Pendant les vacances, j’eus plusieurs aventures qui me laissèrent sur ma faim. C’est donc avec impatience que j’attendais l’appel d’Aline. Je ne voulais pas faire le premier pas de crainte d’être déçu de sa décision. aussi je fus très anxieux quand j’entendis le son de sa voix au téléphone.

— Salut Olivier, c’est Aline. Comment vas-tu ? Les vacances se sont bien passées ?

— Heureux de t’entendre, j’allais t’appeler. Mes vacances se sont bien passées. Et toi c’était bien ?

— Oui, parfait. Tu te rappelle notre discussion dans les bras de Juliette ?

— Oui, parfaitement.

— Alors parfait. Il faut qu’on en discute sérieusement. Que fais-tu ce soir ?

— Rien de spécial, si tu veux, on peut se retrouver.

— Parfait ! Je te propose d’aller dîner au restaurant, et après on rentre dormir chez moi. A moins que tu préfères que l’on aille dans ta chambre d’étudiant, comme cela ma mère ne risque pas de nous déranger.

— OK pour ma chambre, à tout à l’heure.

J’étais tout émoustillé et quelque peu anxieux de la tournure des événements. Qu’allait m’annoncer ? Je la connaissais assez bien pour savoir qu’elle était capable de faire l’amour avec moi toute la nuit et m’annoncer au petit matin que c’était fini entre nous. Je passai donc chercher Aline chez elle, pour dîner dans un restaurant calme où nous avions l’habitude d’aller assez souvent. A peine installée dans ma voiture, elle m’embrassa chaleureusement sur les lèvres pour me montrer son impatience. J’appréciais de me retrouver à nouveau blotti dans ses bras. Je sentais ses petits seins fermes libres de toute entrave sous son T-shirt se serrer contre ma poitrine. Ma main partit à la recherche de ses mamelons et dès qu’elle en trouva un, s’y attarda, le faisant rouler entre les doigts, le pinçant légèrement, puis l’abandonnant pour attraper l’autre et lui faire subir le même sort. Aline ronronnait de plaisir et me murmura :

— Tu m’as manqué mon chéri. Pendant ces vacances, j’ai beaucoup fait l’amour, tu t’en doutes, mais je n’ai jamais été aussi bien que maintenant. Et toi, tu en as profité ?

Je lui racontai alors quelques unes de mes aventures pour lui faire plaisir. Elle écarta largement les jambes, et attira ma main vers son sexe pour me dire :

— Tu vois, pour toi, je continue à ne jamais mettre le moindre slip. Même sur la plage cet été, maman et moi sommes toujours allées sur des plages naturistes. Nous adorons cela, et comme cela il n’y a a pas tricherie. tu verras tout à l’heure, je n’ai aucune trace de maillot.

Elle remonta son T-shirt et je pus vérifier qu’aucune marque de gâchait la vue de ses seins. Elle posa sa main sur ma braguette, et voyant l’effet qu’elle me faisait me dit dans un murmure :

— On dirait que tu n’as pas baisé depuis plusieurs mois. Tu ne pourras jamais attendre que nous soyons au lit. Laisse moi, je vais te soulager une première fois.

Elle fit glisser ma fermeture éclair, et libéra mon splendide phallus qu’elle prit dans sa bouche. Elle me fit la caresse exquise que je connaissais si bien. Ses lèvres enserrèrent mon gland et sa langue titilla mon petit trou. Puis elle descendit sa bouche et avala toute ma verge. Elle la fit ressortir et fit aller le bout de sa langue sur tout mon pénis, dans une excitation sublime. Elle goba la première goutte qui apparut au bout et s’en délecta avec un ronronnement de plaisir. Sentant que j’allais jouir, elle reprit mon sexe dans sa bouche et ne le lâcha pas jusqu’à ce que j’explose en jets saccadés qui lui remplirent la bouche. Elle avala jusqu’à la dernière goutte et se lécha les lèvres de satisfaction. Elle vint alors m’embrasser et nous partageames les dernières gouttes salées. Elle prit son plus beau sourire pour me déclarer :

— Il y a longtemps que je n’avais pas eu un tel apéritif. J’adore ton goût. tu me manquais.

