Je n’allais pas me faire prier et je m’installe sur le canapé, jambes largement écartées pour que ma jolie fente poilue accueille la bouche et la langue de ma mère.
Pour quelqu’un qui n’a pas dexpérience, elle se débrouille très bien. Elle commence par mordiller mes grandes lèvres légèrement proéminentes, puis introduit sa langue dans mon vagin et la fait rentrer et sortir rapidement comme une petite bite, elle n’oublie pas non plus mon clito qu’elle vient aspirer du bout des lèvres. Je crois devenir folle tant mon plaisir est intense, je mouille comme une fontaine, je hurle ma jouissance, et je m’effondre ivre de bonheur.
Lorsque je reprends un peu mes esprit je réalise que mon frère n’est pas resté sans rien faire. En effet il est debout derrière notre mère et ses mouvement d’avant arrière laisse deviner son activité.
« Dis moi Maman, Julien te baise la chatte ou il est en train de t ’enculer ?
« Mais ma chérie, haaaaa, j’ai eu fromage ET dessert, ho putain que c’est bon, continue mon Julien, il a commencé par me prendre en levrette, hooooo oui t’arrête pas, puis c’est dans mon trou du cul, qu’il s’est introduit, sans trop de difficulté je dois dire, oooooouuuuuiiiiiii, il minonde, il décharge, c’est divin, je jouis comme une reine.
Et tous deux s’affalent à mes pieds vaincus à leur tour par la jouissance.
Lorsque nous sommes tous les trois un peu calmé, à nouveau nous éclatons de rire.
Avant d’aller au lit nous passons par la douche. Nous l’avions expérimenté à deux, Julien et moi, mais jamais à trois. Heureusement elle est suffisamment grande pour nous accueillir et suffisamment petite pour que nous soyons collés.
Pour la première fois à la maison nous dormirons Julien et moi dans le même lit. Et nous allons encore nous caresser longtemps avant de nous abandonner aux bras de Morphée.
Il est tard le lendemain matin lorsque nous descendons. Maman est déjà debout, vêtue d’un tee shirt qui lui arrive à ras la touffe et tous ses mouvements découvre et sa toison et ses fesses.
Julien n’a pas pris la peine de mettre le moindre vêtement. Quant à moi j’ai enfilé un peignoir que je n’ai surtout pas fermé.
Nous embrassons maman chacun notre tour, lèvres soudées et langues mêlées et mains baladeuses.
Bien entendu le désir est immédiatement de retour et notre collation est souvent interrompue par des caresses, des doigts fouisseurs ( que nous léchons ensuite), des mordillements de seins. Alors maman nous propose en souriant :
« Nous allons allier repas et caresse!
Elle enduit la bite dressée de Julien de fromage blanc et la suce avec délectation. Je trouve l’idée excellente et je fais de même avec la chatte maternelle. Julien lui va améliorer le goût de son jus d’orange: il me fait asseoir au bord d’une chaise, fait couler le jus dans mes poils et le récupérer le long de ma fente.
« Ta cyprine donne un parfum divin à mon jus d’orange.
« On ne va pas en rester là dit maman, on va se faire une nouvelle partie de cul dans ma chambre.
Sitôt dit nous montons et nous jetons sur le lit.
« Sandrine, mettons nous en 69, bouffons nous la chatte (quand je pense que maman n’a pas dexpérience en amour lesbien!!!), et Julien nous baisera chacune notre tour.
Claudine se place tête bêche au dessus de moi et avant de plonger dans sa forêt sombre, j’écarte ses fesses pour admirer ses poils qui remonte dans la raie culière et qui font une couronne autour de son trou du cul. Folle d’excitation je plonge au milieu de ce foisonnement et je suce, je lèche, j’aspire pour recueillir le maximum de suc. Et je vois la queue de julien investir la fente. C’est un spectacle extraordinaire qui fait monter la tension érotique de plusieurs degrés. Sans hésitation je me mets à lécher cette tige aimées. Elle est de plus en plus visqueuse au fur et à mesure des entrées et sorties et n’en devient que plus délicieuses. Bien entendu je titille aussi du bout de ma langue le clitoris maternel et après avoir humecter mes doigts j’en introduis un, puis deux, puis trois dans le cul de ma partenaire, laquelle n’est bien sur pas inactive avec ma chatte et elle perfectionne son style au fur et à mesure qu’elle me gnougnoute.
Julien se retire et nous dit:
« Retournez vous que je baise Sandrine.
Nous faisons un demi tour et c’est maman qui est dessous et moi dessus. Julien investit mon con
et c’est à mon tour d’éprouver les sensations d’être baisées et de sentir en même temps les caresses d’une langue féminine. Pour parfaire mon plaisir les doigts de maman viennent à leur tour investir mon cul.
Je ne réalise pas vraiment ce qui se passe, je JOUIS et je JOUIS encore. Et ce que j’entends confusément sont des gémissements, des soupirs, des cris et des paroles d’encouragements:
« Oui vas y enfonces toi. Branles mon cul. Vous êtes de vrais salopes… etc…
« Je vais joooouuuuiiiirrrrrr qui veut mon foutre?
