Je vais vous raconté ce qui a fait ce que je suis aujourd’hui, voilà tout a commencé quant j’avais douze ans: avec mon copain d’enfance qui lui en avais quinze au moment ou l’on se découvre, pour nous c’est arrivé le jour ou j’ai ramené un magazine pour adulte trouvé dans les toilettes chez un voisin, pas un lui ou un play-boy mais un truc bien plus hard que l’on ne trouvais qu’en sex-shop mais ça je l’ai appris plus tard, il se trouve que j’avais ce livre et j’en ai fait profiter mon copain, c’est dans sa chambre que nous avons parcouru les pages les unes après les autres nous régalant devant tant de beautés dénudées tout en étant vêtues de magnifique dessous comme des guêpières, des porte-jarretelles tendant des bas sur ces longues jambes chaussées d’escarpins, mais également ces sexes ouverts ne cachant rien de leurs intimités, c’est comme ça qu’aux fils des pages nous avons découverts ou se mettais le sexe qui durcissais dans nos shorts, nous étions gênés de la bosse qui tendais nos vêtements, à ce moment Denis m’expliqua que de temps en temps, quant il l’avais raide, il se caressai doucement la bite dans un mouvement de va et vient mais comme je ne comprenais pas il a baissé son short pour me faire voir comment il faisait, c’était pas la première fois que je voyais sa bite car à la piscine nous nous changions dans la même cabine mais son sexe étais au repos alors que là je voyais comme un morceau de bois entre ses jambes, il a posé sa main dessus, l’entourant de ses doigts qu’il a fait monter et descendre, je me tortillais sur le lit quant il m’a dis de faire la même chose que lui, j’ai donc fais descendre mon short et mon slip pour découvrir mon sexe bien modeste comparé au sien et il m’a encouragé à faire pareil et après un certain temps il a fait sortir de sa bite plusieurs jets d’un liquide blanchâtre, ce fut tout pour ce jour là, mais nous avons recommencer assez souvent sans toutefois allez plus loin jusqu’au jour ou comme il tenais le livre d’une main et que de l’autre il se masturbais, à chaque fois qu’il voulais tournez une page il étais obligé d’arrêter de se branler, donc il me demanda de le branler à sa place, maladroitement je posais ma main sur sa queue et entamais simultanément de nous branler en même temps, pour pouvoir regarder les photos j’étais collé contre lui au bout d’un moment sa bite c’est mise à trembler juste avant d’évacuer cette même liqueur blanche j’en avais plein les doigts c’était chaud et gluant, un jour discrètement j’ai léché ma main pour gouter ce liquide c’était ni bon ni mauvais, juste un peu fade, c’était comme ça à chaque fois que nous regardions ce livre je m’occupais de nos deux queues enfin surtout de la sienne car la mienne donnais très peu de jus et je n’éprouvais rien de spécial à m’astiquer, ce qui fait que je me concentrais sur la sienne et à chaque fois qu’il crachais son sperme, je regardais attentivement, fasciné par cette éruption de sauce, (sauce que de plus en plus souvent je me délectais en suçant mes doigts), à tel point que les fois suivantes je me déculottais pour faire comme d’habitude mais ne touchais plus à mon sexe qui ne bandait pas si je ne le touchais pas, je me concentrais sur le sien, mes deux mains étais sur sa bite et sur ses couilles que je malaxais lui faisant pousser des soupirs de satisfactions, ses jouissances devenais à chaque fois plus bruyantes dans sa manière de s’exprimer tout comme il avait tendance à se tendre comme un arc en se penchant en arrière se couchant presque sur le lit, notre petit amusement a continué pendant un an, un an de masturbation régulière ou je le branlais deux, voir trois fois d’affiler suivant le temps que nous avions et son degré d’excitation, mais un jour à force de voir tous ces couples dans des situations érotiques, à la vue de plusieurs photos sur le même thème de la fellation Denis a du vouloir autre chose que l’éternel branlette car c’est sa main sur ma tête qui me poussais vers son ventre qui a tout déclenché, je n’ai opposé aucune résistance et c’est comme ça que je me suis retrouvé avec sa queue dans la bouche comme je ne savais pas comment faire j’ai continué à le masturber en gardant le gland dans la bouche, il ne lui a fallu que trois