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L'entretien d'embauche – Chapitre 1




Je mappelle Elodie et jai 26 ans. Il faut bien lavouer, je nai jamais été très douée pour quoique ce soit jusquici. Les études cétaient pas mon truc et je navais rien envie de faire en particulier.

Jai quitté mes parents pour vivre avec mon copain de lépoque. Maintenant cest fini avec lui et je vis chez une amie. Je fais des petits boulots par-ci par-là. Jessaye surtout de renouveler mes droits au chômage pour me permettre de payer mes factures. Ma copine a rencontré un homme dont elle est folle amoureuse. Elle va me laisser son appartement pour aller vivre avec lui, ce qui veut dire que je vais devoir payer seule le loyer. Je suis déjà dans une situation difficile et cette perspective me fait faire quelques nuits blanches.

Jécule donc les petites annonces en essayant dobtenir des entretiens pour des postes plus longs que 1 ou 2 mois. Mais avec mes qualifications, je ne trouve rien. Je commence à déprimer, mais jai beau me creuser la tête, je ne vois pas comment sortir de cette impasse. Je me suis servie un petit verre dalcool pour oublier mes problèmes et je check mes mails. Mon coeur semballe, jai une réponse positive dun recruteur ! De quelle annonce il sagit déjà ? Oui, cest le poste de secrétaire pour une PME qui métait inconnue jusque-là. Il ny avait aucune précision sur le salaire mais il sagissait dun CDD de 6 mois. Cétait inespéré ! Je dois les appeler pour convenir dun rendez-vous. Ni une, ni deux, je me précipite sur mon téléphone. Lhomme au téléphone me répond cordialement et on convient dun entretien pour demain à 11h.

Bon aujourdhui on tente le tout pour le tout. Allez ma petite, tu dois lui en mettre plein la vue. Jai lu que les gens beaux avaient plus facilement des postes et étaient mieux payés. Ça tombe bien, je suis plutôt pas mal ! Mais là je sors le grand jeux. Je me raidis les cheveux, je me maquille impeccablement et je choisis un tailleur jupe avec un chemisier fushia assez décolleté. Hey, ne me jugez pas ! Si je mets le chemisier blanc sobre, je ne me démarquerais pas de mes concurrentes. Evidemment, jenfile mes escarpins pour terminer la tenue.

A 10h50 je suis dans la salle dattente. Je stresse. Mes mains tremblent un peu. Je passe et repasse dans ma tête le discours à débiter. Puis, un homme sort de son bureau et vient macceuillir en me serrant la main.

Bonjour mademoiselle, je suis Frank Simmonin, directeur Marketing et Communication. Si vous voulez bien me suivre

Je remarque son regard qui me détaille et fais de mon mieux pour sourire chaleureusement. Il doit avoir 35 ans et sil nest pas vilain, il na pourtant rien dexceptionnel. Néanmoins il a lair gentil et ça me rassure.

Une fois dans son bureau, je massoie sur la chaise prévue à cet effet et il prend place derrière son grand bureau.

Alors mademoiselle, pouvez-vous commencer à vous présenter ?

— Euh oui, je suis Elodie Michaël et jai 26 ans. Jai commencé une formation à luniversité pour préparer une licence danglais. Mais finalement, euh je me suis ré-orientée pour intégrer une formation dans les sciences sociales et

— Quel est le rapport avec un poste de secrétaire ?

Je suis soufflée. Moi qui le trouvais gentil, je tombe des nues. Mes mains commencent à devenir moites et je cherche quoi répondre à ça mais il ne men laisse pas le temps.

Ecoutez mademoiselle, je ne vous demande pas de me faire la lecture de votre CV, je men suis déjà chargé. Je ne vous ai pas demandé de lettre de motivation parce que je navais pas envie de lire les bêtises insipides que tous les candidats écrivent. Non, jai préféré vous donner votre chance en prenant le temps de vous recevoir. Alors ne me décevez pas.

Jamais je me serais imaginée face à un tel recruteur. Dhabitude les entretiens sont tellement convenus et formels que je ne me sens pas du tout préparée à celui-ci. Pourtant, je nai pas le choix, je dois obtenir ce poste. Allez Elodie, cest un CDD de 6 mois !

Très bien. Je nai pas de diplômes qui…

— Ça je men suis aperçu oui, dit-il avec un petit sourire narquois.

