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Séduction délicate de la soeur de ma mère – Chapitre 4




En fin de matinée, passablement exténué de notre soirée je descendais prendre un petit café sur la terrasse.

Ma tante m’accueillit tout sourire, toute épanouie, toute heureuse en quelque sorte.

Après un bref baiser, je lui proposais comme convenu de l’emmener déjeuner. Spontanément elle se jetait à mon cou et partait se changer.

J’insistais pour qu’elle ne mette rien sous sa jupe. Elle ne voulait rien savoir mais acceptait d’oublier le soutien-gorge.

Après quelques kilomètres par un temps ensoleillé, nous arrivâmes dans la cour du restaurant gastronomique.

Le gravier et les platanes nous attendaient ainsi que de puissantes voitures, reflets de ce lieu étoilé au guide.

Bien évidemment, j’avais réservé auparavant et le maître d’hôtel nous accueillit.

J’étais fier de ma tante, impeccable dans son tailleur blanc cassé et sublime de fraîcheur avec son décolleté parfumé au flacon numéro 5.

Une fois installés sur une terrasse verdoyante, nous échangions un sourire et ma tante jouait avec sa fourchette sur la nappe en passant sa main dans ses mèches. 

Hyper sensuelle dans son comportement, j’avoue humblement que mon sexe se montrait quelque peu indiscipliné devant l’érotisme qu’elle dégageait.

— Tu as choisi Véronique ? 

— Oui je vais certainement prendre des langoustines et un turbo ensuitemais tu ne m’avais pas dit qu’on irait ici ! Ca va te coûter une fortune. S’inquiéta-t-elle.

— J’ai mis un peu de pognon de côté alors faisons-nous plaisir. Je prends la même chose. Dis-je au serveur en fermant la carte.

Notre diner était bien évidemment accompagné d’un Sauvignon et ma tante restait émerveillée, tant par le décor que la personne qui lui faisait face.

— Ca me fait du bien d’être avec toi. S’exclama Véro.

— Mais le plaisir est partagé.

— Patrick, c’est gênant tu me dévores des yeux depuis le début du repas. Me confia-t-elle en terminant son turbo.

— Tu me plais de plus en plus. Lui dis-je en la fixant des yeux.

Ma tante prit son air gêné tout en esquissant un sourire, comblée du compliment ou du sentiment que je lui avouais. Elle était foutrement attirante avec son chemisier transparent et comme elle ne portait pas de sous-vêtements, il était aisé de d’imaginer ses beaux seins en forme de poire libres comme l’air. Bref, l’envie de me la faire commençait à devenir une obsession, mais il me fallait contenir ma fougue naissante.

— Patrick, je te rappelle que je suis ta tante et tu m’as bien dit au départ, pas de sentiments. Dit-elle pour connaitre le fond de ma pensée.

— Effectivement, c’est purement sexuel Véronique et ça reste très agréable mais si l’un de nous deux éprouve un quelconque sentiment amoureux, il serait préférable qu’il le garde pour lui, tu ne crois pas ? Lui demandai-je.

— Euhoui bien sûr, maintenant on peut rester attentionné l’un envers l’autre. Répondit-elle avec une pointe de déception.

— Je t’emmène dans un super resto, je reste un neveu attentionné !

— Oui ça me touche beaucoup et tu sais depuis longtemps que j’apprécie ta compagnie, tu es franc avec moi et tu gardes les choses pour toi, c’est bien pour cela que je te fais des confidences. Me dit-elle sans détour.

— Quelle soirée hier ? Dis-je avec quelques sous-entendus concernant à la fois nos ébats et les avances de son amie Patricia.

— Oui en effet, j’ai préféré de loin notre fin de soirée à la maison. Me rétorqua-t-elle.

— Je ne te parle du local de la piscine, sur le coup tu t’es bien lâchée pendant

Ne finissant pas ma phrase, Véronique me faisait un sourire à la fois rempli de satisfaction et de gêne et haussait les épaules en terminant son verre.

– Que veux-tu que je te dise, tu me faisais beaucoup d’effet..et puis hier nous étions comme un couple !

—  Ah oui ! Quand je pense qu’on m’a pris pour ton mec, c’est flatteur et ça prouve que nous formons un beau couple en effet. Lui fis-je remarquer pour connaitre sa réaction.

— Certaines amies m’ont même dit que j’avais très bon goût et qu’elles te trouvaient beaucoup de charme et même de la chance. Dit-elle en touillant son café, pas peu fière de me le dire (!).

— Wouah c’est agréable à entendre, alors finalement t’es une trentenaire en grande forme. Rajoutai-je.

— Oh tu sais

A force de dévorer ma tante, notamment ses lèvres si bien dessinées, j’abordais un sujet plus personnel. 

Je voulais savoir si la fellation était pour elle un art déjà consommé et surtout si elle en était une fervente adepte. Le thème était pour le moins limite comme sujet de conversation, qui plus est avec ma propre tante. Mais il faut bien avouer que le moment était bien choisi, Véronique étant très ouverte dans l’instant présent après m’avoir dit qu’elle pouvait se confier à moi. 

Il me fallait être subtile, aussi je débutais par ma propre expérience en lui parlant de ma dernière ex pour l’emmener sur mon sujet ardent.

