Comme vous l’avez sans doute deviné en voyant mon pseudo, je m’épile la queue. Non, je ne me rase pas : je m’épile ! Enfin… je me fais épiler. Je fais ça depuis trois ans maintenant. La douleur n’est pas si énorme, à part la première fois. J’avais des petites gouttes de sang qui perlaient autour de ma verge ce jour-là, avec une esthéticienne très belle, mais à l’air peu commode… C’est dur de se sentir à l’aise dans ce genre de situation, à poil devant une bombe, et faut surtout pas bander… sinon dehors ! La première fois, j’ai pas bandé ; j’ai juste souffert. J’y suis tout de même retourné, car les sensations procurées par la suite ont redonné du souffle à mon couple. Les instituts qui offrent ces services sont rares mais, très vite, j’en ai trouvé un plus proche de chez moi : 25 km, c’est mieux que 40. C’était au moment où je commençais à m’habituer à la douleur. C’est ici que mon imaginaire commence son travail…
C’était ma première visite dans cet institut. J’adore l’ambiance de ces endroits : musique douce, bonnes senteurs et belles femmes, très soignées en plus. Seule ombre au tableau peut-être : la tenue noire. On nest pas là pour ça, mais… Bref ! Je vous passe les détails de la salle d’attente. J’ajouterai juste que la sensation "loterie" est excitante : « Laquelle d’entre toutes ces belles femmes va me manipuler ? Oh, qu’elle a de gros seins, celle-là ! Et celle-ci Un cul à tomber par terre ! Au secours, je deviens fou ! »
Au bout de cinq minutes environ, une jeune demoiselle tout juste dans la vingtaine me demande de la suivre, ce que je fais.
« Je m’appelle Clémentine ; c’est moi qui vais m’occuper de vous aujourd’hui. »
Elle avait une voix douce, rythmée par les claquements sensuels de ses talons sur le carrelage. Ce n’était pas la plus jolie parmi ses collègues : en la comparant avec certaines dentre elles, elle paraissait banale ; mais elle était belle et menue. Ses cheveux bruns étaient chatoyants. C’était sans doute la moins maquillée des employées. En réalité, elle ne nécessitait guère de maquillage : ses yeux faisaient tout le travail. Elle perfectionnait son regard à l’aide d’un léger coup de crayon, ce qui apportait un sérieux côté sensuel à ce beau visage.
Nous arrivâmes devant une porte ouverte ; sans entrer, elle se tourna vers moi en souriant :
« Je vous laisse vous installer, monsieur. »
J’entrai et elle referma la porte derrière moi. Seul dans ce petit espace, je commençai à me dévêtir. Je décidai de garder mon boxer blanc moulant, espérant que cela lui plairait, même si je n’étais pas là pour ça. Il me moule tellement bien, ce caleçon, qu’on devine presque tout… Je commence mal ! Je devrais penser à autre chose. Je fis le tour des photos, toutes aussi banales les unes que les autres. Elle revint enfin.
« Allongez-vous. Vous n’avez pas trop chaud ? On peut baisser, si vous voulez.
Non merci ; je sais que de rester allongé, nu, sans bouger pendant une heure, ça donne froid.
Comme vous voudrez ! »
Comme je terminais de m’installer, j’entamai une discussion classique avec elle pour tuer le temps. J’y passe une heure à chaque fois, mais je fais le torse, les aisselles et le maillot intégral jusqu’à l’anus et tout le tremblement ! L’heure et souvent dépassée à la sortie… Donc je vous épargne la conversation futile que nous avons eue. Elle commença par me faire les aisselles, une formalité, puis elle enchaîna avec le torse, plus sensible déjà. Notez qu’à chaque fois que les esthéticiennes arrachent la bande de cire, elles posent une main sur la peau fraîchement agressée : ça a pour effet de calmer un peu la douleur. J’en vois certains qui se frottent les mains à l’avance Ne vous réjouissez pas trop vite : cette technique n’est jamais appliquée sur une bite, une couille ou un anus ! Quel dommage, n’est-ce pas ?
