La journée de Julie s’achève sur une note sucrée salée, elle parvient enfin à provoquer Hector et à l’allumer, mais ce dernier ne mord pas totalement à l’hameçon. Il lui passe bien une ou deux fois la main au cul, mais c’est Julie qui doit s’absenter aux toilettes, pour soulager sa chatte en chaleur trempée de mouille. Elle parvient tout de même à partager un moment d’intimité avec sa meilleure amie, mais doit assister au spectacle de sa mère s’empalant sur le pieu de chair d’Hector. Quelle désillusion, sa mère trompe son mari avec Hector, et ce dernier ne veut même pas d’elle! Heureusement, la petite trouve un peu de réconfort dans les bras d’Aurélie avant de s’endormir, exténuée, d’un profond sommeil, se demandant à quoi pouvait ressembler le sexshop qu’elles ont prévu de visiter le lendemain.
La nuit de Julie est peuplée de rêves pornos, après tout ce qu’elle a vécu la veille, elle rêve de bites, de sperme, de grosses queues qui lui débourrent tous les trous. Elle a même l’étrange impression de sentir des odeurs de foutre. Encore à moitié dans les vapes, elle perçoit des petits flashs de lumière, elle sent bien que quelque chose de chaud et de mou gesticule à l’entrée de sa bouche. Comme si un petit animal essayait de trouver refuge entre ses lèvres. Elle se réveille doucement, tentant de ne pas bouger pour ne pas faire fuir la bête. Ses sens aussi s’éveillent, elle perçoit très nettement cette fois les odeurs d’urine, de sperme et de mouille mélangées. Son ouïe s’affine, elle perçoit des chuchotements "Tu la voulais mais queue, hein? Espèce de petite chienne!", "Tiens bouffe ça! Petite trainée en chaleur!". Elle ose à peine entre-ouvrir les yeux. Elle sent bien la grosse masse qui gesticule au-dessus d’elle.
C’est Hector qui est penché au-dessus de son lit, le gland à l’orée de ses lèvres ouvertes et chaudes. Il se filme en train de se branler dans la bouche de la petite encore endormie. Julie se sent toute excitée, un homme est entré dans sa chambre et veux se vider les couilles dans sa bouche. Elle sent sa chatte mouiller, elle voudrait le lécher, le branler, le sucer, l’aspirer goulument, mais elle aime l’idée de ce vieux porc qui profite de sa bouche innocente dans son sommeil. Alors elle ne bouge pas, elle ferme les lèvres de temps en temps, très subtilement, comme si elle suçait quelque chose dans ses rêves.
Ça excite encore plus Hector, qui rajoute, toujours chuchotant : "C’est ça p’tite pute! Même dans tes rêves tu suces des queues!". Le moment que tous deux attendent arrive, elle sent le gland gonfler contre ses lèvres, la respiration du vieux cochon s’accélère. Ça y est, il crache son foutre dans la bouche magnifique, lui tapisse l’intérieur de la joue de cinq, non six bonnes giclées. Une dernière petite goutte, qu’il lui dépose doucement, délicatement, sur la lèvre inférieure. Il coupe l’enregistrement, range son engin et sort sans bruit de la chambre où dorment les deux gamines.
Julie n’en revient pas, elle est encore un peu endormie, mais réalise très bien ce qui vient de se passer. Elle a la bouche pleine de foutre tout frais. Elle pourrait l’avaler ni vu ni connu, mais il lui vient une idée. Elle sait que son amie Aurélie aime bien baiser le matin, elle aime bien se faire dorloter, même par Julie, et avec l’expérience sur le net d’hier soir, Julie en est sûr, sa cadette ne refusera pas un bon gros baiser de sa Juju. Elle se tourne alors vers Aurélie, la bouche fermée pleine de foutre.
Elle commence à l’enlacer, la caresser, elle passe une main dans ses magnifiques cheveux bouclés. Aurélie réagit aussitôt, elle se tourne vers Julie, les yeux fermés, un grand sourire sur les lèvres, et l’enlace à son tour. Elles croisent leurs jambes, frottent leurs pubis sur la cuisse de l’autre. Elles commencent à s’embrasser, couchées ainsi sur le côté. Julie sent le sperme gluant glisser sur sa langue pour se caler dans l’autre joue, elle ouvre la bouche et enfonce sa langue dans la bouche de son amie. Les deux langues se croisent, s’entortillent, Aurélie goutte le sperme déposé sur la langue de sa copine. Julie tourne un peu sur elle, prend appui sur son bras droit et surplombe doucement, tendrement, Aurélie.
