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Histoires d'un mâle alpha – Chapitre 16




Elle prend ma queue en main et s’empale dessus. Elle descend maintenant dessus bien à fond. Elle mouille bien, ma queue va-et-vient en elle. Je la pilonne, tout en léchant ses tétons. Elle hurle de plaisir et s’écroule sur moi quand un violent orgasme la secoue. Je reste en elle. Je l’embrasse la caresse.

— Je pensais pas vivre ça un jour.

— C’est étonnant. Ton ex te faisait pas jouir comme ça ?

— Ah ah, t’es con. Ni mon ex ni personne, tu le sais.

— Tu aimes ?

— J’adore. Je peux plus m’en passer.

— Tant mieux.

— Tu sais, même Sophie m’a dit qu’elle navait jamais connu ça.

— Manon, on n’est pas obligé de parler de tes copines, tu sais.

— Je sais, et je t’en remercie. Mais je suis OK avec ça.

— Bien. On progresse alors.

— Oui mon amour.

— Et Elise ?

— Pffff je crois qu’elle n’en est toujours pas revenue ah ah.

— Pas étonnant.

On s’embrasse.

— Suce-moi ma belle.

Elle s’exécute. Au milieu de la fellation je lui demande ce qu’elle a prévu pour la semaine. Elle me regarde la queue en bouche, elle la prend en main pour me répondre :

— Pas grand-chose, je voulais voir avec toi.

— Bien. Demain soir on ne peut pas se voir, j’ai rendez-vous avec une fille que j’ai rencontrée samedi après-midi.

Elle me regarde ne sachant trop que dire. Je la comprends.

— Manon, tu es sûre que c’est ce que tu veux ?

— Ouiiiiiii, je te jure Isaiah.

— Alors, quand je dis cela, tu veux en savoir plus ou plutôt pas trop.

— Pas trop je crois pour l’instant.

— Pas de soucis. Tu dois me dire, me parler, être honnête sur tes sentiments et ce que tu ressens, d’accord ? Sinon ça ne peut pas fonctionner. Et d’autre part, tu peux me demander tout ce que tu veux, me poser toutes les questions qui te viennent d’accord ? Je te l’ai dit, je ne te mentirai jamais.

— D’accord. Le mardi soir généralement on va faire du sport avec les filles.

— Ah ben c’est parfait ça. Ça explique ce corps de rêve.

— Tu parles de qui ?

— De toi Manon, de toi. Tu as conscience que tu me plais énormément ?

— Oui, je sais. C’est juste que ce n’est pas facile.

— Je sais. On a tout le temps ma belle d’accord ?

— D’accord. Mercredi soir dis à tes parents que tu bosses avec les filles OK ? On passera la soirée ensemble et tu rentreras dormir chez toi. Jeudi soir on ne se voit pas. Vendredi soir tu dors ici d’accord. J’ai un truc en tête, je t’en parlerai mercredi. Et samedi on ira chez tes parents, ça t’irait ?

— Oui, c’est parfait.

— Si tu préfères faire autrement Manon, dis-le-moi. On est en couple.

— Non, non mais c’est vraiment parfait.

— Viens là.

Elle se glisse tout contre moi.

— On est ensemble d’accord. Je suis ton mec.

— J’aime ça.

— Moi aussi.

— Tu as dit que tu ne me mentirais pas ?

— Oui.

— Avec Elise et Sophie ?

— Oui ?

— C’était comment par rapport à moi ?

Je lui ai souri, tendrement. Je n’allais pas lui mentir. Je n’en avais aucune raison :

— C’était très bien avec les deux. Mais à des années-lumière d’avec toi Manon. Tu me plais infiniment Manon. Tu sais je t’ai dit que je n’avais jamais été amoureux. La différence avec toi, c’est que je me pose la question. Je sais bien que ce n’est sans doute pas ce dont tu rêvais, mais pour moi c’est déjà énorme.

— Je t’aime Isaiah, je suis folle de toi.

— Et moi fou de toi aussi ma belle.