J’en reviens à mon torse, en feu, qui recevait déjà le toucher si agréable de sa paume chaude et bienfaitrice. En arrachant la dernière bande de mon buste, elle demanda :
« Voulez-vous que je vous passe un peu de lotion sur le torse, monsieur ?
Avec plaisir, mademoiselle. On ne me l’avait encore jamais proposé.
Ici, c’est systématique.
Excellente démarche. »
Cette fois, j’avais droit aux deux mains, avec une crème apaisante et rafraîchissante. Je m’attendais à un violent étalage mais je reçus un massage relaxant en lieu et place. Doux et lents, ses mouvements agréables m’avaient connecté à elle, sans savoir si c’était réciproque. Je fermais les yeux pour savourer l’instant. Partant du haut du corps, ce massage descendait peu à peu, avec des gestes de plus en plus amples. Je soupirais de plaisir, avec un sourire aux coins des lèvres. Lorsque j’entrouvris les yeux, elle était penchée sur moi, concentrée sur sa tâche. Son regard suivait ses mains agiles ; je profitai de la diversion pour mieux regarder la jeune et jolie fille. Je remarquai immédiatement que sa chemise était assez ouverte : elle avait juste gardé fermé le bouton situé avant la limite de la vulgarité, le quatrième ou cinquième bouton ; je ne sais plus trop. Ses mouvements de bras faisaient varier l’écart entre sa peau et sa chemise, laissant voir un peu mieux ce qui s’y cachait.
Sa poitrine était moyenne ; pour les maniaques des statistiques, je dirais dis un petit 90B. Oui, petit… C’est dommage ; je fantasme plutôt sur les grosses poitrines. Mais cétait quand même plaisant ! Je n’arrivais pas à voir son soutien-gorge, me laissant penser qu’elle s’en était peut-être passé. Si c’était le cas, alors ses seins étaient drôlement fermes ! Ronds comme des pommes, et moi, les pommes, j’adore les croquer… Cet instant dura peu ! Elle se redressa, ne me laissant pas le temps de distinguer son soutien-gorge, ou son absence : le massage était fini. Ces moments sont toujours difficiles quand ils cessent ; je ne pus m’empêcher de lâcher un petit gémissement enroué : « Humm !? C’est déjà fini ? C’est dommage… » S’ensuivit un petit rire charmant de sa part. Elle m’avait assommé en 60 secondes chrono.
« Allez ! »
Elle avait bien compris qu’elle m’avait endormi ! Sans doute la raison de ce "Allez !" plein d’énergie. Je la regardai ; elle était campée face à moi, les bras croisés.
« C’est l’heure d’ôter votre caleçon. »
Elle restait bien face à moi, un sourire aux lèvres, bien décidée à ne pas me quitter du regard. Ce dernier avait changé, d’ailleurs : il exprimait un peu de malice et de rire à présent. Je fus déstabilisé. Sur le moment, je n’aurais pas su dire s’il était moqueur ou désireux… Sans me faire prier, je descendis de la table, me postant face à elle, à moins d’un mètre. Je ne quittais pas son regard. Elle, par contre, ne put s’empêcher de jeter un bref coup d’il sur mon sexe, quand je fis glisser mon sous-vêtement, comme par automatisme ! Après cette rapide inspection, elle se retourna. Encore une fois, j’étais déstabilisé. Elle semblait m’ignorer.
Je commençais à me demander si ma bite n’était pas ridicule. Au repos, elle n’est pas énorme, c’est vrai ; mais au garde-à-vous, elle est correcte. Sans me vanter, l’outil est standard mais il est bien manié. Mais au repos, j’ai du mal à estimer sa taille : c’est trop variable, deux centimètres d’écart entre l’été et l’hiver… Vive l’été !
