Nous nous sommes rencontrés étrangement : un courrier sur un site coquin où javais publié des histoires de domination. Puis nous nous sommes échangés des mails et avons engagé une histoire virtuelle de plusieurs mois. Je tenvoyais mes histoires, tu me donnais tes impressions, comment telle scène tavait fait mouiller, tavait ému, ou pas, tu me parlais de ta vie, de tes plaisirs plus sages que ceux auxquels tu aspirais. Et puis tout sest arrêté.

Et puis un jour, 2 mois après, un coup de téléphone de toi. Je tavais donné mon numéro au début, tu avais refusé de lutiliser « Je viens demain. Viens mattendre à 20 heures à la Gare du Nord » Je ne sais pas grand chose de toi, que tu as 25 ans -si jeune- que tu es assez jolie, de taille moyenne, que tu thabilles plutôt sexy, cheveux châtain plutôt courts, yeux marrons. Tu as une belle voix, chaude et tu me dis tappeler Angie, mais je sais que cest un pseudo. Comme je te lai promis, – ce nétait pas sûr mais je tavais dit que je ferai tout mon possible

je suis à tattendre à la gare. Jai souvent attendu des femmes sur des quais de gare, amantes éphémères ou affaires plus sérieuses. Mais là, cest différent. .Je ne te montrerai rien de mon émotion mais elle est réelle. Cest un peu un retour à un point de départ, à cause de ta jeunesse. Elle, elle avait 20 ans. Longtemps que je ny ai pas pensé. Que je devais être maladroit alors Mais te voilà qui avance vers moi. Tu es encore mieux physiquement que je le pensais. Par-dessous le long manteau entre ouvert, tu portes une jupe courte qui découvre largement tes jambes fort belles ma foi- et tu as mis un pull par-dessus le débardeur : il fait un peu frais.

Je ne peux pas voir si tu as un soutien-gorge ou pas. Jai été vague sur la tenue, contrairement à lhabitude. Demain nous irons faire du shopping. Ce sera une expérience intéressante pour moi et tu seras comme jen ai envie. Tu noses pas sourire mais tu me regardes droit dans les yeux. Tu sais quil faut de lhumilité mais tu ne mas pas choisi encore : je sais que tu aimes mentendre mais la voix ne fait pas tout. Tu ne parais pas déçue. Et tu me lances un « bonsoir, mon Maître » dun ton un peu provocateur. Mais je suis content que tu sois détendue. Je te prends par le bras et tentraîne jusquaux taxis. Le trajet nest pas long : lhôtel est assez près, jy ai laissé ma voiture et je veux mettre à profit ces quelques minutes pour faire ta connaissance un peu plus intime.

En gardant un il fixé sur le rétroviseur, craignant que le chauffeur nous regarde, tu prends ma main que jai posée sur ta cuisse et tu la guides vers ton entrejambe, devançant mes désirs. Mais il est vrai que tu es familière de mes scénarios. Je ne tavais rien dit mais mes doigts ne rencontrent pas dobstacle de tissu et viennent effleurer la moiteur humide de ta vulve. Je relève la jupe jusqua apercevoir ta fente où mes doigts glissent doucement. Tu es une élève soumise et qui apprend vite. Ça te réserve, ça nous réserve beaucoup de plaisirs. Je garde mes doigts dans ton intimité désirante. Il fait trop sombre pour que le chauffeur distingue quoi que ce soit et je le regrette un peu. Mon bonheur aurait été parfait sil avait eu un témoin. Mais nous sommes déjà arrivés, je retire mes doigts, les hume et te les donne à lécher.

Le conducteur se tourne et je vois la stupéfaction sur son visage. Il devait croire quil transportait un père et sa fille. Je règle la course, mextrais du véhicule et taide à en sortir. Tu dévoiles ton intimité au passage à qui veux la voir et surtout à moi. Le réceptionniste me tend la clé, je suis passé quelques minutes avant.

