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Terreur à Ténérife – Chapitre 4




Terreur à ténérife Ch 4

Coulybaca / Vulgus

Chapitre 4 : Le retour au pays, le calvaire reprend.

Les premières semaines de notre retour furent difficiles.

Nous nous serrions l’un contre l’autre en permanence nous assurant l’un l’autre de la profondeur de notre amour.

Mais nous ne faisions pas l’amour.

La tension avait monté entre nous, nous n’en parlions pas, finalement je suggérais que nous rencontrions un psychiatre spécialisé dans les suites de viols ou bien même un simple psychologue.

Jenny me répondit :

— "Ne pourrions nous pas plutôt en parler entre nous? …. Je ne veux pas parler à qui que ce soit de ce que j’ai enduré, ce serait bien trop humiliant! …."

Alors nous en avons parlé entre nous et il apparut que ne voulais pas lui faire l’amour parce que je pensais qu’elle était trop traumatisée et qu’elle ne voudrait plus être touchée par un homme pendant un certain temps.

Par ailleurs elle pensait qu’elle ne m’intéressait plus parce qu’elle était souillée et elle avait peur que je pense qu’elle était bien trop salie pour l’aimer encore.

Nous avons parlé sincèrement de ces problèmes puis nous nous sommes aimés longuement, tendrement après avoir surmonté nos craintes initiales.

Il y avait encore beaucoup de choses à résoudre entre nous, mais il nous semblait que nous avions pris la bonne direction pour recimenter notre union.

Le souvenir de ces deux semaines de vacances était moins prenant, il était temps maintenant de reprendre le boulot.

Nous attendions cet instant avec impatience en fait, il semblait bon de retrouver une certaine routine, des habitudes qui structuraient notre vie.

Nous nous sommes levés tôt le lundi suivant, avons pris notre petit déjeuner, puis on partit travailler comme si rien ne nous était arrivé.

Je vantais nos vacances auprès de mes collègues de travail faisant abstraction des trois derniers jours de notre séjour.

Le soir, de retour à la maison, Jenny m’attendait assise dans la cuisine elle avait en main un colis envoyé de Ténérife.

Jenny était assise les yeux rivés sur le paquet, elle avait l’air terrorisé.

Je regardais l’inscription sur le paquet et vit qu’il provenait de nos amis du "Banana Man’s club" de Ténérife.

Je soupesais l’enveloppe, l’ouvris et en extirpa le contenu.

Elle contenait une lettre accompagnée d’une bonne douzaine de photos.

La plupart des photos représentaient Jenny dans des positions scabreuses, dégradantes incluant des photos où elle paraissait baiser avec des mineurs filles et garçons, en réalité de jeunes majeurs ayant gardé un aspect juvénile.

Il y avait aussi quelques photos de moi copulant avec la jeune fille.

Je ne sais pas si ces photos suffisaient à nous mener en prison bien que je suspecte que c’était le cas, mais elles suffiraient à nous mettre au ban de la société, totalement rejetés par nos amis et nos parents, nos familles.

Jenny s’était remise à pleurer, elle me demanda :

— "Qu’est-ce que cela veut dire? …."

Je saisis la lettre et la lut rapidement.

Elle m’expliquait qu’afin de réparer les torts que nous avions causés aux habitants de Ténérife nous devrions donner de notre temps pour rapporter de l’argent aux victimes.

Ce temps volontaire serait géré par monsieur Jeffrey Eng, son adresse et son numéro de téléphone étaient indiqués sous son nom.

La lettre indiquait que nous ne serions réquisitionné que trois jours par semaine tant que nous coopérerions sans créer de problèmes.

Je ne connaissais pas le nom de l’homme qui avait signé cette missive, mais cela importait peu finalement.

Au dos du message étaient inscrits les noms et les adresses de nos proches et de nos employeurs.

Il n’y avait été ajouté aucune menace, elles n’étaient pas nécessaires.

J’ouvris le petit paquet sur lequel était collée cette enveloppe, j’y trouvais une douzaine de DVD, il n’y avait aucune note mais nous savions tous deux ce dont il s’agissait.

Je me levais et nous servit une boisson bien raide.

La lettre nous enjoignait de contacter monsieur Eng dès que nous la recevrions.

Je reposais les DVD et les photos dans leurs emballages respectifs m’assit et cherchais comment nous tirer de cette histoire.

Nous n’étions pas riches, bien que nous ne soyons pas non plus pauvres.

Nous aimions nos boulots qui nous proposaient à tous deux des carrières évolutives, bien rémunérées, garantes d’un train de vie élevé.

Nous ne pouvions quitter nos emplois quelle qu’en soit la raison.

Et, même si nous mourions rien ne dit que nos turpitudes ne seraient pas étalées au grand jour.

Il n’y avait rien à trouver de ce coté.

Nous devions tout d’abord savoir en quoi consistait ce travail volontaire qu’on nous imposait.