Je m’allongeai de nouveau sur la table. Elle avait changé de cire, mais la sensation était toujours la même que d’habitude. J’aime cette sensation de cire chaude qui coule lentement sur ma peau ; la chaleur s’estompe doucement et la peau commence à tirer un peu. Ensuite, c’est aussi de courte durée mais c’est désagréable, et si lon est autour du sexe et que l’esthéticienne le veut bien, elle pose sa main sur la douleur. Ce que cette Clémentine avait de particulier, c’est qu’elle gardait toujours une main en contact avec ma peau, contrairement à toutes les esthéticiennes que je connais, qui se contentent de calmer la douleur de temps à autre, voire pas du tout. La plupart du temps, sa main restait sur ma cuisse, mais il lui arrivait d’explorer mon adducteur, zone très érogène chez moi, et parfois elle passait sur mon pubis. Même durant le séchage de la cire, elle me touchait. Après m’avoir bien déstabilisé, elle me remit en confiance par le toucher. Elle avait commencé par le pubis ; je n’avais pas encore remarqué que ses mains étaient souvent sur moi à ce moment-là. J’avais la queue vers le bas pour dégager la zone. J’étais heureux de sentir sa main après chaque arrachage. Quand elle eut fini, elle prit ma queue entre son index et son pouce, juste en dessous de mon gland et la jeta vers ma gauche. J’en fus si surpris que j’eus une brève tension musculaire ; ce détail n’avait pas pu échapper à son autre main, bien à plat sur le haut de ma cuisse. Elle n’eut aucune réaction ; elle restait naturelle. C’est à ce moment que je réalisai que ses mains étaient un peu tutoyeuses, sans être baladeuses.
« Je vais vous épiler le côté droit ; tendez bien la peau ! Et ouvrez la jambe aussi, m’avertit-elle. Lorsqu’on tend la peau, la douleur est bien moindre ; alors, n’hésitez pas si vous voulez le faire un jour ! »
Il faut bien tendre : ça implique de tirer sur la peau des couilles ou celle du bout de la queue ;
c’est pas romantique, bien au contraire, mais je réalisai sa demande. J’écartai la cuisse pliée sur le côté, je pinçai la peau d’une couille pour tirer dessus de la main gauche, pendant que de la droite je tendais mon zizi encore tranquille, le tirant vers la gauche. Clémentine, la main encore sur ma cuisse, était retournée pour piocher un peu de cire dans son pot. J’en profitai pour enquêter à nouveau sur la présence où l’absence de son soutien-gorge. Je ne percevais rien, mais de mignons petits seins firent que mes yeux restèrent rivés dessus, jusqu’à ce que Clémentine se retourne. M’avait-elle surpris en flagrant voyeurisme ?
Je suis convaincu que non. Ses yeux louchaient sur le bâtonnet surchargé de cire qu’elle faisait habilement tournoyer entre ses doigts pour ne pas la laisser couler n’importe où. En s’approchant, son bas-ventre vint (accidentellement ?) se frotter à ma cuisse ; son pantalon était très doux. Elle dirigea sa main sur mon adducteur pour la première fois de la séance ; j’inspirai bruyamment avant de bloquer ma respiration. Combiné à la sensation de la cire chaude, l’effet fut terrible ! Mes doigts, qui tiraient sur ma queue, furent poussés par une force étrangère. Ah non ! C’était mon gland… Mince ! Un début d’érection. À la première visite, ça la fout mal ! Je fixai une photo pour ne pas bander et me vider l’esprit… ça marche pas ! Faut que je pense à un truc atroce, vite ! Ma grand-mère Ouf ! Ça marche. Désolé, Mémé, et merci aussi. Comme Clémentine me parlait, elle ne s’aperçut de rien. Elle me laissa terminer ce côté tranquillement avant de passer à droite.