Julie sent le sperme glisser doucement le long de sa joue, approcher de la commissure de ses lèvres, s’agglutiner sur sa langue, et s’insinuer tout aussi lentement dans la bouche de sa copine. Aurélie, d’abord un peu surprise de ce contact gluant et chaud sur sa langue, se laisse enivrer par sa copine et l’embrasse avec encore plus de gourmandise. Julie se rallonge et profite pleinement de ce baiser poisseux de sperme qu’elle partage avec sa meilleure amie. Elle passe un bras sous la couette, soulève la nuisette d’Aurélie, et caresse sa petite chatte qui s’humidifie vite à ce doux contact. Enfin, la bouche encore baveuse de sperme, elle passe la tête sous la couette, puis entre les cuisses douces de son amie, se retourne, enjambe le visage de la brunette pour lui offrir son minou, et toutes deux partagent, en 69, un cunnilingus aux odeurs de foutre.
Elle se font jouir mutuellement, en se léchant la vulve et se doigtant la chatte. Aurélie attrape le gode encore caché sous l’oreiller de sa copine, et tout en continuant de la doigter, l’encule avec le sexe factice. Elles éjaculent, quasi simultanément, une bonne dose de cyprine dans la bouche l’une de l’autre et s’effondrent sous la jouissance. Toute essoufflée, Julie rejoint Aurélie sur son oreiller, elles s’embrassent une nouvelle fois puis, toujours enlacées, s’endorment heureuses d’avoir partagé ce moment.
Il est neuf heures passées lorsque les deux amies émergent de leur sommeil, elles se rendent à la salle de bain et partagent la même douche. Elles se savonnent mutuellement, font disparaître les odeurs de sexe, s’essuient, se font belles et reviennent nues dans la chambre de Julie. Elles doivent se préparer pour sortir, elles sont toutes excitées à l’idée d’entrer dans un sexshop. Julie fouille ses fringues et son sac, elle cherche quelque chose, ce qui intrigue un peu Aurélie.
-Qu’est-ce que tu cherches ma vieille?
-Il faut absolument que j’te fasse essayer quelque chose! () Ah ça y est.
Julie sort un papier plié, l’ouvre et les deux gamines déscendent nues au rez de chaussée. Le papier en main, Julie fouille dans les affaires de sa mère et sort d’un placard une grosse seringue de lavement anal et un petit flacon pharmaceutique.
-Mais qu’est-ce que tu fais Juju?
-C’est le vieux qui m’a enculé hier qui m’a filé une de ses recettes. Avec ça, ton p’tit trou va bien se détendre et on sera prêtes et bien propres.
-Mais t’es dingue toi, je suis pas prête à m’faire enculer!
-Mais laisse moi au moins te nettoyer la pastille, tu verras c’est vraiment pas mal. Et pis même si tu t’fais pas enculer, je pourrai au moins lécher ton p’tit trou! Tu verras, tu m’en diras des nouvelles.
Aurélie se laisse ainsi convaincre à tester la concoction de Jeannot. Julie fait chauffer un gros saladier de lait, puis mélange tous les ingrédients pour recomposer la recette. Les jeunes filles terminent la concoction en la parfumant au caramel au lieu de la vanille utilisée chez Marco. Les deux gamines vont se vider avant de retourner à la salle de bain se purger l’anus dans le bidet.
-J’me suis toujours demandée à quoi ça pouvait bien servir ce truc!
-Allez ma grosse, tend moi ton p’tit cul en arrière que j’te le remplisse bien.
Un peu réticente, Aurélie se penche docilement en avant laissant Julie lui nettoyer la pastille. Cette dernière dépose une noix de lubrifiant sur son doigt et commence à doucement caresser l’anus de son amie. Aurélie ne reste pas indifférente à ce traitement et se met à tortiller du cul en rythme avec les carresses de Julie.
-HUM, je vois que tu commences à aprécier ce petit traitement ma vieille.
