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Les routiers sont sympas – Chapitre 2




LES ROUTIERS SONT SYMPAS

LA FEMME DE L’INGÉNIEUR Le retour

Dans le chapitre précédent, je vous ai dit que j’étais chauffeur routier international longues distances.Vous avez fait la connaissance de Raymonde Martin. C’est la femme d’un ingénieur travaillant, dans une fonderie, en Espagne. Au cours d’une livraison, il me demande de ramener son épouse à Angoulême. Cette ville se trouvant sur le trajet de mon retour. j’accepte.

Madame Martin, 52 ans, est une personne qui a presque le double de mon âge. Bon chic, bon genre, à la voir, c’est une personne bien mise, avec un niveau de vie « aisé. »

Pendant le voyage, nous faisons plus ample connaissance. Son mari étant toujours en déplacement, sa fille ayant une bonne situation à quelques centaines de kilomètres, se retrouvant seule et sans emploi, elle s’ennuit. Elle a bien quelques amants qui viennent partager cette solitude. Mais, avec moi, elle a « l’occasion de se faire un petit jeune » dit-elle. Je découvre, que sous son aspect respectable, cette dame a parfois « le feu au cul. » J’aime, de temps en temps, faire le pompier…

Arrivé à destination, madame Martin m’invite à dormir chez elle. Laissant mon camion sur un parking, elle vient me chercher en voiture…Il commence à faire nuit. Le trajet dure une vingtaine de minutes à peine. Nous arrivons devant une maison individuelle « de plein pied », dans un lotissement d’une dizaine de bâtisses semblables.

Á l’aide d’une télécommande, Raymonde fait ouvrir la porte du garage, rentre la voiture, ferme la porte.

Je prends sa valise et mon sac de voyage contenant du linge de rechange, mon nécessaire de toilette et, sur son invitation, je la suis. Par une porte de communication, du garage, nous entrons dans la partie habitation . Elle me fait visiter la maison, pièce par pièce.

      _ « Ici, c’est la salle de bains. Si tu veux te doucher ou prendre un bain, ne te gène pas…

— Merci, ce sera avec plaisir… 

— Là tu trouveras du gel douche ou des savonnettes, là du schampoing. Je vais te faire passer une grande serviette de toilette et un peignoir de mon Mari…

— Encore Merci… Je vais prendre une douche…»

La douche est raccordée sur le mélangeur de la baignoire. Des cloisons coulissantes en plexiglas translucide empèche l’eau d’éclabousser l’entourage.

Je commence à me déshabiller en attendant la serviette de bain promise, Torse et pieds nus, je me rase. Raymonde tardant à revenir, je m’enferme nu sous la douche et commence à me laver.

Raymonde entre dans la salle de bain avec les linges promis. Elle les accroche aux paterres, s’approche de la baignoire, fait glisser l’une des cloison, pas génée par ma nudité, elle me demande :

       _ « Ça va bien ?…, L’eau est bonne ?… Tu veux que je te savonne le dos ?…

— Oui… je veux bien…

— Baisse-toi… »

J’arrête l’eau, me baisse lui présente mon dos. Sur un gant, elle verse généreusement du gel douche et me frotte énergiquement du cou aux fesses.

Dans ma tête, j’essaie de m’imaginer si elle va me demander de me relever et de me retourner.

 Á la pensée de lui faire face étant tout nu, mon sexe se retrouverait en face de ses lèvres… En profiterait-t-elle pour me « pomper » ?… A cette idée, j’ai une érection terrible…

—  « Lève-toi que je te fasse les fesses (ceci étant fait) elle dit : tourne-toi… » 

Je me retourne, lui faisant face, le « braquemart » face à sa bouche. Elle a une grimace « d’admiration »

— « Mon Dieu, quelle trique !… Je ne vais pas y toucher… Garde-la moi pour tout à l’heure… » puis elle quitte la pièce.

Une fois lavé, rasé, parfumé, je mets le peignoir. Comme il se boutonne bien, je reste nu dessous. Je me rends à la cuisine ou je trouve Raymonde qui finit de mettre deux couverts sur la table.

