète trop d’excitation. La main du gars s’active avec beaucoup d’agilité, vue la façon dont elle se tortille, en râlant. Son excitation est communicative et je reste fasciné de constater son plaisir à se faire doigter par cet inconnu.
Soudainement, elle se relève, vient au-dessus de moi et s’assied sur ma bite tendue. Le vieux est trop loin maintenant. Il se lève et ose prendre le siège de ma chérie, à coté de moi, pour continuer à lui caresser la poitrine alors qu’elle monte et descend sur ma verge. Elle pose une main sur le dossier devant elle pour prendre appui et de l’autre se met à pétrir la braguette du type.
Le gars se tend vers elle pour mieux se faire branler et finit par éclater dans son pantalon. Quand mon amour jouit le plus silencieusement possible, ses contractions vaginales stimulent mon éjaculation et je me sens lui envoyer de nombreux jets. Le gars à maintenant la main sur sa cuisse dont il apprécie la douceur.
Elle se penche à mon oreille pour me dire :
— On s’en va ?
Elle se relève, éponge ma semence avec son string, qu’elle offre ensuite au gars, sans même le regarder. Il a récupéré un beau trophée ce coquin et va repenser longtemps à cette expérience rare.
Quand nous sortons, je ne peux m’empêcher de lui dire :
– Tu y vas fort quand même ! Tu n’as pas honte de te laisser tripoter comme ça !
– Au contraire ! J’ai adoré ! Et puis, tu es là pour me protéger Je crois aussi que mon petit fantasme ne t’a pas déplu Pas vrai ? Et toi ? C’est quoi le rêve que tu voudrais réaliser ?
Sa question me prend au dépourvu. Je ne sais pas quoi dire. Mille idées me passent en tête mais je les reflue inconsciemment. Je n’ose pas lui dire ce que je réfute moi-même.
Je bredouille :
– Ben Je ne sais pas !
– Regarde, là bas ! Il y a une boutique érotique, il paraît que l’on peut trouver des choses intéressantes. Ça te dit ?
Au sortir du sex-shop, je suis convaincu que la journée n’est pas terminée !