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je suis la salope de mon père et j'aime ça – Chapitre 1




bonjour

Je m’appelle Amandine.

Je suis la salope de mon père et je dois avouer : j’aime ça…

Je dois tout expliquer : Voilà. Papa et moi, avons toujours été très proche. Depuis que je suis toute petite j’aime le séduire. C’est mon idole et je l’ai toujours adoré. Mon adolescence n’a rien arrangé. Je le trouvais tellement beau et sexy !

Mes seins et mes fesses sont devenues des armes faciles pour attirer son attention, mais papa n’a jamais cédé à la tentation ni à mes provocations…Il a des principes, je suis sa fille, et c’est un homme d’affaire important qui a une réputation à assurer…

Moi, je mourrais d’envie qu’il s’occupe de moi, qu’il me touche, qu’il me caresse, qu’il cède à son désir. A cette époque, j’étais vierge et j’avais envie de passer le pas. Mais pour ça je voulais un homme mûr, qui ait vraiment du désir pour moi.

Mon père était tout désigné pour ça, car du désir, il en avait plein, je le sentais bien. Sa petite fille était devenue une femme, et rien qu’à sa façon de me regarder lorsque je me baladais en petite culotte dans ma maison, je sentais que ça le perturbait, même s’il faisait bien attention de ne rien montrer de son trouble. Alors j’en rajoutais. Je dépensais tout mon argent de poche en sous vêtements sexy, et je m’arrangeais pour les mettre en présence de papa.

Parfois, on s’amusait à chahuter à la maison, jouant à la lutte, cherchant à s’immobiliser au sol, avec tous les frôlements des corps que ça implique… Plusieurs fois, m’asseyant sur lui pour le bloquer, il m’est arrivé de sentir dans pantalon la raideur assez significative de son sexe. Je l’excitais. Moi aussi ceci dit ça m’excitait… Je sentais des picotements assez caractéristiques dans mon bas ventre…Alors je me collais contre lui, le serrant dort dans mes bras. Je serais bien restée un moment ainsi, sentant son sexe contre le mien, même si nos vêtements empêchaient une exploration plus complète.

Mais mon père n’irait pas plus loin, je le savais. Devant l’impossibilité d’arriver à mes fins de cette façon, je me suis mise à réfléchir à des moyens détournés pour séduire mon père..

J’ai décidé de devenir sa salope, sa petite pute…C’était pas compliqué. J’étais bien faite, plutôt jolie. J’attirais les regard des hommes, même beaucoup plus âgés que moi. Je pouvais sans problème me servir de mes charmes. Je voyais bien lorsque papa faisait des dîner d’affaire à la maison. Ses clients n’arrêtaient pas de me mâter.J’en rajoutais un peu, avec des petites tenues sexy, des décolletés un peu ouverts…Comme par hasard, les dîner de papa ont commencé à avoir plus de succès dans son entourage d’affaire. Ma mère essayait aussi de paraître à son avantage, mais difficile de lutter contre une beauté de 18 ans.

Et puis un jour, mes parents ont organisé une fête à la maison. Il y avait beaucoup de monde, dont un important client suédois de mon père. C’était l’occasion de montrer à papa ce que je pouvais faire. Pendant tout la soirée j’ai allumé son client. C’était un bel homme de la cinquantaine, c’était plutôt agréable. A un moment, je suis sortie sur la terrasse avec lui pour pour fumer une cigarette. Là, je me suis approchée tellement proche de lui que je pouvais sentir son souffle. Le mec était déjà pas mal chaud. Je me suis approchée. Il m’a attrapée, collé à lui, je sentais son érection contre mon bas ventre. Il a voulu m’embrasser mais je me suis dégagée en rigolant. Il était fou. Je l’ai laissé me rattraper dans le jardin. il s’est mis à passer sa main dans mon dos, puis est descendu sur mes fesses.Il était complètement excité. Il a passé ses mains sous ma robe, m’a caressé un peu partout.Il était assez habile, c’était plutôt agréable.

Alors j’ai décidé de passer le pas. J’ai baissé son pantalon et j’ai sorti son sexe, bien dur. Je l’ai mis dans ma bouche. J’ai toujours aimé sucer la queue des mecs. Ils aiment ça et moi je me régale d’avoir leur doux engin dans la bouche. Je lui ai fait une fellation dont il se souvient encore. On est pas allé plus loin, mais il était ravi quand même : se faire sucer par une gamine de 18 ans, c’est quand même pas mal…

Puis l’air de rien, on est revenu. Personne n’avait noté notre absence…

Le lendemain, mon père m’a appris qu’il avait signé important contrat avec lui. Il était surpris.

— Tu as pas mal discuté avec lui pendant la soirée, j’ai vu. Vous avez parlé de quoi ?