Nous avons alors gagné le petit bistrot que nous connaissions. Le patron qui nous connaissait nous installa au fond de la salle côte à côte sur la banquette. Aline releva sa jupe pour s’asseoir en disant qu’elle ne voulait pas qu’elle ait de faux plis. En aparté, elle m’avoua qu’elle adorait avoir ses fesses nues sur le cuir de la banquette. Nous avons commandé et le repas se passa tranquillement. De temps à autre, ma main ou la sienne passait sous la table et nous nous procurions quelques attouchements intimes.

Vers la fin du repas, nous avons remarqué un couple d’environ trente cinq à quarante ans qui était installé en face de nous de l’autre côté de la salle. C’est à ce moment que je me rendis compte que l’on pouvait voir sous la table tout ce qui se passait. J’en fis la remarque à Aline. Elle se tourna vers moi et m’avoua :

— Cela fait longtemps que je m’en suis rendu compte, Je n’arrête pas d’écarter les jambes, mais ils n’ont pas l’air de la remarquer. Pour voir leur réaction, le vais relever complètement ma jupe, et ouvrir complètement les cuisses. on verra bien ce qu’ils vont faire.

Effectivement, elle releva sa jupe qu’elle coinça entre son ventre et la table et je la sentis s’écarteler au maximum. L’homme qui était en face de nous se pencha alors vers sa compagne et lui parla à l’oreille. Elle se leva immédiatement et se dirigea vers les toilettes. A peine une minute plus tard, elle revint et se réinstalla à sa place. Son visage semblait s’être empourpré. Son compagnon se leva et vint vers nous et déposa sur notre table la culotte de la femme en nous disant :

— Nous vous en faisons cadeau. Nous avons eu tant de plaisir à manger en face de vous. Si vous aimez cela, vous pouvez sentir ses effluves intimes, car elle a énormément mouillé en vous regardant. Je vous souhaite une bonne fin de repas.

Il alla se rasseoir à côté de la femme et je le vis placer sa main sur la jupe de son amie. Il remonta alors sa jupe et lui fit écarter les jambes. Nous avions à notre tour une jolie vue sur cette inconnue. Je plaquai ma main sur le sexe d’Aline et je vis que notre voisin d’en face en fit de même. Je compris qu’il désirait nous copier totalement et nous demandait de l’initier dans ce type de plaisir. Je lui fis un petit signe de tête pour lui montrer que j’avais compris. Il me sourit. Je demandai donc à Aline d’écarter ses jambes au maximum et je vis que notre inconnue en faisait de même. Elle avait une pilosité abondante et je ne pouvais pas voir les détails de son minou. Je caressai Aline en lui titillant le clitoris qui ne tarda pas à se redresser fièrement comme un petit sexe d’homme. Je me mis à la masturber et je la voyais se déchaîner en ondulant sur la banquette. Notre inconnue avait fermé les yeux et de toute évidence prenait un plaisir immense. Au bout de quelques minutes, Aline poussa un petit cri, et je sus qu’elle jouissait les fesses nues sur la banquette. Notre inconnue émit également un râle de satisfaction qui en disait long sur son plaisir. Nous nous sommes regardés tous les quatre, et je sentis qu’Aline avait posé sa main sur ma braguette. Je vis une hésitation dans les yeux de notre belle inconnue, mais je lui fis un merveilleux sourire et la vis poser à son tour sa main sur le pantalon de son compagnon. Je la remerciai du regard. Aline baissa la fermeture éclair de mon pantalon et je vis notre belle inconnue en faire autant avec son compagnon. Mon amie sortit alors ma virilité et se mit à la caresser. Notre belle inconnue hésita, mais son compagnon lui susurrai quelques mots à l’oreille et à son tour elle sortit son sexe fièrement dressé et le caressa lentement.

