Sur le chemin du retour, alors que nous descendons en direction du parking, Bruno me prend par la main et m’attire derrière un bosquet. Surpris et sous coup de l’émotion, je me laisse faire… charmé par cet acte inattendu et complètement hypnotisé par l’aura de mon amant. Maintenant que nous sommes tranquilles, à l’écart du chemin, il m’embrasse fougueusement tout en fourrant sa main dans mon short pour palper mon sexe qui ne tarde pas à durcir sous ses caresses. Bruno s’agenouille alors devant moi, il sort délicatement ma queue de mon caleçon puis il s’approche avec gourmandise pour l’avaler tout entière. Hummm. Sa langue joue sur mon gland, tendu comme un arc. La félation qu’il me prodigue m’arrache de petits gémissements presque inaudibles.
— Hhhum! Mhrhwh…
J’attrape la tête de mon suceur et d’un coup je m’enfonce jusqu’au fond de sa gorge. Lèchant mes testicules, il me pompe désormais à fond. Avec son autre main, Bruno me caresse l’anus, puis il me pénètre lentement d’un doigt, puis de deux, de trois… à me faire gémir.
Une fois suffisamment lubrifié et ouvert… n’en pouvant plus, je repousse doucement Bruno pour aller m’appuyer contre l’arbre le plus proche. Je me retourne pour jeter un regard malicieux à mon amant. Au moment où il se redresse je vois l’énorme bosse dans son short. Alors je me cambre à outrance pour lui signifier que je suis prêt à l’accueillir… Ne se faisant pas prier, il sort alors sa bite de son caleçon et avance vers moi. Tenant fièrement son étendard gonflé de plaisir dans sa main droite, il se positionne derrière moi et dirige son chibre vers mon trou qui s’ouvre comme une fleur exquise sous la pression. Le dard de Bruno ne rencontre aucune résistance et s’enfonce d’un coup jusqu’à la garde. Surpris que mon cul soit si chaud et avide, mon amant s’applique à me limer avec force, m’agrippant fermement par les hanches pour mieux me labourer… avec douceur mais également avec une fougue et une détermination toujours inébranlables. Je m’abandonne entièrement à ses vas et viens réguliers. A chaque fois que le sexe de Bruno se retire de mon intimité, j’en profite pour reprendre mon souffle, et lorsque cette queue glisse vers l’intérieur de mes entrailles, qu’elle touche le fond, je crie… Pendant de longues minutes, Bruno, mon étalon, me prend de cette façon bestiale, une véritable saillie! Et moi je beugle… Les animaux alentours doivent se demander ce qu’il se passe! Après cette chevauchée fantastique Bruno finit par éjaculer en moi dans un râle indescriptible… plusieurs jets abondants m’inondent le rectum de son sperme chaud. J’ai l’impression d’avoir été fécondé par le Mâle en Puissance!
Nous nous embrassons avant de nous rhabiller et de retourner sur le chemin en direction de la voiture. La fin du trajet s’avère difficile pour moi, tellement mon fion est dilaté, à au moins 5 cm… à chaque pas le foutre dont je suis rempli descend petit à petit… jusqu’à recouvrir l’intérieur de mes cuisses… Honteux à l’idée de croiser quelqu’un, mais tellement satisfait, je marche fièrement devant Bruno. Après une dizaine de minutes de marche, nous voici arrivés au parking. Nous déposons nos sacs dans le coffre, je m’essuie rapidement les jambes avec des lingettes et nous montons dans la voiture de Bruno. Il met le moteur en marche et démarre. Sur la route nous faisons le bilan de cette magnifique journée, nous rigolons à l’idée que j’ai fini cette rando avec du sperme jusqu’aux chevilles. Au lieu de me sentir gêné de cette situation, je suis surexcité.
Alors que Bruno conduit depuis plusieurs minutes, je pose ma main sur son entre jambes et je palpe son paquet à travers son short :
— Là, maintenant tout de suite, tu veux que je te suce ?