— Tu sais avant de te connaitre, enfin de bien te connaitre, j’étais avec une femme de 28 ans. Ca n’a duré que deux mois mais c’était moins intense par rapport à toi sur le plan sexuel. Je vais me montrer un peu indiscret, tu aimes bien la position en levrette mais pour le reste ? Lui demandai-je avec ce que l’on appelle une question ouverte.

— Bahtu sais la position type Andromaque, j’aime assez et puisqu’entends-tu par le reste ? S’interrogea-Véro devenue curieuse.

— Le reste ? C’est quand je me retrouve entre tes cuisses par exempleDis-je évasif.

— Ah tu parles des préliminairesEnfin quelle conversation nous avons quand je pense que tu es mon neveu ! Reconnût-elle spontanément.

— On discute Véronique et comme je te sens très réceptive avec moi, jeenfin tu as déjà fait un truc à un mec ? Poursuivis-je.

— Euhoui ça m’est arrivé mais juste deux fois. Répondit-elle avec réticence.

— Je te posais juste la question parce qu’hier avant que Patricia ne vienne me chercherTerminai-je sans m’attarder.

Ma situation était délicate, étant sur un terrain très personnel, je décidais d’interrompre cette conversation sur les goûts sexuels de ma tante. Le faire oui mais en parler frisait l’indécence morale. Véro me regardait d’un regard coquin en devinant très bien mes intentions. 

Contre toute attente, elle reprit d’elle-même cette conversation peu commune entre une tante et son neveu. 

Avec ses jambes croisées et son tailleur élégant, elle m’excitait comme un beau diable et l’envie qu’elle me fasse une fellation devenait omniprésente. Je prenais cela comme une sorte de défi et envisager ses belles lèvres sur mon bas du corps me donnèrent de véritables étincelles dans la tête.

— Tu me posais la question avec une suite dans les idées Patrick, pas vrai ?

— Bah je vais répondre comme toije ne dirai pas non si tu me le faisais. Répondis-je au culot.

— Ecoute hier je n’avais aucune intention de te le faire, j’étais plus câlin et pour ce genre de chose il me faut du temps, un état d’esprit, des sentiments forts et puis je serai terriblement gênée de te le faire. Je te le dis franchement. Avoua-t-elle.

— Quand je lèche ta jolie chatte, je n’éprouve que du plaisir, tout comme toi. Renchéris-je.

— Oh comment tu parles ! Oui moi aussi j’aime, je ne vais pas te mentir et en plus je dois te le dire, tu le fais très bien, vraiment très bien. Mais là c’est trop intime ce que tu me demandes pour le moment. Me confia-t-elle.

— En fait pour conclure, tu le ferais si tu éprouvais des sentiments forts comme tu as dit.

Je touchais droit au but en parlant de son affection, de son attachement envers moi. Moi qui lui interdisait des sentiments amoureux, j’étais en pleine contradiction dans mes dires. Sachant ce qu’elle éprouvait à mon égard, c’est à dire une complicité dépassant largement le cadre tante-neveu, je voulais lui faire avouer sa pensée profonde. 

Véronique allumait une cigarette et jouait machinalement avec son briquet, preuve qu’elle se trouvait dans une sorte de dilemme. Donc si elle ne se soumettait pas à ce que je lui demandais, cela signifiait que nous étions dans un cadre purement sexuel, mais si elle acceptait, elle m’avouait être amoureuse de moi. Les minutes s’écoulaient et le garçon resservit le restant de la bouteille de blanc.

— Je ne sais pas quoi répondre Patrick. Ta conversation est si embarrassante et puis on ne parle que de sexe. Conclut-elle.

— Bon, n’en parlons plus et demandons l’addition. Dis-je cachant ma déception grandissante.

— Patrick, ne le prend pas mal. Je ne t’ai pas dit non mais laisse-moi un peu de temps. Je suis un peu perturbée depuis hier. Ajouta-t-elle d’un ton attendrissant.

— Nous prendrons le café en rentrant si Patricia nous oublie un instant ! Terminai-je sur une note d’humour.

— Oh celle-là, c’est ton amoureuse attitrée et elle va certainement vouloir t’inviter chez elle pour te draguer ! S’exclama ma tante dans un éclat de rire contagieux.

— C’est une jolie femme élégante mais je préfère de loin celle qui est en face de moi. 

Véro légèrement confuse par de tels aveux éteignait sa cigarette. Je payais l’addition et prenais le volant dans le simple but de rentrer. 

Véro me remercia mille fois pour ce déjeuner et me proposa de rejoindre le centre-ville pour finalement y prendre un café. J’obtempérais sans discuter en conduisant sous les directives de ma tante. 

La voiture garée, nous nous dirigions place du Palais avec quelques brasseries aux alentours. Contre toute attente, Véro me prenait le bras, geste inattendu de sa part et ô combien symbolique la connaissant. Sans vouloir afficher notre relation, j’interprétais ce geste comme une marque d’affection, une sorte d’envie de me garder pour elle, le spectre de Patricia rôdant au-dessus de sa tête.

Une fois installés, nous savourions notre café en affichant des visages réjouis. Je ne me gênais point pour détailler ma tante, observant ses mollets ravissants avec ses jambes croisées et la pointe de ses pieds raffinés à travers ses escarpins ouverts.

— Patrick ? Tu peux regarder ailleurs que de me dévisager comme au resto ?