Je décidai de me laisser guider par mon amie, sachant que dans ces situations elle n’était jamais à cours d’idées. Je lui dis et elle acquiesça en m’embrassant voluptueusement à pleine bouche. Les mains de ma maîtresse allaient et venaient sur mon sexe dressé et je voyais notre belle inconnue qui en faisait de même avec son compagnon. Elle avait même synchronisé ses gestes sur ceux d’Aline, montant en même temps et redescendant également en même temps. Ce doux va-et-vient dura une éternité, et je sentais que je ne pourrai certainement plus attendre très longtemps avant de lâcher ma semence. J’en fis part à ma compagne qui me dit à haute voix, pour que nos amis entendent :

— Alors comme cela, Monsieur craint de plus pouvoir se retenir très longtemps, monsieur à peur de jouir trop vite. Et vous qu’en dites vous, vous pouvez encore tenir ?

Nos amis ne prononcèrent pas un mot, mais lui nous fit comprendre que sa tension était extrême, et qu’il était sur le point d’éjaculer. Aline dit alors :

— Bon, alors on se calme, on va prendre le dessert et on verra après.

Elle lâcha mon sexe qui put ainsi perdre un peu de sa raideur. Mais elle ne fit aucun mouvement pour le rentrer dans mon pantalon. Elle dit alors à notre amie qui paraissait surprise :

— Depuis que nous sommes assis, j’ai le minou à l’air, alors vous messieurs vous pouvez bien rester quelques instants flamberge au vent. D’ailleurs je trouve que notre ami a une très belle queue. Quant à toi, mon amie, tu es très belle aussi, bien qu’avec ta forêt intime je ne vois pas très bien ton intimité, mais je la devins.

Le serveur qui nous connaissait fit semblant de ne pas remarquer nos tenues et prit la commande comme si de rien n’était. Je voyais nos amis qui ne savaient plus comment se tenir. Je comprenais que c’était lui qui avait ce genre d’idée. Dès que nous eûmes avalé nos desserts, Aline reprit ma verge dans sa main et recommença ses caresses. Notre amie fit de même avec son compagnon. Sentant que je ne pourrais plus me retenir très longtemps, Aline se glissa et se pencha pour prendre ma virilité dans sa bouche. Je vis que notre amie hésitait, mais son compagnon guida sa tête vers son entrejambes. Les coquines avaient chacune notre sexe en bouche, et je voyais notre amie regarder vers nous. J’en déduisis qu’Aline lui donnait des instructions, mais je ne pouvais les voir à cause de la table. Mon amie sentit bientôt ma jouissance qui montait et ralentit ses mouvements sur ma queue qui n’arrêtait pas de gonfler. Enfin n’y tenant plus, je me répandis dans la bouche de mon amie qui continua à me sucer jusqu’à la dernière goutte. Je vis que notre compagnon se vidait en même temps que moi. Aline me nettoya parfaitement le sexe, le rentra dans mon pantalon et referma la fermeture éclair. C’est alors qu’elle s’est levée et s’est dirigée vers notre belle inconnue. Elle s’assit sur la banquette à côté d’elle, et commença à l’embrasser sans façon, en glissant sa main sous sa jupe. Son ami parut surpris, mais Aline lui déclara :

— Comme cela je connaîtrai au moins le goût de ton sperme. Je sais parfaitement qu’il n’y a pas deux hommes qui ont le même goût, et comme aujourd’hui, j’ai décidé d’être fidèle à mon amant, je m’interdis de te sucer.

Nos amies échangèrent un long baiser passionné pendant que leurs mains s’exploraient mutuellement. Je les voyais en face de moi, chacune avait écarté les jambes au maximum, pour que l’autre puisse la caresser à loisir. Elles m’offraient un spectacle grandiose. Au bout de quelques minutes, Aline revint vers moi et se rassit tout contre moi. Nous échangeâmes un baiser passionné qui mêlait les senteurs de notre amie aux miennes. Aline me dit alors, toujours à haute voix pour que nos amis momentanés puissent entendre :

— Chéri ce repas a été très agréable. Mais vois-tu je préfère ta liqueur intime à celle de notre ami. Mais peut-être que c’est uniquement parce que j’en ai l’habitude. Si nous nous revoyons peut-être que je changerai d’avis.

