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histoire d'un papa voyeur – Chapitre 1




Bonjour.

Je m’appelle Jacques. J’ai deux très jolies filles qui se prénomment Amandine et Chloé. Je pense être un bon père, attentionné et aimant, mais je dois avouer un petit défaut : je suis volontiers voyeur.

Lorsque mes filles eurent 18 ans, en les voyant grandir, prendre des belles formes de femmes, je n’eu plus qu’une seule idée en tête : les mater à poil… Rien que le fait de penser à leur petit cul et à leur minette étroite de jeune fille, ça me faisait fantasmer, je n’y pouvais rien…

Un jour j’ai tout avoué à un copain, qui lui même ne m’avait jamais caché qu’il fantasmait souvent sur ses propres filles. Il m’a alors proposé d’acheter des mini caméras vidéos qu’on peut planquer chez soi.

— Elle sont très faciles à camoufler, tu vas voir c’est génial. Pour tout t’avouer, moi aussi, j’en ai mis partout dans la maison, la chambre des filles, la salle de bain, les toilettes etc… Je me régale !

Quelle bonne idée ! Grâce donc à mes petites caméras cachées j’allais pouvoir profiter de l’innocente beauté de mes filles en toute discrétion.

Bien sûr, comme toutes les adolescentes de leur age, elles passaient pas mal de temps dans la salle de bain, très coquettes l’une comme l’autre. J’avais souvent rêvé les espionner à moment là. J’ai donc profité du fait que nous avions prévu de faire des aménagements dans notre salle de bain pour planquer trois caméras, au plafond, derrière un miroir et dans un porte manteaux, pour n’avoir aucun angle mort. Je pouvais ainsi les mater dans les meilleurs conditions.

Le système s’avéra dès le début très efficace. Comme prévu, je pus rapidement admirer mes magnifiques filles dans le plus simple appareil, se laver et se pomponner dans la salle de bain.

Chloé, l’aînée, était superbe, je le savais. Je découvrais qu’elle était aussi incroyablement excitante. Elle avait toujours eu des charmantes petites fesses rondes. Je constatais qu’elle avait pris en plus les beaux gros seins de sa mère. Avec une de mes cameras orientée vers la douche, je l’observais avec fascination se laver, étendre le savon moussant sur ses seins, son ventre, son sexe, puis se savonner longuement.

Je constatais que son minou était entièrement lisse, vierge de tout poil. Sous mes yeux admiratifs, tous les deux jours elle s’asseyait sur un tabouret à coté de la douche, et là elle se rasait consciencieusement. Sa position, jambes très largement écartées en face du miroir derrière lequel était planqué ma caméra, m’offrait des images stupéfiantes de sa petite vulve toute lisse. C’était magnifique.

Amandine, sa soeur, était tout aussi sexy, plus grande, blonde, élancée. C’est là aussi avec une émotion folle que je découvrais son corps de femme. Je constatais qu’Amandine, contrairement à sa soeur, laissait sa chatte à l’état naturel, bien poilue. Elle avait donc une belle touffe de poils chatain clairs. Ses poils semblaient longs et doux. J’aurais adoré y passer ma main, les enrouler autour de mes doigts.

Bien sûr, il fallait s’y attendre, tout cela m’excitait énormément. Dès que je regardais les images volées de l’intimité de mes filles, je me mettais à me masturber, je n’arrivais pas à m’en empêcher. C’est un peu crade de la part d’un papa de se branler en regardant des vidéos de ses filles à poil. Mais après tout je ne faisais de mal à personne et elles m’excitaient trop.

L’embêtant était que plus le temps passait, plus j’étais accroc de mes séances de voyeurisme. Parfois j’allais même dans leur chambre pour leur voler une petite culotte et tout en regardant mes vidéos, je me branlais avec. J’éjaculais alors avec délice dans le délicat tissu qui avait été en contact avec la minette de mes filles… Vous trouverez peut être ça dégueulasse mais moi je m’éclatais…

Mais tout cela n’était rien par rapport à ce qui allait suivre. Car j’ai découvert un autre aspect de la vie intime de mes filles, autrement plus croustillant.

