Ce jour-là, Houda était affairée dans la cuisine. C’était samedi, il est 15 h 30. Elle était en minijupe écossaise, sans bas et portant un tee-shirt un peu court, laissant voir son ventre rond, son nombril et la chair tendre de ses hanches. Je passai derrière elle, introduisis ma main sous son tee-shirt, saisis un sein sous son soutien que je dégageais pendant que je l’embrassai dans le cou. Je me collai à ses fesses, la bite déjà bandée.

Mais au fait, où sont les vieux ?

Sortis.

Ah la chance !

Je soulevai sa minijupe, elle avait un string noir mettant en valeur ses superbes fesses rebondies. Je sortis ma queue et la plaçai dans sa rainure profonde. Je soulevai davantage son tee-shirt et dégageai carrément ses seins qui surgirent, la pointe en avant, des seins superbes et fermes, haut plantés. Un vrai délire.

T’as toujours envie de moi, me dit-elle.

J’aurais toujours envie de toi, Houda, à chaque fois, tu me fais bander comme un dingue.

Elle se mit à rire, ce qui me fit encore bander davantage. Sans plus tarder, j’écartai son string, je la retournai vers moi, me mis à genoux et lançais ma langue contre son clito tandis que je la tenais par les fesses. Elle colla son ventre contre mon visage pendant qu’elle haletait et gémissait de plaisir. Je me relevai au bout d’un moment tandis que sa fente dégoulinait.

Je la collai contre le mur, soulevant sa cuisse d’une main, je pris ma queue de l’autre et l’introduisis séance tenante dans sa fente écarlate. Elle poussa un râle de plaisir en s’offrant tout à moi pendant que je la baisai comme un dingue. Mes mains emprisonnaient ses seins et mes pouces tournaient autour de ses pointes. Elle frémissait de plaisir. Je me retirai d’elle,

Retourne-toi, attends, courbe-toi un peu en avant que je vois ta fente.

Elle écarta ses jambes et les lèvres de sa fente m’apparurent pleines de mouille gluante.

Je ne fis ni une ni deux, je plaçais ma queue à son entrée, je la pris aux hanches et je la pénétrai encore sans ménagement. Elle aspira de l’air, posa ses mains contre le mur en se cambrant davantage pour me permettre de mieux l’introduire à fond, m’offrant davantage son derrière plantureux. Je me mis à la tringler furieusement en martyrisant tantôt ses hanches, tantôt lui saisissant les seins. Elle haletait en gémissant.

Tiens, tiens ! Prends ma queue salope ! Tu l’aimes ma bite hein ?

Oh oui oui ! Chevrota-t-elle.

Je me retirai d’elle et lui présentai ma queue à sucer. Elle se mit à genoux, tête levée et bouche ouverte, elle avala ma queue. La pointe de sa langue me titillait sous le gland et ses lèvres s’arrondissaient autour de ma hampe. Je lui baisai la bouche en maintenant sa tête collée à mon pubis.

Ah ! Putain, qu’est-ce que c’est bon ! Vas-y, vas-y !

Me sentant sur le point d’exploser, je me retirai de sa bouche. J’allais m’asseoir sur la chaise. Viens. Je la fis se retourner face à moi, enlevai son tee-shirt, pris ma queue bien droite et lui dis de s’asseoir dessus. Elle écarta ses jambes, prit ma queue d’une main, l’ajusta contre sa fente et s’assit lentement dessus. Bordel que c’était chaud et humide !

Je lui pris un sein et me mis à en lécher la pointe du bout de ma langue, pendant que je triturai l’autre. Elle montait et descendait sur ma queue, ses bras entourant mes épaules. Sa cyprine coulait le long de ma hampe et venait imprégner mes testicules. J’étais dans un autre monde !

Houda, tu baises comme une vraie pute, je t’adore !

J’aime quand tu me défonces et que tu m’inondes de ton sperme chaud.

Elle haletait en serrant les cuisses autour de mes jambes. Tantôt, elle montait et descendait sur ma verge, tantôt elle donnait des coups d’avant en arrière.

Houda ! Je sens que je vais jouir !

Vas-y, vas-y, inonde-moi la chatte !

Je me mis à me déverser dans son antre chaud et humide. Des flots de sperme ! Elle cria son plaisir et s’abattit sur mon épaule. Je lui caressai le dos pendant qu’elle m’embrassait la bouche.

Je t’aime.

Moi aussi Houda.

Elle se releva, mit sa main entre ses cuisses, introduisit ses doigts dans sa fente et les retira pleins de sperme, qu’elle lécha en avalant.

Mmm, j’aime le goût de ton jus.

Elle se retourna pour aller vers la salle de bain. Ses fesses majestueuses se dandinaient tandis que ses cuisses pleines dégoulinaient du reste de ma semence. A chaque fois, c’est comme un choc que de la baiser ! Elle revint quelques instants plus tard.

De la voir ainsi nue, avec les courbures de ses cuisses pleines, la rondeur de ses hanches et ses seins rebondissant à chaque pas, j’en avais le tournis. Une vraie déesse de l’amour. J’aurais bien voulu la prendre de nouveau mais mes parents n’allaient pas tarder à revenir. Elle se rhabilla et vint se lover dans mes bras. Je l’embrassai en la caressant dans le dos.

A ce soir alors ? D’ici là, j’aurais encore plein de sperme pour toi ma belle.

Oh oui, j’attendrais avec impatience qu’on soit au lit pour une autre sauterie.

Je veux être ta pute.

Eh bien alors, dans ce cas, plus de rebeux, hein ?

Non non, je ne veux plus baiser avec ces brutes. D’ailleurs, ils ne savent pas y faire et c’est pas souvent que je prends mon pied même quand ils s’y mettent à deux, l’un à la suite de l’autre ; ce qui ne les empêche pas de jouir à chaque fois comme des bêtes, en m’envoyant chacun ses flots de sperme du bout de leur gros gland circoncis.

OK, OK, ne m’en dis pas plus ; ça me fout en rogne !

(Bien que le fait de savoir que c’est une pute assoiffée de grosses bites, de l’entendre ainsi raconter ses histoires de baises avec ces gens-là me fait bander encore plus !)

Fin de l’histoire.

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