C’est la moment que choisit le serveur pour apporter les additions. Nous avons réglé chacun la nôtre, et je pris Aline par la taille pour quitter ce restaurant tendrement enlacés. En retournant à la voiture, Aline me confia :

— Je trouve que son foutre n’a pas bon goût. Je préfère le tien.

Nous sommes donc allés dans ma chambre d’étudiant où nous nous sommes aimés tout le restant de la nuit. Ce dîner en ville nous avait vraiment émoustillés tous les deux, et je la pris par tous les orifices qu’elle me confiait. C’est repus de plaisir que nous nous sommes endormis au petit matin.

Lorsque je me suis réveillé, il était midi passé. Nous étions bien blottis dans les bras l’un de l’autre. Elle avait l’air d’une enfant, et j’avais peur de la perdre. Elle dormait encore dans une pose impudique. Elle avait les jambes écartées au maximum, et une de ses mains était sur son sexe glabre. Je vis que son index faisait de petits mouvements sur son clitoris. Elle se donnait du plaisir solitaire en dormant. J’en étais ému, mais ne la reveillai pas.

Je me suis levé avec précautions pour ne pas interrompe son plaisir en la réveillant. Je commençai à préparer le café pour le petit-déjeuner. L’odeur du café lui titilla certainement délicatement le nez, car je l’entendis m’appeler :

— Olivier chéri, que fais-tu j’ai une faim de loup.

J’apportai un plateau sur lequel j’avais disposé tout le nécessaire pour nous refaire une santé. Cela faisait plaisir de nous voir dévorer toujours nus sur le lit. Entre deux bouchées, nous nous caressions et nous embrassions. Comme vous le devinez, très rapidement nos ébats prirent une toute autre tournure, et nous fimes l’amour une nouvelle fois. Après avoir repris une nouvelle fois des forces, Aline se serra très fortement dans mes bras et me murmura :

— Olivier, mon chéri, cette nuit m’a prouvé une nouvelle fois que je ne pourrai pas vivre sans toi. Aussi je voudrais te faire rencontrer ma maman qui est tout pour moi. Je pense qu’il en est temps.

Je restai interloqué, car c’était la première fois que mes relations avec une fille prenaient une telle tournure. Elle respecta mon hésitation en restant chastement à mes côtés, le voulant pas m’influencer par des caresses. Au bout d’une bonne minute, durant laquelle de nombreuses idées traversèrent mon esprit, je lui répondis :

— OK, ma chérie. Mais que cela ne nous interdise pas de reprendre notre liberté suivant l’évolution de notre relation.

Elle se blottit tout à fait contre moi et murmura dans un souffle :

— Maman va être heureuse, car je lui ai beaucoup parlé de toi, et je crois qu’elle t’estime déjà. Je vais l’appeler pour lui dire que nous venons dîner ce soir.

— OK pour le dîner, mais je tiens à apporter le vin.

— OK je l’appelle

Elle attrapa le téléphone et appela aussitôt sa mère :

— Allô Maman, oui c’est moi, je suis chez Olivier.

— ….

— Oui très bien, des retrouvailles fantastiques. Nous n’avons pas beaucoup dormi, mais ce n’était pas le but. Alors on vient dîner. Olivier s’occupe du vin. A tout à l’heure.

Aline se jeta dans mes bras et comme nous étions encore nus tous les deux, nous avons une nouvelle fois fait l’amour.