La salle étroite exigeait que la table soit collée au mur. J’étais donc forcé de me rapprocher du corps de cette créature de rêve pour pouvoir ouvrir mon autre jambe, embarrassé par la cloison fine. Je tendis à nouveau la peau de la zone à épiler, comme précédemment, mais avec cette fois un sentiment de désir interdit mêlé à des remords pour ma copine, simplement pour avoir un instant désiré la tromper ; finis, les petits jeux de séduction : j’aimerais passer à l’étape supérieure. Je me ressaisis ; c’est pas bien de penser ça, je ne veux pas lui faire de mal. Allez, courage, faut pas bander…
La zone à épiler n’était pas vraiment plus loin que la précédente ; pourtant, la belle arrivait à se pencher suffisamment pour frotter le bout de ses seins sur mon corps fraîchement épilé. J’avais besoin de beaucoup de concentration, cette fois là ; une nouvelle poussée de mon gland m’indiquait un nouveau début de bandaison. Encore merci, Mémé ! Malheureusement, nous avions épuisé tous les sujets de conversation à ce moment-là ! J’étais à peu près sûr que Clémentine avait remarqué la légère variation de taille de mon pénis ; pourtant, elle se tut et continua son travail.
« On va pouvoir attaquer la partie principale, monsieur ; écartez bien les deux jambes ! »
Elle avait joint le geste à la parole en m’aidant de ses mains, chacune posée sur un adducteur. Plus elle m’écartait les jambes, plus elle se penchait sur moi ; j’ai même senti son souffle sur ma peau, pile sur le bas-ventre sensibilisé par l’épilation. L’instant fut bref, je n’avais pas eu le temps de songer à bander. L’opération des couilles s’était bien déroulée ; Clémentine n’avait pas posé les mains dessus pour calmer la douleur. Pourtant, l’idée m’avait traversé l’esprit. Du coup j’étais rassuré, mais frustré. J’ai dû tirer sur ma verge à gauche, à droite et en haut, etc. pour me faire épiler la verge. Ensuite, elle m’a ordonné de me retourner pour bien me faire les fesses, qu’elle à copieusement caressées ; une fois fini, elle m’annonça d’une voix très sensuelle : « Maintenant, mettez-vous à quatre pattes : je vais vous faire la raie… » puis elle éclata de rire ! J’avais honte.
Dans cette position, j’avais les fesses bien ouvertes et Clémentine était hors de mon champ de vision. Je sentis sa main se poser sur ma fesse avec délicatesse, puis la cire toute chaude coula lentement le long de ma raie. J’eus un frisson quand elle m’étala la cire avec sa spatule. Il y eut un blanc d’une minute.
Soudain, elle prit l’initiative d’accélérer le processus : elle se leva de son siège pour me poser sa main sur le cul, bien sûr, mais en plus elle se mit à souffler copieusement sur la cire. Son souffle passait de ma raie aux plis de mes couilles ; quelle excitation, de nouveau Pour juger si la cire était prête, elle tapota trois fois dessus du bout du doigt, de façon très dirigée sur l’anus. Je fis un bond terrible qui la fit rire. Cette fois-ci, j’éclatai de rire avec elle. Quand l’émotion s’estompa, elle déclara :
« Ah ! Quel sursaut vous avez eu !
Ne soyez pas étonnée : je n’ai pas l’habitude que quelqu’un me farfouille à cet endroit-là. »
Elle rit à nouveau plus brièvement ; je me contentai de sourire. Nous nous fixâmes l’un l’autre un moment en souriant. Ses yeux pétillaient, et ses tétons aussi ; j’avais enfin la réponse à ma question ! J’étais satisfait de ma découverte : elle ne portait pas de soutif et possédait deux petits tétons, biens dressés pour mieux provoquer. Mais mon enthousiasme avait assassiné ma discrétion. Clémentine ne m’avait pas décroché des yeux, elle ! Honteux, je me retins de parler ou de m’excuser. J’allais me lever pour partir lorsque sa main vint me retenir par l’épaule ; avec elle, même ce simple contact devenait sensuel… Me retenant avec fermeté, sa main se fit légèrement caressante en quittant ma peau.