Plusieurs fois, je les vis entrer ensemble dans la salle de bain pour prendre leur douche en même temps. Je découvris qu’elles étaient très proches l’une de l’autre. Un peu trop peut être même. Collées l’une à l’autre sous le jet de la douche, elle semblaient prendre beaucoup de plaisir à se savonner mutuellement. C’était là des moments d’intimité qui normalement n’ont pas lieu d’être, entre soeurs. Mes filles n’étaient décidemment plus les gamines insouciantes que j’imaginais. C’était même des belles coquines. Leurs mains etaient baladeuses, caressant leurs seins, leurs fesses, et même leurs petites chattes. Elles s’enlaçaient alors pour finir en s’embrassant à pleine bouche, mêlant leurs langues dans une étreinte souvent torride.

J’étais stupéfait d’assister à ça. Je ne savais pas mes filles sujettes aux amours féminines. Toutes les deux avaient eu des petits flirts avec des garçons, mais visiblement elles n’excluaient pas de s’octoyer des moments de douceur entre soeurs.

Parfois, après la douche, lorsqu’elles se séchaient, l’une d’elle descendait sur ses talons et allait mettre quelques coups de langue sur l’entre jambe de sa soeur. Celle ci s’asseyait alors sur le lavabo à côté, écartait largement les jambes et se laissait faire. Elle avait alors droit à toutes sortes de choses visiblement très agréables, des léchouilles, des doigts dans la chatte…bref tout ce que deux jeunes filles plus tout à fait innocentes pouvaient faire pour se donner du plaisir.

Un jour je pus observer Amandine sortir d’un sac un objet qu’elle venait vraisemblablement d’acheter, qui s’avèra être un gode à la forme très réaliste de pénis. Les deux filles semblaient très emoustillées en manipulant l’objet. Chloé, jambes écartées, commenca alors à introduire le gode dans sa petite chatte. D’abord timidement, puis plus franchement, elle effectua des mouvements de va et vient, inclinant l’outil dans diverses positions qui semblaient assez délicieuses.

Puis elle passa le gode à Amandine qui à son tour se délecta d’explorer son vagin avec l’engin, avant de l’introduire dans celui de sa soeur. Chloé commenca en même temps à lui caresser les seins, le clitoris et obtint même qu’Amandine la laisse mettre un doigt dans son cul…

Moi, je trouvais ça incroyablement excitant. Je passais et repassais les images enregistrées. Je me branlais et j’éjaculais plusieurs fois en regardant Amandine doigter le cul de sa soeur. Il me vint alors des pensées dont j’eu honte. Je me disais que ce qu’il leur fallait, à mes petites chéries, c’était une vrai bite. Une bonne queue d’homme, c’est quand même autre chose que des léchouilles de nana ou un gode en latex ! Mes filles avaient largement l’age d’y goûter. J’étais sûr qu’elles en crevaient d’envie.

Et si cette bite c’était la mienne ? Les baiser un bon coup ? Pourquoi pas ?… J’en avais marre de me branler juste dans leurs petites culottes. Il était temps de passer aux choses sérieuses. Je me mis à en rêver. Bien sûr j’avais des remords, je me disais que j’étais leur père, que je n’avais pas le droit de faire ça. Hélas je ne pouvais m’empêcher d’y penser et la seule éventualité d’un jour enfoncer ma bite dans leurs petites chattes étroites m’excitait terriblement.

La suite des événements allait cependant me donner l’occasion de réaliser ce superbe fantasme.

Je savais que mes filles rentraient assez tôt du lycée, et qu’après un goûter traditionnel, elles se retrouvaient volontiers ensemble dans leur chambre pour discuter, écouter de la musique et parfois pour des séances de caresses qui devenaient vite assez torrides (j’avais mis aussi des caméras dans leurs chambres). Un jour je suis rentré plus tôt du boulot, sans prévenir. Ma femme n’était pas là non plus. Les filles pensaient donc être seules. Je savais que je risquais de les retrouver dans une situation délicate. Je suis donc rentré sur la pointe des pieds pour les surprendre.

Ce jour là, je suis bien tombé : persuadées d’êtres tranquilles, elles s’étaient installées à poil sur leur lit. Tête bêche en 69, elles étaient lancées dans une délicieuse partie de cunnilingus. Avant de les déranger, je profitais quelques secondes du spectacle. Qu’elles étaient belles, mes filles ! Amandine était à califourchon sur sa soeur, la tête entre ses jambes. L’une et l’autre se lėchaient la chatte avec une gourmandise assez manifeste.

