Le lendemain, ma femme me fit la remarque que j’étais bizarre, un peu distant. Je lui répondis que j’étais sur un gros dossier au boulot et que j’étais un peu stressé. Elle s’approcha de moi, me fit un massage des épaules et me murmura à l’oreille « Viens dans la chambre, je vais te déstresser ». Je la suivis et c’est avec les photos d’elle et Florence, les baisers et les caresses de Philippe que je lui fis l’amour violemment.

Quelques semaines plus tard, elle m’annonça qu’elle sortait samedi soir avec Florence pour une vente privée qui risquait de se terminer tard. Philippe m’invitait pour une soirée console. Nous ne nous étions pas revus depuis cette drôle de soirée, je n’étais pas très chaud, mais nous avions dit que nous n’en parlions plus. Et puis j’imaginais que la vente privée serait très privée dans une chambre d’hôtel. Alors plutôt que de broyer du noir, autant se perdre dans des jeux vidéo en picolant.

J’arrivais donc chez Philippe avec une bonne bouteille de whisky. Après un apéro copieux et une bonne pizza, nous sommes passés à la console. Ayant gagné la première partie, je lui proposais un nouveau verre avant d’entamer la seconde manche. Et là, à brûle-pourpoint, il m’annonce. :

Les filles vont bien s’amuser ce soir, elles sont au xxxxx. 4 étoiles, elles ne se refusent rien !

Parlons d’autre chose, tu veux bien ? Comment trouves-tu le whisky, il est bon, mais il attaque un peu, non ?

Oui, c’est vrai, mais c’est ton troisième, c’est peut être pour ça. En parlant de s’amuser, si tu vas dans la chambre d’amis, tu te souviens où elle est ? Il y a une surprise pour toi.

Une surprise, en quel honneur ?

Comme ça, pour le plaisir, me répondit-il avec un grand sourire.

Je me levais péniblement et me dirigeais vers la chambre d’amis.

Tu ne viens pas.

Non, je t’attends ici. J’attends de voir si mon cadeau te plaira.

Je me dirigeais donc vers la chambre, un peu intrigué. Dans la chambre, surprise, je trouvais sur le lit une robe, mais pas que, de la lingerie aussi et une perruque et du maquillage. Quel con pensais-je, tout en faisant demi-tour. Prêt à claquer la porte derrière moi, je me ravisais. C’était bon la dernière fois non ? Et nos femmes n’en font-elles pas autant ? Bon, une dernière fois, pour voir. Je pénétrais à nouveau dans la chambre et détaillais les « cadeaux ». Il a bon goût le bougre, ça se rapproche terriblement de mon dernier petit cadeau à Nadège : un ensemble string et sg rouge (satin) et noir (dentelle), un porte-jarretelles assorti, des bas noirs, une robe noire, à bandes blanches sur les cotés qui me semble très courte, des escarpins noirs à talons, une perruque de ma couleur de cheveux, mais coupée carrée aux épaules et du maquillage. OK, allons-y. J’ouvre la porte et annonce : « Je vais prendre une douche, j’en ai pour un petit moment ». « OK, prends ton temps » me répondit-il.

J’imaginais bien son sourire en coin.

Après la douche, je commençais par enfiler le string puis le sg. Il ne s’était pas trompé sur les tailles le bougre. Je mis mes chaussettes dans le sg pour lui donner un peu plus de volume. En me regardant dans la glace ainsi que commençais à bander, je détournais les yeux. Je mis le porte-jarretelles, enfilais les bas et là, l’horreur, comment font les femmes pour les attacher ? Quelle galère ! J’ai bien cru que j’allais péter un câble. Il faudra que je regarde plus attentivement ma femme pour voir comment elle s’y prend. Bon, jusque-là, j’adore la sensation. Un peu trop de poils visible, mais bon, je suis un mec quoi. Passage de la robe. Même galère que pour les bas, comment la fermer ? Nouvelle leçon à prendre. Mais bon, je finis par y arriver. Elle est un peu courte, juste au-dessus de la lisière des bas. Je mets la perruque, un peu de rouge à lèvres, du fond de teint, et surprise, du parfum. J’essaye les escarpins, les talons ne sont pas trop hauts, mais c’est bizarre.

