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Mes études en métropole – Chapitre 3




Après ce mémorable rendez-vous de ma campagne avec Monsieur Édouard où ce dernier avait réussi à la convaincre de se laisser baiser juste avant de s’absenter plusieurs semaines, elle était restée sage. En effet, elle ne souhaitait pas proposer à d’autres clients du salon, ses services à domicile. Pour ma part, je pensais également, qu’un client était largement suffisant compte tenu de ce qu’il lui donnait d’une part mais surtout, elle n’allait plus avoir de temps pour les études si elle se lançait dans cette voie.

Nous en avons donc profité pour nous replonger à corps perdu dans nos bouquins d’autant que des examens se profilaient à l’horizon. Pour ma part, je continuais à travailler à la Brasserie contre l’avis de Marine qui aurait préféré que j’arrête pour me consacrer entièrement aux études mais comme je ne savais pas si cet épisode lucratif allait se poursuivre longtemps je pensais il était plus sage de conserver ce boulot juste au cas où.

Nous avons repris peu à peu notre vie d’avant ces récents événements. Deux puis trois puis quatre semaines passèrent lentement, presque sans intérêt dirais-je presque, pourtant les examens approchaient et il nous fallait mettre les bouchées double, car ce pour quoi nous étions en métropole c’était bien et avant tout nos études.

Un soir alors que je m’apprêtais à pénétrer dans la cage d’escaliers, je vis le gros 4×4 noir de Monsieur Édouard se garer devant le café juste en face de notre immeuble. Je montais les escaliers quatre à quatre pour arriver dans le studio juste au moment où le téléphone se mettait à sonner. Marine qui était déjà là, décrocha. Elle me regarda en me faisant signe de ne pas me manifester puis me tendit l’écouteur. C’était bien lui, Monsieur Édouard. Il lui disait qu’elle lui avait beaucoup manqué depuis tout ce temps et lui demandait s’il pouvait venir la voir.

Marine me regarda avec un air interrogateur comme pour obtenir mon consentement aussi je lui fis signe de la tête que c’était OK. Elle me sourit avant de lui dire qu’elle était contente de son appel et accepter qu’il monte.

A peine avait-elle raccroché, que je m’approchais d’elle pour la serrer contre moi et lui murmurer à l’oreille après l’avoir embrassé à pleine bouche :

— Petite salope. Tu vas encore me cocufier avec ce Monsieur Édouard.

Elle me regarde avec son désarmant petit air malicieux puis :

— Mais c’est toi qui vient de me dire de le faire monter. Avoue que ça t’excites et que tu meurs d’envie de voir ta petite femme se faire mettre par Monsieur Édouard.

— Oui, c’est vrai. Je suis affreusement jaloux mais j’en ai affreusement envie aussi. Je veux rester. Je veux rester et tout voir.

Elle hésite à peine quelques secondes avant de me dire.

— Bon ok, c’est d’accord mais surtout ne te manifestes pas. Je ne veux pas le mettre mal à l’aise, on ne sait jamais.

— C’est lui qui vient sauter ma petite femme et c’est moi qui doit me cacher. Elle est pas mal celle-là.

— Allez file. Il arrive.

Je me dépêchais de me dissimuler comme la 1ère fois dans la penderie de notre armoire et me faisait le plus petit possible en attendant l’arrivée de ce cher Monsieur Édouard. Marine me suivit pour vérifier qu’on ne me voyait pas puis se déshabilla entièrement. Elle était magnifique avec ses hanches si féminines, ses petites fesses bandantes et ses seins aux aréoles appétissantes. Elle savait que je la voyais dans l’interstice de la porte. Elle me sourit puis enfila sa fameuse petite blouse blanche à ras des fesses quand Monsieur Édouard frappa à la porte. Elle disparut de ma vue pour aller vers l’entrée. Je les entendis se faire la bise puis discuter de son déplacement, des études de Marine, de ses examens qui approchaient, du temps qui passait etc etc…. Une conversation presque anodine jusqu’à ce que Marine demande à son client si le spectacle lui plaisait toujours. Elle devait lui offrir une vue intégrale sur son bas-ventre en écartant largement les cuisses pour lui permettre de mater les détails de son sexe. N’y tenant plus, je sortais discrètement de ma cachette pour essayer de voir moi aussi ce qui se passait exactement. Monsieur Édouard me tournait le dos comme la dernière fois, Marine était cette fois-ci assise sur le petit fauteuil à côté de notre lit. Elle avait passé ses jambes sur les accoudoirs. Dans cette position, son client pouvait voir sa petite chatte en gros plan. Je n’en revenais de son audace. Elle ne m’avait jamais fait un tel numéro. Visiblement, elle avait pris beaucoup d’assurance dans sa façon d’exposer ses charmes.

