C’est un plaisir à la limite du supportable, auquel je me soustrais par instants pour reprendre haleine avant de me livrer à nouveau, c’est à la fois atroce et littéralement délicieux.
Porté par la vague je vibre de tout mon corps quand brutalement Lobo m’abandonne. Je tente bien de l’aguicher pour qu’il recommence mais rien n’y fait, non seulement il se désintéresse de ma petite personne, mais il fait aussi mine de partir…… et il part!
Seul et désemparé, surtout après un aussi si bon début, je suis triste avec au fond de moi une terrible frustration. J’avais tout prévu et tout marchait bien jusque là, mais c’était sans compter sur le caractère fantasque de l’animal.
Les minutes passent et comme je m’apprête à partir à mon tour, j’entends un bruit d’herbes piétinées à vive allure, et je le vois s’engouffrer par l’étroite ouverture…… il est revenu!
Il semble plus calme et c’est une bonne chose, car le but maintenant est de le faire se coucher et d’accepter mes caresses, et s’il refuse mon plan est fichu!
— " Vient Lobo calmes toi, couché, vient, doucement, vient"
A peine chuchotée cette invitation semble faire son effet, puisqu’il s’approche et se couche lourdement sur le flanc.
Sa bite s’est rétractée dans le fourreau, mais à peine effleurée elle pointe à nouveau.
C’est vraiment un gros morceau, et pendant qu’en la masturbant je la dégage sur une bonne longueur, je me répète mentalement ce que je dois faire ensuite, car ce qui doit suivre c’est la phase finale de mon lubrique scénario pour ce soir.
La cabane est assez grande, mais par chance le petit matériel dont je me suis muni est accessible sans difficulté.
Une main sur la bite de Lobo pour en garder le contrôle, de l’autre avec des gestes fébriles, je déplie le papier d’alu et en écrase le contenu entre mes fesses.
Tout autant que la pénétration, ce que ma rosette adore c’est le contact avec une matière épaisse et gluante, et la texture du beurre qui commence à fondre est un avant goût du plaisir qui l’attend…… si tout se passe bien!
Très lentement sans lâcher le membre de Lobo, je me retourne et cale mon derrière bien en appui sur son bas-ventre, puis je libère sa bite et commence à me frotter dessus.
Le contraste entre l’extrême douceur de la peau et la raideur du pénis est étonnant, et si on ajoute à ça la chaleur et la mouille………….
Pour le maintenir très serré contre moi, je passe un bras par dessus son dos et sa bite bien coincée dans la raie, j’agite mon petit cul déjà tout trempé qui la branle avec frénésie.
La glisse est parfaite, sans à coups, et ses grognements de satisfaction, me laissent à penser que lui aussi doit y trouver son compte.
Ce "flirt" très poussé entraîne assez vite chez moi un fort désir de pénétration, et me saisissant à nouveau de son mandrin, sans gestes brusques malgré mon intense excitation, je le fais glisser doucement entre mes fesses et viens en poser le bout sur ma rosette dégoulinante.
Son pénis gicle fortement et dès le contact intime établi, les jets par saccades me pénètrent profondément…… Je n’aime pas, j’adore! cette douche brûlante m’arrache de puissants frissons et pour ne rien en perdre, à petits coups de reins, je pousse sur le membre de plus en plus fort.
L’anus se détend, commence à s’ouvrir et maintenant directement aspergé à l’intérieur, il répond aux poussées successives par de petits bruits mouillés extrêmement troublants.
Pris en douceur le petit anneau s’étire, se relâche, et millimètre par millimètre, malgré sa masse imposante………. le mandrin s’engage.
La sensation est très intense, et vraiment je regrette de ne pas avoir des yeux dans le dos pour voir ce qui se passe entre mes fesses, ça doit être hallucinant!
Comparée au diamètre normal du petit trou au départ, il semble impossible qu’une chose aussi grosse puisse le pénétrer et c’est pourtant ce qui est en train de se passer!
La dilatation est forte sans être douloureuse et je suis tout à mon plaisir, quand sans prévenir après une ultime et légère résistance, l’anus capitule et s’ouvre en grand.
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Je ressens entre mes fesses une sorte de décharge électrique, puis le membre comme aspiré de l’intérieur s’engouffre brusquement dans l’ouverture….. avant de buter sur un autre obstacle, imprévu celui-là.
Je m’étais déjà fait prendre un certain nombre de fois, mais la rapidité avec laquelle ça se passait avec Moky notamment, ne m’avait pas permis de remarquer cette particularité de mon anatomie.
Quand je me faisais monter, enfilé d’un trait, la bite pulvérisait tout sur son passage, et je n’avais pas remarqué que ce n’est pas un, mais deux obstacles qu’il fallait franchir.
Ce problème imprévu me contrarie beaucoup car maintenant qu’elle est en moi et que je la sens vibrer, cracher, cette bite je la veux toute entière.
A peine entrée sur quelques centimètres elle commence à gonfler, et je dois décider vite, très vite!
Ou bien arrêter là ce qui serait le plus raisonnable mais aussi assez frustrant, où aller jusqu’au bout.
En réponse à la question, je donne un fort coup de rein………..et ça passe! ça passe mais ça fait mal, très mal même pendant une fraction de seconde.