« Ce n’est pas terminé : je dois enlever tout les petits poils qui restent à la pince à épiler. »
J’étais heureux de pouvoir passer un peu plus de temps avec elle.
Ses mains quittèrent mon corps le temps d’attraper sa pince. Cette opération minutieuse l’avait obligée à venir me regarder de très près. Encore une fois, je sentais la caresse de son souffle sur mon corps. Elle était penchée sur mon torse, une main sur un de mes flancs, son ventre collé au mien, et ses seins étaient tout proches de me coller. Son autre main parcourait mon corps pour révéler les poils dissimulés par le jeu de lumière et d’ombre. J’avais l’impression qu’elle lisait un texte sur mon corps. Lorsqu’elle découvrait un poil, sa main quittait mon flanc pour venir l’extraire à l’aide de sa pince. Au fur et à mesure qu’elle descendait sur mon ventre, son corps se décollait peu à peu du mien, laissant une désagréable sensation de froid à la place.
Elle arrivait au pubis, toujours aussi penchée sur son sujet ; son souffle venait me caresser le bas-ventre, sa main continuait de me feuilleter et la pince parfois me picotait. Je sentais venir la scène de la trente-sixième bandaison Je lui proposai :
« Voulez-vous que je tende la peau comme ceci ? espérant me cacher à l’aide de mes mains.
Sortez-moi ces mains de là ! » commanda-t-elle.
Je lui étais totalement offert.
Quand elle voulut inspecter ma bite, sans prévenir, elle s’en saisit ! Pour la voir comme il faut sous tous ses angles, elle la faisait lentement rouler entre ses doigts. Je sentis ma queue gonfler. Je pris l’air de rien enfin, je crois mais je n’arrivais plus à penser à Mémé… Quelle lâcheuse, celle-là ! J’essayais de ralentir la bandaison, espérant qu’elle termine la zone avant la terrible catastrophe ! Je crois qu’elle eut un temps d’arrêt avant de continuer un peu… Puis ma queue se plia entre ses doigts, sous l’effet du gonflement. Elle ouvrit sa main ! Sans me lâcher, elle remarqua, d’un ton étonné :
« Mais tu bandes ?!
À vrai dire, pas tout à fait encore ; mais ça vient doucement… Je suis désolé ! Dans l’autre institut, ça ne m’était pas arrivé. Je suis vraiment confus : c’est la première fois que ça m’arrive !
Mais comment ça se fait que tu bandes comme ça !?
Ben, c’est de votre faute un peu, aussi ; vous êtes trop…
Trop quoi ?
Euh… Tactile ! Et aussi…
Oui ?
Belle. »
Elle fronça un peu les sourcils : j’allais me faire virer, c’est certain.
Non : elle resserra ses doigts sur ma pine toute raide, se pencha et continua son travail.
« Caurait été bien plus simple si t’avais bandé tout de suite ; j’aurais eu la tâche plus simple. Laisse-toi faire. »
Entre chaque poil qu’elle ôtait, elle me branlait habilement et lentement. Une goutte de sperme translucide perla au sommet de mon gland jusqu’à ce qu’elle l’étale d’un mouvement circulaire de l’index. J’étais surexcité ; je voulais lui sauter dessus ! Elle m’avait rendu fou… Je restai sage en attendant de voir la suite.
« Retourne-toi, maintenant. Non ! Pas comme ça : à quatre pattes ! C’est bien ; écarte un peu… Voilà ! »
Elle posa ses deux mains sur mes fesses, et cette fois elle soufflait pour m’exciter !
« Je vais te faire découvrir de nouveau plaisir !
Eh ! Mais je veux pas être sodomisé, moi !