Avant de quitter mon petit appartement, Aline et moi avons pris une douche pour être parfaitement présentables devant sa mère. Durant le trajet, mon amie me parla un peu d’elle :

— Tu vas être surpris, ma mère est très jeune. Lorsqu’elle avait 16 ans, la pilule n’existait pas encore et les filles connaissaient beaucoup moins de choses sur le sexe que nous. Elle a connu un garçon et on peut dire que dès le premier coup de queue, elle s’est retrouvée enceinte. Tu parles d’une catastrophe. pour tout arranger, le garçon s’est sauvé et mes grands-parents n’avaient pas les moyens de la faire avorter en Suisse comme faisaient certaines familles. C’est comme cela que je suis venue. Plus tard, ma mère s’est mariée avec un homme formidable que j’ai à peine connu car il est mort dans un accident de voiture quelques années après. Depuis nous vivons toute les deux, et c’est pour cela qu’elle a voulu que je ne me donne pas au premier venu.

Tout en discutant, nous étions arrivés chez Aline. Elle me dit que ce n’était pas la peine de sonner, car elle avait ses clefs et que si sa mère était sous la douche, elle n’entendrait pas. Elle m’expliqua que l’appartement n’était pas très grand, mais qu’il leur suffisait. en plus il était au dernier étage et disposait d’une grande terrasse qui était bien agréable.

En arrivant au dernier étage, Aline sortit ses clefs et fit jouer la serrure. La porte s’ouvrit alors, et j’eus un petit pincement au coeur car c’était la première fois qu’une fille me présentait à sa famille. Devinant mon embarras, Aline se serra contre moi et nous avons échangé un baiser fabuleux. Nous avancions lentement dans le coquet petit appartement qu’habitaient Aline et sa mère. Nous n’entendions aucun bruit, et manifestement Aline cherchait à savoir dans quelle pièce était sa mère. Nous n’entendions aucun bruit et Aline me glissa à l’oreille :

— Allons sur la terrasse, Maman est peut-être sortie quelques minutes pour faire des courses.

En arrivant sur la terrasse, nous découvrimes la mère d’Aline entièrement nue qui prenait un bain de soleil. Malheureusement pour elle, elle s’était endormie, et ne nous cachait rien de son intimité. Aline s’approcha de sa mère et lui posa un baiser sur la joue, ce qui la réveilla. Elle ne parut pas gênée, mais tira sur elle son drap de bain qui traînait à terre. Elle se tourna vers moi, et me dit gentiment :

— Bonjour Olivier, Aline m’a beaucoup parlé de toi. Je suis contente de te connaître. Si ma fille t’a décidé à venir, c’est qu’elle envisage plus qu’un simple flirt avec toi.

— Bonjour Madame….

— Ah non ! si tu veux que l’on s’entende, tu me tutoie et tu m’appelle Jacqueline. Je n’ai pas encore un âge canonique, et je me sens beaucoup plus près de jeunes comme vous que de parents classiques. Alors OK Olivier ?

— OK Jacqueline. Cela me fait drôle de te tutoyer, car pour moi tu représentes la génération de mes parents. Alors…

Les présentations étaient faites. Jacqueline se leva en laissant glisser le drap de bain à terre et nous dit :

— Je vais prendre une douche, j’en ai besoin; si vous le désirez, vous n’avez qu’à prendre un bain de soleil, la terrasse est assez grande.

J’étais admiratif devant le corps de femme mûre que Jacqueline ne nous cachait pas. Elle passa près de nous et je fus enivré par son parfum capiteux de femme dans la plénitude de l’âge. Aline s’en rendit compte et me dit :

— Comment trouves-tu ma mère ? Moi je la trouve formidable, et tu as vu, elle a encore un corps de jeune femme. Je comprends qu’elle ai besoin de prendre des amants de temps à autre, mais elle ne veut pas se remarier. Au fait, j’ai envie de prendre un bain de soleil, et si cela te dit, fais-en autant.

Sans plus de façon, elle se déshabilla et s’allongea sur un drap de bain qui semblait n’attendre que cela. Elle me dit de me déshabiller également, et de faire comme si sa mère n’était pas là. Elle ajouta avec un sourire coquin :

— Tu sais mon chéri, je crois que Maman sait comment sont faits les hommes, et je sais que toi tu es comme les autres.