On a fait l’amour encore, en levrette, en missionnaire surtout, elle voulait me sentir contre elle, dans ses bras et elle dans mes bras. On a joui ensemble à chaque fois. On s’est endormis dans les bras l’un de l’autre. C’est le réveil qui nous a réveillés. On s’est douchés, préparés, j’ai entendu du bruit en bas, mon père était rentré. J’ai dit à Manon de ne pas s’en faire qu’il était cool.

Il était dans la cuisine, je lui ai présenté Manon, en disant que c’était ma copine ; cela a plu à Manon, et cela m’a plu de le dire. Mon père a été charmant avec elle, et je me suis comporté normalement ; je devais y aller doucement quand même avec elle. Et j’avais en plus envie de me comporter normalement, que l’on soit un vrai couple. J’étais bien avec elle, bien quand je la tenais dans mes bras, bien avec sa main dans la mienne.

On est allés au lycée ensemble. Elle était entièrement vêtue des fruits du shopping de la veille et reçut nombre de compliments.

La journée s’est passée calmement. Je sentais Manon qui hésitait à plusieurs reprises à me poser des questions sur ma soirée à venir. J’essayais de la rassurer. Et le midi alors qu’on était tous les deux, je lui dis :

— Si tu es inquiète, imagine que l’on se sépare aujourd’hui, on n’est plus ensemble, et on se remet ensemble demain matin, qu’en dis-tu ?

Elle me regardait, réfléchissait.

— Arrête, je peux pas !!! C’est fou, je ne peux pas imaginer cela.

— Que l’on ne soit pas ensemble.

— Non, c’est trop dur, je veux être avec toi. Même pour une nuit, je ne peux pas imaginer ça.

— Donc ?

Elle s’est collée à moi et m’a souri. Amoureusement.

— Je suis à toi. Profite mon amour. Je veux que tu sois heureux.

— Et toi ? Tu l’es ?

— Ouiiiii !

— Tu me le promets ?

— Je te le jure mon amour.

Je l’ai embrassée, la serrant dans mes bras.

— J’ai aimé que tu dises que j’étais ta copine à ton père.

— Tu vas pas me croire, mais ça m’a fait quelque chose aussi…

— Mmmmmm

— Je suis bien avec toi Manon.

— Je sais bébé.

On s’est quittés en s’embrassant devant le lycée. J’avais peur qu’elle soit triste, qu’elle me retienne, qu’elle hésite. Mais elle était sereine. Elle avait accepté la condition, sa condition. Elle était mienne.

Dans l’après-midi on était en demi-groupe, Manon n’était pas avec moi. J’avais échangé des messages avec Elodie :

— En forme mon chéri ?

— En grande forme.

— Tant mieux, on est en train de se chauffer.

— Ah oui ?

Comme réponse, elle m’a envoyé une vidéo d’elle et ses trois copines, en bikini et talons aiguilles, se prélassant dans deux canapés du salon. Plus surprenant, je remarquais deux petits mecs à leurs pieds. Je l’interrogeais là-dessus.

— Ah oui, je ne t’ai pas dit: on adore avoir des petits larbins à nos pieds.

— Je ne sais pas si tu as remarqué mais je ne suis pas franchement du genre soumis.

— ;-) Ne t’inquiète pas, ils sont juste là pour nous rendre la vie agréable. Ça ne te gêne pas j’espère ?

— Pas du tout.

— Je me doutais. C’est pour ça que je t’ai proposé pour ce soir. On galère un peu à trouver des vrais mecs qui assument.

— Je vais venir plus tôt que prévu.

— Pas de souci… le champagne est au frais.

Je n’étais donc pas repassé chez moi. J’avais rejoint les filles à l’adresse qu’Élodie m’avait indiquée. J’ai sonné à la porte, c’est elle qui est venue m’ouvrir. Elle s’était changée par rapport à la vidéo de l’après-midi. Elle portait une guêpière en dentelle noire, bas, escarpins à talons, et string noir ; elle était à tomber. Elle me roula une pelle puis me prit par la main et m’entraîna dans le grand salon. Je reconnaissais un peu l’intérieur de la vidéo, les deux canapés et les trois filles qui y étaient installées : toutes en lingerie sexy et talons hauts. Je baissais les yeux. Je vis les deux larbins un à chaque canapé, par terre, aux pieds de leurs Maîtresses. Ils étaient en costumes noirs et chemises blanches de serveurs.