Je suspectais fort que ce genre de job reposerait sur les épaules, ou plutôt l’entrecuisses de Jenny.

Je ne comprenais pas ce qu’ils comptaient obtenir de moi.

Après être restée assise, silencieuse pendant un long moment, Jenny se releva, se saisit du téléphone et me le tendit.

Je le posais sur l’enveloppe le fixant du regard alors que je cherchais désespérément comment nous sortir de ce pétrin.

Mais c’était inutile, et, finalement j’empoignais le téléphone et appelais le numéro de monsieur Eng.

Une femme me répondit me demandant de patienter quelques petites minutes, puis une voix grave retentit, un homme qui se présentait comme monsieur Eng.

Il était évident que cet homme à qui je parlais était noir, son accent était facilement reconnaissable.

Il s’agissait du même accent qu’avait les gens qui parlaient l’anglais à Ténérife.

En fait, on aurait cru entendre parler Harold.

Il me demanda si nous avions visionné les DVD, je lui répondis que nous venions tout juste de rentrer chez nous et que le colis venait d’arriver le jour même.

Il nous enjoignit de regarder tous les DVD, il estimait que cela devrait nous prendre 36 heures, puis de le rappeler ensuite.

J’essayais de lui en faire dire plus au sujet de ce travail à temps partiel qu’on voulait nous imposer, mais il raccrocha sans daigner me répondre.

J’étais furieux, j’avais envie de jeter le téléphone contre le mur, je parvins à me contrôler et je me rassis devant la table.

Je répétais à Jenny ce qu’il nous enjoignait de faire, cela ne prit pas longtemps, pas plus que pour le dire.

Nous cessâmes d’en parler affolés. Nous avons saisi nos verres nous sommes dirigés vers le salon pour mettre le premier DVD dans le lecteur.

Il commença par quelques plans éloignés de nous au club la première nuit.

Ils avaient commencé à nous filmer avant même que nous nous rendions compte de leur présence, avant même qu’Harold ait dansé avec Jenny pour les première fois.

Puis quelques plans montrèrent Jenny dansant avec Harold, mais l’action n’avait pas vraiment commencé avant que nous allions chez le père d’Harold où ce dernier avait profité longuement de ses charmes.

Ils avaient tiré de longues séquences de cet épisode, la plupart, sinon tous les viols survenus dans la maison du père d’Harold étaient filmés en quasi-totalité.

Mais pire encore, les plus scabreuses s’avéraient les scènes avec ces majeurs aux visages enfantins et aux corps juvéniles qui avaient été enregistrés dans le studio cinéma, la scène me présentant violant la jeune fille était criante de vérité, on aurait vraiment dit que je me tapais une adolescente de 14/15 ans.

Nous serions totalement rejetés comme des pédophiles si quiconque voyait ces films pourtant tous tournés avec des majeurs.

Chaque nuit après le travail nous avons visionné 3 à 4 heures de ces enregistrements.

J’aurai aimé que Jenny ne le sache pas, mais certaines scènes follement érotiques me firent bander à mort.

Mais la plupart du temps nous étions submergés par l’horreur et peur.

Ces enregistrements réveillaient les souvenirs les plus terribles de ces trois derniers jours de vacances et c’était franchement limite du supportable.

Ces événements nous poursuivraient donc toute notre vie! …..

On se refusait à le penser! …..

Cela nous prit 8 jours pour visionner la totalité des DVD, je suis sure que c’était encore plus dur pour Jenny que pour moi, cependant, à plusieurs reprises, après avoir visionné les DVD elle m’entraîna au lit pour faire l’amour, c’était une chose qu’elle ne s’était jamais permis auparavant.

Je m’allongeais docilement me demandant si une scène du DVD l’avait particulièrement excitée ou si elle faisait l’amour pour se vider l’esprit, ou bien même s’il s’agissait d’une combinaison des deux motivations.

J’avais peur trouver la réponse à cette question.

Cela pourrait m’amener à confesser que certaines scènes particulièrement scabreuses m’avaient fortement excité, et j’avais peur de sa réaction à cette occasion.

Le dernier DVD recelait différentes scènes de la dernière nuit à l’hôtel alors que tous les membres du personnel la violaient copieusement chacun à leur tour.

Tous les rushs étaient filmés au travers de l’entrebâillement de la porte communicante entre les deux chambres contiguës, l’angle de vue était pauvre, mais ce défilé de clients était sinistre.

On avait l’impression qu’elle était prisonnière dans cette chambre et qu’elle avait été violée à la chaîne par de nombreux hommes pendant des heures et des heures, qu’elle en eut récupéré en si peu de temps paraissait incroyable.

Je décidais de revoir ce DVD lorsque je serai seul, je voulais compter le nombre d’hommes qui l’avait possédé.

Je l’ignorais totalement et je voulais le revoir dans ce but.

Mais je devais admettre que de plus j’en tirerai une forte excitation, cette curiosité venait directement de mes burnes! …..

