Sophia se présenta le lundi matin, à lheure, à lentrée de lagence. Je lui ouvris et la fis entrer. Elle avait respecté scrupuleusement le code vestimentaire que je lui avais imposé. Escarpins noir vernis, des bas noirs semi-transparents, et un ensemble tailleur jupe gris anthracite lui arrivant au-dessus du genou. Son chemisier était blanc et ouvert un bouton trop bas, laissant voir la discrète naissance de sa petite poitrine ferme. Elle avait attaché ses cheveux en arrière, et ses lunettes qui la rendaient très sexy lui donnaient également un air relativement sérieux. Jétais persuadé que jamais je nallais pouvoir bosser avec cette créature dans les parages. Mon sang ne faisait quun tour chaque fois que je posais les yeux sur elle, et mes pensées se focalisaient alors sur le sexe, encore et toujours.

    Je la regardai enlever son manteau, et je repensai à cette fellation quelle mavait prodiguée au bar le jeudi précédent. Comme si cétait hier, je revoyais ses mains fines descendre le long de ma tige dans une caresse dune volupté saisissante, jusquà mes couilles raffermies par la flatterie. Jarrivais encore à sentir ses lèvres douces effleurer mon gland puis lenlacer dans un filet de salive des plus glissants. Elle mavait procuré un orgasme dune rare intensité et sétait montrée particulièrement volontaire pour sabreuver de mon plaisir, et pour ces raisons, jétais sûr que ma première inspection de sa vulve serait des plus remarquables.

Après lui avoir présenté son bureau, accolé au mien et accessible par une porte privée qui les relie, je voulus lui présenter léquipe de collaborateurs. Jétais heureux de compter dans mes rangs des employés assez peu attirants et plutôt vieux. Je mettais ainsi toutes les chances de mon côté pour garder notre relation exclusive.

Bon, écoutez-moi tous, voici Sophia. Elle occupera le poste dassistante de direction si elle termine sa période dessai avec succès.

    Jobservai un temps darrêt pour prendre la température de lambiance générale. Il y eut deux réactions complètement opposées. La première fut celle de la comptable plutôt froide. Elle regardait Sophia dun air étrangement agressif, les sourcils froncés. La lionne allait devoir marquer son territoire afin que la nouvelle nempiète pas sur ses plates-bandes. Elle scrutait le corps de linsouciante jeune femme qui souriait toujours, et dans un soupir me prouva quelle était follement jalouse. La seconde fut celle des hommes, qui eux avaient certainement les mêmes pensées que jai pu avoir lors de ma première rencontre avec mon assistante personnelle. Jallais devoir leur faire comprendre que Sophia était une chasse gardée sans éveiller leurs soupçons à notre sujet.

Sophia savança pour saluer toutes les personnes présentes dans la salle, et entama la tournée de poignées de mains. Elle regardait dans les yeux chacune des personnes à qui elle donnait la politesse, mais elle appuya son regard quand elle dit bonjour a Paul, plus jeune des techniciens, un quadra suffisant et plutôt costaud. Il faudrait être aveugle, bête ou les deux pour ne pas se rendre compte quelle profite de sa position de femme fatale pour tenter de séduire cet homme. Cela magaçait, et je comptais bien lui faire passer lenvie de samuser comme ça.

Trêve deffusions. Sachez que si vous avez besoin de quoi que ce soit, Sophia sera installée dans le bureau attenant au mien. Je vous laisse donc retourner à vos occupations.

    Interrompant Sophia qui allait entamer la conversation, jajoutai dun ton sec, mais faussement chaleureux :

Sophia, dans mon bureau sil vous plait.

    Elle minterrogea du regard, étonnée de mon injonction. Elle dut penser que je voulais dès à présent ma dose de sexe, puisquelle ma rejoint dans mon bureau avec un regard dont on pouvait extraire lexcitation à mains nues.

— Déjà en appétit Monsieur ? glissa-t-elle mielleusement.

— Assise !

    Elle sassit sans demander son reste, sûrement impressionnée par le ton dur dont javais fait preuve lors de mon injonction. Je devais lui faire passer un sale quart dheure. Cette femme est à moi, et devra le rester. Si elle devait être partagée, ce serait de mon fait, et non du sien. Jaimais que les choses soient carrées, et surtout, quelles soient comme je le voulais. Jentrepris donc de reprendre une fois plus calme, mais tout aussi glaciale.

— Sophia, vous moqueriez-vous de moi ?

— Pardon ?

— Pensez-vous que je nai pas vu votre sourire tentateur lors de votre poignée de main, étonnamment longue dailleurs, avec Paul ?

    Je la vis confuse. Elle avait rougi instantanément, comme une enfant prise sur le fait de voler des bonbons. Je naimais pas quon me prenne pour un idiot, et elle le comprit suffisamment vite pour ne pas le nier. Elle se tu alors, me laissant débiter mes réprimandes sans discontinuer.

— Sophia, nous avons signé les contrats à votre arrivée. Vous êtes donc lassistante coquine que je cherchais nest-ce pas ?

— Oui Monsieur.

— Bien, ce qui signifie que vous êtes mon assistante, et implicitement, votre corps est ma propriété. Comprenez-vous bien la situation Sophia ?