Un sourire vicieux aux lèvres, Julie fait entrer le bout de son majeur dans l’anus détendu de sa copine et l’initie à la masturbation anale. Elle accélère le va-et-vient à l’orée du petit orifice.
-Ooooooh Juju, oui, continue! C’est bon! Huuuuuum…
Aurélie ferme les yeux, se mord la lèvre inférieure, et commence à jouir sous les caresses de sa copine. Julie retire son doigt et se contente de lui carresser la pastille, elle s’approche de son oreille et lui susurre:
-Alors toujours sûre de refuser une bonne sodomie, ma vieille?
Elle lui roule alors une grosse galoche bien baveuse et recommence à lui branler l’orée de l’anus. Comme pour torturer doucement sa copine, elle met brusquement fin à son petit traitement, attarpe la seringue , la lui plante d’un coup dans son petit trou et la vide d’un trait au fond de ses intestins.
-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAh, ouch, oui! C’est bon Juju!
Julie lui vide une deuxième dose dans le cul. Aurélie, quant à elle, est à mi-chemin entre la jouissance et la douleur. Elle commence à aimer cette sensation de douleur mélangée à la jouissance et à la soumission.
-Allez vas-y ma grosse, tu peux te vider dans le bidet.
Dans un gros "SPLASH" le liquide blanc et brunâtre sort du petit anus à peine défloré, et s’écrase au fond de la cuvette blanche. Julie lui nettoie bien l’anus et se positionne au-dessus du bidet pour se faire son propre lavement.
-Attends ma belle, je vais t’aider. Lui dit Aurélie.
-Non, tu es mignone, mais il faut que j’apprenne à le faire moi-même pour quand je serai dans mon apart’.
Quelques minutes plus tard, un nouveau "SPLASH" de liquide blanc et brun vient s’écraser au fond du bidet. Julie se nettoie elle aussi la pastille puis efface toute trace de leur petit lavement dans la salle de bain. Toujours nue comme un vers, Julie redescend à la cuisine, lave et range les ustensils dont elle vient de se servir, pendant qu’Aurélie ve finir de se préparer pour leur petite virée en ville.
Julie remonte dans sa chambre pour elle aussi se préparer à sortir, elle y rejoint sa copine qui est déjà fin prête, ouvre la porte et peut admirer la beauté incroyable d’Aurélie. Elle porte sa petite robe d’été rouge à points blancs serrée en-haut de la taille, plissée et très évasée en-dessous et s’arrêtant à mi-cuisses. La petite robe très échancrée sur les côtés laisse apparaître les formes de sa généreuse poitrine. De très fines bretelles plaquent le fin tissu contre ses jolis seins faisant apparaître ses tétons en relief. La belle brune, montée sur une paire de baskets à talons aiguille rouges et blanches, est magnifique et très élancée.
Comparée à cette beauté notre petite héroïne ne sait trop quoi porter. Sa tenue d’hier est trop provoquante et dénoterait trop par rapport à Aurélie. Il lui faut trouver quelque chose d’élégant et sexy. Elle se rappelle alors de l’été qu’elle a passé sur la côte d’azur, c’est à cette époque que sa mère s’était achetée une petite robe de plage qu’elle n’avait pas osé porter. Et pour cause, c’est une petite robe jaune sans bretelles, au tissu très fin, qui se porte sur un maillot de bain. Elle n’est tenu en place que par un bandeau plissé élastique au niveau de la poitrine.
Julie fonce alors toujours nue, les seins ballotés par sa course, dans la chambre de sa mère. Elle fouille soigneusement les placards et trouve finalement le coin où sa mère range les affaires qu’elle ne porte pas ou peu. Il ne lui faut que quelques minutes pour trouver son bonheur. Toute excitée, elle l’enfile à même la peau et n’en revient pas de la douceur de ce tissu. Un petit regard dans le miroir elle comprend tout de suite pourquoi sa mère ne l’a jamais portée. En effet, le bandeau bien que plissé est quasi transparent et fait apparaître ses belles aréoles gonflées, et le bas de la robe bien droit et légérement plissé arrive à peine à une dizaine de centimètres en dessous des fesses.