Il était 21 heures lorsque nous avons terminé la lecture du dernier DVD, nous pensâmes et bien qu’il soit tard pour passer un coup de téléphone, nous le passâmes tant notre anxiété de savoir ce que ce monsieur Eng attendait de nous était prenante.

Je me rendais bien compte à quel point nous étions vulnérables, Jenny aussi d’ailleurs.

La même femme répondit à notre appel lorsque je demandais monsieur Eng, il me semblait que c’était une blanche, je ne lui détectais aucun accent particulier.

Elle semblait très jeune, peut être bien de l’âge de Jenny ou un peu pus vieille.

  J’e fus mis une nouvelle fois en attente pendant quelques minutes puis la voix basse et ronflante de monsieur Eng se fit entendre.

Il me demanda à nouveau si nous avions visionné la totalité des DEVD, je lui répondis que oui.

— "Dans ce cas vous comprenez bien que vous ne pouvez me poser aucun problèmes! …. N’est-ce pas Mark? …." commenta-t-il affablement.

Le fait qu’il m’interpelle par mon prénom me renversa, mais je réalisais à quel point nous étions dans le pétrin en ces circonstances.

Je répondis servilement :

— "Non monsieur, nous ne vous poserons au problème! ….Mais, s’il vous plait, pouvez préciser ce qui vous attendait de nous? …."

— "Mais certainement…" me rétorqua-t-il toujours aussi affable… Venez à l’adresse indiquée sur la lettre demain à 19 heures… Je m’arrangerai pour vous recevoir! …."

Sur ces mots il raccrocha le téléphone avant que je puisse lui répondre quoi que ce soit, mais en fait, il n’y avait nul besoin de réponse c’était un ordre.

Je répétais à Jenny ce que monsieur Eng venait de m’ordonner, et nous partîmes coucher, je la serrais sanglotant contre moi.

Je restais éveillé pendant des heures, me tracassant pour Jenny constatant piteusement qu’une fois de plus je me retrouvais dans une position où il m’était impossible d’intervenir pou la protéger.

La journée de travail du lendemain me parut interminable, j’étais tenté de ma faire porter pâle pour rentrer chez moi.

Je ne parvenais pas à me concentrer sur mon boulot et je suis sur que j’ai du faire plusieurs bourdes.

Finalement je rassemblais mon énergie me forçant à me concentrer suffisamment pour affronter les dernières heures de travail, mettant de coté les travaux les plus délicats.

Je rentrais à la maison et y trouvais Jenny douchée et habillée, prête à partir.

Elle avait même préparé un lunch frugal.

Nous avons mangé, puis je pris une douche et changeais de tenue, nous avions téléchargé une carte sur internet indiquant clairement l’adresse ou nous devions nous rendre à 19 heures.

Ce quartier de la ville ne nous était pas familier, c’était un quartier de petits bourgeois et cela me rassura, je ne sais pas encore pourquoi.

Je me rappelais encore la maison du père d’Harold et les épreuves que nous y avions endurées j’espérai que cette fois les choses se présenteraient bien mieux.

Je savais qu’il y avait peu de chances en fait, mais l’espoir fait vivre.

On se posta devant la porte je frappais et comprit à la voix que la personne qui me répondait n’était autre que monsieur Eng.

Il était tel que je me l’étais imaginé : un véritable colosse noir dans les 50 ans, un homme très intimidant.

Il s’écarta d’un pas, nous sommes entrés et avons fermé la porte dans notre dos.

Nous l’avons suivi dans un court vestibule qui menait à une salle de réunion.

Nous fumes fortement surpris et même consterné de constater que monsieur Eng n’était pas seul.

Une douzaine d’hommes se tenait assis autour de la pièce un verre en mains.

Ils étaient tous noirs, et d’une cinquantaine d’années, certains étaient très élégants, d’autres arboraient des tenues forts disparates.

Ils ne ressemblaient à ces gens qui se réunissaient ensembles habituellement.

Ils braquèrent tous leurs regards sur nous, monsieur Eng ordonna à Jenny de tourner lentement sue elle-même.

Elle rougit, visiblement elle se sentait très gênée d’être une nouvelle fois le centre d’attention.

Nous essayions de toutes nos forces d’éloigner les souvenirs des trois derniers jours de vacances à Ténérife et voila que tout nous revenait en plein visage, cela nous semblait encore pire du fait que cela se passait dans la ville où nous vivions.

Lorsque Jenny s’eut exécutée, donnant à tous un aperçu de ses charmes sous différents angles, elle se posta face à monsieur Eng attendant son prochain ordre.

Mais en fait cet ordre me concernait :

— "Mark déshabillait Jenny je vous prie! …." m’intima-t-il poliment comme s’il suggérait une chose des plus normales.

J’entendis Jenny prendre une profonde inspiration, notre épreuve débutait, lorsque nous étions rentrés de Ténérife nous avions ingénument pensé que nos épreuves se terminaient et voila que cela recommençait de plus belle.

Je reculais de deux pas et me postais face à elle.

