MA FEMME ET SON PATRON
Je vais vous raconter une histoire qui sest passée il y a quelques années.
Ayant été muté dans la région charentaise, mon épouse, de peur de sennuyer dans cette région inconnue, avait tenu à trouver un emploi.
Ma femme Bernadette, petite jeune femme blonde, 1m54 pour 46 kilos, sa façon assez sexy de shabiller, on lui donnait cinq ou six ans de moins, avec sa coiffure en queue de cheval, on aurait dit une jeune étudiante.
Secrétaire de formation, il lui avait été facile de trouver ce dont elle cherchait, dans une importante entreprise de secrétariat, elles étaient plus de vingt employées.
Nous avions aménagé dans un charmant pavillon, le travail plaisait à mon épouse, tout se passait pour le meilleur du monde.
Cela faisait environ trois mois que nous avions aménagé, quand Bernadette me téléphone un vendredi après-midi, me disant quelle rentrerait plus tard que prévu, car son patron lui avait demandé de rester, pour taper du courrier, car sa secrétaire était malade.
Au lieu de rentrer à dix huit heures, elle narriva que vers vingt heures trente, elle paraissait soucieuse et contrariée, elle avait sa tête des mauvais jours, je lui demandais si elle avait eu des ennuis, elle me répondit quelle mexpliquerait plus tard.
Le dîner, et la soirée devant la télé passèrent sans quelle ne madresse la parole, je voyais bien quil y avait un problème.
Nous nous couchâmes de bonne heure, quand elle me rejoignit, elle vint se blottir contre moi, jen profitais pour lui demander quest ce qui nallait pas.
Elle me raconta que quand elle eut fini de taper le courrier, son patron, la félicita pour son intégration au sein de lentreprise, il lui dit tout le bien quil pensait delle, il lui dit quil voulait créer un poste de responsable des secrétaires et quil avait pensé à elle.
Ce poste à responsabilité, consistait à distribuer le travail, et à gérer les secrétaires, bien sûr son salaire serait doublé, mon épouse me dit quelle était très flattée.
Mais ce qui lavait contrariée, cest que son patron que nous appellerons Gérard lavait félicitée pour sa beauté, elle lattirait et il souhaitait dit-il mieux la connaître, en clair il lui avait fait comprendre quil lui donnait ce poste mais quil fallait quelle couche avec lui.
Ma femme lui avait répondu quelle était mariée, et ne voulait pas tromper son mari, il lui répondit que lui aussi était marié et aimait son épouse, et lui demanda de réfléchir à la proposition quil lui avait faite.
Gérard était selon les dires de mon épouse un bel homme de cinquante cinq ans, très attirant, qui faisait bien moins que son âge.
Elle me regarda, dun air interrogateur, sil te plait pourquoi pas lui dis-je !
Sil te plait et si tu souhaites ce poste, moi je suis daccord, à condition que jassiste à cette soirée, caché bien sûr.
Je dis à ma femme que sil lui en reparlait, elle lui dise quelle a réfléchi et accepte à condition que cela se fasse chez elle en prétextant que je suis absent pour mon travail durant les trois jours prochains.
La semaine se passe, ma femme sur mes conseils se fait, tous les jours, plus sexy, jupe ou robe très courte, petit haut assez coquin mettant en valeur sa petite mais très jolie poitrine.
Le vendredi après-midi elle me téléphone pour me dire quelle rentrera plus tard, car elle a le courrier de son patron à taper, à toi de jouer lui dis-je.
Le soir elle rentre vers vingt heures dexcellente humeur, je vois tout de suite que ça a marché.
Il est daccord pour que ça se passe à la maison, rendez-vous est pris le mardi soir à vingt heures.
Le week-end jaménage un poste dobservation dans les combles de la maison, avec vue sur la salle à manger et sur la chambre, nous décidons que je filmerais cette soirée.