minutes pour m’envoyer au fond de la gorge toute la sauce que j’avais pris l’habitude de recueillir au creux de la main, mais là surpris par la rapidité de sa jouissance je n’ai pu qu’avaler pour ne pas m’étrangler en respirant surtout qu’il avais posé ses deux mains sur ma tête pour me maintenir bien en place, ce fut tout pour cette fois là, et là encore c’est une année entière qui passa ou je lui donnais son plaisir avec ma bouche, à force de le sucer et de le boire j’avais fini par y prendre goût et j’en éprouvais même un certain plaisir que je ne pouvais pas encore définir et il n’avait plus besoin de me tenir la tète pour que je reste accroché à sa queue, au contraire, mais nous avions récupérer d’autre livres ce qui nous faisait une belle collection avec un choix important jusqu’au jour ou il ramena un nouveau petit magazine, quand il l’a sorti j’ai bien senti qu’il était plus excité que d’habitude, nous nous sommes déshabillés tous les deux, comme toujours il avais déjà la queue raide avant d’ouvrir le livret, et dès les premières images j’ai su que plus rien ne serais pareil, j’ai eu un flash en voyant ces corps d’hommes dans ces dessous féminin, c’était un livre sur les travestis, ma main branlait déjà la bite à Denis qui en deux ans avait pris du volume et de l’ampleur tout comme ses couilles qui étaient devenues énormes comparées à moi qui avait toujours deux petites noisettes sous une bite enfin quant je dis bite c’est un bien grand mot car ma main recouvrai entièrement mes six centimètres en érection sur même pas deux de diamètre, ma petite bite ressemble plus à un petit doigt qu’à une queue alors qu’au repos je n’ose même pas vous la décrire, au fil des pages les poses et les situations devenaient de plus en plus hard surtout dans les photos de sodomies tout comme celles de fellation, ce jour là il a fallu que je le suce à trois reprises pour arriver à éteindre le feu qui couvait en lui, mais pour moi ce n’étais que le début, il m’avait laissé le bouquin que j’ai parcouru de la première à la dernière page, découvrant le monde des travestis, je n’ai pas hésité une seconde et j’ai profité des absences de ma mère pour allez fouiller dans sa commode et sa penderie ou j’ai trouvé des trésors de frou-frou en dentelle que j’ai essayé sans plus attendre comme si c’était un besoin, j’étais dans un monde de douceur avec ces bas sur mes jambes, j’ai eu un peu de mal à fixer le porte-jarretelles et les jarretières aux bas mais c’était formidable, une nuisette pour couvrir mon corps me suffisais car j’étais moins grand que ma mère, en plus c’était transparent et laissait apercevoir les dessous, j’ai décidé de m’habiller de la même manière lors du prochain passage de Denis pour regarder le magazine, le jour ou il est passé je m’étais préparé avec soin et quelle ne fut pas sa surprise en me découvrant ainsi, j’avais en plus mis des chaussures à hauts talons nous sommes allés dans ma chambre, j’étais passé devant lui et je sentais son regard sur mon corps, il a pris le livre et ma demandé de prendre des poses comme sur les photos en m’aidant de ses mains pour me placer comme il le voulait, il en profitait pour me caresser sur tout le corps chose qu’il ne faisait pas avant, il avait enlevé ses habits comme d’habitude et sa queue étais déjà bien raide j’y ai porté la main mais il m’a dis attend prend une autre pose avant et il m’a encore placé comme il voulais mais pour ce faire, à un moment il s’est retrouvé derrière moi collé à mon cul, je n’osais plus bouger car je sentais calée entre mes fesses la dure barre tendu de son sexe, lui aussi a du éprouver quelque chose car il s’est frotté à moi d’une manière bizarre, il a posé le livre près de moi, ouvert à la page qui correspondais à la pose que je prenais mais quant mon regard c’est posé dessus j’ai eu des frissons partout car il y avais deux personnes sur cette photo, la première personne étais le travesti en position de la levrette, moi en l’occurrence, et la deuxième, Denis à genoux derrière moi, mais à un petit détail près c’est que le sexe bandé étais rentré dans l’anus du travesti de la photo, j’ai compris à ce moment que Denis voulais me faire la même chose, je voulais me défaire de cette situation