Pourquoi ne pas lui dire que jai envie de la caresser. Elle est un peu timide, sans doute, jaime les filles comme elle. Je sens que sa chatte doit être comme la mienne : envieuse de jouissance. Je déteste les garçons qui ne pensent quà mettre leur queue dans une fille, soit dans la moule, soit dans lanus (comme la dernière fois) soit dans la bouche, ce que je déteste. La dernière fois que je me suis offerte à une copine, jai joui comme rarement. Au début javais peur dêtre rejetée, de me faire disputer de ma façon daborder une copine en lui disant simplement que javais envie dun orgasme pas ordinaire.
Nous bavardions dans sa chambre, elle presque couchée, moi assise au bord du lit. Aline était belle, elle me disait quelle avait prit son plaisir la nuit dernière en se caressant. Innocemment elle détaillait ses façons de se caresser la chatte. Elle le faisait exprès. Elle me donnait envie de partir là haut vers les délices absolus. Je sentais que je mouillais. Je ne pouvais résister : je posais ma main sur labricot. Par-dessus et ma jupe et le string je me touchais. Je la regardais ses yeux puis sa bouche : elle a du se rendre compte de mon état. Cest elle qui a eu pitié de moi : Elle posait une main sur le bras, arrêtant mes caresses légères. Elle mattirait vers elle. Nos lèvres se sont touchées doucement. Cest elle qui a entré sa langue. Par contre cest bien moi qui ai pris sa nuque : elle était chaude.
Notre accord a vite été trouvé. Je ne me souviens plus très bien, je crois que cest elle qui a pris ma poitrine dans sa main. Je sais que jai caressé longuement le sein quelle me donnait. Il me semblait grossir dans ma main. Par contre cest bien Aline qui a défait mon soutien gorge. Javais envie quelle me prenne les tétons entre ses doigts, cest ce quelle a fait. Jai caressé sa taille. Delle-même elle a enlevé la jupe puis le string. Sa chatte me tentait : jai posé ma main sur sa fente commençante. Un doigt est venu sur elle, sur son sexe. Il était mouillé.
Ma bouche sest posée sur son cou, je lai léché doucement, elle frissonnait. Je gardais un doigt dans labricot. Ma bouche est descendue vers sa poitrine puis vers son ventre. Je lai faite mettre sur le dos. Aline était belle ainsi à moi offerte. Je me suis déplacée un peu pour être à laise, pour me pencher vers elle. Je sentais lodeur de sa chatte. Elle était à peine fauve, assez pour me faire mouiller encore. Quand ma langue sest trouvée sur sa fente, il me semblait être au paradis.
La douceur de sa chatte métonnait. Ma langue glissait sur elle. Mes narines bloquées sur le pubis laissaient passer un peu delle. Mes mains la tenaient par les hanches. Je savais que je la gardais en entier. Elle se tendait vers ma bouche, vers le plaisir. Elle passait ses jambes sur mes épaules, me donnant loisir de la prendre comme je voulais. Je crois quelle gémissait. Je lai senti se tendre quand ma langue est entrée dans sa vulve. Je faisais le travail dune bite en sortant et revenant en elle. Ses lèvres entouraient ma langue. Cétait agréable de la sentir autour de mes lèvres. Pour mieux la faire jouir je passais une main entre ses cuisses. Jai fouillé le scrotum. Il était aussi mouillé. Un peu plus bas jai trouvé une entrée encore secrète. Je crois bien quelle était vierge de ce coté. Tant pis jai mis un doigt juste dessus. Elle sest tendue un peu avant de se laisser faire. Sans trop forcer jai mis une phalange dans le cul. Ma langue devenait de trop. Je lai remplacé par deux doigts relevés vers le haut, dans le con. Ma lime fonctionnait fort bien : elle jouissait. Javais moi aussi envie de jouir. Je nosais pas trop le lui demander.
Je frottais le pubis sur le drap : rien de tel pour mexciter encore plus. Tant pis, je me suis tournée pour lui donner ma moule. Jhésitais encore quand jétais en 69 sur elle. Je lui donnais toute ma féminité. Je nous ai retournées pour quelle soit sur moi. Cest là quelle a enfin fait ce que jattendais. Sa langue est venue sur ma chatte. Maladroite au début, elle a léché en entier la fente depuis le pubis jusquau petit trou. Jaurais presque voulu quelle sy arrête. Je suis retourné dans sa fente : elle y était douce, de plus en plus douce, mouillée par une cyprine abondante et goûteuse.
Je sentais sa langue dans mon paradis. Elle léchait de plus en plus vite comme pour se débarrasser de moi. Je me donnais encore plus. Juste avant de jouir sur sa bouche, jétais crispée comme si jétais une rosière devant la queue qui doit la rendre femme. Elle ma faite jouir comme une première. Je crois que jai donné plus de jus que les autres fois. Je la sentais aspirer le surplus de liquide. Elle ne sest pas arrêtée à ce premier orgasme. Heureusement quelle a continué. Sa langue migrait vers le petit trou. Quel plaisir de la sentir senfoncer dans le cul. Une main est venue en renfort pour me faire plaisir. Elle entrait un doigt au fond de ma chatte. Je forçais pour la serrer dans le con. Jen voulais encore plus : elle ne ma rien demandé : elle ne pouvait pas parler avec mon anus sous sa langue.
Je sentais quelle entrait ses doigts. Elle me faisait mal en y allant trop fort. Elle a cessé de me faire presque souffrir quand elle jétais avec tous ses doigts dans la chatte. Cétait la première fois que jétais fistée. Je criais mon plaisir, j’hurlais ma jouissance. Elle a attendu que je finisse de jouir pour aller sur mon anus. Je ne voulais pas, elle insistait. Jai bien du me plier à ses désirs : elle lavait fait pour les miens. Je crois quelle a craché sur lanus. Son premier doigt est entré facilement. Cétait bon ainsi. Elle a entré le majeur. Cétait bon. Moins bon avec lautre doit et le suivant. Elle a réussi à y mettre le pouce. Javais mal. Elle a insisté. Je me suis retrouvée avec sa main entière dans le cul. Elle ma limé un moment avant que je trouve mon plaisir. Je devais être totalement dilatée. Cétait encore plus que meilleur. Jaurais presque demandé quelle me remplisse aussi le con en même temps. Jétais totalement hors du temps normal. Une fille me baisait et jadorais.
Quand elle a sorti un gode de sa table de nuit, jai eu peur quelle me baise avec. Il était plus gros dans mon esprit que ses doigts réunis dans le cul. Non, elle voulait que je la baise avec. Elle sest bien installée sur le dos, les cuisses ouvertes. Je voyais distinctement tout son sexe. Jétais assis en tailleur, ma chatte bâillante. En tenant le gode dans la main droite, javais la liberté de me branler. Elle ouvrait son vagin à deux mains. Je voyais tout lintérieur de sa moule. Elle était luisante de cyprine. Le gode senfonçait en elle facilement. Il me donnait envie de lavoir moi aussi dans le ventre. Je le faisais aller et venir : elle frémissait de plaisir, surtout juste avant de jouir. Jadmirais les crispations de la chatte à chaque spasme. Son visage se déformait au gré de son orgasme. Elle en était plus belle.
Jembrassais Aline, elle prenant ma langue pour la mordre un peu. Cest elle qui a sorti seule le gode pour le planter en moi qui normalement naime pas du tout les queues. Je lai lassé faire. Elle ma fait jouir encore. Peut-être que la prochaine fois je me ferais mettre par une vraie queue.