Mais non ! Il ne s’agit pas de ça… Laisse-toi faire. »
Elle continuait de souffler sur mon anus et mes boules, puis me passa de la lotion partout sur le cul avant de s’attarder sur ma raie. Elle faisait glisser une de ses mains à plat tout le long de la raie de mon cul. Ses va-et-vient continuaient de me faire bander à mort ; j’en revenais pas d’être excité par une caresse sur le trou du cul Clémentine avait bien ressenti cette excitation et faisait à présent jouer ses doigts aussi, pour varier les points de pression. Son autre main était sur mes couilles pour un tendre massage ; je chauffais ! Elle passa la lotion sur l’ensemble de ma bite aussi, sa main glissant sur toute ma longueur de haut en bas. J’étais toujours à quatre pattes, son jouet. La main qui s’occupait de mon cul changea de position ; je ne sais comment, cette jeune experte arrivait à me branler d’une main pendant que de l’autre elle me tenait les couilles et, avec le pouce de cette même main, elle tournoyait sur mon anneau, mon précieux Et le pire, c’était que ça me plaisait ! À aucun moment elle ne me pénétra. Elle me fit un massage, en quelque sorte, et c’est tout. Oui, bon, elle a craché sur mon petit trou aussi, ce qui n’avait pas manqué de me faire sursauter à nouveau. Mais cette fois, elle ne rit pas.
« T’aimes ça, hein ? Ne mens pas : ça se voit !
Oui, recommence !
Noooon… pas tout de suite ! »
Elle dit ceci en me mettant une petite claque excitante pile dans l’anus humidifié par sa salive. Avec deux de ses doigts, elle me branlait le petit trou, et la bite de l’autre main. Je commençais à faire du bruit, alors elle accéléra ses mouvements.
« Oh oui ! J’arrive ! »
Elle allait de plus en plus vite et… stoppa net !
« On arrête : tu fais trop de bruit !
Quoi !?
J’ai dit : on arrête, tu fais trop de bruit.
Tu ne peux pas me laisser comme ça
Bien ; mais tu fais attention !
Promis. »
Je métais assis durant cette discussion ; mon cul n’était plus offert à cette diablesse.
« Je vais changer de méthode ; allonge-toi sur le dos. »
Elle finissait d’ouvrir son chemisier, libérant sa poitrine qu’elle colla contre ma cuisse. Ses tétons étaient très durs. La bite dans une main, les couilles dans l’autre, elle continua de me branler puis finit par se mettre les couilles en bouche. Humm Mes couilles toutes lisses dans sa bouche bien baveuse, ce que c’était bon ! Elle continua en jouant de sa langue, sa main me branlant toujours. Enfin, mes burnes toutes mouillées sortirent de sa bouche, qui remonta sur toute ma hampe ! J’en pouvais presque plus ! J’aurais pas le temps de lui faire l’amour Si ça devait continuer comme ça, jallais exploser.
« Tu ne veux pas que je te donne un peu de plaisir, moi aussi ?
Laisse-toi faire… Slurp !Slurp !
Je te préviens que si tu conti…
Laisse-toi faire ! »
C’était un ordre !
Suite à ça, elle accéléra subtilement ses coups de bouche en ajoutant à sa pipe un petit râle rythmé, comme pour bercer ma queue. Je montais à mesure qu’elle accélérait ; mes jambes se tendirent ! Elle donna tout ce qu’elle avait d’énergie ; j’allais exploser ! Là ! Elle ne décollait pas sa bouche de ma queue, la coquine ! Et quand la porte s’ouvrit sans avertissement préalable, Clémentine se redressa d’un coup. Juste au moment où je lui envoyais tout mon foutre sur sa bouche ! Le tour de sa bouche était couvert de sperme ! Ainsi maculée de semence, elle n’osait pas se retourner vers la porte ; de plus, comme son corps faisait écran entre sa collègue et ma queue, elle aurait risqué de dévoiler mon érection.