— Mais ??? Les filles ??? Vous faites quoi là ???

Elle se sont redressées, complètement affolées, essayant tant bien que mal de cacher leur nudité avec leurs mains.

J’ai joué le papa offusqué, furieux. J’ai menacé de tout dire à leur mère.

Elles se sont mises à pleurer, m’ont supplié de ne pas les dénoncer à leur mère dont elle craignaient la sévérité.

— Papa, papa ! Pas ça, s’il te plaît. On est désolées, c’est la première fois qu’on le fait…

— Petites menteuses ! Je suis sûr que vous faites ça souvent ! Avouez !

Les filles restèrent sidérées, muettes de surprise, mais ne purent nier. Elles trouvèrent bizarre mon assurance, mais elle n’étaient pas en mesure de deviner que je savais tout grâce à mes caméras.

J’ai alors joué le tout pour le tout.

— Non, il va falloir que je le dise à votre mère. C’est la fin des sorties, du téléphone portable, du shopping etc…

— Papa, je t’en prie ! Maman va nous tuer ! pleura Amandine. Elle se précipita sur moi, se colla contre moi

— S’il te plaît, il y a bien quelque chose qu’on peut faire papa, se lamentait Chloé, elle aussi agrippée à mon t-shirt.

La situation était très bizarre. J’avais contre moi deux jeunes adolescentes nues qui m’enlaçaient de leur doux bras, anxieuses à l’idée de voir leur secret révélé, mais pleines de bonne volonté et visiblement disposées à tout faire pour se faire pardonner. Il eût été dommage de ne pas en profiter…

Je descendais alors doucement les mains vers le bas de leur dos, puis les posais sur leurs postérieurs.

Elles ne semblèrent ni surprises ni plus perturbées que ça, comme si c’était normal, ce papa qui se mettait à leur caresser les fesses. Visiblement elles n’avaient rien contre. Elles écartèrent même un peu les jambes de façon à me laisser passer les mains entre leurs cuisses. Un peu frustrées d’avoir été interrompues dans leur séance de léchouille entre filles, elles commençaient à se tortiller de plaisir contre moi, et me laissaient passer les doigts entre les lèvres de leur minou. Leurs mains, à leur tour, se firent baladeuses.

Ce fut Chloé la première qui passa la main sous mon t shirt, commença à me caresser le ventre.

— Papa chéri, je crois bien qu’on va trouver une solution…

Elle glissa un doigt dans mon pantalon. Je sentis ses doigts effleurer mon pubis, puis descendre plus bas, sur mon sexe. Ce qu’elle avait dans la main c’était un bel organe en érection, bien dur déjà dans mon pantalon. Pour se faciliter la tâche, Chloé baissa alors ma braguette et laissa ma grosse queue jaillir à l’extérieur.

Les deux soeurs ne purent réprimer un murmure de satisfaction. C’était la première fois qu’elles voyaient le sexe de leur papa en érection et visiblement n’étaient pas déçues.

Amandine commença à s’affairer sur ma queue, la prenant à pleine main pour en apprécier la taille.

— Vous avez de la chance, les filles, vous êtes en train de me mettre de bonne humeur !

Les deux coquines se laissèrent alors aller à jouer amoureusement avec mon sexe, le caresser, le masturber puis…l’embrasser…

Ce fut Chloé qui la première osa le mettre dans sa bouche. Sa soeur l’imita dans la foulée. Et voilà donc mes deux filles en train de me faire une fellation…Jamais je n’avais eu l’occasion de me faire sucer par deux femmes en même temps, et il se trouvait que pour cette première ces femmes étaient mes propres filles ! Le plus extraordinaire était qu’elles étaient vraiment douées, d’une douceur et d’une habilité hors du commun, signe indiscutable qu’elles n’en était pas à leur premier coup d’essai…

— Papa ! Tu nous en veux pas ? Tu es tellement gentil avec nous ! On a envie d’être gentilles avec toi aussi ! Joignant le geste à la parole, Chloé s’allongea sur le lit, sur le dos, en position jambes écartées. La coquine me présentait sa chatte, avec l’intention bien affirmée de se faire prendre.

Moi, j’étais ravi de constater que ma fille avait de bonnes idées. Sans tarder, je vins me positionner au dessus d’elle.