— Tu devrais prendre ça comme un compliment au lieu de me faire des reproches ! Lui rétorquai-je tout en continuant de l’observer.

— Oh je crois que tu me connais par cur.

— Je ne me lasse pas de regarder tes jambes, tes pieds élancés et tes lèvres si

— Si quoi? Demanda Véro soupçonneuse d’une allusion sexuelle.

— Oh tu m’emmerdesJ’ai l’impression d’être avec une chère sur !

Ma tante prise d’un fou rire avala presque de travers et prit son mouchoir pour essuyer ses larmes de joie.

Toute rouge, elle respirait profondément et je lui faisais un petit haussement de sourcils dans la foulée, tel un pur obsédé sexuel. Véro n’arrivait plus à parler, prise à nouveau du même mal et je demandais un verre d’eau pour la soulager. Au bout de longues minutes, elle décrochait enfin quelques mots.

— Comme tu peux me faire rire, c’est pas possible avec toi. Articula-t-elle avec difficulté.

— Tu as eu des nouvelles des garçons ?

— Tiens je vais les appeler et j’espère que la cohabitation se passe bien avec la nouvelle.

La nouvelle comme elle l’appelait ne fut rien d’autre que celle qui partageait la vie de son ex dorénavant. Véro composa le numéro et tomba sur l’ainé, Oscar. Cela se passait relativement bien et la nouvelle était aux petits soins avec eux. 

Elle raccrochait sans avoir parlé à son ex, soulagée de les savoir heureux et s’émerveillait de l’instant présent. Il est vrai que la place du Palais se présentait en un décor idyllique pour se détendre un plein été. A ma grande surprise, de nombreux touristes se mêlaient aux Bordelais facilement repérables avec leurs smartphones faisant office appareils photos.

— On y va ? Dis-je en me levant.

— Oui et merci encore pour cette belle journée ensemble. Répondit-elle.

— Mais nous ne sommes pas encore couchés ! 

— Je te fais confiance. Me glissa-t-elle avec un air coquin.

Véro prit son sac à main et nous marchâmes dans le centre-ville.

Finalement, nous faisions une après-midi shopping et ma tante en était la première surprise de me savoir avec elle.

Enthousiaste de faire les boutiques, elle m’achetait une chemise blanche et en retour je lui offrais une robe de nuit en satin blanc. La vendeuse appelait ce modèle Kimono court, du fait de sa ceinture pour la fermer et du modèle assez court. Véronique ne voulut pas l’essayer, sûre que la taille était la bonne.

Elle me promettait de la mettre le soir même.

En fin d’après-midi, ma tante elle-même décida de stopper nos courses, un peu fatiguée d’une telle marche. 

Je lui conseillais vivement de se relaxer dans la piscine, ce à quoi elle me répondait qu’elle n’aurait rien contre un de mes massages dits californien par la suite. J’en déduisais ainsi qu’elle serait à priori ouverte à faire des choses avec son neveu, des choses nouvelles tant qu’à faire.

– Je vais me mettre en maillot. Me dit Véronique en rentrant.

— Attends voir

Je la saisissais par la taille en déboutonnant son chemisier, pour me dévoiler ses deux belles poires ne demandant qu’à être cueillies.

— Eh tu ne perds pas de temps ! 

— Viens près de moi. Lui ordonnai-je en l’embrassant à pleine bouche.

Véro d’abord surprise se prêtait au jeu et à son tour, sa langue festoyant avec la mienne. 

Elle prit du recul puis dans un sourire, elle m’adressa quelques paroles.

— Patrick, on a tout notre tempsalors doucement. Me lança-t-elle.

L’envie de me la faire immédiatement s’estompait tout naturellement. Ces derniers mots prononcés raisonnaient dans ma tête, Véro avait le temps. Mais pour le sujet évoqué à midi ? Était-ce une mauvaise interprétation de ma part ?

Je préférais rester indifférent et la laisser venir, il était évident que la brusquer n’arrangerait rien après notre conversation osée.

Nous parlâmes peu l’après-midi, Véro lisant un magazine et moi écoutant de la musique pour penser à autre chose. Mais en scrutant son visage, sa bouche, ses lèvres, un début d’érection m’envahissait progressivement. 

Il me fallait rester patient et surtout rassurant pour qu’elle passe à l’acte, dégoutant aux yeux de certains et purement sublime pour d’autres. 

Je considérais cette pratique comme un aboutissement entre deux êtres, alors que ma tante me le fasse, c’était ou ce serait l’apothéose, la consécration d’un acte irréel avant l’étape supérieure voire finale avec son derrière féerique.

En fin d’après-midi, la sonnette retentit et Véro me fit signe d’ouvrir, le temps d’enfiler un débardeur qu’elle ne trouvait pas. Sans le lui dire et au bruit du moteur, il ne fallait pas être devin pour savoir qui se présentait au lendemain de notre soirée. 

Patricia tout sourire attendait dehors avec une écharpe à la main.

Toujours super canon, la voir avec des escarpins en short relevait du mauvais goût mais lui donnait un air sexyfranchement sexy (!).

— Surprise ! S’exclama-t-elle avec le bras levé, une écharpe à la main.

— Salut Patricia, Véro l’a oubliée hier ?

— Oui et comme je passais dans le coin je me suis dit que ce serait sympa de le lui ramener, mais dis-moi tu es seul ? Se réjouit-elle en me dévisageant en maillot de bain.