La femme qui avait ouvert la porte avait la trentaine. Elle était assez petite, avec des rondeurs charmantes ; une longue chevelure rousse lui tombait jusqu’aux fesses, qu’elle avait bien rondes et rebondies, mais pas autant que sa poitrine. Elle lavait voilée avec un décolleté peu profond, mais ses seins étaient si énormes qu’ils étaient à l’étroit, dessinant un joli et long trait entre ses deux globes obsédants. En arrivant, elle interpella Clémentine qui, fort heureusement, ne bougea pas. Sinon, elle nous aurait trahis tous les deux.
« Clémentine !? Mais que fais-tu là ? Tu devrais être partie depuis vingt minutes déjà. J’attendais que tu viennes me chercher pour te remplacer…
Euh oui j’ai Comment ? Déjà ? Non ; en fait…
Qu’essaies-tu de me dire ? »
La nouvelle arrivante fronça les sourcils en me voyant les yeux mi-clos ; elle sentit de la gêne dans la voix de sa collègue.
« Tout va bien, Clémentine ? Tu en es où ? T’as bientôt terminé ? »
À mesure qu’elle s’exprimait, elle s’avançait. Fatalement, elle découvrit notre secret. J’allais me faire virer illico ! Et Clémentine aussi ! Sa collègue écarquilla grand les yeux, pivota sur ses talons sans mot dire, et fonça vers la porte pour la refermer. Mais elle resta dans la pièce, les deux mains collées à la porte, dos à nous en restant immobile le temps de sa réflexion.
Quand elle se retourna, elle toisa Clémentine sévèrement, avec un petit sourire sadique…
« Que vais-je faire de toi, Clémentine ?
Natacha, sois sympa ! Aies pitié !
Non, c’est pas mon genre, voyons… Je croyais avoir été claire, en plus !
Oui, très claire…
On ne dirait pas ! Répète-moi ce que je t’ai dit la dernière fois !
Tu ne veux pas que je profite seule des beaux jeunes hommes ! Cela pourrait être dangereux ; donc, je dois toujours venir te chercher, ou une autre en ton absence, si le client en vaut la peine.
Et ensuite ?
Le sperme est une crème anti-âge très efficace ! Etant rare, il est obligatoire de bien le partager entre nous deux ou avec la partenaire du moment…
Okay ; ça ira pour cette fois ! Mais c’est la dernière, je te préviens… Approche ! »
Clémentine n’osait même pas regarder Natacha en face ; elle détournait son regard.
« Regarde-moi tout ce sperme ! »
Elle caressa le menton de la petite cochonne avec sa paume ; ses doigts essuyèrent sa bouche encore souillée. Elle récupéra une bonne partie du liquide dans le creux de sa main, le regarda avidement, puis se l’étala sur le visage !
« Je suis arrivée à point nommé. Un peu plus, et je n’en avais pas assez.
Mais moi j’en ai pas eu !
Tu plaisantes ! T’en as partout sur la figure
C’est ça que tu ne comprends pas, Natacha !
Quoi donc ?
Je cherche pas un masque : moi, j’aime le goût ! C’est pour ça que je ne partage pas mes clients avec toi !
Moi aussi j’aime le goût, et je t’ai jamais forcée à faire comme moi ! Seulement, tu verras, toi, à quarante-trois ans ! »
J’étais très étonné ; je lui en aurais donné 35 au maximum. Sa crème fonctionne bel et bien, alors ?
« Excuse-moi, je suis frustrée… T’as eu ton masque alors que j’avais fait tout le travail J’ai à peine pu goûter du bout des lèvres.
Je pouvais pas savoir… Attends ; il m’en reste un peu sur la main si tu veux !
Non, merci : il est froid, maintenant. » soupira-t-elle.
Natacha se sentait fautive à présent. Toutes les deux m’avaient complètement oublié ! Je me sentais vraiment comme un homme-objet ! Cette idée me plaisait ; je verrouillai mon regard sur les obus de Natacha : ils ballotaient au moindre geste. Sans que je m’en aperçoive, je m’étais remis à bander.
« Je crois que je peux encore rattraper le coup, Clémentine… » murmura Natacha.