Nos yeux se rencontrèrent pendant une seconde, elle savait pertinemment que j’aurai voulu ne pas leur obéir, mais nous savions tous deux que nous étions piégés.

Je déboutonnais son corsage et le faisait glisser de ses épaules avant de le jeter sur une chaise toute proche.

Sa jupe suivit rapidement elle se tenait maintenant devant en petite culotte, soutien-gorge, et les pieds chaussés.

Je la contournais et dégrafais son soutien-gorge qui ne tarda pas à rejoindre le tas de vêtement sue la chaise, puis je roulais sa petite culotte sur ses chevilles, qu’elle enjamba docilement.

Je me redressais et jetais son dernier rempart sur le tas de vêtements les yeux braqués sur monsieur Eng et ses invités le regardant fixer, Jenny avec les autres invités, le regard fixé sur ses charmes.

Monsieur Eng se leva et s’approcha de moi me tendant une caméra numérique de très bonne qualité, il m’intima alors de filmer tout ce qui allait arriver à Jenny ce soir.

Dès que j’eus la caméra en main, il me repoussa en arrière et s’approcha de Jenny.

Il se dirigeait lentement vers elle, il posa une de ses mains sur ses nibards bien fermes et commenta :

— "Ma chérie ton corps est tout proche de la perfection! ….. Tu es bien plus belle que sur tes photos! ….. Je vais vraiment prendre mon pied à te baiser! …."

Les assistants opinèrent en chour, quelques-uns uns se levèrent et approchèrent pour inspecter ses charmes de plus près.

Ils se contentaient de regarder au début, puis ils promenèrent leurs mais sur ses appâts.

L’un d’eux lui frappa légèrement la cuisse et elle s’empressa d’écarter ses cuisses pour le satisfaire lui offrant un bien meilleur accès à sa chatoune.

Il inséra un doigt dans sa foufounette, sourit et commenta pour les autres

— "Elle commence déjà à juter messieurs! ….. Je pense que nous détenons là une salope innée! ….."

Sur ces mots il braqua ses yeux sur Jenny et lui demanda :

— "Es-tu une salope née? …. Aimes-tu te faire baiser? …."

Jenny le regarda misérablement et soupira :

— "Oui monsieur! …."

Monsieur Eng se tourna vers l’un des hommes et lui dit :

— "Jérôme, pourrais-tu faire venir ton esclave? ….. Qu’on s’amuse un peu avec elle! …."

Le dénommé Jérôme sourit, se leva, sortit de la pièce et revint ramenant une femme nue attachée à une laisse par un anneau lui perçant les tétons.

Il ôta sa laisse et la poussa à coté de Jenny.

Elle était très attirante, une grande rousse avec un visage de madone.

Je suppose qu’elle devait avoir une trentaine d’années.

A voir l’expression qu’elle affichait sur son visage on comprenait vite qu’elle était là contrainte et forcée.

Jérôme lui enjoignit :

— " Chienne dit à Jenny comment il se fait que tu m’appartiens! ….."

La femme rougit, regarda Jenny et lui confia :

— "L’année dernière je suis allée en vacances à Ténérife avec mon mari… Un soir, nous avons rencontré un couple au cours d’une soirée dans un club, ils nous recommandèrent un club fréquenté par les indigènes….."

— "Nous nous y sommes rendus et un homme nommé Harold prit contrôle de nous deux! ….. Il me fit faire des choses… Des choses dégoûtantes, alors qu’ils prenaient plein de photos et de films de mes "performances"… Et maintenant j’appartiens à monsieur Smith! …."

Jérôme, monsieur Smith lui fit préciser :

— "Dis-lui ce que tu fais pour moi chienne! …."

— "Je fais tout ce qu’il veut… je copule avec lui et ses amis et même des complets étrangers quand cela l’amuse! …."

— "Un jour par semaine je me produis dans une boite à strip-tease dans le quartier nigérien et je baise avec tous les clients qui le veulent! ….."

— "Un autre jour dans la semaine je m’occupe des membres d’un club privé… Et je me fais baiser par tous les gens qu’il m’envoie chez moi, parfois je dois tourner dans des films pornos! …."

Alors que cette pauvre femme expliquait sa vie à Jenny, je la voyais pâlir atrocement.

Elle ne nous laissait aucun espoir.

Elle ne pouvait que subir la vie de viols et de dégradations continuelles qu’on lui imposait, et ce pendant je ne sais combien d’années! …..

Tandis que la femme qu’il appelait « Chienne » parlait, monsieur Smith et ses amis s’étaient levés et avaient entrepris de se déloquer.

Ils se rassirent une fois entièrement nus et monsieur Eng ordonna à Jenny et à « Chienne » de commencer leur prestation.

Rien de nouveau pour "Chienne" je suppose, mais la seule expérience qu’ait eu Jenny avec une autre femelle s’était passée avec cette jeune fille au visage enfantin à Ténérife, sous l’objectif de la caméra.