Le mardi arrive, je sens Bernadette à la fois très nerveuse et très excitée à lapproche de cette soirée, elle hésite à la façon de shabiller.
Sur mes conseils, elle mettra une jupe noire légère et très courte, un petit haut noir en dentelle ajourée, comme sous-vêtement elle mettra un ensemble rouge en dentelle : string et soutien-gorge à balconnet que je lui ai offert pour son dernier anniversaire.
Elle attache ses cheveux en queue de cheval avec un petit nud noir.
Il est dix neuf heures quarante cinq, je rejoins mon poste dobservation en donnant un petit baiser à ma femme pour lui donner du courage, jai limpression de la donner en pâture !
Je suis tout juste installé, quand la sonnerie de la porte dentrée retentit.
Je retiens mon souffle, et vois apparaître un bel homme environ un mètre quatre vingt pour quatre vingts kilos, effectivement il ne fait pas son âge, il tend un bouquet de fleurs à mon épouse tout en la regardant avec insistance, elle le fait asseoir sur le canapé du salon pendant quelle met les fleurs dans un vase.
Elle le rejoint avec une bouteille de champagne et deux coupes, Bernadette est placée en face de son futur amant, ils discutent tout en buvant.
Au bout dun moment et comme nous lavions prévu, Bernadette se lève pour mettre un peu de musique légère, pour couvrir le léger bruit du magnétoscope.
Nous avons choisi des slows pour lancer la soirée, ce qui ne tarde pas, Gérard se lève et invite Bernadette à danser.
Aussitôt, il enlace sa partenaire qui vient se blottir au creux de son épaule, ils sont littéralement collés lun à lautre, Gérard caresse le dos et descend rapidement vers les fesses de mon épouse, la jupe est maintenant relevée et ils sembrassent à pleine bouche.
Le petit haut est rapidement enlevé, ses petits seins en forme de poire sont libérés et bien dressés, Gérard est tout de suite en admiration devant cette si attirante poitrine, il saisit un à un ses seins en les malaxant, en les suçant et en mordillant les tétons bien dressés qui sous leffet dun tel traitement ont doublé de volume.
Mon épouse est maintenant pratiquement nue, elle en profite pour prendre son amant par la main et lentrainer vers la chambre à coucher.
Elle finit de se dévêtir et sétend sur le lit, pendant que son partenaire se déshabille, lorsquil baisse son short, il laisse échapper un sexe bien raide mais surtout assez long et bien épais, à sa vue Bernadette fait une petite grimace.
Gérard rejoint sa partenaire sur le lit, il sembrasse tout en se caressant, il descend jusquà son entrecuisse quelle a écarté au maximum, il la pénètre avec un doigt quil fait coulisser dans lintimité de Bernadette qui, sous leffet du traitement, se tortille en poussant de petits cris.
Je vois ses doigts emplis de mouille sortir et laisser la place à sa bouche quil plaque sur le sexe de mon épouse, il maltraite son clitoris en laspirant et en le mordillant ce qui ne laisse pas insensible ma chérie qui se tord en tous sens en enserrant la tête de son amant et en ayant son premier orgasme, la langue de Gérard pénètre profondément la vulve de Bernadette à la rencontre de cette mouille quelle sécrète abondamment quand elle jouit.
Mon épouse est maintenant bien relâchée, ses cuisses bien écartées, sa chatte luisante, Gérard profite de cet instant pour présenter son sexe impressionnant à lentrée de lintimité étroite de ma femme.
Je vois ce gland écarter les chairs intimes tout en se frayant un passage vers cet antre du plaisir.
Je suis très excité et à la fois je regrette davoir accepté, mais lexcitation de voir ma femme se faire prendre sous mes yeux lemporte.
Son sexe est maintenant bien planté et coulisse lentement provoquant quelques petit cris de plaisir de la part de Bernadette.
Après lavoir bien limée, il retire cette queue luisante de plaisir pour la faire mettre en position de levrette, position que mon épouse affectionne car, dit elle, la pénétration est plus profonde, je pense quelle va être servie !