mais il me tenais bien par les hanches en me disant que je l’avais trop excité à m’habiller de la sorte et que un jour ou l’autre cela aurais bien fini par arriver, en même temps qu’il me causais il en profitait pour faire entrer lentement sa bite dans mon petit trou, je gémissais de douleur mais il me rassurait, il s’est penché sur moi pour m’embrasser dans le cou, sur la nuque tout en me caressant le dos les seins que j’avais petits du à un peu de sur poid, j’avais un peu moins mal et machinalement j’ai poussé mes fesses à la rencontre de sa queue, celle-ci est rentrée alors entièrement en moi, il a à peine eu le temps de faire deux allez et retour que déjà son sperme me remplissais le cul tant il étais excité mais malgré tout il est resté collé à mes fesses à moitié couché sur mon dos en me disant que c’était meilleur qu’avec ma bouche, je le sentais en moi toujours aussi dure quant au bout d’un certain temps il s’est remit à bouger, d’abord lentement puis de plus en plus vite, il s’est redressé et c’est à genoux en me tenant par les hanches qu’il m’a besogné pendant un long moment, j’ai ressenti alors au plus profond de moi comme un éclair, un flash qui me faisais me sentir en harmonie avec mon corps et ma tête et surtout le fait d’être vêtu de la sorte, je n’en éprouvais aucune gêne ni aucune honte car j’étais bien, ce n’est qu’après une vingtaine de minutes qu’il a de nouveau répandu en moi une nouvelle rasade de sperme, je me suis levé dans un état de bien-être totalement fou mais il était temps que je reprenne une allure de jeune garçon pour ne pas me faire surprendre, car je comptais bien renouveler un moment comme celui ci, Denis m’a vu sortir de la chambre de mes parents après avoir rangé les affaires avec regret car sa queue étais toujours aussi raide et quant je suis passé près de lui il m’a attrapé par la tête pour que je le suce, c’est comme ça aussi que je me suis retrouvé pour la première fois à genoux devant lui entre ses jambes car habituellement nous étions allongé sur le lit et j’ai adoré cette position, chose que j’ai faite avec plaisir jusqu’à en extraire son jus qu’il a déversé en râlant comme une bête. Dés que nous en avions l’occasion je me présentais à Denis en femme et il m’honorais plusieurs fois de suite, en général je lui faisait une pipe car j’aime de plus en plus le sperme et comme ça il durait bien plus longtemps quand ensuite il me prenait, au fil des mois je ne pensais plus qu’en fille, j’attendais avec impatience ces moments ou Denis me traitait en femme, je m’étais constitué une petite garde robe que je récupèrerais dans des containers et que je rangeais dans la cave à Denis qu’il avais aménagé pour recevoir nos ébats, avec un lit et une commode surmonté d’un miroir, j’avais maintenant quinze ans et c’est dans cette cave qu’un jour après m’avoir donné rdv en me demandant de l’attendre vêtue comme une pute qu’il est arrivé avec un copain à lui, je ne savais pas ou me mettre car il ne m’étais jamais venu à l’esprit un jour de faire profiter de mes charmes à une autre personne que mon amant de coeur et de cul qui m’avais révélé, mais comme je lui étais plutôt soumise j’ai accepté ce qu’il me faisait faire, il m’a présenté comme étant une excellente suceuse gourmande de sperme et surtout d’avoir un cul trés accueillant, doux et chaud, je me souviens encore de ses paroles "quant tu est dans son cul c’est du velours " j’avais honte d’être décrite de cette façon et en même temps j’étais trés excitée d’être présentée comme une marchandise, pour accueillir mon amant j’avais mis des bas résille noir, un porte-jarretelles, une mini-jupe trés courte et un petit top moulant découvrant le ventre et une épaule ainsi que des chaussures à hauts talons, j’avais depuis peu de temps appris à me maquiller et mes cheveux que je laissais pousser me faisait paraître assez féminine et j’attendais avec impatience le jour ou je pourrais m’offrir une perruque, mais pour l’instant j’avais en face de moi deux hommes venus pour profiter de mes charmes, Jacques puisque tel est son prénom se présenta devant moi en débouclant sa ceinture, Denis m’a demandé de l’aider à baisser son pantalon ce que j’ai fait en tremblant, une fois en caleçon j’avais