Alors qu’elle s’admire devant le grand miroir de sa mère, elle aperçoit Aurélie à l’entrée de la chambre. Elle tourne sur elle-même afin de montrer sa nouvelle tenue sexy à sa copine, le voile très léger se soulève, dévoilant ses jolis atouts:
-Alors, qu’est-ce que t’en dis?
-HUM, on voit bien ton cul et ta chatte avec ça! Tu vas en faire tourner des têtes. Ponctuant sa phrase d’un petit clin d’oeil.
Julie est conquise, elle va sortir avec cette robe et sans sous-vêtements, histoire d’allumer un max. Mais elle ne veut pas trop dénoter par rapport à l’élégante beauté d’Aurélie. Depuis la veille elle aime en effet faire la chienne en public, mais aujourd’hui elle préfère atténuer l’effet salope. Elle retourne dans sa chambre, notant au passage que ses seins oscillent toujours trés librement dans le doux carcan de tissu. Fouillant dans ses vielles affaires, elle retrouve un petit ras le cou blanc qu’elle associe avec une petite paire de baskets blanches elles aussi. Elle parfait son apparence enfantine et innocente par un très léger maquillage et une paire de couettes. Elle se retourne vivement vers sa copine, sent la robe se soulever, dévoilant de nouveau son intimité:
-Alors Lilie, qu’est-ce que t’en penses? Pas mal non?
-Oui c’est pas mal ce côté salope mais pas trop. J’adore! Mais je ne pourrai pas sortir sans mon string comme tu le fais.
-Hum, c’est dommage, j’aurais bien aimer te vsaoir sans. T’imaginer à poil sous ta robe m’aurait pas mal excitée!
Elles attrapent toutes les deux un petit sac histoire de pouvoir prendre un peu de monnaie, leur phone et présenter une pièce d’identité si besoin. Elles se précipitent ensuite en bas des escaliers, et sortent enfin à l’air libre pour se diriger vers le centre ville. Julie propose à Aurélie d’y aller à pied histoire d’allumer un max de gars sur la route. Qui sait? Elle seront peut-être chanceuses.
C’est ainsi que les deux copines se rendent à pied dans la petite rue où elles éspèrent trouver le sexshop et peut-être s’initier au glory hole qui les a bien chauffées la veille. Aurélie perchée sur ses talons tortille bien du cul et la légère brise de ce matin d’été lui donne de petits frissons qui font durcir et pointer ses petits tétons. Quant à Julie, cette même brise soulève légérement le fin voile de sa petite robe et sa douce carresse frôle son pubis. Ajoutez à ça le balancement de ses grosses mamelles dans le fin voile du bandeau élastique et il ne faut que quelques minutes pour que ses gros tétons dévoilent leur fermeté. Pour peu, elle commencerait presque à mouiller.
Malheureusement, en ce matin d’été, les rues menant au centre ville sont presque désertes. Dans une petite rue avant d’arriver en ville, elles aperçoivent à quelques mètres devant elles deux employés de la voirie en train de nettoyer les rues et vider les poubelles. Les deux ouvriers, un grand black d’une trentaine d’années et un petit portugais poilu et gras du bide, sifflent les deux petites et les interpellent:
-Alors les p’tites chiennes, on sort le minou de sa cage?
-Oauis, bande de p’tites salopes, vous voulez bouffer du bon boudin noir?
Julie souffle à l’oreille de sa copine, "Lilie, ça te tente de les chauffer un peu?", et Aurélie de lui répondre "Je sais pas! J’ai jamais fait ça moi." Julie prend alors les choses en main, elle attrape sa copine par le bras, et ne se démontant pas, s’arrête devant les deux mecs et leurs lance un de ses regards plein d’envie:
-Alors comme ça vous pensez pouvoir contenter deux belles pouliches comme nous?
Elle lâche le bras d’Aurélie, s’approche du protugais, lui tourne autour langoureusement, comme elle l’a déjà vu faire sur les sites de son père, lui carresse d’un doigt son épaule velule humide de sueur. De sa main gauche, elle commence à lui caresser la bosse de son entre-jambe et lui susurre à l’oreille:
-Tu veux qu’on te fasse du bien mon gros?