Je me suis donc déshabillé et me suis allongé à côté d’Aline. Nous étions bien, tous les deux allongés sur le dos au soleil. je ne pensais plus à rien, bien décidé à me laisser porter par les événements. Au bout d’un temps que je pus pas évaluer, Jacqueline est revenue en tenant un plateau sur lequel elle avait disposé des verres. Elle nous dominait car nous étions allongés par terre. Elle nous demanda si nous voulions boire quelque chose. Aline lui répondit que oui, et elle nous servit des jus de fruits qui furent très agréables. Aline se tourna vers sa mère et lui dit :

— Maman chérie, te sois pas timide. Il fait si bon, pourquoi ne prends-tu pas un bain de soleil avec nous ?

— Mais ma chérie, je ne vais quand même pas me mettre nue devant Olivier.

— Et tout à l’heure, tu n’étais pas à poils peut-être ?

— Olivier qu’en pensez-vous ?

— Je pense que vous avez un corps admirable, et je ne vois pas pourquoi, vous n’auriez pas le droit de vous exposer au soleil.

Jacqueline se déshabilla donc et je fus surpris de découvrir qu’elle était nue sous sa robe. en se retournant elle me dévoila également que son sexe était complètement glabre comme celui de sa fille. Devant mon air surpris ce fut Aline qui m’expliqua :.

— Maman ne porte jamais de sous-vêtements entre amis. Pour son sexe, elle s’est fait épiler comme moi. En quelque sorte c’est toi le responsable si maman n’a plus de poils au cul.

Cette dernière remarque déclencha un rire général, et Jacqueline précisa.

— Avec Aline, nous sommes très liées. Aussi, lorsqu’elle m’a dit qu’elle voulait se faire épiler le minou, j’ai attendu de voir ce que cela donnait, et vu le résultat, j’en ai fait autant. Vous savez, Aline m’a tout expliqué et je sais exactement comment s’est passée la première soirée à laquelle elle a participé. Je sais que vous avez été très doux avec elle, et je vous en remercie. Ce n’est malheureusement pas toujours le cas, et même moi qui suis très libre avec elle, je ne lui ai jamais dit que la première fois, je n’ai pas ressenti de plaisir. Mais j’ai deviné que vous êtes très doux et je suis heureuse pour elle.

Le restant de l’après-midi se passa à discuter tous les trois, et finalement vers 20h, Jacqueline nous proposa de passer à table. Il faisait vraiment très chaud et c’est Aline qui proposa que nous restions dans la même tenue pour manger. De toute façon, nous n’avions plus rien à nous cacher. Le repas fut succulent, et nous avons facilement vidé les deux bouteilles de vin que j’avais amenées. A la fin du repas, Jacqueline nous proposa de prendre du cognac après le café. Je n’avais pas l’habitude, mais je ne voulais pas lui refuser. Nous avons donc pris un, puis deux cognacs. La tête me tournait. Jacqueline me proposa alors :

— Je crois que nous avons tous la tête qui tourne un peu. Il serait préférable que nous allions nous coucher. Je sais qu’il n’était pas prévu que vous restiez, mais dans l’état où nous sommes tous, ce serait trop dangereux de rentrer chez vous.