— « J’ai téléphoné pour me faire livrer deux pizzas aux fruits de mer… Ça ne te fait rien…

— J’aime les fruits de mer et les pizzas… Surtout que je vais dormir après…

— Pas sur… Pas tout de suite…

— Oui mais pas trop tard… Demain j’ai de la route à faire…

Je vais aller me doucher… mets-toi à l’aise en attendant… (me montrant un petit meuble) Là tu as des apéritfs… Sers-toi… Je vais faire vite… »

Ayant vu une bouteille de vin blanc sur la table et ne voulant pas trop m’alcooliser, je me sers un apéro doux et m’installe dans un fauteuil du salon.

Je n’attends pas trop. Comme promis, Raymonde a fait vite. Elle arrive vétue d’un peignoir boutonné jusqu’au cou et chaussée de mules d’intérieur.

Elle se sert un apéritif, Nous trinquons à notre nrencontre. Le livreur sonne…

Nous passons à table… Tout le temps de ce simple repas, je me posais la question de savoir si, comme moi, elle était nue dans son peignoir. Cette pensée me maintenait en érection permanente… Les pizzas sont vite avalées, le vin blanc vite bu. Raymonde se lève, me prend par la main et m’entraine vers sa chambre.

« Mon ami, tu ne vas pas dormir encore… me dit-elle. Sur la route, tu m’a donné un plaisir immense. Je n’ai jamais autant joui de ma vie… A mon tour de te faire voir ce que je sais faire à un homme !… »

Disant celà, elle me prend par le cou et m’embrasse « à pleine bouche ». Surpris, j’en ai le souffle coupé. Ce long et fougueux baiser terminé, elle s’écarte un peu, déboutonne mon peignoir et, écartant les pans, découvre ma nudité, mon sexe raide « au garde à vous » contre mon ventre.

— « Mon salaud, tu as encore envie de me faire l’amour… Je suis si désirable que ça ?…

Mais bien sur… J’aime donner du plaisir à des femmes dites mûres. J’aime aussi qu’elles m’en donnent… En principe elles sont expérimentées et plus « patientes » que les jeunes de mon âge et même plus jeunes… »

Tout en parlant, j’ai déboutonné et ouvert son vêtement. Elle aussi est nue…

Les peignoirs tombés, je regarde ses seins tendus vers moi. Un peu « lourds » mais encore bien ronds. Prenant chaque mamelon entre mes doigts, je les fais « rouler ». La réaction est immédiate : Ils deviennent dur comme des cailloux.

Les soupirs de Raymonde m’encouragent à continuer. Je quitte un téton pour le prendre entre mes lèvres et le « titiller » avec ma langue. Il durcit encore… Je passe au second mamelon et lui fait subir le même sort… Ma main libre se plaque contre sa vulve poilue. Avec les doigts, j’en écarte les lèvres pour permettre à mon majeur d’entrer et de fouiller jusqu’au plus profon de sa grotte.

Brusquement, Raymonde s’écarte : 

— « Je t’ai dit que c’est moi qui vais te faire jouir… Laisse-moi faire ! »

Elle me pousse. Je me retouve couché en travers du lit qui est derrière moi, jambes pendantes, sexe pointé vers le plafond. Aussitôt elle me le prend d’une main et commence à me masturber. De l’autre main, elle me caresse les testucules. Puis, approchant sa bouche, elle me prend le gland entre ses lèvres et, du bout de la langue, « chatouille » le petit trou d’ou suinte le liquide séminal. Elle n’en laise perdre aucune goutte.

Après quelques vas et viens masturbatoires, c’est à pleine bouche qu’elle continue à faire monter la tension dans ce pieux de chair…

Je ne reste pas inactif… Toujours allongé, je la prends par dessous son bras « libre » et l’attire sur le lit. Elle vient. Sans arrêter de me « pomper ». Ensemble nous « pivotons » pour se retrouver allongés dans le sens de la longueur du lit et dans la position dite du 69. J’ai sa « foufoune » en face de moi. J’y introduit un puis deux doigts. Je « fouille » dans sa « grotte » dégoulinante de foutre. Avec le pouce, je masse son clitoris encore caché sous les plis de ses petites lèvres. Je le sens gonfler. Quand il commence à se découvrir, je plaque ma bouche contre ses lèvres intimes d’ou ruisselle un délicieux nectar. Je my sésaltère avec plaisir avant d’en « pincer » le bourgeon turgescent entre mes lèvres. Je le « décalotte » complètement et l’agace du bout de la langue. Il est tellement gonflé que j’ai l’impression de faire « rouler » une petite olive entre les lèvres et la langue,

