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Témoin consentant – Chapitre 1




Nous sommes en voiture, la voiture d’un copain, Gilles, et la nuit tombe… Ne me demandez pas ce que nous faisons là, je n’en ai aucune idée. Probablement revenons-nous d’une soirée entre amis bien arrosée, mais franchement je n’en ai aucun souvenir. La voiture en question est un break Mercedes, belle voiture, confortable, et nous roulons vite dans le noir de plus en plus profond… Ma femme, Claudine, est assise à côté du chauffeur et je suis sur le siège arrière, détendu, regardant par la vitre les arbres qui défilent.

Il fait maintenant nuit noire et, d’après ce que dit Gilles, nous sommes encore très loin de la maison, aussi propose-t-il de faire une halte sur une aire de repos, histoire de somnoler un moment avant de reprendre la route. Personnellement, je n’y vois aucun inconvénient, et ma femme étant d’accord, Gilles prend la première sortie qu’il trouve pour s’arrêter. Il s’agit d’une aire banale, complètement isolée et totalement déserte. Il arrête le moteur et nous propose de dormir un peu. Nous baissons les sièges et chacun trouve rapidement le sommeil.

Je ne sais pas au bout de combien de temps, peut-être une heure, peut-être moins, je suis tiré de ma torpeur par un bruit insolite, apparemment des gémissements, des soupirs. Je suis entièrement allongé dans le coffre du break, ma femme et mon copain ayant couché leurs sièges. Je suis donc complètement coincé mais je vois tout ce qui se passe dans l’habitacle. Le temps de réaliser où je suis, mon regard se porte sur l’avant du véhicule et là, stupeur !!!!

Gilles est en train de rouler une pelle d’enfer à Claudine, Ma Claudine, et sa main se perd entre les jambes de ma femme. Celle-ci est d’ailleurs dans une tenue plutôt décontractée, son chemisier ouvert sur son soutien-gorge, laissant voir la naissance de ses seins, la jupe troussée à la taille, et les jambes bien écartées. Ce sont les gémissements de Claudine qui m’ont tirés de ma torpeur. Je suis là, bouche bée, en train de regarder ma femme se faire peloter par un autre, et au lieu de protester, de me manifester d’une manière ou d’une autre, je ne dis pas un mot, je regarde.

— J’ai envie de toi ! Déclame Gilles tout en continuant à fourrager entre les jambes de ma femme.

— Moi aussi, lui répond Claudine.

— Viens, suce-moi, lui dit l’autre, apparemment très excité.

Et il dégrafe son pantalon, laissant apparaître son sexe tendu sur lequel mon épouse se penche avec avidité. Elle le prend dans sa bouche et commence à lui faire une pipe comme je les aime, ses lèvres courant sur la hampe rigide, ses ongles agaçant les bourses, puis avalant le gland profondément. Gilles gémit sous la caresse précise et se laisse aller au bien-être de cette bouche si douce. Et moi, toujours coincé au fond de la voiture, je ne dis toujours rien, pas un mot. Par contre, ma queue commence à me faire mal et, plus ou moins consciemment, je commence à me branler sans rien perdre du spectacle.

À force de caresses, Gilles n’en peux plus, il se redresse et aide Claudine à se déshabiller. Ma femme se retrouve quasiment nue, ne portant plus que ses bas blancs, qui ressortent étrangement dans la pénombre de la voiture.

— Je veux te dévorer, déclare-t-il, et il pose sa bouche sur le sexe humide de Claudine, plongeant avec délice sa langue au plus profond du sexe offert, arrachant à ma femme un feulement de plaisir. Elle se laisse faire, manifestement elle va se faire baiser sous mes yeux. Sait-elle que je ne dors plus ? Que je la regarde ? Je n’en sais rien mais toujours est-il qu’elle se cambre sous les caresses de mon copain, les jambes en équerre, la tête renversée en arrière, elle n’offre aucune résistance à la douce agression dont elle est l’objet…

— Je veux ta queue ! Crie-t-elle dans un ultime spasme de plaisir.

J’en suis tout chose, incapable de réagir, fasciné par le spectacle qu’ils m’offrent à un mètre à peine de moi. Gilles se redresse alors et Claudine le chevauche, pour venir s’empaler sur le sexe tendu à craquer de mon copain. Je vois sa chatte humide avaler la queue de Gilles et ma femme se crisper sous la pénétration vigoureuse. Je sors mon sexe de mon pantalon et je me masturbe violemment, sans rien perdre de la scène.

— Ouiiii, baise-moi, encore, plus fort…

Ce ne sont que gémissements, soupirs, râles, la voiture tangue sous les coups de boutoirs que Gilles dispense à ma femme, son sexe fouille au plus profond de la chatte de Claudine, il la baise comme un fou, ses mains crispées sur les fesses de sa partenaire. Les seins de Claudine tressautent à chaque assaut, ses beaux seins si fermes, si tendres, si sensibles…

Dans un ultime sursaut, le plaisir les submerge tous les deux, calmant d’un coup la tension. Moi je jouis entre mes doigts, complètement vidé par ce qui vient de se passer. Claudine se glisse à côté de Gilles et, comme si cela ne suffisait pas, elle le reprend dans sa bouche, lui arrachant les dernières gouttes de sperme qui coulent du gland violacé, arrachant une nouvelle fois à son amant des soupirs de plaisir.

Après quoi, allez savoir pourquoi, le réveil se met à sonner. Je me hâte de l’éteindre, Claudine dort à mes côtés, nue, superbe, dans le plus beau des abandons…

Et je me dis : bon sang !!!! Si seulement cela pouvait arriver, rien qu’une fois, juste pour le plaisir !!!

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