Jacques m’avait permis de faire de nouveaux fantasmes…je ne me retournais pas sur chaque homme que je croisais dans la rue, loin de là, mais baiser avec certains mecs un peu matures, ou un mec un peu efféminé pourrait bien m’exciter… Ceci étant dit, mon amant actuel me rendait toujours aussi dingue. Mon envie de coucher avec lui ne se tarissait jamais, et à une fascination intellectuelle que j’éprouvais pour lui s’était très vite doublée d’une attraction physique, d’autant plus que la perversité de cet homme ne faisait que m’attirer encore plus. Chaque fois que nous nous voyions, cette perversité grandissait…

La dernière fois, après que nous nous soyons embrassés longuement nus, juste vêtus de culottes tirées de son stock (j’avais une ravissante culotte rose pâle, presque enfantine, avec des dessins de fruits rouges…"Oh oui Jacques, croques-moi mes petites cerises"…, lui avait une élégante culotte sombre mais légèrement transparente, avec une ouverture en forme de fente sur le derrière, qui laissait voir ses fesses..). Après que j’aie léché son cul velu, tentant de lui faire ressentir les douces sensations qu’il m’avait fait donner avec sa langue dans mon anus, il sortit de son armoire (décidément !) un beau gode en plastique bleu. J’étais ébahi devant l’appareil, et Jacques s’en amusa :

"Alors beau gosse, tu n’aimes pas mon petit accessoire?"

"Euh, disons que je ne vois pas à quoi va te servir une autre bite, j’aime déjà beaucoup la tienne…"

"Tu es tellement mignon, c’est chou…" dit-il en m’embrassant, sa langue cherchant la compagnie de la mienne, ma bouche ouverte et collée à ses lèvres…

"Maintenant mon mignon, tu vas me laisser t’attacher" et il sortit aussitôt une paire de menottes, qu’il noua avec de la ficelle pour me laisser les mains attachées dans le dos (il faudra vraiment que je fouille cette armoire…), puis attacha son gode à une chaise. Autant dire que je savais ce qui m’attendait, et je bandais sec… Tout en m’embrassant et me caressant, il me fit doucement asseoir sur le gode, toujours les mains dans le dos. La sensation était complètement différente de la bite de mon homme, c’était…vraiment spécial, le plastique lubrifié dans mon cul me faisait encore plus sentir sale, j’étais encore plus sa chose, et j’aimais toujours autant ça…

Alors que je m’habituais à cette pénétration, Jacques se jeta sur ma queue qui n’attendait que ça, avalant le gland tout rond et pinçant mes tétons dès qu’il n’eût plus besoin de ses mains. Je compris mon rôle et je commençai à pousser sur mes jambes pour que mes fesses fassent des allers-retours sur son gode qui me remplissait…cela était au début difficile, mais Jacques réussit à synchroniser ses mouvements de bouche sur mes mouvements de hanche et l’extase me prit entièrement…Plus j’arrivais à m’enfoncer le gode dans le cul, plus je ressentais le besoin de me le mettre plus profondément et plus rapidement, tandis que Jacques se régalait avec mon membre… Avant que ne jouisse, Jacques se releva, me donna des coups sur le visage avec son chibre bien dur :

"Tu es tellement bandant comme ça, avec ton cul sur mon gode…tu es bien ma salope, tu mérites une petite bifle…maintenant tu vas me sucer esclave…

"J’aime quand tu m’appelles salope…"

Je lui suçai allègrement la bite, en faisant régulièrement quelques allers-retours, ses deux mains accompagnant mes mouvements en plaquant ma tête vers sa bite. Il se masturba ensuite en me regardant m’empaler sur le gode, cette fois je me lâchai, je voulais prendre cher et fis de mon mieux pour que le gode me pénètre. Jacques jouit en éjaculant directement sur moi, et je jouis après… Il me détacha et nous finîmes ensuite sur le lit, s’embrassant et se pelotant.