devant les yeux une bosse énorme prouvant l’excitation que je faisais ressentir, j’étais fière de voir que c’est moi un jeune homme enfin presque qui excitait un mec, mais c’est surtout quand je me suis retrouvée face à ce sexe que j’ai réalisé que celui de Denis que je pensais très gros a finalement paru moyen, celui là étais bien plus long et bien plus gros mais surtout il avait un gland très gros par rapport à la hampe, je me suis jeté dessus car j’étais devenue gourmande et accrocs à la queue, de plus comme c’était une nouvelle queue j’en ai profité, ma bouche avais du mal à contenir le gland alors j’ai joué avec ma langue tout autour tandis que mes mains courais sur la colonne de chair bien raide et sur les couilles gonflées, du coin de l’oeil je voyais Denis qui se masturbais lentement en nous observant, ça avais l’air de lui plaire de me voir faire du bien à son copain et comme je voulais lui faire honneur, je m’appliquais à faire de cette pipe un moment inoubliable pour Jacques, ce qui devais se passer à entendre les gémissements et les encouragements qui sortais de sa bouche, je l’ai sucé un bon moment avant de recevoir au fond de la bouche une quantité impressionnante de sperme que j’ai avalé au fur et à mesure, j’étais toujours à genoux les yeux plein de reconnaissance levés vers lui qui étais resté debout, mon amant a pris sa place excité par ma prestation pour le remplacer dans ma bouche qui avais encore le goût du jus de l’autre, il a déversé aussitôt sa crème sans que j’ai eue le temps de le sucer un peu, de son coté Jacques entretenais la raideur de son sexe d’une main en se masturbant lentement puis il a posé son autre main sur ma cuisse, me caressant sur le bas en remontant à la lisière de celui-ci pour atteindre la chair nue avant d’arriver à mes fesses qu’il a dénudé en remontant ma jupe sur mes reins, ses doigts se sont égarés dans le sillon profond de ma raie, ce qui m’a fait me cambrer pour mieux m’offrir, ouvrant la vallée de mes fesses pour découvrir mon petit trou offert, ce geste ne lui a pas échappé car il s’est mit à genoux derrière moi avant de m’attirer a lui pour mettre en contact sa queue au centre de ma rosette, quant il a poussé pour me pénétrer, je n’ai pas pus crier de douleur car j’avais la bite de Denis au fond de la gorge, mais j’ai ressenti le passage du gland avec une grande douleur du fait de sa grosseur, après ça allais beaucoup mieux car mon anus s’est resserré pour épousé la hampe mais une nouvelle douleur m’a atteint quant sa queue a touché le fond de mon cul, il faisais de grand aller retour à un rythme rapide, tous les deux me pistonnais avec ardeurs jusqu’au moment ou il se sont raidis en même temps pour se vider en de longues giclées que j’ai reçue avec soulagement, apaisant la brûlure de mon cul mais ils ne se sont pas arrêtés pour autant, ils avais décidé de poursuivre leurs actions mais là son copain me tirais par les hanches puis me repoussais sur la queue de mon amant m’empalant tantôt la bouche tantôt le cul, après une quinzaine de minute ils ont changés de place j’ai sentie un grand vide quant Jacques est sorti de moi, mais il a tôt fait de me remplir la bouche avec son énorme gland ce qui est dommage car je ne pouvais pas faire coulisser sa queue dans ma bouche mais seulement sucer le bout, ce qui ne l’a pas empêché de me remplir une nouvelle fois la bouche de son jus avec toujours autant de force dans la puissance des jets et de la quantité de sperme dont je me suis régalée, Denis aussi m’a expédié dans les reins une décharge de foutre bien chaud, ils m’ont laissé seule ainsi après s’être rhabillés dans un état de bien-être que seul une séance comme celle-ci pouvais me mettre, j’émergeais lentement et en profitais pour me remaquiller un peu car Denis ne m’avais pas dit de bouger, après ce qu’il venais de se passer, je m’attendais à une autre surprise, je ne m’étais pas trompée car il arriva quelques minutes plus tard accompagné d’un autre copain à lui, cette fois ci il me laissa seule je dus sucer un peu puis me mettre en position de levrette pour me faire prendre par derrière, il avais un sexe normal, me remplissant juste ce qu’il fallait ni trop long ni trop court à chaque coup de boutoir