Je n’étais plus en état de réfléchir, et je sentis qu’Aline me conduisait dans sa chambre où je m’écroulai immédiatement pour me mettre à dormir. Je me suis réveillé en pleine nuit en ayant une sérieuse envie d’aller aux toilettes. Aline me serrant fort dans ses bras, je fus obligé de la pousser légèrement, ce qui la réveilla. En revenant m’allonger, elle vint se blottir contre moi. Elle commença à me caresser de ses mains douces. Ses doigts courraient sur ma poitrine, sur mon ventre. Immédiatement, mon sexe se dressa à la verticale pour lui montrer l’effet de ses caresses. Elle le prit en bouche et commença une fellation dont elle avait le secret. Sa caresse buccale dura une éternité avant qu’elle se retourne et que tout en continuant de me sucer, elle présente sa fente intime sur mes lèvres. Elle mouillait abondamment et une fois de plus je pouvais déguster son miel intime dont j’adorais le goût. Elle aspirait mon sexe dans sa bouche comme elle ne me l’avait encore jamais fait. Mon visage était arrosé de ses sécressions. Je la sentais jouir dans ce 69 sublime. Je ne pus me retenir plus longtemps, et me vidai en elle, envoyant plusieurs jets de foutre brûlant. Nous sommes restés quelques instants enlacés, avant qu’elle ne revienne m’embrasser. Je retrouvais sur ses lèvres nos odeurs mêlées. Je sentais ses tétons durs comme de l’ébène serrés contre moi. Je commençai à lui murmurer :

— Chérie tu es…..

Elle me mit un doigt sur la bouche et me sussura à l’oreille :

— Chut ! elle pourrait nous entendre.

Elle se serra plus fort contre moi et me caressa doucement la verge qui reprenait toute sa vigueur. je caressai son sexe gluant de son doux miel intime. J’y introduisis un doigt, puis deux. Je les fis aller et venir en elle, ce qui visiblement lui procurait un énorme plaisir. Ses hanches n’arrêtaient pas de bouger, d’avant en arrière, de gauche à droite, pour reprendre enfin d’avant en arrière. Elle jouissait comme jamais auparavant. Moi, je sentais la jouissance monter en moi, mais je me retenais pour lui donner le maximum de bonheur. Brusquement, elle vint sur moi et introduisit mon sexe en elle. Elle colla ses fesses sur mes cuisses pour que je la pénètre le plus loin possible. Je lui murmurai :

— Ne bouges plus ma chérie, laisse moi te guider.

Elle s’immobilisa, ma verge enfoncée dans son sexe jusqu’à la garde. Elle m’obéissait. Je commençai un lent mouvement de va-et-vient dans sa chatte. Je sentais sa liqueur s’écouler le long de mon sexe et gagner mes bourses puis la raie des fesses. C’était bon et cette sensation décuplait encore mon désir. Puis visiblement, elle ne put plus se retenir, et recommença ses mouvements saccadés sur ma queue. Elle se soulevait et redescendait en des mouvements brusques. Quand elle se soulevait, ma queue sortait presque de sa vulve. J’entendais un bruit de succion. Lors d’un de ses soulèvements, j’en profitai pour sortir complètement ma verge de son sexe, et je l’empêchai de rerentrer. Elle me murmura alors :

— Je t’en prie chéri, baise moi ! Je n’en peux plus, je te veux, prends moi.

— Si tu veux, mais c’est toi qui conduis

— Oh oui Merci.

Je décidai donc de rester passif le plus longtemps possible, ce que j’avais appris à faire à force de concentration. Elle me reprit donc en elle et se déchaîna comme une furie. Elle allait et venait dans tous les sens. Elle venait m’embrasser à pleine bouche, puis se redressait fièrement, les seins bien dressés. Je sentais son sexe gluant enserrer le mien.

Au bout de longues minutes durant lesquelles elle me murmura des mots incompréhensibles, elle s’écroula sur moi et je sentis son sexe se contracter sur le mien. Sa muqueuse intime me malaxait la verge, mais je réussis à ne pas jouir, réservant ma semence pour une autre joute. Elle resta sur moi un temps que je ne pus évaluer. Je sentis mon sexe débander et la quitter lentement, suivi par l’écoulement de sa liqueur intime. Elle était satisfaite, mais moi, j’étais toujours excité, et voulais encore plus.