« Vas-y mon frère d’amour déverse toi en moi.
Et je sens les giclées de sperme de Julien jusqu’au fond de mon vagin. Il retire sa queue et maman la remplace par sa bouche à nouveau.
Lorsqu’elle se retire elle exprime son plaisir:
« Je me suis régalée en buvant le jus de Juju mélangé à tes sécrétions. Quel pied!!!
Nouveau passage par la douche et nous sommes prêts pour attendre papa qui ne va pas tarder.
Maman est vêtue d’une jupe légère et d’un corsage assorti:
« Je commence à m’habituer et c’est vrai que c’est agréable.
« Quoi donc?
Et en soulevant sa jupe:
« De ne pas mettre de culotte.
Un bruit de voiture se fait entendre. C’est le taxi qui ramène papa de l’aéroport. Nous sortons pour l’accueillir. Maman l’embrasse à pleine bouche en se collant à lui. Lorsque je l’embrasse à mon tour, sur les joues, mais en frottant mon corps contre lui, il semble un peu surpris, mais lorsque maman me dit:« Tu peux lui rouler un patin ma chérie! », là c’est la stupéfaction, papa en reste bouche bée ce qui me permet de m’exécuter et de lui fourrer ma langue dans la bouche.
« Julien si tu ne m’en fais pas autant dit maman, je vais être jalouse.
Et devant les yeux ébahie de mon père, mon frère enlace notre mère, pour lui rouler un patin.
Finalement c e n’est qu’un peu plus tard lorsque Julien plaquera 2 grosses bises sur les joues de papa que celui ci retrouvera un peu la famille telle qu’il l’avait laissée.
Nous rentrons et là seulement notre père à retrouver suffisamment daplomb pour demander ce qui se passe.
Pour toute réponse je lui caresse la queue par dessus son pantalon et je sens que mes attouchements ne sont pas sans effets. Sa bite se redresse et durcit. Elle me semble un peu plus grosse mais moins longue que celle de Julien. Il va s’enhardir et passer ses mains sur mon cul puis sous ma jupe et lorsqu’il comprend que je suis à poil là dessous il se tourne vers maman et dit avec un regard coquin:
« C’est super d’avoir directement accès à ces trésors, tu devrais en faire autant.
Et en soulevant à nouveau sa jupe:
« Mais mon chéri c’est le cas et dorénavant vous aurez et nous aurons tous et toutes (et elle insiste sur le « toutes ») accès à nos chattes et à nos culs. Ce serait bien d’ailleurs les mecs que vous envisagiez quelque chose, pour que vos bites soient aussi accessibles.
Mais tu as posé une question et je vais t’expliquer: ça a commencé avant hier, j’ai proposé aux enfants d’aller faire un pique nique…
Et maman raconte toute l’histoire à papa.
Pendant cette narration, Julien bouffe la moule de notre mère, ce qui lui donne une élocution entrecoupée de soupirs et de petits cris.
Pour ma part j’ai sorti la bite de mon géniteur et je lui prodigue une pipe dont j’ai le secret. Le contenu de nos aventures, que maman raconte avec les détails les plus salaces et un vocabulaire très précis, et ma fellation font grimper papa aux rideaux:
« Vas y ma cochonne suce bien ton papa, j’en ai tellement rêvé de ta bouche sur mon chibre, de ta langue sur mon nud, lèche bien pendant que je branle ta moule poilue.
Puis se tournant vers maman:
« Claudine, pompe aussi ton fils et rapproche toi de moi que j’astique ta connasse.
Du coup papa lâche ma fente, et lorsque le couple maman fiston est en place, Julien reprend le travail interrompu et me branle de ses doigts experts.
Au bout de quelques minutes, changement de partenaires, Julien s’applique sur ma chatoune et papa investit celle de maman qui se trémousse de plaisir.
« Maintenant Paul (c’est papa), tu vas baiser ta fille, je crois qu’elle en rêve depuis longtemps.
« Ho oui mon papounet enfile moi ta grosse queue jusqu’aux couilles, prends moi en levrette pour qu’on puisse admirer la baise entre Julien et ta femme.
Et pendant que la mère et le fils copulent sur le tapis le père et la fille baisent à couilles rabattues.
« Papa d’amour n’oublie pas mon cul. J’ai envie que tu décharges dans mon petit trou!!!
Je sens l’introduction centimètre par centimètre et enfin je l’ai entièrement dans mon cul.
C’est papa qui jouit le premier, sans doute à cause de l’abstinence liée à son voyage professionnel.
Il déverse une quantité impressionnante de foutre dans mes intestins. Puis je me déconnecte, me retourne et embouche cette colonne de chair pour la nettoyer.
Voyant cela Julien explose à son tour et sa partenaire aussi.
Ce fût la première baise à quatre, et pas la dernière, car depuis un an tout est permis dans cette famille qui a jetée aux orties les tabous et les préjugés, et qui réponds dans la plus totale liberté à cette injonction de carabins: « BAISONS BAISONS C’EST LE PLAISIR DES DIEUX ».