Là encore, taille OK. J’essaye de marcher, ce n’est pas fameux. Mais tant pis, je me lance, je sors de la salle de bain et ondulant et titubant, rejoins le salon.

Il m’attend sur le canapé et se lève à mon arrivée.

Je m’en doutais, cette robe et cette perruque te vont à ravir, tu es superbe.

Merci, c’est pour te faire plaisir tu sais, je me sens toujours aussi ridicule.

Mais non, tu es superbe, je te dis. Tu me fais bander, regarde.

Effectivement, je vois son pantalon déformé par son sexe en érection. Je ne sais toujours pas pourquoi j’ai fait cela, est-ce moi en femme et lui me désirant qui m’a emballé, mais je me suis approché de lui, me suis collé contre lui pour sentir son sexe tendu contre moi et j’ai cherché ses lèvres. Je les ai trouvées et il m’a embrassé, je ne me souvenais pas que c’était si bon. Tandis qu’il m’embrassait, ses mains se sont posées sur mes épaules, ont parcouru mon dos et se sont posées sur mes fesses. Agréable sensation de ne sentir que le voile de la robe entre ses mains et mes fesses. Agréable et excitante. Bien que comprimé par le string, mon sexe s’est tendu et je sentais maintenant nos deux sexes l’un contre l’autre. Quelle sensation ! J’ai ondulé un peu pour mieux le sentir et le frottement fut divin. A tel point que je continuais doucement tandis que je sentais ses mains commencer à bouger sur les fesses, les caressant, les malaxant doucement.

Je commençais à être très chaud et j’avais peur de jouir si ce jeu continuait, je me suis doucement écarté et lui ai demandé s’il aimerait que nous alliions sur le canapé. Il a acquiescé et m’a pris la main pour m’y conduire. Il s’est installé et m’a placé sur ses genoux.

C’est aussi que je me retrouvais sur ses genoux, je sentais son sexe tendu contre ma fesse tandis que nous reprenions nos baisers. Il ne tarda pas à poser une main sur ma cuisse et à commencer à la caresser. Quelle sensation de se faire caresser au travers de bas ! Son autre main qui me caressait le dos descendit et entreprit de me caresser doucement les fesses. C’était divin et très sensuel. Je commençais alors à me laisser aller à lui caresser le torse au travers de sa chemise. Ce qu’il sembla apprécier. Je m’enhardissais et déboutonnais quelques boutons pour passer sous sa chemise que je ne tardais pas à déboutonner entièrement pour être plus libre. Je découvrais son torse, ses tétons tendus, son ventre plat. Découvrir un corps d’homme ainsi était très excitant et je poursuivis mes explorations jusqu’au moment où mon poignet effleura son sexe tendu, ce qui m’électrisa, et lui aussi visiblement, puisqu’il eut un petit frisson. Je recommençais donc la caresse, ce qui eut le même effet.

Sans réfléchir, je descendis alors la main à la découverte de ce membre qui semblait si sensible, et lorsque je le pris en main et commençais quelques mouvements, il eut un grognement de plaisir. Je poursuivis donc mon massage, et bientôt, j’ai envie de plus, de le sentir sous mes doigts. Je déboutonnais donc son pantalon et abaissais sa braguette, je pus ainsi introduire une main dans son boxer et partir à la découverte de son membre qui me semblait avoir grossi. Lorsque mes doigts l’atteignirent et le parcoururent, il eut un râle de plaisir. Je me rendis alors compte qu’il avait arrêté de me caresser tout entier, concentré sur le plaisir que je semblais lui procurer. Je réussis tant bien que mal à libérer son sexe du boxer et il en jaillit comme un diable de sa boîte. Je m’arrachais alors de ses lèvres pour le regarder. Il était beau, fier, tendu, le gland tout luisant et lisse. Il me sembla un peu plus court que le mien, mais plus trapu.