Monsieur Édouard, se leva pour se diriger vers elle. Elle le regardait avancer vers elle, un grand sourire aux lèvres. Sans plus attendre, il s’agenouilla et se mit à renifler son entrejambe en poussant des grognements de mâle en rut :

— Hum, mon Dieu que tu sens bon. L’odeur de ta chatte me rend fou. J’ai envie de te dévorer toute crue.

— Allez-y Monsieur Édouard, ma petite chatte baille d’impatience.

— Tu deviens de plus en plus coquine Mlle Julie et j’aime çà.

Je regardais l’homme déjà en train de lécher le coquillage offert de ma petite chérie. Un de ses doigts puis un deuxième s’engouffrèrent dans son fourreau en commençant à y faire des aller-retours tout en tournant sur eux-même. Mon sexe de plus en plus à l’étroit dans mon slip commençait à me faire mal tandis que mon cur dans ma poitrine battait à tout rompre. J’étais toujours partagé entre l’excitation et la jalousie de voir ma campagne se laisser embrocher par des doigts qui n’étaient pas les miens.

— Oh oui Monsieur Édouard. Oui. C’est bon ce que vous me faites. Vous allez me faire jouir.

— J’espère bien petite coquine. Donnes-moi tout ton jus. Donnes-moi ta petite chatte toute mouillée.

— Oh Monsieur Édouard, vous me faite rougir à me parler comme çà.

— Tu veux que j’arrêtes ?

— Non, non, surtout pas. J’aime çà.

— Je me doutais bien que çà t’excitait de te faire un vieux monsieur comme moi. N’est-ce-pas ?

— C’est vrai. Ça m’excite. Ça m’excite aussi que vous me parliez un peu crûment.

— Petite salope. Tu m’excites toi aussi de plus en plus.

— Oui, c’est çà. Je suis une petite salope rien que pour vous. Sucez-moi le bouton. Faites-moi jouir. Vous me donnez trop envie.

L’homme la pistonnait maintenant avec trois de ses gros doigts bien enfoncés dans son ventre, ses lèvres soudées à son clito. Marine jetait un coup dil dans ma direction mais ses yeux basculèrent très vite dans ses orbites tant le plaisir que son amant lui prodiguait était fort. Elle cria :

— Je vais jouir Monsieur Édouard. Je viens. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

— Jouis ma chérie. Jouis dans ma bouche.

— Aaaaaaaaaaaaaahh c’est trop bon. C’est trop bonnnnnnnnnnnnnnnnn.

Quel spectacle de voir sa moitié emportée par un puissant orgasme en pleurant presque de bonheur. Monsieur Édouard se redressa pour mieux la voir jouir sans cesser de lui caresser l’intérieur des cuisses en remontant vers son ventre et ses seins.

— Tu es trop belle quand tu jouis ma chérie. J’aimerais te faire jouir tout le temps, une, deux, trois , quatre fois, à l’infini.

Marine, les yeux fermés, récupérait doucement de son premier orgasme. Elle souriait en entendant les confidences de Monsieur Édouard. Au bout d’un long moment, Monsieur Édouard se redressa en se débarrassant rapidement de ses vêtements qui tombèrent à ses pieds. En moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire, il était nu, sa verge fièrement dressée contre son ventre. Il bandait ferme le salaud. Marine ouvrit les yeux et lui sourit ce qui le conforta sans doute dans son désir de la prendre sans plus tarder. Sans un mot, il s’approcha d’elle, les jambes toujours accrochées au bras de notre vieux fauteuil, sa petite chatte offerte puis, s’aidant d’une de ses mains, il dirigea son gland pour le poser dans l’entrée de sa vulve. Il n’avait pas enfilé de préservatif et je compris qu’il voulait la posséder complètement, sentir la douceur de ses chairs les plus intimes. Marine lui souriait toujours visiblement prête à l’accueillir sans la moindre protection. Moi j’avais le cur sur le point d’imploser devant l’imminence de cette possession pleine, complète. Il allait pouvoir jouir dans son ventre, lui faire sentir la chaleur de son sperme, je ne voulais pas qu’il en soit ainsi mais impossible maintenant de faire quoi que ce soit pour l’en empêcher.

— Oh oui ma chérie. C’est trop bon de sentir l’intérieur de ton ventre. Ouiiiiiiiiiiiiiiii.