Cependant elle savait en gros ce qu’on, attendait d’elle.

Elle laissa "Chienne" diriger leur accouplement et elles commencèrent à se gouiner au centre de la salle de réunion face à une douzaine de mecs en rut qui les reluquaient avec concupiscence.

Elle commencèrent par se frotter l’une contre l’autre en se roulant des pelles bien baveuses, puis elles se laissèrent tomber à genoux puis s’étendirent sur le plancher se pelotant tout en s’embrassant.

J’essayais d’être aussi discret que possible en les filmant, enregistrant les plans que je savais qu’ils apprécieraient, mais me tenant aussi loin de l’action que je le pouvais.

Avant bien longtemps elles finirent par un classique soixante-neuf, mais je peux préciser qu’en dépit de leurs efforts, elles n’avaient joui ni l’une, ni l’autre.

Elles faisaient cela uniquement pour satisfaire les appétits lubriques d’une bande de noirs qui contrôlaient maintenant leur vie.

Les spectateurs discutèrent pendant un bon moment, mais bientôt ils vinrent séparer les deux femmes et le firent se mettre à quatre pattes cote à cote et ils les prirent deux par deux.

Je remarquais qu’ils les baisaient dans un seul office pendant plusieurs minutes avant de commuter leurs positions.

Avant de gicler, ils avaient tous visité leurs trous au moins une fois.

Lorsque l’un d’eux voulait jouir, il jutait dans la bouche d’une des femmes, lorsqu’ils eurent tous satisfait leurs appétits de lucre, toutes les bites étaient nettoyées.

Leurs chatounes avaient été copieusement utilisées mais était propres, indemne de tout sperme.

On m’ordonna de cesser de filmer, les spectateurs s’assirent en cercle le temps de vider un verre en discutant le bout de gras dans leur langue africaine qui avait empoisonné nos vacances lorsque nous étions le sujet de leurs conversations.

Ils parlaient de nous bien sur, ils ne cessaient pas de nous jeter des coups d’oil appréciateurs.

Après un long moment ils se rhabillèrent et nous quittèrent nous laissant en compagnie de monsieur Eng et monsieur Smith.

Ils discutèrent ensemble un bon moment encore puis monsieur Eng se tourna vers nous et précisa :

— "Vous m’appartenez tous deux désormais… Vous m’appartiendrez jusqu’à ce que je me lasse de vous et que je vous remplace….. Vous devez seulement vous rappeler que vous agirez désormais selon mes ordres… Mes ordres ou les ordres d’une des onze personnes qui se trouvaient avec nous ce soir! …."

Il se tourna vers moi et ajouta :

— "Ta tâche principale sera de toujours garder cette caméra avec vous et d’apprendre à vous en servir comme un expert et de filmer toutes les copulations de Jenny avec mes amis……"

— "A partir de ce jour des gens viendront vous rendre visite dans votre pavillon, de jour comme de nuit, tu devras t’assurer que votre porte sera toujours ouverte lorsque vous serez chez vous! ….."

— "Lorsqu’un ou plusieurs visiteurs viendront chez vous, vous devrez sourire et vous soumettre à tous leurs désirs! ….."

— "On vous donnera un planning qui précisera les moments ou vous pourrez vous absenter….. Il vous dira quand vous pourrez faire vos courses ou visiter des amis, il précisera aussi quand vous devrez vous rendre dans les deux clubs ou Jenny travaillera la nuit! ….."

— "Si quelqu’un venait à venir chez vous et que vous ne soyez pas là, alors que vous seriez supposé y être, vous serez sévèrement puni….. j’espère bien que vous éviterez d’être punis! ….."

Il se tourna vers "Chienne" et lui enjoignit :

— "Je pense qu’ils ne voudraient pas être punis comme tu l’as été b’est-ce pas "Chienne»….."

"Chienne" se tenait à coté de nous tête basse, elle répondit rapidement :

— "Non maître! …"

— "As-tu déjà été punie "Chienne"…." la coupa-t-il alors.

— "Oui monsieur, c’était horrible monsieur! …" répondit-elle aussi instantanément que sincèrement.

— "Quelle punition as-tu subie "Chienne"…." lui demanda-t-il de préciser.

Il était évident qu’il se réjouissait de la faire trembler de honte et de peur.

Il prenait plaisir à la voir aussi gênée, en devant rapporter un événement aussi néfaste de sa vie.

— "Je fus violée et partouzée par une bandes de brutes noires sous les yeux de la petite fille alors que mon mari enregistrait la séance! ……" répondit misérablement "Chienne".

Le son horrifié de sa voix suffit à nous arracher des larmes de pitié.

— "Si tu nous déçois à nouveau, quelle sera ta punition Chienne? …" ajouta monsieur Eng impitoyable.

— "La prochaine fois, c’est ma petite fille qu’ils violeront…" nous confia-t-elle la voix pleine de terreur.

Sans aucun doute elle savait qu’ils n"hésiteraient pas à le faire.