J’avais envie de Chloé depuis très longtemps. Elle m’excitait comme un fou. Mais lorsqu’elle était mineure, jamais je ne me serais permis le moindre écart. Aujourd’hui c’était différent.

Avec satisfaction je mettais un doigt dans sa chatte et je constatais qu’elle était trempée, prête à être prise.

Sa petite chatte toute lisse me faisait un effet incroyable. Doucement j’avançais ma queue. Mon gland pénétra la vulve de ma Chloé avec une facilité qui me déconcerta. Le cunnilingus de sa soeur l’avait bien excitée. Tant mieux. Non seulement je n’aurais pas voulu que cela soit douloureux pour elle, mais en plus il était très important que cette première expérience avec son papa soit réussie. Non sans fierté, je constatais que c’était le cas. Les joues de Chloé s’empourprèrent de plaisir lorsqu’elle sentit mon sexe fondre en elle. Les yeux fermés, la bouche entre ouverte, elle avait l’air de bien profiter de cette queue providentielle.

J’étais tout au fond d’elle. C’était d’un délice indescriptible.

Quelques doux mouvements de va et vient arrachèrent à Chloé des gémissements de plaisir. Je me mis à accélerer mes mouvements, pour la baiser avec toute l’énergie dont j’étais capable. Je voulais vraiment que ma fille soit heureuse de se faire prendre par moi.

A côté de nous, Amandine attendait patiemment.

— A mon tour ! Revendiqua t-elle. Imitant sa soeur, elle s’allongea jambes grandes écartées sur le lit. En baisant sa soeur, j’avais gardé un oeil sur sa petite chatte blonde toute poilue. Qu’elle était belle ! Sa vulve avait une couleur de peau plus claire que celle de Chloé, mais ses lèvres étaient plus volumineuses, déjà gonflées de désir, presque ouvertes. J’eu une envie folle de venir la prendre à son tour.

Doucement je me retirais de Chloé et vins me positionner entre les jambes d’Amandine et rentrais doucement ma queue dans sa chatte. Le passage était plus étroit que sa soeur, j’eu presque de la difficulté à faire pénétrer mon sexe tout au fond. Mais c’etait tout aussi délicieux.

Petit à petit j’accélérais mes mouvements, excité comme un fou par ce qui m’arrivait.

Pendant que je baisais Amandine, Chloé vint se positionner devant moi, au dessus de sa soeur, jambes écartées devant mon visage, me mettant sa chatte dans le nez. Le message était clair. Alors, sans me retirer de sa soeur, je commencais à lécher sa minette. Quel bon goût ça avait ! Je retrouvais l’odeur de leurs petites culottes. Mais là, c’était la vraie chatte de ma fille que j’avais sous la langue.

Au bout d’une heure de plaisir, à baiser alternativement chacune de mes filles, je sentis la jouissance monter, impossible à retenir…

J’étais alors à l’intérieur de Chloé.

— Ha, ma chérie, je vais…je vais …

— Non papa ! Je prends pas la pillule. Ne jouis pas en moi !

— Tu peux venir jouir dans moi, papa ! intervint Amandine. Moi j’ai eu mes règles il y a deux jours, ça risque rien !

Très satisfait par tant de réactivité de la part de ma fille cadette, je me retirais de Chloé et venait pénétrer Amandine. Bien sûr Chloé ne fut pas ravie de se voir voler la vedette et ma jouissance par sa soeur. La prochaine fois, ça serait elle ! décida t-elle.

Il ne me fallu pas plus de deux ou trois mouvements pour me lâcher à l’intérieur de ma fille chérie. Quel bonheur ! Quel plaisir !

C’était tellement meilleur que devant me masturber devant mes vidéos !

A partir de ce jour là, je n’eu plus besoin de la moindre caméras. Ce sont mes filles qui se montrent nues devant moi, sans même que je ne leur demande quoi que ce soit. A la maison elles ont décidé de s’habiller uniquement en robe et petite jupe. Elles trouvent ca bien pratique car elles peuvent les porter sans culotte. Elles veulent que je sois libre de mater leur petit cul et leur minette quand ça me chante.

Dès que leur mère s’absente, les coquines se mettent alors entièrement à poil, écartent les jambes pour que je vienne les prendre. Elles raffolent de ma queue je n’y peux rien ! Mais je peux dire que je suis alors le plus heureux des papas !

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