— ben de tout…de rien, répondis je hésitante

Ma gêne m’avait trahie, mais ça m’arrangeait pas mal finalement que papa se doute de quelque chose. Alors j’ai recommencé. J’avais demandé à papa de l’accompagner à ses repas d’affaire. Après tout je venais d’entrer en première année d’étude en commerce international, il fallait bien que j’apprenne le métier… A la maison, je restais assez sage pour ne pas éveiller les soupçons de maman. Mais dès que nous sortions avec papa, je me laissais aller. Je mettais des mini jupe ras la touffe, des décolletés carrément exagérés.

— Amandine, t’es obligée de t’habiller comme ça ? critiquait mon père

Je savais que même s’il ne voulait rien laisser paraître, ça l’excitait quand même que je m’habille comme une petite pute.

C’était par ailleurs un peu ça que j’étais devenue. Lorsque les clients de papa me voyaient arriver, le cul en arrière et les seins en avant, ils étaient ravis. j’étais devenue l’atout majeur de mon père dans ses dîners d’affaire.

Papa n’était pas dupe. Il voyait bien que parfois je disparaissais avec un de ses clients, et qu’après ça après le gars était ouvert à toutes les discussions avec lui. Sans vouloir l’admettre ça l’arrangeait bien, donc il fermait les yeux. Mais en même temps, ça le rendait fou d’imaginer que sans doute je baisais avec ces hommes. Ce n’était pas le cas, je me limitais à quelques attouchements, fellation, je les laissais me lécher aussi, mais c’est tout. Mais ça papa ne le savais pas…

Un soir, au cours d’une soirée, mon père a surpris un de ses clients en train de me mettre discrètement la main aux fesses. Il est devenu fou. Il m’a entraîné dans un coin de la maison et s’est mis à s’énerver.

— Amandine, tu fous quoi, là ? Tu crois que je t’ai pas vu là, à faire ta petite…heu…

— ma petit pute ? C’est ça que tu veux dire papa ? Ben oui ! Je fais ma pute ! Et alors ? Ca t’arrange, non ?

Je l’ai senti s’énerver. Il m’a attrapée fermement par les deux bras. J’ai cru qu’il allait me mettre une gifle.

— Amandine, je veux que tu arrête tout ça !

— Non papa, j’arrêterais pas ! J’arrêterai pas avant de t’avoir toi !

J’ai attrapé sa main et je l’ai mise entre mes jambes, passant sous ma petite jupe. Je n’avais pas de culotte, et ses doigts se sont retrouvés au contact direct de ma petite chatte nue. Il essaya de dégager sa main, mais je la tenais fermement.

— Tes clients, je m’en fous ! Tu le sais ! C’est de toi j’ai envie ! Toi aussi t’as envie ! Regarde, tu peux rien me cacher !

J’ai mis la main sur la bosse proéminente de son sexe à travers son pantalon.

Hélas pour mon père, son érection ne pouvait pas être dissimulée. J’ai commencé à défaire sa ceinture et ouvrir sa braguette.

— Tu es folle Amandine ! Ta mère peut rentrer ici n’importe quand !

— Ferme la porte !

Il hésita un instant, mais s’exécuta.

Je jubilais intérieurement. Il était à moi ! Dès qu’il se retourna je sautais sur lui, enlevais sa ceinture et baissais son pantalon.

Ha sa queue ! enfin ! Enfin je la voyais, enfin je pouvais la tenir dans les mains, la caresser ! Une queue splendide, la plus belle du monde, bien plus belle que tous ses clients. Bien au garde à vous, bien dure ! J’en étais sure, j’avais eu raison d’insister, elle était magnifique ! Papa était complètement perdu, hésitait entre me laisser faire et me repousser. Mais il était trop tard : je me suis doucement avancé et j’ai mis avec précaution sa queue dans ma bouche. Je ne voulais pas aller trop vite, je voulais m’appliquer pour que le plaisir de mon père soit complet, qu’il soit fier de moi. Je l’ai sucé longtemps, amoureusement. La plus douce fellation qu’il n’ait jamais reçu. J’étais morte d’envie de faire l’amour avec lui mais on savait tous les deux qu’on avait peu de temps. Je voulais être vraiment tranquille pour ça. Ne pas risquer d’être dérangés. Ma virginité valait bien ça… Alors je l’ai sucé jusqu’au bout, jusqu’à ce qu’il s’aperçoive que c’était trop bon, qu’il ne pourrait pas se maîtriser, qu’il me supplie d’arrêter, mais trop tard :

il jouissait dans ma bouche…

Lorsque nous sommes revenus nous joindre à nos invités, nous étions tous les deux sur un petit nuage. J’avais encore le goût du sperme de papa dans la bouche. J’avais adoré ça, son goût, sa texture… Je l’avais pompé jusqu’à ce qu’il ne reste plus une goutte de son précieux nectar, avalant tout avec un plaisir immense. Maman était là, en train de discuter avec nos invités. Elle ne s’était aperçue de rien.

Sa fille était encore vierge… mais plus pour longtemps…Ca, je le raconterai plus tard…

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