Elle était visiblement déterminée à ce que cela n’arrive jamais.

Il n’y avait rien que cette pauvre femme ne ferait pour épargner ce triste sort à sa fille.

Monsieur Eng revint à nous et nous dit :

— "Je sais que vous n’avez pas d’enfants, mais vous avez tous deux des sours qui pourraient bien subir le poids de votre punition encas de révolte! ….. Et bien sur il y a les ravages, que provoqueraient dans votre vie, la diffusion de ces photos et de ces films! ……"

Puis monsieur Eng fit le point.

— "Vous aller vivre selon de nouvelles règles dorénavant! …."

— "Jenny à partir de ce jour vous ne porterez plus que des robes très courtes, des minijupes et des corsages minimums! ….. Vous ne porterez plus jamais de collants ou de sous-vêtements à moins qu’on ne vous l’ordonne! …. Ni caleçons, ni shorts! ….."

— "Quand vous serez chez vous vous demeurerez entièrement nue, au cas quelqu’un viendrait vous voir! …."

— "En outre….." ajouta-t-il suavement "Vous avez été exposée à suffisamment de personnes ayant le même accent que moi pour les reconnaître désormais! ….. Donc dorénavant si quelqu’un parlant avec mon accent vous ordonne de faire quelque chose, quoi que ce soit, où que ce soit, vous devrez le faire sans poser aucune question! …."

Il regardait Jenny attentivement alors qu’il nous parlait, visiblement il était ravi de voir son visage afficher une folle expression de détresse.

Il poursuivit :

— "Je vois que tout cela vous inquiète, celà m’excite follement! …. Viens ici Jenny et fais-moi une pipe tandis que je continue à vous dicter mes instructions! ……."

Jenny se laissa tomber à genoux entre ses cuisses et se mit à lui sucer la bite tout de go.

Nous étions tous deux si intimidés que l’on n’osait refuser aucun ordre.

Il nous sourit alors qu’elle entreprenait de le sucer consciencieusement et il continua à nous dicter notre nouveau comportement.

— "Mon enquêteur m’a informé que vous avez été très rude avec votre propriétaire…… Je suis sur qu’il s’agit là d’un malentendu et que cela n’a rien à voir avec son origine indienne! …."

— "Je crois que vous devriez vous excuser auprès de lui….. La prochaine fois que le verrez, invitez le dans votre pavillon et demandez-lui clairement d’excuser votre comportement… Je pense que vous voyez ce que je veux dire! ….."

Il vit la crainte se refléter dans nos yeux, c’était justement ce qu’il souhaitait.

Il leva la tête vers moi et me rappela :

— "Chaque fois que Jenny s’occupe d’un homme ton boulot est de filmer sa performance! ….. Si quelqu’un proteste, évidemment vous arrêtez, mais je veux voir le maximum de cassettes montrant comment les gens usent et abusent de ses charmes….."

— "En outre vous devrez l’amener à cette adresse le vendredi soir… " et il me tendit une feuille "et à celle là le mardi soir! …."

— "Bien entendu… " poursuivit-il "si quelqu’un vous ordonne de l’amener quelque part pendant la semaine vous l’y conduirez là et emporterez la caméra."

Monsieur Eng demeurait impassible, seule sa respiration était anormalement rapide, assis confortablement, il guidait les mouvements de la tête de Jenny la faisant accélérer pour hâter son orgasme.

Une fois qu’il eut éjaculé au fin fond de sa gorge, elle avala servilement son foutre, il lui intima alors de demeurer à genoux entre ses cuisses, bite en bouche.

Une fois qu’il eut bien repris sa respiration, il me jeta un oeil contrarié et commenta :

— "Normalement je devrai faire violer une fille de vos familles pour m’avoir désobéi! …. Mais je suppose que tout simplement mes consignes n’étaient pas assez claires! …."

Je le regardais fixement cherchant ce que j’avais fait de mal.

Il vit ma confusion, me regarda avec dégoût et ajouta :

— "Tu parais pas être une lumière mon gars! ….. Je me rends compte que les femelles de ta famille seront en grand danger le temps que tu t’entres mes consignes dans ton crane épais! ….."

— "Je vais te les répéter à nouveau….. C’est une chose que je n’aime pas faire! ….. Chaque fois que Jenny s’occupe d’un homme ton boulot est de filmer intégralement l’action! ….. Quels sont les mots que tu ne comprends pas? …."

— "Je suis désolé monsieur…" parvins-je à balbutier "Mais je n’avais pas compris que cela s’appliquait ici et maintenant! …."

Il secoua sa tête comme s’il parlementait avec un idiot et repoussa finalement Jenny en arrière.

Il se releva et me tendit un sac avec les accessoires et les batteries pour la caméra, les DVD et les cartes.

Puis il choisit un bout de tissu posé sur une table basse et enjoignit à Jenny de l’enfiler.

Jenny se leva et le tint devant elle.

C’était un minuscule fourreau transparent, j’hésitais à l’appeler une robe.