— Non d’ailleurs j’entends Véro arriverRépondis-je en m’éclipsant.

Le visage de Patricia se décomposa lorsque ma tante se présenta. 

Dans le même instant, Véro me faisait une moue significative de son ras le bol de son amie. Elle n’avait pas d’autre choix que de lui proposer de partager un verre avec nous.

Installée sur la terrasse, Patricia savourait sa cigarette tandis que je restais avec Véro dans la cuisine. 

Tout en préparant les apéritifs, ma tante m’avouait son désaccord de me savoir avec son amie pour déjeuner.

Puis elle partit servir Patricia, vêtue uniquement de son débardeur mettant en avant ses épaules graciles avec juste le bas de son maillot. Le temps de la voir se diriger vers la terrasse, je matais son cul royal, se dandinant comme deux belles pommes à croquer et sans modération. Je désirais ma tante plus que tout et une fois arrivé parmi elles, je contemplais toujours sans modération ses lèvres pulpeuses.

Patricia entama son opération drague sans se soucier de ma tante, pour m’allumer sans modération (sic) 

— Véro, je peux poser une question à ton neveu ?

— Mais évidemment.

— Patrick, connais-tu le château de la Brède là où naquit Montesquieu ? Me demanda-t-elle en tirant une bouffée de cigarette avec ses airs hautains.

— Bah non mais avec Véronique, nous en avons déjà visitésRépondis-je pour évacuer sa future invitation.

— Ah c’est un des plus beaux de la région et j’aimerais te le montrer, c’est à 20 minutes d’ici et il y a un tas de choses à faire pour un jeune garçon comme toi ! Insista-t-elle.

— C’est sympa de ta part mais la visite des châteauxje préfère voir ma copine ! Lui rétorquai-je.

— Bon et bien c’est toi qui vois, Véro je vais vous laisser et vous souhaiter une bonne fin d’après-midi, Dit-elle dépitée et n’ayant pas pour habitude d’essuyer un refus.

— Merci encore Patricia. Lui lançai-je.

— Je te raccompagne. Lui annonça Véro soulagée de mes réponses.

Je les regardais s’éloigner et à choisir entre leurs deux paires de cul, mon choix se fixait indéniablement sur celui de ma tante. Mais avant de brûler les étapes, il était préférable de camper sur mes positions, en restant attentiste d’une possible fellation avec ma tante.

En m’éloignant j’entendis ma tante parler plus fort qu’à l’habitude.

— Mais Patricia il est majeur, on croirait que je le retiens contre son gré.

— De toute façon passe une belle après-midi en amoureux ! 

— J’en ai assez de tes sous-entendus ! Je suis sa tante et qu’est-ce que tu vas imaginer ! S’emporta-t-elle.

— L’évidence ma chère, hier je t’ai vu l’embrasser. T’es raide dingue de ton neveu et lui aussi, ça se voit et à ta place j’en profiterai ! Une occasion pareille à nos âges c’est unique ! J’espère que vous baisez du matin ou soir en tout cas, c’est ce que je ferai avec un beau mec comme le tien et en plus c’est ton neveuça doit être super fun à faire. Poursuivit-elle en baissant la voix.

— Arrête PatriciaImplora ma tante.

— On se connait depuis si longtemps et quand je vois comment s’est comporté ton mari, je n’aurais aucun scrupule, crois-moi ! 

— Bon je ne vais pas te mentir mais tu n’en parles à personne, je couche avec lui Dit-elle à voix basse.

— Ne t’inquiète pas, je suis une vraie tombe. Mais profite de ton neveu, laisse-toi baiser ! A cet âge, ils ont tout le temps envie de niquer et je suis sûre qu’il le fait bien ! T’en as pas envie ? S’inquiéta-t-elle subitement.

— Si j’en ai envie et il me baise super bien si tu veux savoir mais je suis sa tante, j’ai déjà honte en face de lui et maintenant je t’en parle à toi Patricia. 

— Justement, ça te libère d’en parler et puis laisse la morale de côté. VéroPense un peu à toi ! J’en connais un qui ne sait pas posé de questions pour te quitter et tu as un charmant garçon sous ton toit. Et si tu n’en veux pas, je l’invite pour de bon à déjeuner et je lui montrerai de quoi est capable une quadra question cul ma chérie ! Je te le fais monter aux étoiles ton bel étalon ! S’exclama-t-elle.

— Oh Patricia

— Mais fonce ma grande ! Amuse-toi et mets tes remords de cotéBon je vais être en retard, on se tél.

— Oui bye bye. 

— Et n’oublie pas ce que je t’ai dit, profite-en pendant qu’il est encore temps ! Lui lança-t-elle une dernière fois en démarrant sa voiture.

Face cette conversation hautement instructive entre elles, je restais planté au bout du couloir, médusé par les propos de Patricia, devenue de ce fait ma meilleure alliée.

— Comme elle est collante ! Rouspéta Véro en arrivant.

— Je lui plais et elle a mal pris le fait que je refuse sa pseudo invitation. 

— En tout cas tu t’es débrouillée comme un chef, tu as toujours réponse à tout. Dit-elle admirative.

— Je vous ai vues partir et vous aviez beaucoup d’allure.

— Et tu n’as pas une préférence ? Demanda ma tante en allant chercher un verre d’eau dans la cuisine.