Raymonde apprécie. Ses soupirs, ses « grognements », ses râles me le confirment. Á mesure que son plaisir monte, son « pompage » s’accélère tout comme le massage de mes testicules. Je sens aussi mon « chibre » qui prend de plus en plus de volume. Il remplit tellement la bouche de raymonde que, de temps en temps ses dents « raclent ». La petite douleur que cela provoque m’aide à me retenir pour ne pas « éclater » au fond de sa gorge…

Poussant un long cri de jouissance, Raymonde se raidie. Son corps est saisi de tramblements comme s’il était électrisé. Elle ne peut pas parler, à peine respire-t’elle. Après un dernier soubresseau, elle s’allonge contre moi. Je la sens complètement inerte. C’est « la petite mort » qui suit l’orgasme. Quand elle retrouve son souffle et son calme, elle me dit :

— « Mon salaud, quelle jouissance ! Quel bonheur ! Je suis littéralement « flapie », complètement exténuée… Mais j’ai encore la force de faire ton bonheur… »

Ayant la verge toujours raide, Raymonde se place, à genoux, à hauteur de mon bassin. Prenant mon « pivot de la joie » d’une main et, en s’abaissant, elle le guide à l’entrée de sa grotte du bonheur. Doucement, elle s’empale sur ce pieu de chair. Bientôt je sens qu’il touche le fond… Se penchant en avant, Raymonde commence un « pistonnage » endiablé. Mouillant de plus en plus, le glissement est doux, particulièrement agréable dans cette antre chaude et humide à souhait..

Je lève les bras, ouvre les mains, en forme de coupelles, pour recevoir les nichons de ma « jouisseuse ». J’en fais rouler les pointes entre les doigts.

C’est ainsi que le feu d’artifice de notre jouissance éclate en un long râle de Raymonde et en longues giclées de sperme « brulant » au fond de son vagin. Elle se laisse aller de tout son poids sur mes bras. Les pliants, je la fais descendre son mon corps. Nos bouches se rencontrent. Nos langues s’emmèlent, nos salives se mélangent. Nous restons « branchés » par nos bouches et nos sexes quelques minutes. Reprenant quelques forces, nous allons prendre une douche. L’eau nous ravigote si bien que je recommence à bander. Raymonde s’en aperçoit. Elle me prend d’une main bien savonneuse et commence à me branler. J’introduit deux doigt dans son vagin et la masturbe le plus profondément possible, mon pouce s’occupant de son clito. Le plaisir ne tarde pas à monter. Encore une fois, nous jouïssons ensemble.

Nous finissons de nous laver. On s’éssuie, on se parfume, toujours nus, Raymonde m’entraine dans la cuisine.

— « Nous allons nous quitter… On ne sait pas si un jour on se retrouvera… Mais je ne te remercierai jamais assez du bonheur que tu m’a donné aujourd’hui…

— « Quand ton mari nous a présenté ce matin, tu avais l’air bien sérieuse, si respectable… J’étais loin de penser que nous aurions une telle journée

— Moi, quand je t’ai vu, tu m’as fait une bonne impression. Tu avais aussi l’air sérieux et en même temps tu dégageais une impression de force tranquille et douce…

— Tu n’est pas la première femme à ma le dire… Mais, dés que tu m’a vu, tu n’as pas eu envie que je te saute comme on dit vulgairement ?…

— En toute franchise, quand on s’est serré la main, j’ai eu comme des frissons dans tout le corps et plus particulièrement dans le bas ventre… Je n’ai pas arrêté de mouiller…

— Maintenant, tu sais quelle est la différence entre baiser et faire l’amour…

— Tu as raison !… C’est fini, je ne me ferai plu baiser !… J’apprendrai à mes amants à me faire l’amour…»

Tout en parlant, elle a sortie une bouteille de champagne qui était au réfrigérateur. Elle a attrapées deux coupes, m’a tendue la bouteille pour l’ouvrir…

— « Nous allons boire à notre rencontre, à notre bonheur, à notre séparation et surtout à notre bonne santé… »

Je suis un peu bouleversé par son humilité. Il y a un océan entre la femme qui est monté dans mon camion ce matin et celle que j’ai devant moi.

Tout en échangeant sur notre façon de voir la vie, nous avons fini de boire le champagne.

Nous sommes allés au lit. Une dernière fois, nous avons fait l’amour, « classiquement », dans la position du missionnaire.

Au petit matin, elle m’a ramené auprès de mon camion. Nous nous sommes quittés après un long baiser d’adieu…

Petikokin

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