Son regard concupiscent sattarde sur tes jambes, la partie de tes cuisses au-dessous du bord de la jupe. Il est surpris de ton jeune âge quand je lui ai bien fait préciser quelques instants plutôt que la chambre disposait dun lit double. Jai envie de faire admirer, aussi indigne quil en soit, ce qui est à moi. Les clés méchappent et tombent : tu as compris, tu te baisses et lui présente en te penchant tes fesses et ta vulve et tu montes lescalier comme si de rien nétait. Nous sommes faits pour nous entendre, toi et moi. La chambre est au premier. Je te laisse introduire la clé et la tourner. Mes mains soulèvent ta jupe pour caresser tes fesses. Jai failli le faire en bas. Docile, tu attends que jaie retiré ma main pour ouvrir la porte et entrer dans la pièce. La porte se referme. Tu te glisses le long de mon corps, tu ouvres la fermeture de ma braguette et tu glisses tes doigts pour venir caresser ma queue. Je te prends par les épaules et te relève en te regardant droit dans les yeux. « Rappelle-toi qui est aux commandes. Je ne te le redirai pas.

Ce soir je dois partir. Tu es là pour satisfaire mon désir. Cest la règle que nous nous sommes fixés. Et je ne veux rien bâcler, te baiser en 5 minutes et tabandonner. Tu vas te faire servir à dîner, prendre un grand bain plein de mousse, te caresser si tu en as envie en pensant à cette queue que tu viens de toucher. Et tu me raconteras demain. Je serai là pour ton réveil » Je prends la clé. « Tu nen auras pas besoin. Tu peux tenfermer en poussant le petit bouton là. Demain je viendrai te réveiller » Le lendemain matin, tu dors encore quand jutilise ma clé pour pénétrer dans la chambre. Je sens que tu as utilisé le vaporisateur de « Shalimar » que javais laissé dans la salle de bains. Dans la pénombre, japerçois la forme de ton corps jeune et souple recouverte du seul drap. Je me déshabille, laissant mes vêtements sur le sol, près du lit et je me glisse dans la tiédeur des draps. Mes doigts trouvent la douceur de ta peau, tu sens vaguement ma présence dans ton sommeil et tu bouges.

Ma queue, gonflée dune érection presque instantanée vient se nicher dans la raie de tes fesses. Tu sens mon érection, la force de ce désir de te posséder. Tu émerges doucement du sommeil. Tu prends la queue dure entre tes cuisses contre ta chatte, puis tu técartes. Tu embrasses ma poitrine, mon ventre, tes doigts dabord viennent explorer ma rigidité. Deux doigts sous le gland pour étirer encore un peu plus la peau vers le bas, la tendant depuis le frein. Tu la manipules, la caresses ainsi de haut en bas puis de bas en haut. Plusieurs fois. Puis tu y portes ta bouche. Hésitante dabord, tu as peur de mal faire. Non que tu ne lais jamais fait mais les exigences de tes partenaires habituels sont bien loin des miennes. Tu as lu ce petit texte que je tavais envoyé sur lart de la fellation. Tu prends lextrémité entre tes lèvres, ta langue vient caresser le méat où perle une goutte déjà, témoignage de mon désir que tu avaler avec bonheur.

Puis tes doigts encerclent la base, tirant le frein et ta bouche absorbe tout le gland que jai assez gros, ta langue vient titiller le frein, lentement sans précipitation, tu te rappelles que ce matin, ce ne pourra être quun prémisse que cest en toi que je jouirai. Doucement tu viens soupeser mes testicules, les caresser tout en continuant un mouvement de va et vient sur le sommet avec tes lèvres et ta langue. Mes doigts viennent voir si tu mouilles et tu mouilles abondamment, heureuse de suivre ce schéma que je tai tracé, heureuse de faire selon mon désir, en ayant envie dêtre prise, de sentir cette queue gonflée de désir senfoncer en toi encore et encore. Désir pour toi qui as accepté de devenir mon objet de plaisir et den retirer ta propre jouissance. Tu ne seras plus rien que cette bouche, que cette chatte ouverte. Tu nauras dautre désir que dassouvir le mien. Et nous nous rencontrerons dans une jouissance rare Mais rien ne presse. Peut-être te crois-tu frustrée du plaisir, mais tu men sauras gré. Je veux jouir de ton corps, de tes doigts, de tes lèvres, de ta langue, de son sexe avant dexploser dans une jouissance extrême. Ta bouche prend mes testicules comme des fruits goûteux, ta langue remonte le long de cette hampe tendue après sêtre attardée sur le périnée et avoir frôlée lanus où un jour elle senfoncera.

