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Confession d'un homme perdu – Chapitre 1




Ceci est ma confession :

Je m’appelle Nicolas, un homme de 42 ans en couple avec Nathalie, 53 ans depuis quelques années.

Nous nous sommes rencontrés au travail, où nous avions flirté par messagerie interposée en face à face pendant que nos collègues pensaient que nous étions absorbés par nos tâches.

Elle était, à cette époque, coincée dans un mariage malheureux, mais son corps respirait l’envie, un bouton de chemisier trop ouvert par-ci, un pantalon taille trop basse et des dossiers à ramasser laissant entrevoir ses dessous par-là. J’ai toujours aimé ce type de femmes sophistiquées qui laissent plus deviner que montrer, et te fait monter la température.

Aujourd’hui, les années ont passé, et sa libido s’en est allée avec la ménopause, alors que mon envie d’elle demeure toujours aussi forte.

Au préambule de cette histoire, il y a une anecdote : j’aime quand Nathalie me suce, qu’elle chevauche son gode. Alors qu’un soir j’avais enfin réussi à la convaincre de me lécher et que tout se déroulait le mieux du monde, je lui demandais d’aller chercher son gode pour m’occuper de son cul et elle répondit : «- Non, tu n’as qu’à essayer un jour, tu verras que l’on peut pas toujours en avoir envie ! ».

Interloqué, je n’ai pas répondu, et l’ambiance presque romantique avait disparu.

A compter de cet épisode, nos rapports sexuels ont continué à diminuer alors que mes besoins restaient les mêmes et j’essayais de les combler par une masturbation quotidienne. Cependant, je considérais que passé 40 ans, il était triste de se satisfaire comme un ado de 14. et décidais de m’abstenir jusqu’à ce que Nathalie soit de nouveau d’humeur folâtre. Malheureusement, elle avait manifestement moins de besoin que moi.

Et c’est comme cela que tout a commencé pour moi :

A force d’abstinence, j’avais littéralement les couilles pleines, et un matin alors que j’allais à la selle, il se passa un événement qui a changé ma vie.  Assis tranquillement sur la cuvette des toilettes, je poussais  pour faire sortir un bel étron quand pendant l’effort j’ai commencé à ressentir des sensations dans le bas ventre assez déroutantes et plus la pression s’accentuait pour le pousser, plus les sensations étaient agréables. C’est alors qu’en regardant ma bite, je vis que du sperme gouttait bien que je ne sois pas dur. Le passage de la merde avait massé ma prostate et m’avait donné un peu de plaisir dont ma compagne me privait.

Pris dans l’envie de renouveler cette expérience, je décidais après ma douche de sortir ce gode qui était à l’origine de notre dernière dispute au lit et me souvenais de ses mots «  Tu n’as qu’à essayer un jour … »

C’est un petit gode rose, lisse de près de 16 cm, légèrement courbé au niveau du gland, une bite très stylisée en somme.

Tout à la fois excité et mal à l’aise, car je trouvais l’idée de l’essayer gay et me suis toujours senti hétéro, je décidais de franchir le pas.

J’étalais une serviette au sol, renversais la chaise Kartell (où pour une fois son assise tout en plastique allait être utile), collais le gode sur l’assise et plaçais le tout devant le miroir en pied de la chambre.

Je retournais dans la salle de bain prendre le lubrifiant et en versais une noisette au creux de ma main, puis toujours un peu confus, je retournais dans la chambre où m’attendais ce gode rose, la tête pointant en l’air fier. Je masturbais cette bite afin de l’enduire de lubrifiant et passais ma main au creux de mes fesses. Toujours hésitant, je me disais aussi que j’avais déjà été trop loin pour arrêter maintenant, et je me mis à quatre pattes sentant ce sexe dressé contre mon corps.

Je me suis regardé dans le miroir pour me voir de face en levrette, cherchant avec ma main gauche à guider entre mes jambes cet appendice et réussir à le placer devant mon petit trou vierge. Il était là, tout contre l’entrée, maintenu par la pression que j’exerçais pour qu’il ne parte ni à gauche, ni à droite, avec tout ce lubrifiant qui le rendait glissant.