Je regardais ma main le caresser et je trouvais ça très excitant, d’autant qu’il s’était adossé au canapé pour se laisser aller à mes caresses. Et puis j’ai eu une idée folle, j’ai eu envie de le goûter, de le prendre en bouche pour voir s’il était aussi doux sous la langue que sous mes doigts. Je me suis donc laissé glisser de ses genoux et me suis trouvé en face de son sexe érigé. Comprenant mes intentions, il a écarté les jambes et descendu un peu son pantalon et son boxer pour me faciliter la tâche. Sans réfléchir, j’ai commencé à lui donner quelques coups de langue, faire des bisous sur son gland définitivement très lisse. Puis je l’ai découvert sur toute sa longueur du bout de la langue. Plusieurs allées et retours ont été nécessaires.

Finalement, j’ai posé mes lèvres sur le haut de son gland, et tout doucement, je l’ai fait pénétrer dans ma bouche, je l’ai gardé ainsi un petit moment en jouant avec ma langue, puis j’ai commencé de lents va-et-vient tout en l’avalant plus profondément à chaque mouvement. Il gémissait maintenant, je sentais son sexe vibrer à chaque pénétration. J’attrapais la base de sa queue et commençais des mouvements coordonnés à ceux de ma bouche. Je salivais abondamment et la sensation était très agréable. J’adorais cette sensation de pénétration à chaque fois que je l’enfonçais dans ma bouche, et cette sensation d’abandon lorsque je remontais. Ses gémissements lorsque je restais sur son gland que je massais de la langue. Je ne sais pas combien de temps a duré ce massage, mais à un moment, il a posé ses mains sur ma tête et a commencé à onduler du bassin. Entre deux gémissements, j’ai entendu « Elodie, je vais jouir ».

J’ai alors accéléré le mouvement de ma main, et de ma bouche, lui montrant que j’avais compris et que j’étais prêt à le recevoir en bouche. Oui, je voulais le sentir jouir en moi. Ce qu’il ne tarda pas à faire dans un râle de plaisir. Je l’ai senti se contacter dans ma bouche et un liquide chaud et salé se déverser au fond de ma gorge. J’en ai avalé une partie tout en continuant à le sucer qu’à la fin de ses spasmes. Lorsque je l’ai senti rétrécir, je l’ai lâché. En relevant la tête, j’ai vu qu’il me regardait avec un grand sourire de satisfaction. « Eh bien, tu suces divinement, on dirait que tu as fait ça toute ta vie. Si je m’attendais à ça. Ouaou ! Quel pied. ».

Revenant sur terre, je me rendis compte de ce qui venait de se passer et le désarroi et la honte me tombèrent dessus. Si je m’attendais à ce qu’il se passe quelque chose en enfilant ses vêtements, je pensais à une séance de masturbation comme la dernière fois, mais pas à ça. Rouge de honte, je m’enfuis me changer. En revenant, il était toujours sur le canapé, mais rhabillé. « Ecoute Franck … » commença-t-il, mais je l’arrêtais.

Non, toi, écoute-moi. Je ne sais pas ce qui s’est passé et je m’en excuse. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Ce n’est pas moi, ce n’est pas ce que je veux.

En plus, tu m’as appelée Elodie ! ».

Mais j’ai beaucoup aimé et toi aussi à ce qu’il paraissait.

Ce n’était pas moi, j’étais dans un état second, c’est sûrement le whisky. Je ne sais pas, mais c’est trop pour moi.

OK, je comprends. Je n’insiste pas. Merci quand même pour ce bon moment.

Merci. Bon, désolée, mais il va falloir que j’y aille.

Sans un mot de plus, je quittais sa maison pour retrouver la mienne.

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