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Alice au pays de la soumission – Chapitre 12




Alors, je viendrais vous trouver.

Tout sera prêt pour te recevoir. Alice y veillera personnellement.

Oui Maître, ce sera avec un plaisir immense.

Dans le lit, Paul se glisse entre les cuisses accueillantes de Sybile et Alice entre les fesses de son amant. Cela dure autant que leurs forces ne les quittent pas.

Sybile, convaincue par ce couple quelque peu étrange, jouissant une ultime fois, demande si elle peut rester avec eux toute la durée de leurs vacances. L’idée que Sybile soit leur compagne de plaisir redonne assez de force pour achever cette délicieuse jeune femme. Ils ne verront presque pas le soleil de la journée, tout au plus quand, il disparaît à l’horizon.

Alors qu’ils se douchent, Sybile se propose d’être leur guide. La mine un peu tristounette, elle avoue ne plus avoir de famille sur l’île. Là, avoir une guide qui connaît l’île, en plus sans attache, pour Paul, cette fille est un cadeau de la providence.

Le soir même, Sybile loue une petite voiture décapotable et entraîne ses amis de cur à travers l’île. Dans un coin isolé, elle propose une baignade naturelle. Nus, trois êtres plongent dans l’océan en s’adonnant à des jeux hautement sensuels. Sybile se révèle être une femme prête à tout pour jouir. Elle aime faire l’amour avec une femme. Paul en a la preuve dans l’océan quand elle se met à lécher le corps d’Alice, surtout entre ses cuisses et ses fesses. Paul s’approche de Sybile et lui enfonce sa langue dans son cul. Sybile, tellement excitée par ce couple infernal, jouit dans l’instant.

Sur le sable fin, Sybile se donne au couple qui en use et abuse. Puis, de retour au bungalow, Sybile file dans la cuisine près d’Alice qui prépare de quoi reprendre des forces.

Alice, explique-moi ce que c’est qu’être l’esclave de Paul.

Il faut commencer par notre première rencontre et…

Paul écoute Alice depuis la petite terrasse devant la fenêtre de la cuisine. Il sourit, se tait, laissant à Alice le soin de tout raconter. Alice y met tout son cur, toute son âme dans ce récit. Elle ne renâcle devant aucun détail, même les plus sordides de sa soumission. Soulevant la tête, Paul peut voir Sybile se caresser sous son paréo, son unique vêtement. Quand Alice raconte le moment du fer rouge, la douleur ressentie, le plaisir que marque ce moment comme une ultime preuve d’amour offerte à son Maître, Sybile ne jouit pas, elle explose dans la cuisine, se roulant par terre de bonheur, sa main entièrement dans sa chatte. Quand Alice s’agenouille près de cette jeune femme, la tête de Sybile glisse entre ses cuisses et boit cette cyprine qui coule dans sa bouche comme autant de gorgées de miel. Paul n’intervient pas, il sait Alice très adroite pour convaincre cette délicieuse jeune femme. Alice se la joue autoritaire, juste ce qu’il faut pour mettre le corps de Sybile en feu.

La jeune femme à la peau basanée donne tout ce qu’elle a pour laper le sexe et le cul d’Alice. Paul les abandonne, se faisant une petite promenade au clair de lune sur la plage pas très loin.

Dans la cuisine, Alice, après avoir joui, joue les matrones lascives et Sybile de jouer la petite chienne docile. Elle se prend au jeu sans encore en connaître les tenants et les aboutissants. Qu’importe, tant qu’elle retire du plaisir, c’est tout ce qui compte. Quand Paul revient, Alice se tient debout près de Sybile agenouillée. Alice ordonne à Sybile d’aller offrir son corps à son Maître. À quatre pattes, complètement prise dans l’escarcelle piégeuse de ce couple dévergondé, Sybile avance au-devant de Paul. Près de lui, elle soulève son paréo et sa bouche vient se rassasier à la source de Paul. Très vite, une érection lui donne les prémices d’une éjaculation future. La jeune femme pompe, jouant de ses doigts un peu gauches sur l’anus de Paul. Paul entre dans le jeu, oblige Sybile à lui obéir en l’instruisant comment caresser un anus avec les doigts et comment le pénétrer sans que le Maître ne souffre d’aucune manière.

