La jeune fille était nue, debout, dans le salon bourgeois. Elle se caressait distraitement en regardant autour d’elle. On lui avait promis "trois ou quatre hommes velus" qui feraient d’elle ce que bon leur semblerait. L’idée ne l’avait pas tout de suite convaincue mais finalement (après une discussion pénible avec son petit ami), elle avait accepté. Et depuis, elle n’avait cessé de se donner du plaisir en imaginant tout ce qu’ils pourraient faire d’elle.

La veille au soir, elle était ressortie dans un état d’excitation avancée et avait pris le train en espérant faire une rencontre particulière. Elle était restée à côté d’un homme qui n’avait cessé de la dévisager, comme s’il avait senti. Ou comme s’il avait senti l’odeur caractéristique des jeunes filles qui se promènent avec des boules de geisha en elles. L’homme n’avait rien osé, hélas. Elle était rentrée chez elle et s’était introduit un sévère godemichet dans le con. Pour le garder en elle toute la nuit.

À présent, elle attendait, nue dans ce salon comme on le lui avait indiquée. Et comme elle soupçonnait qu’elle était observée, elle a commencé à se caresser plus ostensiblement, en se cambrant pour offrir à ses invisibles spectateurs le spectacle de son joli cul.

Elle n’avait jamais eu ce genre d’expérience auparavant. Elle n’aurait jamais imaginé s’abandonner ainsi. Mais à présent, elle ne désirait plus qu’une chose : perdre toute conscience en devenant le jouet de trois gaillards lubriques. Ou quatre, peut-être.

Elle a senti une main se poser sur ses fesses.

Ce n’était pas une caresse. L’homme devait évaluer la physionomie de la demoiselle qu’il allait prendre sans réserve. Et son cul l’intéressait au premier chef, de toute évidence.

Il n’avait pas hésité à glisser un puis deux doigts dans son anus. Elle avait gémi, un peu pour encourager l’homme qui était derrière elle, sans cesser de se caresser le con.

L’homme lui branlait de plus en plus vivement le cul en la caressant sans délicatesse. Elle attendait qu’il la prenne mais l’homme prenait son temps. Sans doute qu’il attendait ses comparses.

— Retourne-toi !

La jeune fille nue a obéi. L’homme se branlait devant elle. Elle a regardé le membre avec intérêt. Elle n’avait jamais vu d’homme se branler réellement. C’était à la fois un peu ridicule et très excitant. Elle s’est,agenouillée, certaine de précéder de peu la demande qu’on lui ferait. Et, en effet, l’homme a rapproché son sexe de la bouche qui s’offrait. Elle s’est mise à le lécher. Derrière elle, elle entendait des pas et la respiration lourde de deux autres hommes.

Ils l’encerclaient à présent. Et toute à sa fellation, elle a entrevu les sexes qui se pressaient autour d’elle, tendus et raides comme des barres de métal. Elles les a pris en main.

Elle se sentait bien dans cette posture scandaleuse. Elle avait deux bites en main et une qui lui baisait littéralement la bouche. Elle aurait voulu qu’on la voie ainsi. Elle devinait que cette scène était filmée et cette perspective l’incitait à se conduire comme une vraie actrice. Quelqu’un lui lubrifiait l’anus. Elle comprenait ce qu’on attendait d’elle. L’homme posté derrière elle la manoeuvrait de telle façon qu’elle puisse être enculée sans cesser de sucer et branler les queues qui l’entouraient.

Le membre entrait en elle. Elle est restée figée un court instant mais elle s’est vite reprise. Les autres n’allaient pas lui laisser de répit. Elle a pris en bouche le membre qu’elle avait à sa gauche. Elle regardait de temps en temps les visages de ces hommes impavides et concentrés.

La queue était tout au fond de son cul à présent. L’homme allait et venait sans aucun ménagement. Elle s’est relevée légèrement et s’est retrouvée prise en sandwich entre deux hommes. L’un était tout au fond de son cul. L’autre entreprenait de s’immiscer en son con qui ruisselait de foutre.

Les deux autres devaient être en train de se branler. Ils attendaient leur tour.

Celui qui la sodomisait a laissé sa place à l’un de ses camarades. Elle a senti la queue entrer en elle très rapidement pour s’enfoncer aussi profondément que possible. Et puis l’homme qui la foutait au con a semble-t-il eu envie de jouir dans sa bouche car il l’a obligée à se pencher pour prendre en bouche la queue qui avait un insistant goût de foutre (de son foutre à elle). L’autre homme redoublait de fureur.

Elle ne devait bénéficier d’aucun répit. A peine l’un des hommes libérait-il la jeune fille de son emprise, un autre prenait sa place. Bientôt elle s’est retrouvée sur un gros canapé de cuir noir, jambes écartées. L’un des gars s’était hissé à sa hauteur pour qu’elle ne garde pas la bouche inoccupée. C’est le deuxième qui lui ferait goûter son sperme. Et qui en profitait pour souiller son joli visage avec les jets de sperme résiduels.

La suite des événements serait difficile à résumer. Les hommes qui la baisaient semblaient inépuisables. Ils manipulaient son corps pour lui faire adopter des positions parfois acrobatiques. Plus d’une fois elle s’est sentie soulevée par ces gaillards qui s’amusaient à la baiser hors-sol. Et régulièrement, on lui éjaculait sur le visage ou dans la bouche.

S’est-elle évanouie ? A quel point est-elle restée consciente ? Ce serait difficile à dire. Elle a cessé de sentir leur présence insistante, à un moment. Et elle s’est endormie ou rendormie sur le canapé.

Dehors, la fête se poursuivait. Les invités étaient une vingtaine, peut-être. La maîtresse de mmaison leur avait promis une "divine surprise".

Dès que la jeune fille aurait un peu récupéré, on lui demanderait de rejoindre l’assemblée des convives réunis dans le joli boulingrin de cette luxueuse propriété.

Dans le plus simple appareil, bien sûr.

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