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monsieur Priape – Chapitre 2




MONSIEUR PRIAPE. 2

Patricia.

Elle est si grosse ! Quelle érection ! Je n’en avale qu’une infime partie. Alors, du plat de ma langue, je le surprends en lui titillant les boules ; ça le fait gémir doucement.

Ces couilles frétillent sous la pression de ma langue. Ben mon coquin ! Il aime ça. Puis je lui prends la queue d’une main, et de l’autre, je lui caresse le gland du bout du doigt, après l’avoir bien humecté de ma salive.

Petit jeu de bave, de mouille et de glisse. Je sens sous mes doigts la douceur sublime de cette queue gonflée à l’extrême qui s’offre à moi. La vision de ce gland brillant et la chaleur de sa bite dans ma main, attisent tous mes sens. Je mouille. Je trempe. J’ai envie de l’avoir dans la chatte mais c’est déjà occupé, je suis toute à cette queue. Alors, je me mets à le branler doucement.

Clarisse s’impatiente et s’emporte.

Prête-là-moi, maintenant.

Elle le lèche avec application. J’aimerais qu’il me gicle dans la bouche. Comme ça. Tout prendre de lui. Cette idée me submerge et me déchaîne.

L’homme se saisit de sa bite et la présente alternativement à nos bouches affamées.

Alors je me mets à le pomper en cadence. Je m’enfonce cette grosse queue le plus profondément possible dans le gosier.

J’en bave, et plus bas, j’en mouille de plus bel. Ma petite chatte est toute mouillée. Jules vient d’abdiquer et déverse sa semence dans ma grotte.

Je sens sa queue, maintenant, qui glisse parfaitement dans ma bouche. Jeu de coulisse. Je l’enfonce jusqu’à l’étouffement. Elle m’excite ; ça me rend folle. Je pompe. Je pompe. Il gémit mais ne jouit toujours pas et change sa queue de fourreau. Ca fait maintenant bien 20 minutes que nous lui suçons le dard.

 Je suis en manque et dois attendre le prochain tour, j’espère qu’il ne va pas se vider dans la bouche de Clarisse. Il faut que je le branle activement pour le faire gicler dans ma bouche. C’est ça que je veux.

 Je le reprends à deux mains, l’une branlant sur toute la longueur de la bite, l’autre par mouvements circulaires à la base du gland. Et pour recueillir son sperme, je le suce activement sur toute la surface du gland en le recouvrant complètement de mes lèvres suceuses en couronne. Je le veux dans ma bouche.

 Je veux tout prendre de lui. Je ne veux rien perdre de son foutre. Je m’active avec détermination et application. Je branle. Je suce. Je branle. Je suce. Il monte. Il souffle. Il gémit.

Il ne résiste plus et lâche un long râle sourd.

 Il décharge dans ma bouche. Une giclée d’une pression inouïe m’inonde l’arrière gorge. Je tousse. J’étouffe. Je pleure. Mais je dois tenir bon. Animé de spasmes, il n’en finit pas d’inonder par saccades mon gosier. Ma bouche est pleine de ce liquide blanchâtre et visqueux. Il me brûle. Mes yeux coulent.

Il faut que j’avale tout de lui. C’est ma victoire et je veux toute sa semence. Il me regarde stupéfait par la vision de ce spectacle et voit disparaitre peu à peu la mousse blanche de ma bouche. De ma langue je lèche le contour de mes lèvres, sans rien laisser perdre de son sperme.

— Ouuufff ça fait du bien de se libérer la mâchoire ! Excuse-moi je n’ai pas pu

résister à mon plaisir !

— Ce n’est rien, beaucoup de femmes fuient quand elles voient mon sexe et ne veulent même pas me toucher

Jules.

Guy a finit de jouir, Sa queue reprend sa taille normale, mais elle est toujours raide, restant en semi-érection.

Il s’est porté à ma hauteur, la bite dressée, avec l’intention visible de prendre ma place. Docilement alors, je me suis retiré, un peu à contrecur, de l’endroit tout chaud. Il a prit ma femme par les hanches.

 J’ai eu peur, du coup : ne va t-il pas la déchirer ? Comment un engin pareil va t-il pouvoir entrer dans sa petite chatte juteuse ?

Je vois de l’inquiétude dans le regard de ma chérie.

 On dirait qu’elle se cambre davantage, pour accueillir plus aisément l’énorme biroute !

J’ai alors vu avec trouble l’engin écarter les lèvres gonflées du minou de ma cochonne d’épouse. J’ai failli crier !

— Arrète ! Tu vas la déchirer !

Mais en même temps, je regarde avec fascination la lente mais certaine progression de la grosse queue dans l’étroit fourreau de ma chérie qui se déforme devant le bélier. Sa chatte gourmande s’offre sans remord à la pénétration monstrueuse ! Elle hurle sans retenue maintenant.

— Oh oui, c’est bon, trop bon !

 Il ne bande pas, pas encore. Mais sa queue constamment raide lui a permit de la pénétrer sans effort. Quand sa chatte est entièrement envahie, Patricia se met à geindre.

 Il est au-dessus d’elle, il va et vient doucement, continuant de bouger en elle.

Patricia se met à beugler, à hurler, à se tortiller, son visage grimaçant sous l’effort.

 Elle sent que la chose en elle recommence à grandir, à s’élargir. Son utérus presque déchiré, ses muscles du vagin déformés aux limites du supportable.

 Nous les regardons sans intervenir.

-Je te demande pardon Patricia, mais je ne peux plus m’empêcher de bander !

— Pitié, pitié !

Guy se remet à bander. Sa queue se décuple, double de volume. Une fois dedans, il ne peut plus se retirer tellement il a distendu sa chatte. Patricia continue de geindre, respirant comme une femme ayant des contractions. Nous sommes sans voix devant la bête en rut.

Guy va et vient en douceur.

 Parfois, il donne un coup de queue, talant le pauvre utérus de ma femme. L’homme la tient par les fesses, et bien qu’elle se tortille pour essayer d’échapper à cette torture, il reste bien en elle, enfin ce qu’elle peut accepter de son monstre. Elle a mis une main à la base de son sexe pour en limiter la pénétration mais c’est le deux qu’il lui faudrait.

 Il ne s’arrête pas, gardant le même rythme, sans aller trop lentement, ni trop vite. Patricia me regarde les yeux pleins de larmes. Tout le monde regarde. Guy continue comme ça, pendant une quinzaine de minutes.

Quand il finit par jouir, l’inondant à n’en plus finir, l’étalon reste en elle. Le dernier jet est envoyé et le sperme coule le long des cuisses de ma femme, il continu encore ses aller-retour pendant quelques minutes. Ma femme sent le mandrin se dégonfler, reprendre sa taille d’origine.

Patricia a son visage inondé de ses larmes. Il se retire enfin la queue toujours raide.

Sans un instant de répit, il se tourne vers Clarisse.

— C’est à ton tour Clarisse!

A suivre..

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