— Aucune ! Les deux me plaisent. Répondis-je par pure provocation.

— Patricia a une jolie frimousse. Me rétorqua-t-elle.

— Elle est moins naturelle et dégage moins de charme. Enchaînai-je.

— Wouah ! Ca s’est un compliment et comment dois-je le prendre ?

— Il te suffit de

Notre conversation s’interrompit quand le téléphone sonna.

Véro prit le combiné en me faisant chut avec le doigt posé sur sa bouche. C’était ma mère au bout du fil demandant de mes nouvelles, mon portable ne répondant pas. Véronique faisait les cent pas dans la cuisine, presque le cul à l’air avec ce débardeur si coquin à mon goût. 

Je lui faisais signe à mon tour qu’elle s’approche pour écouter les dires de ma mère, Véro mit le téléphone en mode mains libres.

— Ah non Anne, il continue les travaux et il travaille comme un chef ! Répondit ma tante en me jetant un coup d’il.

— Il ne te gêne pas trop en se levant tard, tu sais je le connais, c’est mon fils ! Lui raconta ma mère.

— Non il ne se lève pas si tardet

Ma tante ne termina pas sa phrase.

J’étais derrière elle avec mes mains sous son débardeur. Je pelotais ses seins d’une manière érotique, passant ma paume sur ses tétons endormis. 

— Ecoute je crois qu’il arriveDit-elle en me passant le combiné.

Nous n’échangions que des banalités avec mère, elle était bien loin de s’imaginer le pied que je prenais avec sa sur dans l’instant présent.

— Allo maman !

— C’est toi mon chéri, comment ça va ? Tu rentres lundi ? Demanda-t-elle inquiète.

— Mais oui ça va très bieneuh attends je t’entends mal.

Ma mère pouvant écouter, nous ne communiquions que par gestes. De ce fait, Véro me faisait de grands signes non, non et non pour rentrer lundi. 

— Maman Pour lundi, finalement je rentrerai dans 15 jours, j’ai retrouvé des copains et une copine sur place. Répondis-je en affabulant éperdument.

— Ah je comprends et sinon tu remontes le moral à ta tante ? 

— Oui ne t’inquiète pas, je prends soin d’elle et depuis elle va de mieux en mieux ! Rajoutai-je en amorçant un grand fou rire.

Véro face à moi pencha sa tête sur mon épaule, écroulée de rire. Tandis que ma mère poursuivait notre conversation, je lui faisais un baiser sur son épaule.

— Écoute tout va super bien, je t’embrasse et je te passe Véro, elle veut te parler. Je t’embrasse. Terminai-je en incitant ma tante à se débarrasser de son haut.

— Alors Anne, qu’est-ce que tu me disais déjà ? Reprit-elle en levant son bras devant mon insistance pour ôter ce fameux débardeur.

— Patrick ne te gêne pas trop en se levant tard ? Répéta-t-elle alors que Véro se retrouva le buste à l’air, affichant ses seins à la beauté insolente.

— Nonça vaon dîne le soir en tête à tête et onparle beaucoup. Répondit ma tante en grande difficulté pour parler, du fait de mes belles caresses sur sa poitrine en pleine ébullition.

— Tu m’as dit que Patricia avait dîné chez toi, c’était sympa ? 

Véro me prit la main pour m’empêcher de la caresser.

Du coup j’en profitais pour faire mûrir son téton en le tétant ardemment. Il s’enflammait littéralement entre mes dents et ma partenaire sublime ne pouvait que s’avouer vaincue. Je passais ma main entre ses cuisses brûlantes et Véro reprit une grande respiration pour enchainer avec difficultés.

— Euh oui super sympa Anne et elle nous a invités hier à une soirée barbecue et toi ca va ? Répondit-elle en se laissant aspirer son second sein.

— Oui mais vous devez avoir un temps superbe, j’ai vu la météo ? Demanda ma mère tandis que je passais mes doigts dans la raie des fesses de ma tante pour flirter avec ses lèvres intimes.

— Ce matin il ne fait pas très beau. Dit-elle en secouant la tête en arrière pour me faire comprendre son mécontentement.

— Tu diras à Patrick que Yan a téléphoné, je ne sais pas qui c’est, mais il voulait absolument le voir durant les vacances. Insista ma mère pendant que sa sur se laissait cajoler son intimité, en protestant par pure forme avec des signes insignifiants.

— EuhOui Anne je vais lui dire. Répondit ma tante, tandis que je l’incitais à s’allonger sur la table.

— Qu’est-ce que vous faites de beau aujourd’hui ? Poursuivit ma mère dans une totale ignorance.

— EuhOn revient d’un shopping et Patrick m’a acheté une robeDit-elle en protestant vigoureusement de la tête.

– Ah bon ? Du shopping avec lui, tu es bien la première à le convaincre d’en faire. Tu en as de la chance et elle est de quelle couleur cette robe ?

Devant mon insistance, elle posait son superbe cul sur la table pour s’étendre sur la toile cirée. Je lui retirais le bas de son maillot malgré son visage contrarié et désormais, je l’avais pour moi. Elle était entièrement nue allongée sur la table de sa cuisine

Sans vouloir paraître vulgaire, qu’est-ce qu’elle avait de la gueule pour 42 piges. Elle était au sommet de sa beauté et ne pas la baiser aurait relevé du péché !

