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La transformation de Kévin – Chapitre 13




Au cours du repas, ils ordonnèrent à salope de se coucher sur le ventre sur une des chaises en montrant bien sa chatte. Elle entendit du mouvement vers elle et se doutait que les convives s’approchaient d’elle. Elle sentit alors qu’on insérait beaucoup de choses dans sa chatte pendant de longues minutes, sans doute des pommes de terre. Après la sodomie de Maxime, c’était tellement dilaté que cela n’était pas trop douloureux.

Une fois leur repas terminé, ils autorisèrent Salope à se relever et l’aidèrent même à se redresser. Elle avait la chatte complètement remplis, pour insérer les dernières pommes de terre, ils avaient appuyé aussi forts qu’ils le pouvaient. Salope essaya de serrer aussi fort son anus pour garder la nourriture à l’intérieur mais il était très dilaté et très douloureux après sa dernière sodomie. Elle savait qu’elle ne pourrait pas garder les pommes de terre bien longtemps à l’intérieur.

    Débarrasse les couverts, les plats et fais la vaisselle !

    Oui Maîtres

Elle débarrassa le tout en marchant du mieux qu’elle le pouvait avec ses talons haut et la nourriture qui menaçait de sortit de sa chatte à tout moment. Sa démarche n’avait rien d’élégant mais elle parvint à amener la vaisselle jusqu’à l’évier.  Elle fit couler l’eau chaude, y ajouta le liquide vaisselle puis commença à laver la vaisselle. Elle se dandinait dans tous les sens pour conserver les pommes de terre au chaud dans ses intestins. La pression devenait de plus en plus intense et elle sentait que ça allait bientôt sortir. Elle sentait sa chatte commencer à s’ouvrir. Elle s’activa sur la vaisselle, puis prit un essuie et la sécha. Elle entreprit de tout ranger dans les armoires mais lorsqu’elle tenta de ranger le dernier plat en hauteur, elle sentit quelque chose sortir de sa chatte, tomber à terre et rouler jusqu’à sa chaussure. Elle se retourna vers ses Maîtres qui observaient la scène depuis le début en riant de bon cur.

    C’est bien Salope, on pensait que ça arriverait plus vite. Tu étais tellement ridicule et drôle à la fois. Dépêche-toi de te mettre à quatre pattes et de manger ce qui vient de sortir.  

    Tout de suite Maîtres.

Elle se mit immédiatement à quatre pattes et avala la pomme de terre en léchant le carrelage avec sa langue comme le ferait une chienne. Le goût n’était pas mauvais et si elle ne l’avait pas su, elle n’aurait pas deviné que ça provenait de sa chatte.

    C’est bien Salope. Maintenant prends tes écuelles et tu vide ta chatte dans la première. Ensuite, tu vas chercher une bouteille dans ton armoire et tu nous la ramène.

    Oui Maîtres.

Elle alla chercher sa bouteille d’eau, la transmit à ses Maîtres et se plaça à genoux au pied de la table. Octavia l’ouvrit et ordonna à Salope de se mettre sa chatte la plus en l’air possible. Elle obéit et tendit ses jambes tout en plaçant son visage sur le sol pour avoir la chatte la plus à la verticale possible. La position était assez désagréable et douloureuse. Octavia regarda la chatte de Salope qui était complètement dilatée. Elle y inséra le goulot de la bouteille sans aucune difficulté et regarda le niveau de la bouteille diminuer progressivement. Salope entendait la bouteille se vider tout en sentant le liquide remplir ses intestins qui devaient bien encore contenir le sperme de Maxime, des restes de pomme de terre et maintenant de l’eau. Elle resta ainsi plusieurs longues minutes jusqu’à ce que la bouteille soit vide. Salope resta à quatre pattes de peur que l’eau s’écoule toute seule de sa chatte dilatée. Et se place au-dessus de sa seconde écuelle.

    C’est bien, tu as compris ce qu’on attendait de toi. Tu peux vider l’eau dans ta seconde écuelle pour être à nouveau toute propre et accueillante.

    Oui Maîtresse.

Elle s’assit juste au-dessus de la seconde écuelle et sentit le liquide s’écouler en fin filet puis elle desserra complètement le sphincter pour vider complètement le liquide en gros flux. Elle regarda ensuite ses deux écuelles. La première contenait les pommes de terre avec une peu de substance gluante et translucide sur le dessus (probablement un peu du sperme de Maxime). L’ensemble ne sentait pas très bon. Cela sentait en partie l’odeur de pomme de terre et de sauce mais également une petite odeur de merde. Cependant, ce n’était rien comparé à la seconde écuelle. Il y avait non seulement des morceaux de pomme de terre et des volutes de sperme un peu partout mais l’eau avait également une couleur brune et une odeur infâme.  Il y avait même des petits morceaux bruns de quelques millimètres. Elle commença donc par manger le contenu de la première écuelle. Le goût n’était pas mauvais. Il était celui attendu si c’est un petit arrière-goût rance mais rien de très dérangeant. Le liquide allait poser plus de problèmes. Elle plaça sa tête au-dessus et sentit l’odeur nauséabonde et vit l’aspect horrible de la mixture. Elle regarda ensuite la table avec ses Maîtres et sentit un sentiment de joie au fond d’elle et avait envie de leur faire plaisir. Elle prit donc une grande respiration et commença à boire. Le goût n’était pas si terrible que ça. La présence de morceaux un peu pâteux qui collaient aux dents et l’odeur étaient bien pires. La texture des morceaux était horrible mais elle avala le tout en quelques secondes et releva la tête pour voir le visage ravi de ses Maîtres.