Cela ressemblait plus à une micro toge achetée dans un sex-shop, elle l’enfila docilement.

Il ne tenait fermé que par un bouton à la taille, ses miches étaient largement dévoilées, on distinguait clairement la moitié de ses aréoles jusqu’au mamelon.

En fait ses nibards étaient couverts tant qu’elle restait immobile, cela ne cachait par ailleurs qu’à moitié sa foufoune dénudée, du moins tant qu’elle ne marchait pas! …..

Il poursuivit

— "C’est la tenue que tu porteras pour te rendre à ces deux adresses, et partout ailleurs tu pourrais être envoyée, sauf contre ordre…… Porte les ce soir chez toi….. Cela te permettra de t’accoutumer à cette tenue… "

Puis il se tourna vers l’esclave de monsieur Smith et lui intima :

— "Chienne, fais les sortir! …"

Je saisis les vêtements que Jenny portait en arrivant et on se pressa de suivre "Chienne" qui nous emmenait vers la porte.

On n’échangea pas un mot en nous rendant à la voiture.

Je remarquais alors que nous marchions que cette micro toge que Jenny portait était plus faite pour attirer l’attention car cela affichait ses charmes plus que cela ne les dissimulait.

A chaque pas elle exposait une bonne partie de ses appâts.

Nous nous sommes empressés de nous asseoir sur les sièges de la voiture et on demeura là immobiles un long moment, incapables d’émettre un mot.

Je me sentais exactement comme si je venais d’être roué de coups alors que je n’avais été que le témoin des outrages infligés à ma pauvre Jenny.

Elle devait se sentir totalement désespérée.

Je démarrais la voiture et nous rentrâmes à la maison hébétés.

Je me garais aussi presque possible de notre pavillon et on attendit que plus personne ne se trouve dans la rue.

On se débrouilla pour regagner notre maison sans être vue de qui que ce soit, j’enlaçais tendrement Jenny alors qu’elle fondait en larmes.

Nous restâmes ainsi enlacés dans l’entrée pendant un long moment.

Lorsque finalement Jenny parvint à se calmer, je l’aidais à s’extraire de son minuscule fourreau et je la menais à notre lit.

Une fois qu’elle fut assise sur le lit je gagnais la cuisine pour nous ramener à tous deux un verre d’alcool.

Je m’assis alors à coté d’elle et la serrais dans mes bras.

On n’avait rien à se dire. Nous connaissions l’avenir qui nous attendait! …..

Si nous refusions quoi que ce soit une de nos sours prendrait notre place ou plutôt endureraient les mêmes épreuves à notre place.

Nous sommes restés assis, tendrement enlacés, pendant une bonne demi-heure Jenny jeta soudain un oeil sur ma montre et se releva vivement.

Je la regardais avec incompréhension, elle me dit alors :

— "Je dois trier mes vêtements pour sortir ce que je peux porter dorénavant! …."

Je me levais et lui demandais :

— "Veux-tu un autre verre? ….."

Il se faisait tard et nous devions travailler demain, après avoir réfléchi quelques minutes elle hocha affirmativement la tête.

Je nous versais deux autres verres et la rejoignit dans notre chambre.

Elle avait les yeux rivés sur les toilettes.

Elle se souvint brusquement qu’elle avait été baisée par une douzaine d’hommes dans la soirée et qu’elle avait grand besoin de se doucher.

Elle gagna la salle de bain et prit une douche rapide avant de me rejoindre dans notre chambre.

Postée devant sa commode, elle réfléchissait se remémorent les fringues qu’elle devait choisir de mettre.

Elle n’avait pas une garde robe très fournie, les fringues qu’elle possédait étaient pour la plupart appropriée à son travail.

Mais maintenant elle ne devait plus s’habiller de façon appropriée à son boulot.

Elle avait aussi les vêtements qu’elle avait achetés à Ténérife et quelques autres qu’elle avait achetés pour mettre lorsqu’elle était d’humeur câline, et même parfois un peu salope, le plus souvent pour me plaire.

Elle mit de coté trois robes courtes mais portables au boulot, elle allait attirer l’attention notablement lorsqu’elle travaillerait avec de jeunes gens, mais elle n’avait pas le choix en fait.Elle mit aussi de coté deux mini-jupes et une paire de brassières, elle les avait déjà portés sans soutien-gorge pour me faire plaisir, ils étaient révélateurs mais pas transparents comme certains qu’elle possédait par ailleurs.

Elle fit un peu de place dans sa commode pour ranger ces effets et y suspendit le mini fourreau transparent qu’elle devrait porter dans les deux clubs qu’elle fréquenterait bientôt sur ordre de monsieur Eng, puis elle me rejoignit dans notre lit.

Je la tenais étroitement serrée contre moi, mais elle était très tendue, et nous sommes restés tous deux éveillées dans notre lit pendant longtemps.

Nous avons pris nos douches au matin et Jenny enfila une des tenues qu’elle avait sélectionnée.