 Je respirais profondément et poussais légèrement mon cul vers l’arrière, et c’est alors que je sentis sa tête passer la rondelle. Je ne bougeais plus, la douleur, sans être insupportable, était là, alors que juste le gland était en moi. J’essayais de me décontracter et voulus faire de légers mouvements de va et viens juste avec sa tête, mais très vite, il ressortit complètement de mon cul.

Reprenant mon courage, je guidais de nouveau ce sexe à l’entrée de mon anus et, avec un peu moins d’appréhension, l’aidais à rentrer à nouveau.

Une fois le gland passé en moi, je restais immobile, laissant mon corps s’habituer, puis petit à petit, sans vraiment l’encourager, je l’ai senti glisser progressivement de plus en plus profondément, comme ci cela était naturel et je me suis retrouvé empalé jusqu’à la garde, mes fesses touchant l’assise de la chaise.

Lentement, j’ai repris mes mouvements de va et viens en prenant soin de ne pas le laisser ressortir, le plaisir n’étant pas totalement là, mais le sentiment de gêne étant parti. J’accélérais la cadence, mais rien n’y faisait, le plaisir ressenti sur la cuvette des toilettes était absent, il manquait quelque  chose.

Je décidais de déculer et m’aperçus alors que de la merde avait recouvert le gode, coulé sur la serviette et la chaise. Un peu dégoûté, je nettoyais le tout, et allumais mon pc pour lancer une recherche sur la prostate et sa stimulation.

Après avoir visionné quelques films sur pornh relatifs au sissygasm, je replaçais le gode en place mais en pointant sa tête vers le bas, remis du gel dessus, même si les vidéos conseillaient de le lubrifier par une fellation (ce dont je n’étais pas prêt) et me remis à quatre pattes, les fesses en l’air, la main entre les jambes pour l’aider à trouver l’entrée.

De nouveau, je poussais légèrement pour faire juste entrer le gland, et plus facilement que la première fois, il glissa entre mes fesses. Je restais immobile pour m’habituer à sa présence et comme précédemment, petit à petit, il a fini par entrer entièrement en moi. Je me suis regardé dans le miroir en me disant « ce n’est pas très hétéro » mais j’ai quand même entrepris des allers et venues le long de cette bite, lentement et délicatement, je la sentais au fond de moi, puis en contractant les abdos lors du retrait, comme conseillé dans l’une des vidéos, j’ai commencé à retrouver les sensations au niveau de mon bas ventre.

Petit à petit, j’ai accéléré le rythme, ce qui se révéla compliquer à synchroniser avec les contractions abdominales, et là j’ai senti ma queue goutter sur le dossier de la chaise. Au point où je me trouvais, je décidais de récolter ce jus sur mes doigts et de les lécher, ce qui accentua mon envie de continuer à me faire enculer par ce gode. Je changeais de rythme, contractais les fesses ou les abdos pour le ressentir dans toute sa longueur et essayer de stimuler ma prostate à chaque passage. Après 10 minutes de va et viens plus ou moins intenses, j’ai commencé à sentir venir un orgasme comme jamais auparavant. J’accélérais et ralentissais pour essayer de profiter de toutes ces sensations au fond de mon ventre,  me regardais dans le miroir et toute honte bue, je commençais à dire à mon double de miroir « salope, t’aimes ça au fond de ton fion, ça te fait du bien » et après quelques estocades supplémentaires j’éjaculais intensément avec une demie molle entre les jambes, ce qui m’arracha des râles de plaisir et je ne pus retirer ce gode de mon cul pendant quelques minutes, car les derniers va et viens continuaient à me procurer un plaisir coupable.

Enfin, totalement détendu par cette séance masturbatoire, je nettoyais le tout encore partiellement couvert de merde, mettais la serviette en machine et repris une douche.

Cela a été ma première fois avec un gode, je me disais que c’était juste une expérience, car comme Nathalie me l’avait dit «  on ne peut pas toujours en avoir envie », mais la suite me prouva le contraire…

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