— Mesdemoiselles, je vous présente Isaiah.

— Isaiah, voici Alexia, Eva, et Caroline.

Les trois étaient mannequins comme Élodie, et le moins que l’on puisse dire est qu’elles étaient aussi belles qu’elle. Alexia et Eva étaient dans un canapé, Alexia agitait son pied chaussé d’une cuissarde en cuir noir, talons aiguilles, au-dessus du visage d’un des deux serviteurs. Caroline était dans le canapé qui faisait face, et elle avait les deux pieds chaussés d’escarpins à talons aiguilles, posés sur le dos du second serviteur. Le tableau était amusant.

— Mesdemoiselles, enchanté.

— Mmmmm il est encore mieux que ce que tu nous avais dit Elo.

— Il vous plaît ?

— Beaucoup.

Je me suis assis à côté de Caroline, et Élodie a pris place à côté de moi. Elle a dit à son serviteur d’aller chercher à boire. Il a obéi. Caroline m’a embrassé. Puis Élodie m’a embrassé. Le serviteur est revenu avec du champagne. Les quatre filles étaient servies, il m’en a versé une flûte. On a trinqué. Alors que je roulais des pelles à Élodie, Caroline s’est assise sur le larbin qui avait repris sa position au pied du canapé, à quatre pattes. Elle s’est assise sur son dos et j’ai senti ses mains déboutonner mon jean et sortir ma queue. Elle n’a pu retenir un cri.

— Ah oui… Là aussi tu ne nous avais pas menti !

— Eh eh, je vous avais prévenues les filles.

Je regardais Élodie.

— Elles voulaient plusieurs mecs, je leur ai dit que tu suffirais.

— Ah (j’ai regardé chacune des filles, en souriant) Oui ça devrait aller.

Élodie s’est jetée sur ma queue et m’a sucé, branlé, léché les couilles, elle les a gobées, aspirées. Elle avait des petits seins, elle frottait mon gland sur ses tétons. Élodie m’embrassait toujours. Puis s’est glissée à côté de sa copine. J’ai senti leurs deux bouches sur ma verge dressée. Eva s’est levée, et est passée de l’autre côté de mon canapé. Par-dessus moi, elle m’a embrassé. Puis donné ses petits seins à téter. Alexia l’a remplacée quand Eva est venue elle aussi s’accroupir à mes pieds, les trois devant moi me prenaient en bouche à tour de rôle. Alexia au contraire des deux autres, avait vraiment des gros seins et me les a donnés aussi à téter. Délicieux. En passant mes bras au-dessus de ma tête, je l’ai attrapée et soulevée pour qu’elle s’asseye au-dessus de mon visage. Elle a crié quand je l’ai soulevée.

— Mmmmmm tous ces muscles. Miam miam.

Je l’ai léchée pendant que les trois me suçaient. Elles ont tourné, et quand j’ai eu léché les quatre, elles avaient toute joui une fois, j’étais prêt à les baiser. C’est Caroline qui s’est empalée sur ma queue, face à moi. Eva me léchait les couilles pendant que sa copine allait et venait sur ma queue. Je sortais ma queue pour la donner à pomper à Eva.

— Vas-y, goûte la mouille de ta copine sur ma queue.

Puis je me suis levé pour la baiser un peu debout, la faire sauter mon sexe. Alexia et Eva se sont mises à quatre pattes, accoudées au dossier d’un canapé, je me suis mis derrière Eva pour la prendre en levrette, je les ai prises l’une après l’autre dans cette position. Élodie s’occupait des deux larbins. Caroline s’était glissée entre mes cuisses et me léchait les couilles. Je lui donnais ma queue à sucer entre deux saillies. J’ai fini par jouir sur son visage.

