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marchande ambulante a la campagne – Chapitre 1




Mon mari et moi, sommes mariés depuis vingt ans, notre entente est bonne, mon mari est plutôt réservé coté sexe, position du missionnaire sans plus .Je métais donné a lui vierge, et navais connu dautre homme. Me contentant de ce quil me donnait, sans chercher davantage.

Nous venions dacheté une maison a lentrée dun petit village. Cétait la maison de nos rêves depuis plusieurs années .Mais très vite lennui me gagnait et nous tombions daccord pour que je trouve un travail a mi temps. Je finissais par être engagée par le boulanger du bourg voisin et jallais livrer le pain dans les fermes environnantes. Au bout de trois semaines, je commençais à bien connaître les clients.

Cétait un été très chaud, dés le matin, la température grimpait très vite dans le véhicule .De ce fait, sous mon tablier, je ne portais quune petite culotte. Un matin, jarrivais a la ferme de des G, un veuf et son fils, dune trentaine dannées, je craignais toujours leur chien, un molosse qui aboyait dans son enclos .Ce jour la, le chien nétait pas la, prudemment je toquais à la porte et jentrais dans la cuisine. Personne, ils devaient être aux champs tous les deux. Je mavançais pour poser le pain sur la table .Je me retournais et sursautais, le fils se tenait dans lencadrement de porte. Reprenant mes esprit, je disais : »Bonjour monsieur, je vous ai posé votre pain sur la table comme dhabitude »

Je navais pas fini ma phrase quil savançait sur moi, me coinçant contre la table, je me retournais et essayer de lui échapper, mais Il attrapa mon tablier et dun coup sec, il fit sauter les pressions, Il saisit mes seins à présent libérer et se mit à les caresser. Jessayais de me débattre mais il était trop fort.

— Arrêtez, mais quest-ce que vous faites ?

— Ten as bien une idée, ma cochonne à te promener dans cette tenue, espèce dallumeuse !

— Non arrêtez, non !

Évidemment, mes cris ne faisaient que lexciter davantage et il me retourna pour que je me retrouve face à lui. En une seconde, il réussit à retirer mon tablier, Il attrapa mes seins et se mit à les tripoter et à les pincer brutalement, puis il se pencha pour les sucer avidement. Une de ses mains entra dans ma culotte et dun coup sec éclata lélastique. Il commença à titiller mon clitoris. À ma grande honte je commençai à apprécier, malgré moi, ce quil me faisait et à mouiller. Le salaud sen rendit compte.

— Ah ben, on dirait que taimes ça, ma cochonne. On va pouvoir passer aux choses sérieuses alors !

Dun geste, il massit sur la table. Il membrassa tout en ouvrant son pantalon. Il en sortit une queue que je ne pus mempêcher dadmirer : elle devait au moins mesurer vingt cinq centimètres, épaisse avec un gros gland. Rien à voir avec la bite de mon mari qui doit avoisiner les dix huit centimètres fine, arquée.

— Depuis le premier jour que jai envie de te la mettre, ma petite chienne, tu vas voir ce que tu vas prendre dans la chatte !

Il présenta son engin à lentrée de ma chatte et me pénétra sans ménagement, puis il commença à me labourer.

— Avoues que cest du calibre ça, ma petite salope!

Je ne pouvais mempêcher de gémir à chaque coup de boutoir car cétait vrai. Jaimais sentir pour la première fois une si grosse queue dans mon vagin et je dois dire que la situation mexcitait : me faire baiser brutalement par un étranger avec ses grossièretés, ses gestes brusques. Ma chatte était dailleurs toute dégoulinante de mouille et sa bite navait aucun mal à aller et venir, si bien que jeus un premier orgasme. Jamais je navais ressenti cela avec mon mari.

— Eh ben dis donc, je métais pas trompé, tes une vraie petite salope en rut ! Tu aimes les bites, toi !! Et tu mouilles comme une fontaine. Attends, je nen ai pas fini avec toi !

Il me fit descendre de la table et mettre à quatre pattes par terre. Là, il me pénétra de nouveau. Il attrapa mes hanches et se mit à me limer encore plus vigoureusement. Quand il se retira, je neus aucune idée de ce quil allait faire. Jétais très innocente et ne connaissais pas la sodomie. Aussi je neus pas le temps de protester quand il se mit à lécher mon anus et à le mouiller de sa salive, je dois même dire que jappréciai quand il me mit un doigt dans le cul mais jétais loin dimaginer ce qui allait suivre.

Il présenta sa queue bien lubrifiée par ma mouille et posa son gland sur mon petit trou. Alors il poussa et je compris mais sans pouvoir réagir. Mon cul souvrit sous la pression et la douleur que son gland, dabord, puis sa queue entière, pénétrant mon petit trou, se fit ressentir. Je poussais des plaintes de bête blessée. Il grogna de plaisir et commença à bouger. Ses mouvements samplifièrent, il prenait soin de bien me le mettre au fond et bientôt, je sentais son sperme chaud au fond de mes intestins.

Je restais un moment, prostrée, reprenant mes esprits .Je faisais pour me relever, lorsquil mintima lordre de ne pas bouger : »Restes comme cela, salope, tes une vraie petite pute, toi !! , Tu mouilles tellement que ca coule a terre, et on nen a pas fini avec toi, espèce de chienne » .En effet entre mes genoux, une flaque de cyprine sétait formée.

Je cherchais à comprendre son « on en a pas fini », de qui parlait il .Cela ne fut pas loin a avoir la réponse .Il allait a la porte et sifflait un coup bref. Le molosse entrait dans la pièce .La surprise fut telle, que je faisais un mouvement pour me redresser .Dun geste ferme, monsieur T me maintenait a quatre pattes sur le sol.

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