Je glissai donc ma main vers son sexe et l’humectai avant d’aller titiller son petit trou avec mon doigt. Je n’eus pas de gros effort à faire pour y faire pénétrer mon index, tant mon doigt était glissant de sa mouille. Il fut suivi de deux autre doigts, et je commençai à lui masturber le cul dans les règles de l’art. Son oeillet était maintenant bien habitué à ces caresses, et je pouvais la pénétrer sans effort. Alors elle se mit d’elle même à quatre pattes et me tendit son cul que je ne pouvais voir. Je vins plaquer mon ventre contre ses fesses, et c’est elle qui guida ma verge dans son fondement. J’entrai lentement, mais d’un mouvement continu. Quand tout mon sexe fut en elle, je commençai mes mouvements de va-et-vient pour son plus grand plaisir. Elle râlait de plaisir et se jetait en arrière à chaque fois que je ressortais. Ses mouvement s’accélérèrent et j’avais le sexe en feu. De ma main libre j’allai lui caresser le sexe, faisant entrer mes doigts dans sa vulve béante qui ne demandait que cela. Mon pouce caressait son clitoris qui n’avait jamais été aussi proéminent. Je la sentais jouir dans mes bras. elle ne se contrôlait plus. Brusquement je la vis s’écrouler de jouissance, ses jambes ne pouvant plus la porter. C’est alors que je jouis dans ses entrailles en de longs jets de foutre gras. Nous sommes restés longtemps, ma queue fichée dans son cul. Puis je me suis retiré, et nous nous sommes endormis enlacés et repus par nos ébats.

Je ne pourrais pas dire combien de temps nous avons dormi, mais je me rappelle que lorsque je repris conscience, je distinguait le jour à travers mes paupières que je tardais à ouvrir. Aline était toujours blottie contre moi et ronronnait doucement. Je décidai de faire semblant de dormir pour attendre la tournure des événements. Je ne fus pas déçu, car elle vint poser ses lèvres sur mon sexe qui instantanément se mit à bander. Elle le prit dans sa bouche et je me délectais de cette caresse en guise de petit-déjeuner.

Brusquement la porte s’ouvrit et j’entendis :

— Je pense qu’il est l’heure de vous lever. A table, j’ai préparé le petit-déjeuner. J’espère qu’il vous conviendra.

J’ouvris enfin les yeux, et j’eus la plus belle surprise de ma vie. Dans l’ouverture de la porte, c’était Aline qui venait d’apparaître. Je regardai à côté de moi et découvris que sa mère était toujours blottie contre moi. J’étais abasourdi. Voyant mon air hébété, Aline prit sa voix la plus douce pour me dire.

— Ne sois pas fâché mon chéri, mais je t’avais bien dit que je n’avais aucun secret pour ma mère, alors elle a eu envie de vérifier si ce que je lui avais raconté était vrai. Alors je n’ai pas pu lui refuser ce petit plaisir. Après ce que toi et tes amis m’avez fait lors de notre première soirée, je ne comprendrais pas que tu sois fâché.

— C’est vrai, Aline te dit la vérité. Mais je dois t’avouer qu’il y avait longtemps que je n’avais pas pris autant de plaisir dans les bras d’un homme. Je comprends pourquoi, maintenant Aline tient à toi. Nous pensions que si nous te faisions la proposition directement, tu risquais de refuser, alors nous avons pensé à te faire boire un peu hier soir. tu ne le regrette pas au moins ?

— Vous êtes adorables toutes les deux, et je dois dire que dans le noir, vos corps sont identiques. Jacqueline tu es merveilleuse. Si tu n’étais pas la mère d’Aline, je te draguerais.

Aline fit mine de se fâcher, mais vint nous embrasser tous les deux : chastement pour sa mère, mais plus sexuellement pour moi. Le reste de la journée s’est passé calmement. Comme il faisait chaud et que nous n’avions pas à sortir, nous sommes restés tous mes trois intégralement nus, nous caressant et nous faisant jouir au gré de nos désirs. Nous avons même regardé des films pornos, mais je dois dire que je ne suis pas très attiré par ce genre de spectacle.

(A suivre)

Olivier

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