CHAPITRE 6 : LE PAL CAPITEUX

Quatre bras vigoureux me hissèrent à laplomb du gode moyenâgeux.

Mon rectum copieusement assoupli par Hakim dévora le phallus dans une descente rapide durant les vingt premiers centimètres, dévoilant fastueusement ma vulve ruisselante.

Mes poignets ligotés étaient reliés à la poutre par un cordage me permettant un coulissement maîtrisable sur le pieu. Mes jambes ballantes balayaient l’espace dans des oscillations avantageuses, accentuant la provocation de ma musculature longiligne.

Mon pubis projeté vers lassistance tendait à l’excès mon pistil démesuré et bientôt racoleur.

Le prélat du coin prit la parole et rappela, point par point, la sentence. Mon avocat pipeau me traduisait :

En conséquence, la blonde aux yeux vert de "jade" est condamnée à être empalée durant quatre heures en place publique et offerte aux vaillants défenseurs…

Quatre heures ! Bravo, connard, pour ta défense héroïque !

Les dix premiers salopards grimpèrent en chur sur le podium. L’avocat leur distribua frénétiquement les fouets posés dans un présentoir. Le premier le refusa, préférant se servir de ses mains pour me massacrer mes jambes pendantes. À ma grande surprise, il parlait un français impeccable, teinté d’accent du sud de la France.

Les bruits vont vite dans ce microcosme. Une rumeur insistante nous rapporte que ton "petit poisson" ne serait pas très prudent. On dit même qu’il refuserait de rentrer à la maison.

Une chaleur infâme minonda le bas-ventre quand il le caressa avec beaucoup de civilité, ma foi. Ma bouche vaginale grande ouverte exprima sans prévenir un orgasme fulgurant. Des jaillissements torrides qui nétaient plus freinés par lobturation de mes lèvres éclaboussèrent les musulmans déconcertés. Mes vagissements hérétiques attisèrent les pulsions agressives des spectateurs.

Cette gamine empalée est dune rare sensualité, sexclama spontanément Rezza. Je veux lui écrire ma prose :

« Le soleil se coucha sur ce spectacle haut en couleurs.

Pour éviter un embrochage outrancier, la sculpturale Chloé glissait sur son piquet à la force de ses bras, qui inexorablement s’épuisaient. Baignée par la lumière des feux de bois, elle enfilait ses orgasmes comme les perles d’un collier.

La pénétration anale cadencée qu’elle se procurait la nourrissait dune jouissance sordide que les soldats entretenaient par le massage de son bourgeon charnu et la pénétration de sa fente damour.

Sevrée depuis trop longtemps de contact féminin, la troupe recevait en cadeau une créature de rêve, brûlante de désir et jouissant comme une forcenée sur son pal. »

Les gradés me manipulaient les seins tandis que les sous-fifres sactivaient sur mes cuisses. Ils se servaient de mes jambes pour me faire exécuter des rotations sur le piquet de plus en plus envahissant.

Dans ma position misérable, avec mon clitoris assailli de caresses, les jets incontrôlés de foutre libérés par ma vulve enroulée marquaient le périmètre au gré des mes circonvolutions. Laliénation collective gagnait les religieux qui percevaient dans mes éjaculations extravagantes une preuve indiscutable de possession satanique.

Après quatre heures dune joute héroïque, je fus enfin dissociée de la colonne justicière et raccompagnée pour examen chez mon médecin personnel.

Effondrée sur la table dopération, il entreprit de me libérer de mes abjectes sutures vaginales.

Toi, vraiment "vilaine fille" qui mouille partout.

Ma toilette achevée, on maccorda une nuit de récupération sur la paillasse de ma cellule.

Mon sommeil fut peuplé de cauchemars horribles.

Pourquoi faisait-on subir ces outrances à une innocente ?

Mes amis ont-ils aussi été condamnés au pal devant ce tribunal de pacotille ?

Pauvre Pascal, qui souffre d’hémorroïdes !

Quelle fourberie ourdissaient-ils encore avec leur accusation de sorcellerie ?

Pascal, jai peur, tu me manques !

Au petit matin, mon médecin traitant imposé marracha à mes rêves.

Il était accompagné dHakim et du leader religieux qui semblait très contrarié.

Hakim me lança un justaucorps blanc, un peu juste dailleurs pour mon mètre soixante-quinze. Cétait, paraît-il, le seul vêtement féminin disponible dans son nid daigle ; il semblait y tenir beaucoup : il ne lui restait que ce seul souvenir de son épouse disparue lors dun assaut des forces gouvernementales lannée dernière.

Elle le portait le jour de ses dix ans pour son examen au conservatoire de danse de Genève.

Jenfilai prudemment le précieux body.

Elle devait être très petite pour ses dix ans, votre compagne.

Je devais être moins indécente dévêtue. Dans lentrejambe, mon sexe se voyait comme les yeux au milieu de la figure ; mes seins débordaient outrageusement de léchancrure, dardant leurs mamelons à travers le Lycra. J’étais probablement encore plus affriolante ainsi fagotée.

Tu vas être soumise à la question, sermonna le religieux. Ton comportement sur le pal avait des relents démoniaques. Je dois te poser les « sept questions sacrées » pour établir la vérité.

Je suis prête à répondre honnêtement à votre interrogatoire, lui rétorquai-je en minclinant respectueusement, à la japonaise.

Mes seins jaillirent, splendides et lourds, jeunes et gonflés, dune sensualité offensante.

Le body trop étriqué refusait obstinément la garde de mes joyaux.

Ce coup du sort irrita fortement le prélat susceptible qui ordonna mon déshabillage et ameuta les gardiens. Tractée par les couettes, je fus promenée toute nue dans le cantonnement jusquen place publique.

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