— Véro tu réponds ? S’agaça ma mère dans l’intervalle de ma tante silencieuse.

— OuiiiSoupira-t-elle profondément excédée.

— Oh mais que fais-tu donc Véro ? Dit Anne face aux réponses hésitantes de sa sur.

— Rien, je termine une tarteSouffla-t-elle.

Je m’installais confortablement en face d’elle sur une chaise et Véro me fit un signe, me signifiant que j’étais complètement givré. N’en n’ayant cure, je couvrais de baisers l’intérieur de ses cuisses.

— Véro tu es là ? 

— Excuse-moi Anne, je cassais un uf ! Pour la robe, elle est de couleur blanche. Dit-elle en posant ses longues jambes sur mes épaules par pur confort.

— Attention aux saletés en téléphonant ! Véro tu es seule en ce moment ? Demanda ma mère tandis que je caressais la belle chatte épanouie de sa sur.

— Euh ouiPatrick est dans la piscine. Répondit-elle inquiète par la question de ma mère.

— Qui est cette fille qu’il connait près de chez toi ?

— Euh il ne me dit pas grand-chose

Véro mît le portable en mode silence, ma mère ne pouvant l’entendre. Posée sur ses coudes, la tête relevée, elle ne savait que répondre et ses cheveux en bataille la rendait plus que désirable.

— Patrick ! Qu’est-ce que je dis ? S’affola-t-elle.

— Tu lui dis qu’elle s’appelle Adeline et qu’elle a mon âge !

— Ok et c’est n’importe quoi ce que tu fais ! J’ai ta mère au téléphone quand même, là tu pousses un peu !! S’exaspéra-t-elle.

Nous nous fixions dans les yeux et Véro reprit le combiné en le mettant en mains libres. 

Sans tarder je multipliais les caresses à l’intérieur de ses cuisses. Sans vouloir me le dire, je savais que Véro approuvait cette situation insolite, elle aimait ce mélange de danger et de plaisir.

— Anne excuse-moi, bon elle s’appelle Adeline d’après ce qu’il m’a dit mais je n’en sais pas plus. Concéda-t-elle s’abandonnant à mes mouvements langoureux autour de son intimité.

— Adeline ? Tu penses que c’est sérieux entre-deux ? Insinua ma mère.

— Bahelle est étudiante maisje ne la connais pasBafouilla Véro, émoustillée par mes gestes.

L’avoir nue face à moi avait alimenté mon appétence pour son corps si séduisant en fin de journée, aussi je goutais des lèvres sa source resplendissante en séduisant son point faible hautement érogène.

— Il ne reste que 15 jours chez toi mais ce fameux Yan aimerait qu’il passe le voir. Essaie d’en savoir un peu plus si tu peux. Demanda ma mère sans savoir que sa sur se faisait déguster par son fils avec une extrême habilité.

— EuhOuiiiLui souffla-t-elle, son corps se raidissant sous l’emprise de ma langue joyeuse affairée entre ses cuisses divines.

— Véronique, tu as l’air bizarre. Quelque chose ne va pas ? S’inquiéta à nouveau sa sur Anne.

— Non je viens de goûter la tarte, elle est super bonne ! Euh Anne je crois qu’on sonne. Inventa-t-elle pour se débarrasser de ma mère bien encombrante.

— D’ac’ et tu me tiens au courant, tu embrasses Patrick pour moi. Conclut-elle alors que sa sur s’embrasait sous l’adresse de mes gestes.

— Oui Anne bisou 

J’avais retiré la chaise, j’étais à poil et debout avec mon sexe pointant vers son oasis. Ma tante me regardait, à la fois admirative de mon anatomie mais furieuse de mon comportement.

— Patrick ! C’est la dernière fois que tu me fais ca avec ta mère au téléphone !! Je suis ta tante et tu es ici chez moi, donc je suis responsable de toi et tu dois m’écouter ! M’avertit-elle.

— Mais je t’écoute Tatie. Lui répondis-je en écartant ses jambes pour effleurer mon sexe auprès de ses chairs intimes.

— Ne m’appelle pas Tatie, j’aime mieux Véronique. Murmura-t-elle en mettant ses mains derrière la tête.

Je ne tenais plus et je n’avais qu’une envie, enfoncer au plus vite mon sexe dans sa fièvre intime. Mais avant, je voulais que ce soit elle qui me le demande. 

— Alors que fais-t-on ? Demandai-je ironiquement.

— Bah viens.

— T’as envie de te faire baiser ! T’en meurs d’envie ! Avoue-le

— OhPatrick tu veux bien venir ? Dit-elle en oscillant son bassin.

— Allez ma belle, je te connais par cur. Lâche-toi et dis-moi que tu as envie que je te saute.

— Bonalors viens me baiser Patrick Dit-elle en prenant un ton attendrissant.

— Je veux t’entendre gémir, jouir Rajoutai-je en glissant mon gros sexe dans les parois intimes de ma tante.

— Oooh ouiiDit-elle soulagée de me recevoir en elle.

Je baisais ma tante dans sa cuisine, son corps se tortillant où se crispant sous la violence de mes coups.

Durant notre ébat, je me surprenais au regard de notre position à pouvoir lécher ses pieds élancés. Au plus fort de notre coït, je suçais âprement ses orteils raffinés sous les gémissements de satisfaction de ma belle partenaire.