— Oui je comprends, mais, si je remplis parfaitement mes fonctions envers vous, et que hors du temps où vous ne me sollicitez pas, un de vos employés Me cherche. Ne serait-ce pas une bonne idée que de le satisfaire également ?

    Cette remarque me mit hors de moi. Cette petite garce comptait donc se faire enfiler par toute la société ? Hors de question ! Pour qui se prenait-elle ? Mes techniciens sont déjà suffisamment distraits ; ils nont pas besoin que Sophia les soulage sexuellement. Je la fusillais du regard. Elle avait baissé la tête, regardant ses chaussures au bout de ses jambes croisées. Ses jambes croisées. Elle est beaucoup trop sexy, elle ménerve ! Jallais profiter de la situation. Sévir, mais profiter.

— Levez-vous.

    Je la fis poser les mains sur le bord du bureau se trouvant à un mètre devant elle, lobligeant à se pencher en avant, moffrant délicatement ses fesses rebondies. Je caressai son derrière bien ferme dune main, lui tournant autour pour exercer sur elle une pression continue. Plus mes mains passaient sur lendroit, le pressait, plus elle commençait à onduler le bassin. Le silence qui régnait dans le bureau me laissait percevoir sa respiration de plus en plus rapide.

Soulevant sa jupe je glissai deux doigts entre ses cuisses légèrement écartées, sur sa culotte, afin den vérifier létat.

— Déjà humide Cest bien. Vous me faites bander. Jai envie de défoncer ce magnifique cul.

— Mmh.

    Son gémissement était un aveu de consentement et de désir. Mais elle devait comprendre la leçon. Je relevai sa jupe sur son dos afin de laisser ses fesses nues à ma portée et je me mis à côté delle. Mes doigts quittant sa chatte trempée, je mapprêtais à cingler ses fesses dune fessée qui je lespère commencerait à lui faire comprendre ce que jattendais delle.

— Je vous préviens Sophia. Un bruit, un cri, et vous êtes virée avant même davoir commencé.

    Et ma main sabattit sur sa chair pâle qui rosit aussitôt. Mais Sophia sétait tu. Pas un son, si ce nest un léger gémissement quelle avait étouffé entre ses dents ne sétait fait entendre.

— Bien Sophia. Je suis certain que nous ferons de vous une bonne petite chienne. Jamais plus vous ne flirterez avec un de mes employés. Jamais. Est-ce clair ?

— Oui Monsieur, me répondit-elle dans un râle de désir.

    Ma main sécrasa une nouvelle fois sur ses fesses dans un bruit de claquement sourd, la faisant gémir une fois encore. Puis une troisième fois. Jinspectai alors sa culotte afin de savoir si ma punition lavait refroidie. Je fus à la fois contrarié et ravi que le résultat ne soit pas celui que jattendais.

— Mais bon sang, mes fessées vous ont complètement inondée !

— Oui Monsieur, vous pouvez continuer si vous le souhaitez, jadore ça.

    Elle remuait ses hanches de gauche à droite, frottant son sexe sur mes doigts comme elle le pouvait pour se procurer du plaisir. Jécartai alors son string afin doffrir pour la première fois à ma vue, sa vulve trempée et brillante de cyprine, dans laquelle jenfonçai mon pouce sans ménagement. Elle en ouvrit la bouche de surprise, se délectant de la sensation de mon doigt remuant en elle. Je sorti mon doigt, rabaissa sa robe, et la fit se relever en la tenant par le menton, mon pouce mouillé de son jus dans sa bouche. À quelques centimètres, nous nous regardions silencieusement dans les yeux. La tenant toujours par la bouche, je la poussai pour la faire sassoir à nouveau. Jai tout simplement défait mon pantalon que jai laissé tomber sur mes chevilles, puis jai libéré mon sexe devant son visage.

— Sophia, jai beaucoup de travail, alors ne bougez pas, et regardez-moi. Voilà, comme ça, cest bien Ouvrez grand la bouche et taisez-vous.

    Je me suis masturbé frénétiquement devant ce joli visage de jeune femme. Elle me regardait de ses yeux profonds et clairs la bouche grande ouverte, attendant que je lui offre mon orgasme. Elle semblait en appétit et frottait ses cuisses lune contre lautre pour essayer de soulager lexcitation qui la gagnait rapidement. Son regard oscillait entre le mien et ma queue tendue à quelques centimètres de son visage. Il était indéniable quelle avait envie de me sucer, de me branler, ou même de sempaler sur ma tige. Elle gémissait discrètement et je me branlais plus fort encore, jusquà sentir mon jus monter dans ma tige. Je ne fis aucun effort pour me retenir, et dans un râle profond, je laisse mon sperme sétaler sur le visage de ma secrétaire, de son front à son menton. Son visage était strié de trois grandes trainées blanches.

— Mince, raté, ironisai-je.

    Je lui donnai ma queue à nettoyer, ce quelle sempressa de faire consciencieusement. Comme si elle ne voulait laisser sévaporer aucune particule de mon plaisir.

— Bien, partez maintenant, et bon sang, essuyez-vous le visage convenablement, vous en avez partout !

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