Elle lui mordille le lobe de l’oreille puis colle ses belles lèvres puleuses sur la petite bouche de l’ouvrier. Un peu désarçonné, le gros protugais ne répond pas de suite et laisse la petite lui rouler un patin. Il la laisse ensuite glisser son doigt le long de son bras et lui guider la main sous les plis de sa robe. Au contact de ses gros doigts ruguex sur la peau douce du petit cul musclé, l’ouvrier se ressaisit et attrape à pleine main le lobe fessier que la petite lui offre.
Aurélie, s’est elle aussi laissée entrainer par sa copine, et se charge de chauffer le grand black. D’abord un peu plus timide que sa copine, elle prend vite le pli et, s’approchant du torse musclé du trentenaire, elle le provoque à son tour:
-Alors comme ça tu nous proposes un menu spécial?
Plus grand qu’elle d’une bonne tête et demi, il se prend au jeu, et lui attrape le visage pour l’embrasser sur la bouche. En quelques instants, il force les lèvres de la belle de sa langue et lui roule une belle galoche bien baveuse. Tout d’abord surprise, Aurélie se laisse faire et lui retourne son baiser fougueux. A l’instar de son collègue, l’ouvrier passe ses mains sous la robe de la petite brune et commence à lui malaxer ses belles fesses. Il approche son doigt de petit triangle de tissu qui protège si peu sa chatte, et le glisse le long de sa fente déjà bien humide.
Toujours en prise avec la bouche de son petit gros, Julie carresse toujours la bosse qui prend de belles proportions sous le tissu du pantalon. Bien excité, il lui attrape les fesses à pleines mains maintenant, les écartent bien et dirige son index à l’orée du petit trou de Julie et commence à lui masturber l’anus. La belle soupir de plaisir en sentant le gros doigt entrer et sortir de son cul, il lance alors à son acolyte:
-Oh putain François, la mienne porte pas de culotte. Regarde comme elle jouit, une vrai chienne en chaleur.
François qui avait passé son doigt sous le tissu du string pour l’enfoncer dans la chatte humide et bien ouverte de la petite, abandonne lui aussi la belle bouche pour proposer à son pote de les emmener à l’arrière du camion.
-Bonne idée, on sera plus tranquille. Leur lance Julie, entre deux soupirs de plaisir, avec un petit air de défi dans le regard.
Les deux ouvriers retirent leurs doigts de leurs trous respectifs, et entrainent les deux gamines à l’arrière de leur fourgon au milieu des outils. François referme la porte derrière lui et les deux hommmes s’assoient sur une pile de sacs de terreau. Julie s’accroupit, les jambes bien écartées devant son gros portugais, ouvre la braguette de son pantalon et libère le gros sexe de son caleçon. Elle prend la belle bite encore un peu molle de la main gauche et en admire le beau diamètre. Elle la branle alors avec douceur approche sa belle bouche du gland à moitié découvert et l’aspire dans un gros bruit de succion.
-Aaaaaaah, la garce, quelle chienne, elle suce comme une pro. Vas-y p’tite pute suce moi bien à fond!
La petite s’exécute et aspire la queue jusqu’à la garde, le nez plongé dans les poils pubiens. Elle sent la grosse queue grandir et durcir dans sa bouche jusqu’à ce que le gland lui titille la luette. La salive abonde dans sa bouche, et de sa main libre, elle entreprend de se branler la chatte tout en lui pompant le dard bien lubrifié entre ses lèvres et les doigts serrés en anneau autour du vit de chair. Aurélie observe la grosse queue luisante de bave apparaître et disparaître dans la bouche de son amie.
-Eh petite, faudrait p’têtre pas traîner, à ce train là ta copine aura fini avant qu’t’aies commencé.
Tirée de ses songes par la voix du black, à genou devant François, Aurélie s’occupe alors de son amant du moment et s’attaque elle aussi à faire sortir le loup de sa tanière. Et quel loup, c’est la première fois qu’elle se tape un black, et elle découvre à quel point la légende est proche de la réalité. Elle dégage une grosse bite bien longue et bien dure qu’elle prend dans sa main droite alors que la gauche dégage une paire d’énormes boules poilues. Carressant doucement la paire de bourses, et branlant le mandrin de chair elle aussi en aspire le gland bien dégagé.
-Oh oui, ça c’est de la chienne de premier ordre José! Attend p’tite pute, j’vais t’en donner pour ton compte.