Mais chaque chose viendra à son moment Quand je te dis Maintenant, tu abandonnes ma queue pleine de désir et tu me présentes ta croupe, et tes fesses. Fesses relevées qui découvrent ta vulve humide qui mattend, en position de prosternation. Je me place derrière toi, ma bite parcourt le sillon de tes fesses, tentée au passage par la rosette sombre et fermée de ton cul. Je ne sais pas si tu as déjà été prise par là et si tu as aimé cette soumission totale. Mais je tapprendrai, si tu ne sais pas, les plaisirs brûlants que cette possession peut apporter. Là cest ta vulve, ta chatte, ton con que je veux envahir et où, à la fois docile et désirante, tu veux que je plonge. Ma main guide linstrument du plaisir vers lentrée de ta cavité sombre et humide. Le gland sintroduit doucement dans le passage encore fermé et je plonge dun coup, à la fois, tendre et violent, toute ma longueur en toi. Tu ressens peut-être une légère douleur que lhumidité de ton désir nempêche pas tout à fait tant lassaut est brutal. Mais limpression est fugitive, tout de suite remplacée par celle du plaisir que tu as à me sentir en toi. Tu enserres ma queue. Sous les coups de boutoir tantôt doux tantôt dune violence calculée tu touvres de plus en plus. Je vais en toi, je viens en toi, avec de plus en plus de force. Un premier spasme de plaisir te saisit tout entière, tout ton corps vibre. Je savoure longtemps ce plaisir dêtre en toi, de sentir ton corps vibrer sous les assauts du mien.

Un sentiment de possession qui est aussi un sentiment dappartenance. Qui est lesclave ? Qui est le Maître? Tu mouilles de plus en plus, je menfonce en toi, mes mains sur tes hanches, te tenant fermement ou quand le mouvement se fait plus doux, plus lent, mes doigts parcourent la raie de tes fesses, caressent lentrée secrète, fermée du petit trou qui gardera ses trèsors pour une autre fois. Nous nous promenons ainsi longtemps au bord du plaisir, tu as joui une seconde fois, ton corps vibrant au rythme du mouvement de ma queue qui tenvahit, secouée dun long spasme. Puis une troisième fois. Plus forte, plus violente. Et alors jaccompagne ton plaisir, ma queue délivrant en jets puissants mon sperme au fond de toi. Je nai pas utilisé de préservatif. Je préfère de très loin pas, pour que ta chair se frotte à la mienne. Pour que notre jouissance soit plus forte. Tu vas à la porte ouvrir au garçon détage qui apportera le petit déjeuner après avoir emprunté ma chemise qui traîne par terre afin de te couvrir sommairement. Pas suffisamment pour quil naperçoive rien de ta peau, de tes seins, de ta chatte, de ton corps que tu viens de me donner et que je reprendrai encore plus tard, ce corps qui déjà mappartient.

Il voit dans ton regard comblé à quel point tu aimes être à moi, faire ce qui est mon plaisir et qui est aussi le tien. Il sent lodeur du plaisir, de nos sécrétions mêlées. Le sperme coule le long de ta cuisse quand tu te retournes avec le plateau entre les mains. Et il te suit du regard, un regard envieux, un peu plus longtemps quil le faut avant de refermer la porte. Tu poses le plateau sur le lit, tu ôtes la chemise pour moffrir dembrasser du regard ce corps que tu viens de moffrir sans retenue, sans honte, sans pudeur. Tu poses ensuite des lèvres sur ma queue détendue, molle et ta langue vient chercher le sperme mêlé à tes secrétions et tu me goûtes ainsi une première fois tandis que je te caresse les cheveux. Jusqua ce que lobjet qui ta emporté dans la plaisir soit propre. Puis il est temps de reprendre des forces. Il me reste encore beaucoup à explorer, à goûter, à essayer.Ensuite nous sortons en ville nous balader.

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