    Tu as été une gentille chienne aujourd’hui et tu as même fais plus que ce qu’on attendait de toi. Pour te remercier nous avons un cadeau pour toi.

Son Maître lui tendit un livre intitulé « l’art d’être une salope ».

    C’est un livre écrit par une de mes connaissances et qui n’est donc pas commercial. Il reprend tous les trucs et astuces que doit connaitre une femme pour rendre un homme fou de toi et le faire monter au septième ciel. Pour l’instant, seule la seconde partie sera intéressante pour toi car tu devras exceller dans tous les domaines relatifs au sexe. La première partie sera pour plus tard quand tu nous feras gagner de l’argent. Tu as l’autorisation de descendre les trois sacs pour ranger leur contenu dans ton armoire en bas, de te laver les dents. Ensuite, passe la soirée et la nuit à te reposer et à lire le livre.

Salope ne comprit pas la remarque concernant le gain d’argent mais elle comprendrait probablement tout en temps voulu. Elle embrassa ses Maîtres et sa Maîtresse sur les pieds et descendit avec ses sacs. Elle déballa tout le contenu et vit de magnifiques robes avec le dos nu, avec de grands décolletés, des tops sexy, Il y avait même une robe sans bretelle qui devait tenir uniquement avec la poitrine. Elle se demanda pourquoi on lui avait mis ce genre de robe car cela ne tiendrait pas sur elle. De même pour le bas, il y avait des mini-jupes, des leggins, des jupes et même un pantalon moulant en cuir. Tout était magnifique. Elle rangea soigneusement le tout dans l’armoire. Sa Maîtresse lui avait également laissé le miroir, elle était super contente.

Elle se déshabilla et vint se coucher sur sa couverture pour lire le livre. Il était super intéressant. Il expliquait comment aguicher un homme, comment lui montrer qu’on a envie de lui, comme le sucer et le faire grimper au rideau, Il y avait même des illustrations et schémas. Elle passa toute l’après-midi à lire le livre puis sortit uriner dehors dans la position qu’on lui avait imposée sous les rires de ses Maîtres. Lorsqu’elle rentra pour redescendre, elle leur fit un petit regard aguicheur comme décrit dans son livre, ce qui lui valut plusieurs fessées. Elle avait réussi, ils étaient tous heureux et avaient tous envie d’elle. Elle traina un peu avec son regard aguicheur en passant sa langue sur ses lèvres. Ses fessées étaient des fessées d’envie de ses Maîtres, ce qui les rendaient agréables. Elle était hyper excitée mais redescendit malgré tout dans sa chambre. Elle se coucha sur sa couverture pour dormir tremblant d’excitation mais elle se rendit soudain compte qu’elle ne bandait pas. Son corps s’était donc adapté à la cage, l’empêchant de bander pour ne pas la faire souffrir. Elle essaya de retirer la cage qui était solidement fixée et qui ne bougeait donc pas. Au contraire, cela lui fit plus mal qu’autre chose. Cela fit retomber son excitation et sa joie. Elle entendit alors quelqu’un ouvrir la porte et entrer. Comme on lui avait appris, elle alla à sa rencontre et lui embrassa les pieds. C’était son Maître qui lui ramenait une petite bouteille d’eau pour la nuit.

    Je te ramène une bouteille d’eau. C’est important de bien t’hydrater pour ta santé. Il y a une sonnerie qui retentira dans la pièce tous les matins à six heures. Tu devras te laver, ton corps mais également tes dents et l’intérieur de ta chatte comme je te l’ai appris tous les matins. Ensuite, tu te maquilles, tu t’habilles et tu vas dans la cuisine préparer le petit déjeuner pour tous le monde. Il y a une liste sur le réfrigérateur avec ce que doit contenir le plateau de chaque personne. A sept heure tu viens amener le mien dans ma chambre, à huit heure celui de Maxime, à neuf heure celui de Driss et à dix heure celui de Jamal. Oui, Jamal est un gros dormeur mais il a aussi un gros appétit à tous les niveaux. Ensuite, tu fais le ménage dans la maison. Elle doit être en permanence parfaitement propre. Si tu fais bien ton travail tu seras récompensée, sinon, tu seras punie.

    Je vous obéirai Maître. Promis.

    Cette première journée à notre service t’a plu ?

    Oui Maître. Je suis trop heureuse de mes nouveaux habits. J’ai hâte d’être demain.

En disant cela sa voix commençait à défaillir et elle ressembla plus à un enfant dont la voix avait oublié de muer. Elle dû se racler la gorge et prononcer le phrase deux fois pour la dire comme il fallait. Son Maitre sourit et versa le contenu de la bouteille dans l’écuelle.

    Tu perds ta voix ? Il faut dire qu’on n’a pas ménagé ta bouche aujourd’hui.

La remarque fit rougir Salope qui sourit d’un air gêné. Son Maître quitta la pièce sans fermer à clé derrière lui. Elle but son eau puis se coucha sur sa couverture et s’endormit presque instantanément.

Une sonnette retentit dans sa chambre, la faisant brusquement sortit de sa rêverie. Il lui fallut quelques instant pour se rappeler sa situation et ce qu’elle devait faire.

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