Alors qu’elle lui branle la queue en essayant de l’avaler le plus loin possible, François empoigne le visage de sa chienne et se lève, la forçant à lever la tête et ainsi bien ouvrir sa gorge. C’est que François est habitué aux chiennes blanches qui ont du mal à lui faire des gorges profondes, et il sait exactement comment les positionner pour bien profiter d’une bonne pipe.
La bite bien enfoncée dans sa bouche, Aurélie suit docilement le mouvement imposer par le grand black. Elle sent la grande et grosse queue passer le fond de sa bouche, le gland s’enfoncer dans sa gorge. Elle lutte un peu contre l’envie de vomir, et sent à son tour la salive abonder dans sa bouche déjà bien pleine du gros chibre de François.
-Aaaaaah ça y est, tu vois ma belle? Tu l’as bien avalée à fond ma grosse queue!
François se retire lentement de la gorge de la petite brune et ressort intégralement de sa bouche, un énorme filet de bave relliant son gland à la belle bouche. Aurélie tente de reprendre son souffle, mais l’ouvrier repart directement à l’assaut de cette bouche offerte. Une fois à nouveau bien câlé au fond de la gorge de la belle brune, il se met à la pistonner avec ardeur. Aurélie subit les coups de bite de son bourreau dans une série de "GAH GAH GAH" bien humides, reprenant briévement son souffle entre chaque coup de queue.
Bien que totalement soumise aux assauts de son amant, elle commence à aimer cette position humiliante. De sa main gauche elle libère un sein et se titille le téton, et de sa main droite, elle écarte le petit triangle de tissu de son string et se branle le clitoris déjà bien gonflé par le plaisir. Elle ne met pas longtemps avant de se carresser la fente, et y insérer un, puis deux doigts. Elle se branle alors la chatte en rythme avec les coups de queue qui lui burrine la gorge.
Aurélie se fait défoncer la bouche par le gros barreau de chair, pendant que Julie astique son portugais avec ardeur. Les deux gamines aspirent chacune à leur manière ces belles bites dans une symphonie de gargouillis et de bruits de mouille. Il ne faut pas longtemps à nos deux ouvriers pour sentir la sève monter. C’est Julie qui détecte en premier les premières pulsations annonçant l’éjaculation de son mâle. Elle ouvre grand la bouche, tire sa langue en entonnoir à la base du gros gland gonflé de sang, et branle la grosse queue lubrifiée de bave qui éjacule six grosses giclées de foutre dans sa bouche.
François lui aussi est sur le point d’exploser, il retire la grosse bite de la bouche d’Aurélie, et alors que la petite continue à s’astiquer la chatte la tête levée et la bouche grande ouverte, il branle son gros gland bien lubrifié et crache à son tour sept bonnes giclées de foutre chaud et gluant dans la bouche de la belle brune.
D’instinct les deux gamines gardent la pose la bouche grande ouverte et pleine de jute. Les deux ouvriers sortent leur phone est commencent à filmer la scène. Julie et Aurélie se tournent l’une vers l’autre et s’embrassent à pleine bouche, mélangeant le sperme de leurs langues entrecroisées. Elles déglutissent en même temps leur dose respective de foutre, retire les doigts de leurs chattes dégoulinantes de mouille et lèchent leur doigts mutuellement. Elles concluent la scéance d’un dernier petit baisé.
-Eh ben dis donc vous êtes de vraies petites salopes. N’hésitez pas à repasser si vous êtes encore en chaleur. Avec François on est tous les jours dans le coin.
Les deux petites les remercient pour la bonne dose de foutre, Aurélie réajuste son string sur sa chatte encore trempée de mouille, et le haut de sa robe sur ses jolis seins aux tétons bien gonflés et bien durs maintenant. Julie, elle, repositionne sa robe et embrasse les deux amants sur la bouche pour les remercier.
Elles redéscendent du fourgon repues de sperme et reprennent leur chemin en direction du sexshop. Les deux employés, quant à eux, sont bien content d’avoir trouvé une paire de gamines en chaleur prêtes à leur vider les couilles pendant les heures de travail. Ils espèrent bien les revoir très vite, c’est sûr ils ne vont pas lâcher ce quartier de si tôt.