Il était en train de s’enfoncer doucement dans le fourreau intime de mon amie. Elle le regardait dans les yeux, jetant brièvement des petits regards vers moi. C’était comme si un poignard était en train de me transpercer la poitrine. Je l’entendis lui dire :

— Vous aimez Monsieur Édouard ?

— Oh oui ma chérie. C’est encore meilleur que tout ce que je m’étais imaginé.

— Vous me baisez sans préservatif Monsieur Édouard, ce n’est pas bien vous savez.

— Oui. Oui je sais mais j’en avais tellement envie. Tu vas me laisser jouir dans ton ventre n’est-ce-pas ma chérie ?

— Vous voulez m’engrosser Monsieur Édouard ?

— Non. Non ce n’est pas çà mais c’est tellement mieux que de jouir dans une affreuse poche de caoutchouc.

— Si vous me faites jouir encore. Je vous laisse vous vider en moi, c’est honnête non ?

— C’est très honnête.

A ces mots, Monsieur Édouard se met en mouvement. Il lui assène des petits coups de reins en faisant tourner son bassin de gauche à droite dans un mouvement tournant ce qui ne tarde pas à faire gémir ma petite chérie. Il la besogne longuement, alternant des coups puissants et rapides à d’autres plus profonds et plus lents. Ses mains ne restent pas inactives. L’une d’elle lui caresse le ventre en remontant pour s’attarder sur ses mamelons. Les doigts de l’autre s’activent sur son mont de vénus. Il est en train de la masturber. Elle se laisse pilonner, offre son bouton d’amour aux doigts habiles, recommence à gémir de plus belle, de plus en plus fort jusqu’à devenir de longs feulements de bête blessée. Je n’en reviens pas de voir cet homme qui pourrait être son père, jouer avec son corps comme d’un instrument de musique dont il saurait tirer les sons exactement au moment où il le faut. Je regarde ce corps que j’aime tant balloté au rythme de la possession qu’il subit. Elle aime çà. Elle le lui dit :

— Oui Monsieur Édouard. Plus fort, plus au fonds. Baisez-moi à fonds. Vous êtes gros, je vous sens bien dans mon ventre. C’est bon. Oui. Oui.

Monsieur Édouard accélère ses coups de boutoir. Il la fait carrément crier. Tout son corps se tend d’un seul coup. Elle se raidit et explose bruyamment. Elle jouit encore. Monsieur Édouard ne s’arrête pas pour autant. Il la pilonne tel un métronome.

— Aaaaaaaaaaaaaahhh, Monsieur Édouard, c’est trop fort, c’est trop bon.

Elle jouit sans discontinuer. C’est complètement irréel. J’ai moi-même le plus grand mal à croire ce que mes yeux voient. Il est bien plus vieux que moi et pourtant, il semble infatigable. Marine finit par perdre pieds. Ses cris perdent en puissance pour devenir gémissements. Elle s’est complètement affalée tout au fonds de notre vieux fauteuil. C’est le moment que Monsieur Édouard choisit pour se souder à son ventre puis, son pieu bien emmanché dans sa petite chatte, il la prend dans ses bras et la soulève en la maintenant plaquée contre sa poitrine avant de se relever complètement. Il la porte une de ses mains sous ses fesses et l’autre appuyée sur son dos pour la maintenir tout contre lui et se dirige vers notre lit. Là, il la dépose sur le dos et s’allonge sur elle en prenant le soin de relever ses jambes sur ses épaules. Elle est presque pliée en deux mais se laisse faire sans protester, d’ailleurs elle n’en aurait pas la force. Les deux sexes ne se sont pas séparés une seule seconde. Il recommence à la pilonner puis change de position après un long moment où Marine n’a pas cessé de gémir, pose ses deux pieds de chaque côté de son corps et la pilonne accroupie au-dessus d’elle. Dans cette position, je vois très distinctement sa bite entrer et sortir à un rythme soutenu des chairs ouvertes de ma chérie. Je suis littéralement subjugué par ce spectacle digne des meilleurs pornos que j’ai eu l’occasion de voir. Des bruits obscènes résonnent dans le silence de la pièce, entrecoupés par les gémissements de ma copine et les commentaires de satisfaction de son amant.

— Oh Monsieur Edouard, Monsieur Edouard.

— Oui ma chérie, oui. C’est trop bon. Je vais jouir dans ta petite chatte.

— Oui. Oui Monsieur Edouard. Donnez-moi tout. Remplissez-moi la chatte de tout votre jus. J’ai envie moi aussi.

— Aaaaaaaah. Tu m’excites trop. Oui. Demandes-moi encore de te remplir la chatte.