Ma tante s’abandonnait à moi. Symbole de la quadra savourant de se faire baiser par son jeune étalon, elle me fixait des yeux avec un sérieux déroutant. Décomplexée, elle ondulait son bassin à sa guise quitte à paraître obscène devant son neveu. Je crois que les mots de Patricia l’avaient libérée, elle faisait l’amour avec un naturel inattendu en oubliant notre proximité "familiale".

Nos souffles étaient haletants et nos corps tremblaient en se crispant l’un dans l’autre.

Nos mains se joignirent pour faire jaillir l’étincelle libérant ma tante avec des paroles insensées vis à vis de son neveu.

— Oh mon Patrick ! Je t’aime !! M’avoua-t-elle en pleine euphorie.

— T’es si belle. Dis-je en lui donnant de violents coups de reins.

— Oh ouiii.OuiiHurla-t-elle au plus fort de sa jouissance.

— Que t’es belle !

– Comme tu me baises bien mon chériSoupira-t-elle en se détendant.

Son bas ventre avait recueilli ma semence, néanmoins ma tante restait allongée gardant mes mains prisonnières. Certes nous restions dans un pur coït incestueux mais ce débordement inhabituel de tendresse fut surprenant.

Véro fraichement pénétrée et étourdie des émotions de notre ébat peu commun remettait son débardeur à l’envers. Encore une fois, ses mots prononcés en pleine jouissance la remplissaient de gêne à mon égard. 

Elle s’éclipsa pour revenir dix minutes plus tard, après avoir prît une bonne douche. Vêtue d’un tee-shirt bien court et uniquement d’un slip, je ne pouvais rêver mieux de la voir plus sexy. Les cheveux encore mouillés lui donnaient une sensualité hors norme. Je la trouvais tout simplement superbe, désirable

Il était l’heure de l’apéritif. 

– Patrick, tu es différent des hommes que j’ai connus. Commença-t-elle.

— Je tiens à toi tout simplement.

— Et moi donc Patrick, tu n’imagines pas en ce moment le bonheur que tu me procures. Arriva-t-elle à prononcer avec une voix tremblante, émue par ma première phrase.

— C’est cool de le faire avec toi, on est si proches. Dis-je en la regardant.

— Oui mais j’ai un peu honte si tu veux savoir.

— Je m’en fous, je prends un pied pas possible avec toi et les sentiments arrivent 

— Euh que veux-tu dire par là ? Tu avais précisé pas de sentiments entre nous ?

– Oui en effet, pardonne-moi pour cette confidence.

Il n’y avait pas d’hypocrisie dans mes paroles. Je disais avec sincérité ce qui me passait par la tête.

Véronique attendrie par cette révélation se leva et se mît face à moi en croisant les bras. 

— Viens m’embrasser. Dit-elle affirmative.

Face à moi, elle posait ses mains sur mes épaules en pure femelle mature et nous débutions par un baiser hautement sensuel.

Véro m’embrassait les yeux fermés en me laissant visiter avec soin l’intérieur de son palais, sous la vigilance de sa langue adroite. 

Ce baiser était révélateur de ses sentiments à elle. 

Peu à peu, au fil des minutes s’écoulant il prenait la dimension d’un symbole dépassant notre cadre sexuel habituel. Ma tante s’employait autant que moi à se fondre l’un dans l’autre, par un jeu subtil entre nos lèvres et nos langues respectives. Nous n’étions plus dans l’accouplement purement physique, c’était pour ainsi dire un accouplement de nos sentiments lié à un seul geste, un baiser profond.

A la fin, Véronique ouvrit les yeux et me caressa le visage.

— Je suis heureuse avec toi Patrick. Prononça-t-elle avec une sincérité désarmante.

— Ne prends pas ce ton désolé, tu n’es pas la seule à être heureuse. Lui répondis-je en lui caressant ses fesses tant désirées.

— Embrasse-moi encore Patrick. Me demanda-t-elle en m’enlaçant avec des gestes reflétant plus que de la tendresse.

Cette fois, notre baiser devenait purement jouissif. Je sentais les lèvres de ma tante contre les miennes, nous échangions nos salives tels deux amants assoiffés l’un de l’autre. 

Serrée contre moi, ma tante remarquait une envie légitime entre mes cuisses. 

Elle mît fin à notre baiser sans s’être fait vigoureusement peloter les fesses durant notre étreinte. Elle me faisait des sourires une fois assise en prenant son verre. Encore une fois, j’abordais sans qu’elle ne s’en aperçoive l’idée qu’elle me flatte mon sexe en évoquant le thème sentimental.

— Tu éprouves de l’affection pour moi ou beaucoup plus Véronique ?

— Euhtu m’en demandes des choses. Répondit-elle en fuyant mon regard.

— Et bien sache que je te considère comme beaucoup plus que ma tante. Dis-je sans en rajouter davantage en apercevant la finesse de ses pieds à l’air.

— Bon on va manger, je prépare un plat mon grand.

Véro esquivait mon approche et elle m’appelait mon grand pour prendre de la distance. Impossible de savoir si elle avait perçu mon message. Ce désir ardent de la voir se mettre à genoux devenait obsessionnel, la voir prendre soin de moi grandissait dans mon esprit. Oui je voulais que ce soit la sur de ma mère qui me le fasse, cela m’excitait au plus haut point mais à une seule condition, qu’elle en ait une sacrée envie. Pour cela et même si je la devinais amoureuse de moi, il fallait qu’elle m’avoue enfin ses sentiments et qu’elle se laisse aller. Ca n’était pas gagné.