Elle était courte et très sexy, totalement déplacée pour son boulot.

Nous ne savions pas ce qui se passerait si elle se voyait renvoyée à la maison.

La journée dura longtemps, interminablement, je ne parvenais qu’à me concentrer que sur les tâches routinières.

Je ne cessais de me rappeler la nuit dernière et combien cette nuit avait été terrible pour Jenny qui s’était fait violer par tous ces hommes.

J’étais tout autant écrasé de culpabilité parce que je devais admettre au fond de moi-même que la regarder se faire violer m’avait extrêmement excité.

Je me rappelais aussi la copulation de Jenny avec cette jeune femme surnommée "Chienne", je ne pouvais m’empêcher de bander en y repensant.

J’espérais que Jenny ne saurait jamais rien de cette coupable excitation que je prenais à la voir posséder par d’autres hommes ou de la voir s’accoupler avec une autre femelle.

Le soir je rentrais avant elle à la maison, elle arriva dans un état d’extrême nervosité et je vis que notre propriétaire indien lui emboîtait le pas.

Elle affichait un pauvre sourire en se retournant vers le proprio avant de refermer la porte dans son dos.

Je vis sa déception en constatant ma présence dans la maison, mais elle disparut instantanément lorsque Jenny se posta face à lui et commença à remonter sa robe.

Elle prit une profonde respiration et elle commença à déboutonner le devant de sa robe en lui disant :

— "Je crois que nous sommes partis d’un mauvais pied, je serai heureuse de me faire pardonner! ….."

Alors que Jenny enlevait sa robe, je me rappelais soudain ma tâche et je sortais précipitamment la caméra de son sac posé au sol à coté de ma chaise et je me mis à filmer la scène aussi discrètement que possible.

Visiblement, ma présence rendait notre proprio nerveux, mais il ne parvenait pas à détacher ses yeux des charmes de Jenny.

Une fois sa robe déboutonnée, elle le fixa dans les yeux et lui demanda :

— "Puis-je faire quelque chose de particulier pour m’excuser de m’être montrée si impolie avec vous la dernière fois? …."

Il la regardait fixement muet d’émotion.

Jenny fit glisser la robe sur ses épaules et la repoussa sans se préoccuper de l’endroit où elle tombait.

Puis elle tendit la main et prit celle de notre proprio qu’elle attira contre son visage pour embrasser ses doigts avant de la lui placer sur ses nibards.

Il était sidéré, il se tenait devant elle bouche grande ouverte alors qu’elle promenait sa main sur ses somptueux nichons.

Elle laissa tomber sa main le long de son flanc et il continua d’explorer ses charmes de son propre chef.

Alors qu’il palpait ses miches elle posa la main sur l’énorme bosse déformant le devant de son pantalon.

Il flancha sous sa caresse et grogna comme s’il allait gicler dans son caleçon si jenny n’y prenait pas garde.

Elle lui sourit vicieusement et se laissa tomber à genoux pour déboucler sa ceinture.

Elle roula son pantalon sur ses genoux en lui demandant :

— "Aimeriez vous que je vous taille une petite pipe? …."

Il hocha énergiquement la tête en signe d’acquiescement, et sa bite, plutôt modeste jaillit à l’air libre.

Elle l’embrassa et la lécha un instant avant de l’accueillir dans sa bouche la caressant sur toute sa longueur de ses lèvres embrasées, du gland aux couilles incluse.

Il flageola sur ses jambes, lui saisit la tête et se mit à grogner sourdement.

Je compris qu’il lui jouissait en pleine bouche.

Mais sa petite bite restait tendue et elle continua à le sucer avec application, cela ne prit pas beaucoup plus de temps cette seconde fois, à peine deux ou trois minutes.

Mais cette fois il cria dans sa langue originelle, aussi n’ai-je pas compris ce qu’il grommelait en lui emplissant la bouche.

Puis il remonta son caleçon et son pantalon, reboucla sa ceinture alors qu’elle avalait docilement sa semence, Jenny lui demanda alors :

— "Suis-je pardonnée? ….. Cela vous a-t-il plu? …."

Il sourit et dans son anglais teinté d’un lourd accent indien il répondit :

— "Ce n’est qu’un début, mais la prochaine fois je voudrai profiter un peu pus largement de vos charmes! …."

Et tandis qu’il parlait sa main bougea et glissa promptement dans le fentine de Jenny, je fus fort surpris de constater qu’elle était trempée.

Jenny répliqua alors :

— "Quoi que vous vouliez, je le ferai pour vous faire plaisir! …."

Sur ces mots le proprio nous quitta et Jenny se rua dans la salle de bain et brossa ses dents pendant un long moment.

Lorsqu’elle revint vers moi, je préparais le souper.

Je lui avais servi un apéritif, elle s’assit à table et le sirota avec reconnaissance.

Je lui demandais alors comment s’était passée sa journée de travail.

Elle me répondit:

— "Bordel c’était extrêmement oppressant… Dès que

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