— Jai fait des petits boulots et enfin euh

— Mon dieu On nest pas aidé, soupire-t-il.

— Jai été hôtesse daccueil et

Je nai jamais été aussi mal à laise de toute ma vie. Je suis là à débiter les boulots de merde que jai fait sans réussir à me vendre positivement. Lui me toise de toute la hauteur de son égo. Je me sens une pauvre merde et je sens que je ne tiendrai pas longtemps avant de craquer. Maintenant il ne minterromp plus brutalement, mais me laisse menfoncer toute seule. Ses yeux durs se baladent sans pudeur sur mon décolleté et je me sens mise à nue.

Et là je suis au chômage depuis 6 mois sans ressources. Mentendis-je lui confesser. Comment javais pu me rabaisser de la sorte aussi facilement ?

Ah, nous y voilà ! Donc vous navez aucune conviction pour ce poste. Cest juste pour payer les factures ! Me lance-t-il durement.

— Mais non, je je suis très intéressée par le métier de secrétaire, répliquais-je gauchement.

— Ah bon ? Dites-moi pourquoi, ça mintéresse beaucoup. Hein ? Dites-moi ce qui vous motive tellement dans ce fantastique métier de secrétaire Elodie ?

Et le voilà qui rigole maintenant. Je me sens nulle, minable, une moins que rien. Les larmes montent et je fais tout pour les retenir. Je ne vois rien à répondre. Mon cerveau a flanché on dirait.

Je veux aider Être utile à lentreprise. Tous les maillons sont importants !

Je le vois se lever, faire le tour du bureau, passer derrière moi. Je suis pétrifiée. Je me sens absente. Il passe de lautre côté, se plante en face de moi. Trop près. Et il me dit tout bas :

Comment seriez-vous utile ? Vous navez aucune qualification, aucune expérience. A quoi vous serviriez ? Hein ?

Une larme roule sur ma joue.

Je peux aider Je ferais les basses tâches. Tout ce que vous me demanderez Je ne sais pas

Son regard plonge encore une fois dans mon décolleté.

Pffff vous croyez quon a les moyens de payer quelquun à ne rien faire ? Regardez-vous. Levez-vous, tiens que je vous vois mieux.

Je me lève toute tremblante comme une feuille. Il fait le tour de moi comme si jétais du bétail et je me sens encore plus amoindrie. Je me concentre pour forcer mes jambes à me porter. Pour ne pas tomber. Une autre larme coule sur ma joue et tombe sur mon chemisier.

Et voilà Ça pour chialer vous êtes les meilleures, vous les gonzesses. Moi jai besoin de quelquun qui saura quoi faire pour aider lentreprise. Pas dune crétine qui chiale dès quon est un peu dur. Il prend une de mes mèches, lentortille et la relâche.

Je peux faire ça, répondis-je, la voix tremblante.

— Ah oui ? tu crois que tu peux servir à quelque chose ?

Je fais oui de la tête. Il me touche le bras. Je ne men rends presque pas compte tellement je suis sous le choc. Il continue à me caresser le bras. Il me prend la main et la pose sur sa braguette. Je suis toujours pétrifiée.

Peut-être que tu pourrais être utile oui. Comme tu las dit, tous les maillons dune entreprise ont leur utilité

Il fait bouger ma main le long de sa braguette. Je sens une bosse se former. Son souffle saccélère. Il pose son autre main sur mon sein. Il commence à me masser le sein plus fermement.

Tu crois que tu pourrais mêtre utile ? Hein, ma petite Elodie ?

Je ne réponds pas. Il continue à frotter ma main sur sa braguette. Son autre main passe sous mon chemisier et je sens ses doigts me palper avec avidité. Ils parviennent vite jusquà mon téton quils pincent sans ménagement. La douleur me fait sortir de ma torpeur et je pousse un cri.

Hein, Elodie ? Est-ce que tu me serais utile ? Toi avec ton CV de merde qui ne fera jamais rien de ta vie ?

Il me pince encore le téton et je me mords la lèvre pour ne pas crier. Ça a lair de lexciter, je sens son sexe grossir dans son pantalon.

Petite moins que rien. Montre-moi tes talents si tu veux avoir ce boulot. Sinon tu vas finir à la rue. Sans rien du tout

Il me pince à nouveau le téton. Encore et encore. Les larmes me montent aux yeux à nouveau. De lautre main, il baisse sa braguette, puis défait son bouton. Ensuite il reprend ma main et la pose sur son caleçon.