Le repas terminé, nous fumions notre cigarette, sorte de rituel complice. J’allais revenir à la charge mais mon portable sonna. Yan mon pote m’appelait de Biarritz.

Nous bavardions au départ et ma tante devint attentive quand mon pote me proposa de le rejoindre le temps de quelques jours.

Je mettais le mode mains libres pour qu’elle écoute.

— Patrick, tu viens demain ! T’es à Bordeaux avec ta copine, en moins de 3 heures tu y es et tu amènes ta copine !

— Bah écoute je vais lui demander mais tu peux nous loger ?

— Pas de blème mec ! On est dans un vrai palais et on va s’éclater. Déclara-t-il déjà heureux de me voir.

— Je te rappelle dans 5 minutes.

Véro me regardait et l’incompréhension se lisait sur son visage. Elle n’y comprenait rien mais s’inquiétait déjà de me voir partir. J’envisageais l’incroyable avec ma tante, amatrice de situation périlleuse et je voulais la faire vibrer à ma manière en lui offrant une situation irréelle.

— Véro, tu viens avec moi demain ? Mes parents ne connaissent pas Yan et sa bande.

— T’es devenu complétement fou Patrick, je ne vais pas t’accompagner chez tes copains en me faisant passer pour ta copine ! S’emporta-t-elle.

— Mais Yan est originaire de Biarritz et ce serait fun de partir ensemble demain et Anne ne pourra jamais le connaitre.

— Admettons Patrick, mais tu oublies que je suis ta tante et j’ai 42 ans, à qui vas-tu faire croire que je suis ta copine ? Tu as de ces idées par momentPoursuivit-elle en croyant clore notre conversation.

— Tu as la mémoire courte, hier c’est bien toi qui est venue me dire qu’on me prenait pour ton jules et en plus tu avais l’air ravie !

— Oui en effet, tout le monde à la soirée me disait que j’étais bien accompagnée. Mais là je vais me retrouver avec une bande de jeunes. Déplora-t-elle.

— Et alors ? Tu n’as pas envie qu’on parte demain comme un vrai couple ? avoue que ce serait marrant et terriblement excitant entre nous deux.

Je ne renchérissais pas pour laisser ma tante réfléchir. Au fond d’elle-même, une petite voix lui chuchotait "allez Véro fais-toi plaisir pour une fois et Patrick a raison, ça va être euphorisant de se faire passer pour un couple avec ton neveu. C’est risqué mais bon", une autre voix presque maternelle lui ordonnait "enfin ma fille ! tu as déjà perdu la tête en couchant avec ton neveu et maintenant vous allez jouer au couple amoureux, tu dépasses les bornes ! Arrête ça suffit ". 

Je ne pouvais penser à la place de ma tante qui étendit ses jambes sur la chaise d’à côté.

Je passais mes doigts fins sur le dessus de ses orteils, comme sa peau pouvait se trouver douce à cet endroit. Je poursuivais en lui prodiguant des caresses enveloppant sa voûte plantaire. Dieu qu’elle avait de superbes pieds ! Dieu qu’elle pouvait être tout simplement belle de partout. Je m’égarais dans mes pensées et Véro me ramena à la réalité.

— On partirait quand dans ce cas ? Demanda-t-elle en restant réservée.

— Demain matin et on y est pour midi.

— Tu me fais faire des trucs complétement dingues Patrick. Et je vais m’habiller jeune ? Et si Anne l’apprenait ? Tu es sûr qu’il n’y a pas de risque ? Insista-t-elle relativement soucieuse de ce gros point noir, en laissant ses pieds élancés se faire dorloter.

— Non elle ne pourra jamais le savoir. Crois-moi. Pour la question vestimentaire, aucun souci ! Reste comme tu es hyper sexy. 

— Attends, je vais me mettre près de toi.

Sans rien y comprendre, Véro quittait sa place, ôtait son slip et se mît à cheval sur mes genoux. Elle était folle à regarder et le savait très bien, mon anatomie le lui faisant comprendre.

— Et là ? Je suis hyper sexy ? Dit-elle en levant les bras pour enlever son débardeur.

— Ah nonlà t’es pas hyper sexyt’es mega sexy ! M’exclamai-je en lui passant mes mains le long de son dos.

— Alors viens te coucherChuchota-t-elle en balançant son bassin érotiquement.

— Je t’adore !

— Alors viens m’adorer comme tu sais le faire

Je consommais ma tante comme il se doit dans les minutes qui suivirent, tout comme le lendemain matin.

Entre temps je passais un coup de fil à Yan pour confirmer ma venue avec ma pseudo copine.

Véro insista pour que je conduise.

Tout au long du voyage, je ne fis que penser malgré les musiques que nous écoutions. Avoir ma tante à mes côtés et savoir que nous allions passer quelques jours en pur couple relevait d’un fantasme imaginaire. J’avais certes du mal à y croire mais en y regardant de plus près, je faisais vivre des moments inédits à ma tante voire inconcevables.

Nous étions dans l’inceste mais cette fois, je passais à l’é

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