Une petite histoire vécue il y a quelques années…. Je fait partie d’une troupe scoute depuis plusieurs années, âgé de 23 ans, je suis à présent responsable de la ’ troupe ’. Le staff est constitué de 5 garçons entre 19 et 23 ans. Chaque année, nous partons pur un grand camp durant la seconde quinzaine du mois de juillet. Il y a deux ans, nous faisions notre camp près de Brignolles dans le sud de la France, au milieu des vignes et des oliviers. Par le plus grand des hasards, une compagnie de guide (les filles scoutes, notre troupe à nous n’étant pas mixte) campait près de notre endroit de camp. En bons voisins, nous avions déjà fait connaissance avec le staff, six filles sympa entre 18 et 20 ans et les deux cuisiniers, deux garçons de 22 ans, copains de deux des filles. Le camp se passait normalement des deux côtés, nous nous croisions parfois au magasin ou au bar du village. Un soir, je part seul pour aller approvisionner des gars qui faisaient un raid à quelques kilomètres du camp, le ciel était dégagé, le temps doux et les infatigables cigales se faisaient entendre tout au long de la route. Après avoir rencontré les scouts, le reprend la route du retour et quelques kilomètres plus loin, je remarque la voiture des cheftaines de l’autre camp sur le bord de la route, un pneu à côté de la voiture ainsi qu’un cric. N’écoutant que mon courage, je m’arrête. Laurence et Anne, visiblement excédées essayent vainement de placer le cric. Elles m’accueillent chaleureusement et je les aide à changer le pneu. Il faut vous dire que nous en étions au 11ème jour de camp et que la seule vue des ces deux jeunes filles avait sur moi un effet radical ! Laurence était brune au yeux noir, de taille moyenne avec une poitrine que l’on devinait superbe de fermeté, Anne, plus grande que moi avait les cheveux bruns clairs coupés court, des jambes interminables et une poitrine dans la moyenne. Je les savais âgées toutes deux de 19 ans et aucune ne sortait avec un des cuisiniers. Après avoir rangé la roue abîmée dans le coffre, je leur souhaitais un bon retour lorsque Laurence me demanda subitement si j’avais une ’ fiancée ’ je lui répondit que je sortait d’une rupture. Elle me demanda alors de la suivre. Un peu surpris je m’exécutais. Anne resta près de la voiture et nous nous somme enfoncés dans les vignes. Elle se tourna vers moi puis m’embrassa doucement sur la jour, mon érection, présente depuis le début augmenta encore, l’odeur de cette jeune fille, mon manque de sexe depuis plusieurs jours, la tête me tournait. Elle m’attira sur le sol, me demanda de me mettre sur le dos puis défit mon zip, et enleva mon pantalon, elle écarta mon slip puis pris doucement ma bite dans sa bouche. Je crus jouir sur le moment mais elle s’arrêta et se déshabilla entièrement en posant ses vêtements sur le sol afin que nous ne nous blessions pas sur les mottes de terres trop dures. Elle recommença à me sucer, jouant avec sa langue autour de mon gland, tournant doucement, un mince filet de salive coulant le long de mon membre tendu. Puis elle se mis sur le dos et écarta ses jambes, je me levaisa alors pour la prendre, elle m’arrêta de ses pieds et commença à me branler avec ceux-ci, moi debout, elle couchée, les cuisses écartées, me laissant deviner sa fente humide. Je n’en pouvait plus et j’éjaculais tellement loin que le sperme atteint sa figure. Elle s’essuya et me demanda alors de la baiser. Je m’enfonçais en elle avec une facilité incroyable, elle était pleine de miel, elle jetait se reins vers moins en gémissant et jouis rapidement. C’est alors que je remarquais que Anne nous observait à quelques mètres de là, Laurence me dit qu’elle ne viendrait pas mais qu’elle aimait regarder les autres, elle se mis à genoux et recommença à me sucer. Après 5 minutes, j’éjaculais dans sa bouche en regardant Anne dans les yeux. Elle en voulait encore, elle s’assit alors sur ma bouche et je la léchais durant un bon quart d’heure, elle jouit deux fois je pense. Nous nous sommes ensuite rhabillé et sommes rentrés chacun dans notre camp.