Il la pistonne pendant un bon moment, à un rythme assez soutenu, son pieu la pénètre profondément, il doit venir buter au fond de son minou, aux cris quelle laisse échapper, laissent présager un orgasme assez violent qui comme prévu ne tarde pas.
Du haut de mon poste, je peux observer le petit cul de mon épouse qui se trémousse sous les assauts répétés de son patron, son petit trou parait lui aussi bien accueillant ce qui néchappe pas à Gérard.
Il faut dire que mon épouse est une adepte de la sodomie, je lui ai acheté plusieurs godes, dont des plug assez imposants, sur lesquels elle sassoit pour se pénétrer, simultanément elle sastique son petit bouton pour arriver facilement à lorgasme.
Je suis assez souvent absent pour mon travail et ainsi elle peut se donner du plaisir.
Gérard pénètre avec son doigt lanus de ma femme, il coulisse assez librement laissant échapper quelques râles de plaisir à sa partenaire, désireuse daller plus loin, et craignant davoir mal, elle lui tend un tube de gel.
Encule-moi lui dit-elle, encouragé, il retire sa queue toute rouge et luisante, et la dirige vers son petit trou, devant la taille imposante de ce visiteur, il ne peut aller plus loin malgré ses efforts et son envie de la pénétrer.
Mon épouse, bien cambrée, écarte avec ses deux mains ses fesses et lencourage par des mots crus à lempaler.
Vexé et très excité, je vois Gérard prendre Bernadette par les hanches, prenant de lélan, il percute violemment sa cible et pénètre ce petit cul, sous leffet de cette intromission violente Bernadette laisse échapper un grand cri.
Sa bite bien plantée dans le fondement déformé de ma chérie, il se met à la pistonner vigoureusement en la maintenant bien par les hanches, sous les assauts répétés, il éjacule, quand il retire sa queue un filet jaunâtre coule des fesses de Bernadette.
Après sêtre embrassés, ils se dirigent vers la salle de bain, je nai plus aucune vue, mais jentends mon épouse rire, je pense quelle est pleinement satisfaite de cette soirée.
Au bout dun quart dheure ils reviennent en se tenant par la main et en sembrassant, au vu de ce spectacle je suis un peu jaloux !
Ils se mettent sur le canapé, ma femme est dans les bras de Gérard, ils boivent du champagne et se caressent mutuellement en sembrassant.
Progressivement Gérard a repris de la vigueur, Bernadette en profite pour lui faire un semblant de pipe si lon peut dire, car sa petite bouche a bien du mal dabsorber la « bête ».
Sa queue bien dressée et bien raide, ma femme vient se positionner à califourchon et se laisse glisser dessus, sempalant jusquà la garde, son amant la prenant par les hanches, laide à coulisser, ils alternent avec les deux orifices.
Au bout dun moment Gérard sentant venir la jouissance, la désarçonne et positionne sa bite dans sa bouche, il éjacule abondamment, en se retirant son sperme coule de la bouche de sa partenaire.
Elle court dans la salle de bain pour se nettoyer, pendant ce temps Gérard se rhabille.
Il est une heure du matin, ils ont fait lamour pendant cinq heures.
Ils sont maintenant entrain de discuter, je saurais plus tard que pour leur prochaine soirée Gérard lui a promis une surprise, mais ce sera une autre histoire.
Avant de se séparer ils senlacent et sembrassent à pleine bouche.
Une fois quil est parti, je descends, ma femme est radieuse, elle se jette à mon cou, membrasse et me remercie pour cette soirée, mais la nuit nest pas terminée, car je suis très excité par ce que jai filmé et moi aussi je veux ma part, même si mon épouse naspire quà dormir après ce traitement.
Jespère que mon récit vous a plu ?
Si dautres couples ont eux aussi connu cette situation, jaimerais quils me fassent part comment cela sest passé.