Docile par jeu et par plaisir, Sybile se plie aux injonctions de Paul. Esclave de ses fantasmes, Sybile ne voit pas qu’elle plonge dans leur milieu, celui de la soumission.

Jour après jour, Sybile apprend à être une bonne soumise, n’hésitant plus à donner son cul pour une bonne grosse fessée. Le couple devine vite que le moment de la séparation sera une douleur peu facile à endurer.

Maintenant qu’ils connaissent tout ou presque de l’île, Sybile leur réserve une dernière surprise. Un club dont ils n’avaient pas connaissance. Certes, il est discret, son enseigne n’est pas une attraction en soi. Quand le trio pénètre dans ce lieu de plaisir, Paul et Alice se sentent vite comme chez eux. C’est le seul club entièrement fétichiste de toute l’île. Il n’est pas aussi bien construit que ceux que Paul connaît, mais il fera l’affaire. Comme c’est un jour de semaine, il n’y a guère de monde, une Maîtresse et ses deux chiens bardés de cuir. Un couple de soumis qui s’occupent de leur Maîtresse et une jeune femme attachée derrière un bar, c’est un peu léger de l’avis de Paul. Les deux Maîtresses se regardent, un blanc et deux femmes, voilà qui devraient les satisfaire. Elles se trompent lourdement. Paul, un peu sèchement, ordonne à ses deux complices de s’agenouiller à ses pieds. Près de l’une des deux madones du lieu, Paul demande s’il peut jouir de leur matériel.

Toutes les deux acceptent à condition d’avoir droit à une démo. Paul sourit, c’est bien ce qu’il comptait faire avec Alice. Près de ces deux dociles, Paul les regarde longuement.

Sybile, reste à genoux. Je ne vais rien te faire d’autre que de t’attacher. C’est avec Alice que je vais jouer. Tu n’es pas encore prête pour ce qui va suivre.

Sybile, sans un mot, s’incline avec déférence devant Paul. Solidement attachée à genoux, Sybile ne peut plus remuer le petit doigt. Sur la petite estrade pas trop mal équipée, Paul pousse Alice. Alice connaît la musique et le regard de Paul est sans équivoque, Alice va prendre son pied comme elle aime à le prendre.

Très vite, la voilà suspendue et écartelée. Paul recule, choisissant un fouet. Il ne va pas fouetter trop fort, juste viser les points sensibles d’Alice. Le fouet s’enroule sur la cuisse d’Alice. Son regard plonge dans celui de Sybile. Toutes les personnes présentes n’ont plus d’yeux que pour ce couple de blanc pervers. Après quelques coups de fouet, histoire de mettre le feu au corps d’Alice. Des jeux plus pervers commencent. Alice est détachée et Paul lui tend des pinces en acier déjà alourdies. Alice est à genoux, fixant toujours Sybile, elle lui sourit quand elle se met cette première pince sur son mamelon gauche. La suivante est sur le téton droit. Pince après pince, elle garnit sa poitrine, son sexe sous le regard médusé de deux Maîtresses. Paul est derrière sa soumise, rougissant son dos à coup de martinet. Alice se lève, s’approche des deux Maîtresses, les regarde fièrement, jette un il méprisant sur les soumis à leurs pieds.

Elle revient vers Paul, lui présente ses seins que Paul commence à tordre lentement, durement. Alice soupire, douleur et plaisir se mélangent déjà dans son corps. Mais le jeu ne s’arrête pas ici. Les deux Maîtresses délaissent leurs jouets. Si l’une s’approche de Sybile, Paul y met bon ordre, on ne touche pas à Sybile. L’autre est près de Paul, d’une main, elle caresse le cul de Paul. L’autre les rejoint. Paule et Alice savent que cela plaît. Complices comme cochon, tous les deux plongent dans leur monde à eux et donnent tout. Aiguilles, fouet, martinet, tout y passe. Alice jouit et jouit coup sur coup. Les deux matrones n’en croient pas leurs yeux, tout comme leurs soumis. Alice se plante deux longues aiguilles à travers ses seins alors que Paul flatte son cul à coup de cravache. Le jeu est délicat, un seul faux pas et Paul sait qu’Alice ne prendra pas de plaisir, n’atteindra pas l’orgasme. Sous les yeux grands ouverts de ce public improvisé, Alice joue des deux aiguilles.