Assis dans le canapé, Eva et Alexia à genoux de part et d’autre de moi qui léchaient ma queue, je buvais du champagne, les jambes allongées sur le dos d’un des deux larbins. Je discutais avec Caroline et Élodie, assise sur le canapé d’en face. Les quatre filles étaient très marrantes. Elles étaient réellement dominatrices mais appréciaient de se faire baiser comme des salopes. J’ai souri. J’étais là pour la nuit. Seules Élodie et Alexia me donnèrent leur cul. Je les ai fait jouir plusieurs fois dans la nuit. Elles se relayaient pour que je n’arrête pas de baiser. Je n’ai pas fermé l’il de la nuit. Au petit matin, l’un des deux larbins est allé nous chercher des croissants et des cafés. J’ai pris mon petit-déjeuner tout en étant sucé par deux mannequins. Le pied. Toute la nuit, je discutais avec l’une ou l’autre, on se marrait bien.

Élodie s’est à un moment allongée sur le dos d’un des larbins, à quatre pattes par terre. Je me suis glissé dans sa chatte comme ça et l’ai réellement pilonnée à fond. Le larbin était secoué par mes assauts puissants. Du coup Eva, jalouse, a ordonné à l’autre serviteur de s’allonger sur le dos sur le lit, elle est venue s’allonger sur lui sur le dos et m’a demandé de la prendre en missionnaire. Le larbin était étouffé sous elle. Je l’ai baisée sauvagement. Les cris de plaisir d’Eva se mélangeaient aux gémissements de douleur du larbin sous nos deux corps. J’ai joui sur son cul et Caroline a fait tout lécher au larbin, qui semblait heureux.

On a terminé par un moment câlin tous les cinq allongés sur un lit, on s’embrassait, se caressait. Elles se relayaient pour me sucer. J’ai joui sur leur visage, les quatre mannequins alignés devant moi.

J’ai pris une douche avec Élodie.

— Alors l’étalon, ça t’a plu ?

— Tu plaisantes ? Faudrait être difficile.

— Tu m’étonnes. Bon en tout cas bravo Isaiah. Tu nous as impressionnées.

— Merci.

— Je t’avoue que j’ai hésité à te garder juste pour moi.

— Je t’en aurais voulu. Mais on a encore le temps non ?

— Oui.

Je rebandais.

— T’es infatigable.

— Faut arrêter d’être aussi sexy.

— Flatteur.

Je l’ai baisée sous la douche. Eva et Caroline dormaient, mais Alexia nous a entendus et du coup nous a rejoints.

— Mais il ne s’arrête jamais.

— Apparemment c’est de notre faute, on est trop sexy.

— Ah ah. Tant mieux. J’ai encore faim de ta queue Isaiah.

J’ai baisé les deux avant de partir. Les deux larbins attendaient sagement pour nous sécher. Ils l’ont fait à notre sortie de la douche.

Je les ai quittés, absolument fourbu. J’avais à peine le temps de repasser à la maison pour me changer. J’ai croisé Juliette devant chez elle. On a discuté un peu. Elle voulait savoir si on se verrait avant que son mec débarque en fin de semaine. Je lui ai dit que je ne savais pas, je lui ai parlé de Manon.

— Je suis contente pour toi. Même si ça me prive un peu de toi…

— Tu lui parlerais ou pas ?

— De quoi ?

— Elle est un peu chamboulée par tout ça. Le fait qu’on soit ensemble mais que j’aille voir ailleurs. Je pense que discuter avec quelqu’une qu’elle ne connaît pas pourrait l’aider.

— Donne-lui mon tel dis-lui de m’écrire. Par contre, avant samedi hein ?

— Oui, tinquiète. Merci Juliette.

On s’est embrassé. Je me suis changé et j’ai filé au lycée. Il était un peu avant 7h, j’allais être un poil en retard dans le bureau d’Anne-Sophie Loiret. J’ai frappé.

— Entrez.

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