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Un samedi soir au lavoir automatique – Chapitre 1




Samedi 17h30 :

Et zut !! C’est bien ma veine, il pleut, je suis trempé et quand j’entre enfin me mettre au sec dans le lavoir, je remarque que toutes les machines sont occupées. Pas de bol, devoir attendre, perdre du temps, c’est bien ma veine. Il va vraiment falloir que j’investisse un jour dans ma propre machine. Heureusement, il reste une seule place de libre pour s’asseoir, tout au fond du lavoir. Je m’approche et c’est là que je te remarque : approchant de la quarantaine, un peu ronde, généreuse mais très féminine. Tu portes une jupe, un chemisier et des chaussures à talons. Tu es assise, jambes croisées, occupée à lire un magazine en patientant que ta lessive se termine. La place de libre est celle juste à côté de toi. Je m’avance, pose mon sac de linge sale à mes pieds et m’assieds afin d’attendre qu’une machine se libère. Je ne peux m’empêcher de te détailler des pieds à la tête car tu ne m’es pas indifférente. Ta jupe est noire, droite, elle arrive un peu au dessus du genou, assez stricte mais plutôt moulante, elle dessine bien le galbe de tes cuisses et les courbes généreuses de ton derrière. Le parfum que tu portes me plait beaucoup et, petit à petit, mon imagination commence à voyager. Je me demande ce que tu peux bien porter sous ta jupe. Une culotte, un petit string ou peut-être rien du tout, qui sait. Le chemisier que tu portes est blanc immaculé, le tissu est assez léger, ce qui fait qu’on voit sans peine par transparence que tu portes un bustier à balconnets en dentelle blanche ou serait-ce une guêpière ? Je l’ignore…

Tu sembles avoir une poitrine plutôt lourde et j’adore ça… Je remarque que tes seins pointent légèrement malgré la chaleur chargée d’humidité qui règne à l’intérieur du lavoir. Serais-tu excitée ou bien est-ce juste un petit courant d’air qui a provoqué cela ? Qui sait… Je remarque aussi qu’un bouton de ton chemisier est défait et je ne peux résister à l’envie de jeter régulièrement de petits coups d’oeil, afin de me régaler discrètement de la vue que tu m’offres malgré toi. Tu continues à lire ton magazine, mais je crois que tu as repéré que je lorgnais sur tes seins car, sans m’adresser la parole ni même tourner la tête, tu reboutonnes ton chemisier.

Après quelques minutes la machine à laver face à toi s’arrête. Tu te lèves et déposes le magazine sur la chaise. Tu t’avances vers la machine. Tu te penches un peu en avant pour ouvrir le hublot. Il y a une manne en plastique devant la machine. Tu ouvres le hublot et commence à sortir ton linge. Tu t’es accroupie, un peu de profil devant la machine. Perchée sur tes hauts talons, tu as une pose sexy que j’apprécie. J’ai du mal à déterminer si tu portes des collants ou des bas, mais tes jambes gainées de nylon me font beaucoup d’effet. Je me régale de ta position et épie chacun de tes mouvements. Au début, je n’ai pas fait attention à ce que tu sortais de la machine, mais je viens de remarquer que ce n’est que de la lingerie… Soutien-gorge, culottes sages et moins sages, porte-jarretelles, petits strings sexy, guêpières coquines, déshabillés sophistiqués et petites nuisettes de toute sorte s’empilent dans la manne. Je me dis alors que tu possèdes une jolie collection de dessous !! Aurais-tu lu dans mes pensée ? Tu relèves la tête, ton regard croise le mien et je sens que je rougis, un peu honteux de t’avoir épié de la sorte. En voyant ma gêne, tu me lances un regard amusé et compréhensif et je crois même distinguer un petit sourire. Quoi qu’il en soit, tu te dépêches d’attraper les dernières culottes restées au fond de la machine, tu enfiles ta veste, ramasses ta manne, ton magazine et tu quittes les lieux.

Je te suis du regard, la porte s’ouvre et se referme derrière toi. Tu es partie.

Samedi 17h55 :

Je dois vite redescendre sur terre afin de ne pas me faire piquer ma place. Je balance toutes mes fringues dans la machine, je claque le hublot et me voilà obligé de patienter à nouveau face à ce hublot qui tourne, tourne, tourne. J’ai hâte de quitter le lavoir et une fois la lessive terminée, j’enfourne tous mes vêtements dans mon sac et je rentre chez moi.

Samedi 19h :

Ce n’est qu’une fois rentré chez moi, en sortant le linge tout propre de mon sac, que je découvre le petit cadeau que tu m’as fait sans le savoir. Je sors du sac les vêtements encore un peu humides pour les étendre sur le séchoir. C’est alors que je remarque qu’au milieu de mes t-shirts trône une petite boule d’étoffe qui m’est inconnue. Je suis en plein rêve. C’est un petit string en lycra rouge presque transparent. Dans ta précipitation, tu l’as sans doute oublié dans la machine et voilà qu’il se retrouve maintenant en ma possession. Une envie perverse me vient immédiatement à l’esprit et je plonge mon visage au creux de l’étoffe, espérant pouvoir y détecter ton parfum intime, mais ces deux passages à la machine ont effacé toute trace d’un quelconque arôme féminin. Qu’à cela ne tienne, je suis si surpris et excité par cette découverte que je ne cherche même pas à refreiner l’envie de me soulager. Je m’allonge nu sur le lit, j’enserre le string autour de mon sexe bandé et je me masturbe sans hâte en me remémorant la délicieuse vue sur tes seins, tes cuisses et ton joli derrière. Je suis excité de plus belle en t’imaginant portant la lingerie que je t’ai vu sortir de la machine. Tu dois être vraiment superbe dans ces ensembles sexy…

La caresse du lycra est vraiment très agréable sur ma queue, je mouille abondamment et je ne tarde pas à jouir. Deux grands jets de foutre brûlant viennent inonder mon ventre, me libérant de cette excitation intense. Encore haletant, j’essuie le sperme qui me couvre avec ton string. Ensuite, pris d’un remord, je me promets de retourner au lavoir la semaine suivante pour te le rendre, si par chance je te croise à nouveau. Je n’arrive pas à te sortir de mon esprit et chaque soir, en rentrant du boulot je n’ai qu’une seule chose en tête : me soulager dans ton string. Je crois m’être fait jouir une bonne douzaine de fois en tout et pour tout. Il faut que je me résigne à le laver avant de te le rentre car pas un centimètre de tissu n’a été épargné par mes jouissances répétées. Il serait très peu courtois de te le rentre dans cet état. Je dois my reprendre à trois fois car je n’arrive pas à faire disparaître totalement les traces de mon méfait.

Seras-tu au lavoir comme la semaine d’avant ?

Si oui quelle sera ta réaction quand je te rendrai ton string ?

Si tu n’y es pas, comment faire pour te retrouver et te le rendre ?

Je crois bien que je suis tombé raide amoureux de toi, ma belle !!!

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