Paul sait qu’Alice est sur le point de jouir encore une fois. Il la couche brutalement et lui enfonce sa main dans son sexe béant, dégoulinant de cyprine. Alice, fixant les deux Maîtresses, jouit longuement en jouant avec la main de Paul dans sa chatte.

Il n’a fallu que quelques heures à Alice pour jouir un nombre incalculable de fois. Devant les Maîtresses, les narguant, Alice retire la première aiguille, la passe sur sa langue pendant que Paul s’en est allé délivrer Sybile. Il l’approche d’Alice.

Avec tes jolies dents blanches, tout doucement, je veux que tu retires cette aiguille. Je vais te faire un peu mal pendant ce temps.

Je veux apprendre, alors s’il faut souffrir de plaisir, Maître !

À genoux, elle redresse son corps. Alice se penche un peu. La bouche de Sybile embrasse ces seins percés de part en part. Puis, comme commandé, elle saisit cette longue aiguille entre ses dents blanches. L’aiguille résiste un peu, Sybile y met un peu plus de force quand les lanières d’un martinet s’abattent sur sa croupe si désirable. Paul frappe au rythme des efforts de Sybile. Quand l’aiguille quitte le premier sein, Paul se penche sur la bouche de Sybile et l’embrasse tendrement, amoureusement serait plus juste. Puis, la tenant par sa tignasse, il replace le visage de Sybile devant l’aiguille suivante. Il martyrise toujours ce cul qui se tortille de plaisir. L’aiguille sort enfin, Sybile la dépose dans la main de Paul. Tendrement, il pousse Sybile contre Alice et les deux femmes roulent ensemble sur le sol de ce club.

Comment tu fais, toi ?

Moi, je commence avec amour à les convaincre que la douleur peut et doit s’apparenter à du plaisir. Enfin en ce qui concerne Alice. Pour elle, ce n’est qu’une découverte de plus. Je peux ?

Quoi donc ?

Venez ici, vous deux ! Je ne vais pas vous les tuer, juste leur faire assez mal pour qu’ils jouissent.

Paul prend ces deux mâles soumis et leur fait subir des traitements qui pourraient en choquer plus d’un. Mais aucun des deux mâles ne pousse de hurlement autre que ceux de ce moment où, ensemble, ils éjaculent sur les pieds de leur Maîtresse.

Sybile, viens lécher cette femme et toi, là-bas, viens lui garnir son cul de ta jolie petite bite. Quant à toi, petite, va lécher cette jeune soumise. Et toi, belle Maîtresse, viens que je te baise.

Paul venait de prendre les commandes du club. Une seule personne se sentit oubliée de tous, l’employée derrière son bar. Paul allait y remédier en amenant cette Maîtresse près de ce bar, juste derrière. Pendant qu’il la baisait, la Maîtresse se gavait de cette soumise qui laisse couler son plaisir dans cette bouche affable. Très rapidement, des clameurs se font entendre dans tout le club. La soirée se poursuit dans une jolie petite partouze sans dominant, sans plus de soumis. Des corps enlacés sur le sol qui jouissent des bontés qu’ils se donnent.

Au petit jour, après une longue douche, Paul et ses complices rentrent dans la petite décapotable. Dans la maison, Sybile, qui n’avait osé poser de question, s’empresse de questionner Alice sur ce qu’elle ressentait pendant qu’elle se faisait mal, enfin, du point de vue de Sybile. Alice tente de lui décrire tout ce qu’elle ressentait. C’est difficile de conter quelque chose que l’autre ne peut pas vivre. Pour Sybile, il y a encore trop d’inconnue. Elle hésite encore. Si la fessée lui apporte de grands moments de plaisir, elle ne pense pas être capable d’endurer de telles douleurs. Pourtant, sans encore le savoir, c’est exactement ce que sont en train de faire Paul et Alice de manière presque inconsciente. Ils la poussent à devenir encore plus docile, plus soumise. Et sans le savoir, Sybile chemine déjà dans leur monde, même si ses pas sont encore un peu hésitants.