je sentais les poils de son pubis me caresser les fesses sans me faire mal au fond du ventre comme avec Jacques j’ai joui en même temps que lui alors qu’il se vidait entre mes fesses, il est parti sans un mot me laissant dans cette position que je n’ai pas eue le temps de quitter car aussitôt j’ai été reprise par un homme que je n’avais pas entendu rentrer dans la pièce, je ne savais pas si c’était Denis ou une autre personne car pas une parole n’a été dite, là encore le sexe de l’inconnu a pris possession de mon cul me ramonant en profondeur jusqu’à me remplir d’une nouvelle rasade de sperme, là aussi après sa jouissance le type est sorti de la cave remplacé par un autre entre mes fesses mais aussi par un deuxième gars qui vint se faire sucer, tous les deux alternaient les coups de queues, les sensations étaient formidables de me faire prendre ainsi, je jouissais du cul sans me toucher, jamais je n’aurai pu penser que de se faire enculer à la chaîne puisse être aussi agréable, après quelques minutes deux rasades de sperme sont venues augmenter ce que j’avais déjà reçu et les deux gars sont sortis pour être aussitôt remplacé par deux autres, cela a duré un long moment sans interruption avec à chaque fois deux hommes pour m’honorer, certains alternais entre mon cul et ma bouche et quand Denis est venu me rejoindre j’étais allongée à plat ventre les jambes écartées et l’anus ouvert dégorgeant de foutre, j’ai eue du mal à me relever et quand je me suis vue dans le miroir, j’étais recouverte de trace de foutre, sur mes bas, sur le haut de ma robe, dans mes cheveux, mon visage était dégoulinant, j’ai voulu m’essuyer mais mon homme m’en a empêché en me disant "tu est trés belle ma chérie je suis fière de toi, c’est comme ça que je te veux tout le temps, toujours aussi salope, voila pour te récompenser", et la il tendis la main vers moi, machinalement j’ai tendus la mienne et il déposa une liasse de billet de dix euros, autant de billets que de mecs qui me sont passés dessus, puis il me dit " voila toi qui voulais t’offrir une perruque, avec ça tu pourras te payer bien plus que ça ", je n’en revenais pas il m’avait fait faire la pute, j’étais en colère après lui mais quelque part je ne lui en voulais pas car j’avais pris un pied d’enfer, jamais je n’avais autant joui, mais également d’avoir vu qu’il y avait des bites bien plus grosses que la sienne, en pensant surtout à celle de Jacques, je me surpris à me demander si j’aurais l’occasion de le revoir, un ange a du m’entendre car il est arrivé dans la cave alors que je venais de rangé le fruit de mon labeur, quand il m’a vu il a fait " wouhaaaa, je vois que tu ne t’es pas ennuyée pendant trois heures, tu t’est bien faite baiser? ", comme une salope en chaleur je tourne mes fesses vers lui en repondant " non j’ai un trou qui n’est pas bouché " étonnée de mon audace devant mon amant, et comme je l’espèrais il a sorti sa queue déjà bien raide, je me suis jeté dessus la prenant en bouche le plus loin possible puis passant ma langue autour de son gland pour bien le faire bander, de ma main je caressais ses grosses couilles, je ne sais pas si Denis c’est apperçu de mon empressement à m’occuper de son copain, mais lui ne semblait pas insenssible à mes charmes, je le sentais à ses gestes puis à ses paroles " vas-y ma p’tite chérie avale bien ma bite, tu va voir comme je vais te faire jouir comme jamais tu a pris ton pied, tu pourras plus te passer de ma queue ", il ne savait pas si bien dire car sa queue au fond de ma bouche me comblais deja au de-la de mes espérances, de mes désirs et je me demandais encore une fois si je pouvais le voir plus souvent et même avoir une aventure plus serieuse avec lui, mais pour l’instant j’avais la bouche pleine de son gland et à force de le sucoter il a fini par déverser au fond de ma gorge une grosse quantité de sperme que j’ai pris plaisir à faire tourner dans ma bouche avec ma langue puis de bien regarder Jacques dans les yeux tout en avalant à petite gorgée, sans une parole je me suis tournée pour lui présenter mon cul à genoux le visage posé sur le lit et mes mains eccartant mes fesses dans une offrande total de mon corps.

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