Allez merdeuse, montre un peu tes dons ? Dépêche-toi avant que je ne change davis et te jette dehors comme une merde !

Je sais ce quil attend de moi. Mon cerveau est comme du coton, mais je sais ce quil attend. Je ne veux pas le faire Mais je suis nulle. Je ne sers à rien. Je ny arriverais pas. Je vais finir SDF. Je ne veux pas ça non plus. Alors avec ma main je baisse son caleçon. Jai honte, mais je nai pas le choix. Il apprécie ma réaction, je lentends à son souffle. Il me pince encore le téton. Jai mal. Je le sens. Une fois son caleçon par terre, japproche ma main de son sexe déjà bien dressé. Je ne le regarde pas. Je ne regarde rien dailleurs. Mais je sens quil est plutôt gros. Je me mets à le masturber.

Oh oui, ma petite Elodie. Tu pourrais bien servir à quelque chose ici. Avec tes gros seins. Ils sont si bandant tes seins. Montre-les moi mieux. Et il ouvre mon chemisier entièrement. Je sens son regard vicieux les mater.

Oh ouiiii. Ils sont beaux tes seins. Putain, ça me fait trop envie.

Et sans plus attendre, il me retire complètement mon chemisier et me dégraphe mon soutien-gorge.

Ouais, je commence à me dire que le poste est pour toi. Tu as finalement quelques atouts, ma petite Elodie.

Il se remet à me tripoter avec ses 2 mains. Il me pétrie les seins, les malaxe, les caresse et surtout me pince les tétons. Je le laisse complètement faire. Je suis à sa merci. Je continue de le branler pendant ce temps.

Ah jen peux déjà plus tellement tes bonne. Suce-moi maintenant. Allez fous-toi à genoux et suce-moi bien.

Il me pousse sans ménagement pour me mettre à genoux et colle sa queue à mes lèvres. Je sens cette odeur âcre qui ma toujours dégoutée et je grimace.

Ohhhh mademoiselle est incommodée ? Mademoiselle veut que jarrête ? Est-ce que mademoiselle veut finir par habiter sous les ponts ? Non ? Alors tu suces !

Jouvre la bouche et je sors ma langue. Ça y est, ma langue lape son gland. Ce type que je ne connaissais pas 1 heure avant. Je suis en train de lui lécher la queue ! Cette pensée fait à nouveau monter des larmes qui se déversent sur mes joues. Mais il ny fait même pas attention.

Oui lèche-moi bien. Cest ça, comme une glace ahahah ! Taimes ça sucer des queues hein ?

Il a fini par forcer ma bouche. Mes lapements nétaient pas suffisant. Je sens sa queue coulisser dans ma bouche avec brutalité. Il pose ses mains sur ma tête et contrôle le va et vient. Ma bouche nest plus quun trou pour sa bite. Et il se lâche verbalement

Petite salope. Ta bouche est bonne. Ah oui, on va bien sentendre finalement. Oui suce moi fort. Ahhh je vais pas tarder à venir petite putain.

Il accélère le rythme et je sens sa queue grossir dans ma bouche. Il va jouir, je le sais.

Avale tout sale pute ! Il crie sa jouissance et je sens son foutre jaillir dans ma bouche. Il me maintient la tête. Je sais quil veut que javale alors je le fais.

Une fois quil a tout giclé il mordonne de bien lui nettoyer la bite, ce que je fais sans broncher. Ensuite il se rhabille tranquillement et se repositionne à son bureau. Moi je suis toujours à genoux torse nue. Comme une gourde.

Ah Finalement cétait pas mal. Tas quelques qualités. Il va falloir un peu améliorer tout ça quand même. Mais là ce nétait quun entretien, dit-il en souriant. Voilà le contrat. On peut le signer maintetant. Tu commenceras après-demain.

Il signe les 2 exemplaires du contrat comme si de rien nétait. Il me tend le stylo.

Dépêche-toi de te rhabiller petite conne ! Quelle empotée ! Franchement, tu ne feras jamais rien dans la vie. Heureusement, que je te donne une chance, moi, me dit-il avec un grand sourire.

Je me rhabille. Je prends le stylo, je signe les 2 exemplaires. Ma vie vient de changer.

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