— Toi t’es chaud!
Bruno décide donc de s’arrêter sur le bord de la route, un peu a l’écart de la circulation. Il recule son siège, j’en profite pour sortir son gland encore recouvert de peau, puis je le prends dans ma bouche et je commence à le sucer. Son sexe durcit rapidement, il gonfle, et sous mes yeux ébahis, il prend une taille très excitante. J’enfonce alors sa bite de plus en plus profondément dans ma bouche jusqu’à ce que son gland atteigne le fond de ma gorge, je salive sur cette belle queue raide que je suce ainsi pendant au moins dix minutes. En pleine extase, Bruno appuie de temps en temps sur ma tête pour maintenir sa bite enfoncée dans ma gorge… j’étouffe presque, avant que il ne relâche la pression puis, à peine le temps dinspirer, il me remet sa queue dure et droite dans la bouche et je la suce à nouveau.
Soudain Bruno relève ma tête.
— Passe à larrière de la voiture, on s’ ra plus à l’aise…
— Ok.
Sans hésiter, je me redresse et me glisse entre les deux sièges avant pour gagner la banquette arrière. Bruno me rejoint illico. Je me déshabille et me positionne à quatre pattes en tendant mon cul à mon bel amant qui s’approche de moi. Il me couvre de baisers dans le dos, puis dans le cou. Je tourne alors la tête pour l’embrasser et il me roule une bonne pelle. Tout en se redressant, Bruno fait glisser son gland contre mon cul avant qu’il s’y enfonce jusqu’à la garde, presque happé par mon antre désireuse d’être à nouveau souillée. Mon amant redevient mon baiseur, faisant claquer ses couilles contre mes fesses et me tenant fermement par les hanches. Je gémis sous les coups de butoir, j’aime ça.
— Oh oui, Bruno! Prends moi…
Encouragé par mes cris de plaisir, celui-ci accélère ses mouvements il me pénètre complètement, il me bourrine le cul comme un malade, sortant et rentrant son chibre titanesque, me le mettant tout entier jusque dans le fond de mes entrailles où il s’arrête parfois quelques secondes avant de reprendre ses va et viens brutaux, sauvages. Que cest bon !
Soudain Bruno se retire et il m’allonge sur la banquette. Il prend alors mes jambes pour les placer sur ses épaules, ce qui soulève mon petit cul rebondi et ma rondelle vient frôler le bout de sa queue. Juste un petit coup de rein et elle rentre totalement en moi dun coup, toujours sans aucune difficulté. Mon étalon continue à me bourrer le cul comme il le souhaite, et comme j’aime aussi. Sa bite me fait tellement du bien que je gémis à chaque fois quelle touche le fond de mon trou. Bruno me baise à un rythme régulier, lentement, profondément, sans forcer, les mains sur mes chevilles. J’apprécie cette douceur dont il est capable aussi. Pendant ce temps, moi je me branle jusquau moment où je me raidis, je serre les fesses et je jouis en éjaculant sur mon ventre. La contraction de mon rectum autour de sa queue arrache à Bruno un long râle et provoque aussitôt le jaillissement de son sperme dans ma cavité. Même après avoir éjaculé plusieurs fois au cours de la journée, son foutre est abondant, je sens les longs jets chauds qui me remplissent de l’intérieur. Il continue à me baiser pour que toute sa semence sorte… jusqu’à la dernière goutte. Puis il reste quelques instants enfoncé en moi sans rien dire et sans bouger. Je ne dis rien non plus, immobile, les jambes en lair et le cul plein de cette bite qui reste en moi mais qui perd de sa raideur et commence à libérer le sperme qui coule sur mes fesses. Quand enfin Bruno sort de mon antre, un flot de foutre se répand sur la banquette arrière pendant que mon amant se laisse aller dans mes bras et qu’il membrasse.
Après quelques minutes de paradis, l’un contre l’autre, chacun se rhabille et nous reprenons la route pour que Bruno me dépose chez moi… espérant remettre ça très vite.