C’est comme un déchirement aussitôt suivi d’une douleur sourde et lancinante. L’explication en est sans doute la grosseur déjà excessive du sexe au moment du passage forcé.
Par réflexe j’esquisse un mouvement de retrait, mais le gonflement inexorable du pénis m’en dissuade aussitôt.
Lobo commence à s’agiter comme si la situation lui posait problème, et je sens qu’il tente de se dégager.
La seule solution si je veux pas qu’il se retire c’est de lui redonner l’initiative.
Sans lâcher prise sur son sexe, je l’attire sur moi et malgré son poids qui m’écrase, je relève le derrière jusqu’à me retrouver en levrette.
Dés que ses pattes postérieures touchent le sol, il me ceinture et donne de vigoureux coups de reins.
Sa bite qui gonfle toujours, par à coup, me ramone énergiquement la rondelle, et si ce brusque changement de situation me déplaît un peu au début, très vite j’y prend un certain plaisir.
Non agressé cette fois par une pénétration brutale, l’anus accepte très bien l’expansion jusqu’à son terme, et accompagne docilement les vas et viens du membre qui le transperce.
Le "certain" plaisir, se transforme en plaisir tout court, puis la jouissance montre timidement le bout de son nez.
Lobo halète bruyamment et en mâle puissant qu’il est, me baise puissamment.
Bien que non prévue, cette seconde partie me plaît beaucoup car elle me permet après avoir dominé, de l’être à mon tour et d’en tirer une grande satisfaction.
Quitte à me répéter ce remplissage au sperme tandis que la queue s’agite, c’est une jouissance que seul un chien peut donner, et là du sperme il y en a et pas qu’un peu!
Il y en a tellement, que ma main droite qui depuis tout à l’heure maintient le membre à sa base…………….le laisse échapper!
Un nouveau coup de reins de Lobo et le voilà enfilé jusqu’à la garde!
L’anus n’a opposé aucune résistance au passage d’un léger renflement, puis s’est refermé sur la partie fine en arrière du noeud……….. il est entré!
Les deux obstacles franchis dans le mouvement, il se met à gonfler rapidement.
J’ai déjà connu ça une fois avec Moky et même si ça s’était plutôt bien passé, là je n’en mène pas large!
Chez Moky comparé à la grosseur de sa bite le noeud m’avait toujours paru énorme, alors que pour Lobo d’après ce que j’avais pu en voir la première fois, il était évidemment plus gros mais pas exagérément.
Cette chose qui enfle dans mon ventre ce n’est pour le moment que de l’angoisse, malgré le raisonnement que je viens de tenir pour me rassurer, et ce n’est qu’au moment ou son expansion s’arrête, avec pour moi plus de peur que de mal, que je peux confirmer que mon observation était plutôt juste.
Lobo se met à jouir en poussant de curieux petits jappements, il jouit et jute de plus belle en pompant lentement.
Le cul débordant de sperme malgré le bouchon interne, sans que je me touche je sens monter l’orgasme quand après deux ou trois coups de reins très appuyés Lobo s’immobilise………….puis entame cette manoeuvre propre aux chiens en fin d’accouplement.
Pendant qu’il m’enjambe pour se placer, je retiens mon souffle et serre très fort les fesses pour ne pas que son membre sorte accidentellement et surtout d’un bloc, car si ça se produit c’est la "cata" assurée.
La manoeuvre terminée, il ne me reste plus qu’à attendre ma libération qui comme je l’ai appris avec Moky, peut mettre un certain temps avant de se produire.
Les minutes passent et la bite ne désenfle pas, elle jute encore par moment et à nouveau un orgasme me prend.
Venant cette fois de très loin, je le sens monter sournoisement comme un orage qui s’approche, ce sont d’abord des picotements dans les reins, puis ça gagne peu à peu le bas-ventre.
Les spasmes commence à se manifester et pour ne pas passer à côté cette fois, je romps l’immobilité qui me lie à Lobo, et m’empale à nouveau à grands coups.
L’explosion est brutale et si je n’étais pas lié comme je le suis encore, je me laisserais tomber face contre terre.
Quand la jouissance m’a pris, j’ai poussé un cri rauque, presqu’animal qui m’a surpris moi même.
Tandis que lentement je reprend mes esprits, des frémissements internes m’annonce ma prochaine libération.
La boule se dégonfle et la queue qui cette fois n’est pas aspirée mais poussée de l’intérieur, jaillit d’entre mes fesses.
Le bruit qui accompagne l’expulsion n’est pas des plus raffinés, mais s’explique aisément par la béance de l’orifice et la quantité de foutre brutalement éjectée.
Moi qui aime le sperme je suis gâté ce soir, quand à ma rosette après une telle scéance inutile d’en vérifier l’état, elle est tellement ouverte que sans rire, j’ai l’impression que le vent s’engouffre dedans, heureusement que dans quelques heures tout au plus, elle sera à nouveau en état pour d’autres fonctions plus naturelles…..jusqu’à la prochaine fois bien sûr!
Les chiens ayant des notions bien à eux de savoir vivre, après le rituel de la toilette les adieux seront brefs, encore qu’ils ne s’agira que d’adieux très provisoires, car pendant de longs mois en divers lieux et diverses circonstances, nous allons nous retrouver Lobo et moi, et partant du scénario de ce soir sans cesse amélioré, devenir au détriment du pauvre Moky, d’incomparables amants.