Dès le réveil de Sybile, elle se presse en cuisine afin de préparer un bon gros déjeuner aux couleurs locales. Quand Alice la rejoint, elle embrasse les seins de Sybile avant de passer à sa bouche. Puis, ensemble, le plateau sur le dos d’Alice, elles portent ce somptueux déjeuner à ce Maître encore endormi. Alice met au parfum Sybile sur ce que le Maître désire chaque matin. Cette fois, c’est Sybile qui va exécuter la fellation pendant qu’Alice patientera aux pieds du lit avec le repas matinal. Paul s’étire lentement, cette bouche, il ne l’aurait pas reconnue s’il n’avait ouvert les yeux. Une créature à la peau couleur café au lait suce son chibre. Un coup d’il sur sa droite, il voit Alice à quatre pattes, le plateau disposé sur son dos. Laissant Sybile le sucer, d’une main habile, Paul retire le plateau du dos d’Alice. Délaissant son déjeuner, il invite Alice à se mettre sur sa bouche. S’amusant de l’anneau de son clitoris, Alice s’empresse d’en redemander.

La langue de son Maître est une bénédiction. C’est bien la première fois que le Maître joue de sa bouche sur le sexe d’Alice avec autant de ferveur. À l’invitation de Paul, Sybile a aussi droit à ce chibre dans son vagin. Elle prend le temps de s’empaler lentement, mesurant le bonheur de le sentir bien en elle. Paul retourne Alice pour qu’elle fasse face à Sybile et la suite n’est plus qu’un pur moment de bonheur pour ce trio dépravé dans le stupre du sexe.

Après le déjeuner, on décide comme un accord de faire un tour des villages des environs. Il est grand temps de faire un peu de tourisme autre que sexuel. Sybile se montre un guide excellent. Avec elle, le couple dissolu découvre comment vivent les autochtones de l’arrière-pays. Dans un village, devant une étale de poisson de l’océan, Sybile achète ce qu’il faut pour en faire griller ce soir au coin d’un bon feu.

Sur le chemin du retour, ils croisent l’une des deux Maîtresses en train de dresser l’un de ses soumis plutôt brutalement. Paul sourit sans même prendre le temps de s’arrêter. Quant aux filles, elles rient tout leur sou devant ce pauvre bougre qui bande comme une bourrique sous les coups de martinet.

Devant le bungalow, Paul construit un tas de bois pour le feu de ce soir. Dans la cuisine, Sybile explique ses petits secrets culinaires. Alice prend des notes, bien décidée à organiser un grand barbecue devant la maison avec leurs amis. Dehors, tel un naufragé, Paul tente d’allumer ce feu avec deux bouts de bois frottés l’un contre l’autre. Il y parvient quand ses deux compagnes sybarites arrivent. Nues, toutes les deux, Paul prend le temps d’admirer leurs pastiches magnifiques. Si Alice a maintenant 25 ans, Sybile n’est âgée que de 22 ans, sublime déesse des îles. Paul ne peut s’empêcher de voir en elle une servante dévouée comme l’est Alice. Enfin, Paul sait que cette jeune femme les aime et que cet amour ne sera pas qu’une passade de la durée de leurs vacances. Alors que le feu commence à prendre, fièrement, Paul s’approche de ses gourgandines pour les embrasser tendrement.

Il file ensuite à l’intérieur, griffonne toutes leurs coordonnées et un mot tendre qui devrait faire fondre le cur de Sybile. Il le tend à Alice pour qu’elle le complète dans le plus grand secret pendant qu’il danse une biguine avec Sybile. À son retour, Alice glisse le petit papier dans la main de son Maître qui le glisse entre les fesses de Sybile en titillant son anus.

Quand elle veut prendre la main de Paul pour la poser plus loin, sur son sexe, elle découvre le papier. Sans encore le lire, elle termine cette danse suave avec Paul qui l’abandonne en la poussant dans les bras d’Alice. Cette dernière glisse ses mains sur les fesses de sa compagne de plaisir. Très vite, elles s’embrassent, les corps se tortillent de bonheur sous le regard amoureux de Paul.

À suivre, si ça plaît.

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