— Allez-y Monsieur Edouard. Videz-vous dans mon ventre. Je sais que ça vous excite. Ça m’excite aussi.

C’en est trop pour Monsieur Edouard. Il se met à jouir bruyamment. Mes yeux rivées sur ses fesses, je suis avec attention les derniers coup de reins qu’il lui donne, réalisant qu’il est en train d’éjaculer lorsque enfin il s’immobilise les fesses contractées à l’extrême comme s’il voulait la transpercer de son dard.

Marine est aux anges. Elle l’encourage de la voix :

— Oui Monsieur Edouard. Je vous sens bien en train de jouir dans mon ventre. C’est bon. C’est trop bon. Encore. Encore….

Je reste encore un moment à regarder l’amant de ma campagne continuer de se vider, imaginant tout son sperme tapisser l’intérieur de ses chairs intimes puis, je m’éclipse discrètement avant qu’ils ne se lèvent. Je m’apprête à retourner dans ma cachette quand j’entends ma fiancé s’écrier :

— Oh non Monsieur Edouard, pas de photos ou alors vous devrez me faire un petit cadeau supplémentaire.

Monsieur Edouard lui réponds tout de go qu’il n’y a aucun souci pour le petit supplément mais en attendant il aimerait qu’elle ouvre l’entrée de sa vulve avec ses doigts pour lui montrer sa semence s’écoulant de sa petite chatte.

— Vous êtes vraiment un cochon Monsieur Edouard. Vous me promettez de ne pas prendre mon visage n’est-ce pas ?

— Bien sûr ma chérie. Tu as un très beau visage mais il n’est pas utile que l’on voit à qui appartient cette petite moule baveuse.

Monsieur Edouard la mitraille un long moment en lui demandant de prendre des positions toutes plus osées les unes que les autres. Du sperme coule le long de ses cuisses ce qui a l’air de bien l’exciter du coup il s’approche d’elle pour présenter son gland violacé à hauteur de son visage. Marine le regarde un peu étonné de ce regain de vigueur.

— Suces-moi ma chérie. J’ai encore envie de jouir. Tu veux bien ?

Elle lui sourit avant de sortir sa langue et commencer à lécher le sexe couvert de leurs sécrétions intimes sans manifester le moindre dégoût.

— Oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiii. T’es une sacrée bonne petite salope de suçeuse ma chérie.

— Recommencez pas à me parler comme çà Monsieur Edouard. Vous allez me donner encore envie.

— Ben c’est justement ce que j’ai envie de t’exciter comme çà, tu vas te démener pour me faire jouir et tout avaler sans rien perdre de mon jus de couille.

— Ah Monsieur Edouard. Arrêtez, arrêtez ou je ne réponds plus de rien.

Il me faudra patienter un long moment, blotti dans ma petite cachette, avant que Monsieur Edouard ne se mette à jouir en lui ordonnant de tout garder dans sa bouche afin qu’il puisse faire d’autres photos de sa langue noyée de sperme et de n’avaler toute sa semence que lorsqu’il le lui dira.

Je sais que Marine ne va certainement pas lui désobéir car je me suis rendu compte que ça l’excitait d’être traitée comme une prostituée. D’ailleurs au bout d’un moment j’entends Monsieur Edouard lui ordonner d’ouvrir toute grande sa bouche pour qu’il puisse bien photographier son sperme à l’intérieur.

— Oui, c’est bien comme çà. Sort ta langue couverte de mon jus de couille. Voilà c’est bien. 2 photos encore et tu avales tout d’accord.

J’entend Marine lui répondre par l’affirmative.

— Ok c’est bon. Avales tout maintenant ma jolie petite salope.

— Hummmmmm on voit que t’aime ça le sperme, hein. Allez dis-le moi. Dis-le moi que t’aime mon sperme.

— J’adore votre sperme Monsieur Edouard.

— Tu avales aussi celui de ton copain ?

— Non, je n’avale que le vôtre Monsieur Edouard. Peut-être que lorsqu’il me paiera pour ça, alors là j’avalerais son sperme à lui aussi.

— Coquine, tu sais quoi me dire pour m’exciter hein ?

— Vous aussi vous m’excitez Monsieur Edouard. Vous me parlez comme à une prostituée et j’aime çà.

Il continue encore un long moment à parler. Je devine en entendant parfois Marine pousser des petits cris, qu’il est en train de lui fourrer ses doigts dans la chatte puis, enfin, j’entends la porte de l’appartement s’ouvrir et se refermer aussitôt. Il est parti. Il me tarde de tout savoir de ce qu’il lui a encore fait et combien il lui a donné pour ses services de plus en plus exigeants.

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