"Mmm j’ai bien aimé ton plan gode, j’avais l’impression que deux hommes s’occupaient de moi"

"Tu sais mon minet, si deux hommes ça te branche…."

Je l’embrassai avec passion avant qu’il ne put finir sa phrase.

 !!!! Instant quasi scato, âmes sensibles s’abstenir ^^ !!!

Après une période de calme, faite de baisers, de discussion sur la géopolitique et d’allusions coquines, Jacques se leva pour aller pisser, nous avions en effet bu quelques bières. Et là, je ne sais ce qui me prit, mais je fis la chose la plus impensable pour moi quelques jours auparavant : alors qu’il se dirigeait vers les toilettes, je me mis à genoux et susurrai : "Jacques, attends, tu n’as pas besoin de toilettes…" et fourrai sa pine dans ma bouche. D’abord ébahi, mon homme éclata de rire :

"Mon petit cochon, tu veux jouer à ça…je vais finir par croire que tu es encore plus pervers que moi ! Avant de pisser dans mon urinoir favori, je vais te rouler une pelle d’abord…"

Ce qu’il fit, avant de conclure par :

"Parce qu’après, ta bouche aura une belle odeur de pisse ma salope".

Je me plongeai dans un état d’excitation intense, je voulais très vite reprendre sa bite en bouche et j’avais follement envie de goûter son urine autant que j’avais aimé me prendre sa bite dans mon petit cul… Tout contre moi, il me mit en position assise, adossé au lit, et enfourna sa queue dans ma bouche…Ainsi placé je pouvais lui masser lentement les fesses… Détendu, il commença alors à pisser. Le goût était salement amer au début mais par peur de le décevoir, je me mis à avaler son urine sans laisser une goutte déborder, tellement je prenais goût à son fluide ; au final je me cramponnais à ses fesses, aspirant sa bite pour avaler le plus possible sa bonne urine De quelle manière allais-je encore me dépraver avec cet homme, qui affichait un sourire d’excitation mêlé d’une certaine admiration?

"Antoine, mon minet, tu mexcites tellement…j’ai une autre idée, on va encore bien s’amuser tous les deux".

Nous avons chacun attendu une envie de chier, je remis ma culotte rose et me pose sur les cabinets. Lui aussi remit sa culotte noire, et quand vint le moment, je chiai directement dans ma culotte…Jacques se mit à genoux, se plaça en dessous mes fesses et commença à les embrasser, en étalant la merde sous la culotte.

"Tu dois te sentir un peu sale mon minet, mais je vais arranger ça"…Il devenait fou à son tour, nous nous sommes mis dans la douche, il enleva ma culotte pleine de mes crottes et il entreprit de me lécher le cul, j’étais appuyé contre la paroi, fesses en avant et lui me bouffait le cul malgré la merde…et le pire, c’est que c’était toujours aussi bon…

"Tu as une langue tellement puissante mon homme c’est tellement agréable"

"Attends un peu salope, reste bien les fesses cambrées, avec ta merde pas besoin de lubrifiant"

Pour mon plus grand plaisir, Jacques m’encula sans capote, c’était tellement sauvage, il y allait tellement violemment que des pans de merde sautaient à chaque mouvement, j’étais en transe et je bougeai mon bassin pour compresser sa bite entre mes fesses et savourer un peu plus son chibre couvert de ma merde qui me fourrait tellement bien, toutes ces fois passées à me faire enculer et notre expérience scato faisaient que sa bite glissait parfaitement dans mon anus, mes fesses claquaient… Puis il se retira et me fit faire une fellation, j’avalai sans hésiter la bite couverte de merde qui m’avait fait jouir, et je savourai l’acte aussi bien que lui avait savouré chaque centimètre de mes fesses… La soirée se finit dans la douche, enlacés et excités par l’eau qui ruisselait sur le corps de chacun…

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