Salut je m’appelle Dadoo, j’ai 25 ans je mesure 1m75 pour 60 kilos, j’ai de beaux yeux bleu caché derrière mes lunettes. Cette histoire s’est déroulé voilà quelques mois.
Il était 4 heure du mat et je partais travaillé quand je croise une femme d’une cinquantaine d’années plutôt jolie (malgres son âge , je les préfère jeunes) habillé d’une somptueuse robe de soirée noire moulante à souhait. Bien qu’un peu surpris de croiser une ladie ainsi vêtu dans mon quartier, je monte dans ma voiture (un Roadster Smart) et je démarre. Là, la ladie s’approche et se baisse (mon toit culmine à 1m10) afin de me faire signe à la vitre passager, que je m’empresse de descendre. Il s’avère que la Ladie est passablement ivre.
— Excusez moi, je suis perdut, j’habite à Rodilhan et mon amie m’a laissé en plan. Vous pourriez me déposer?
— Bien sur! montez (je pourrait toujours sortir une pipe si j’arrive en retard).
— Merci vous me sauvez la vie…
Je lui ouvre la portière et cette derniere tente tant bien que mal de monter (plutôt descendre) me laissant admirer de magnifique dessous bas et porte jartelle noire ainsi qu’une culotte assortit. Je sent une demi molle monter en moi.
Je decolle donc, et elle commence à me raconter sa soirée qui me semble pourrit.
La route passant je m’aperçoit que ses bretelles de robe sont tombé de ses épaules ce qui me permet d’admirer sa voluptueuse poitrine. Et là magie de la route, un dos d’âne salvateur, libére un peu plus cette poitrines qui me semble plus imposante qu’auparavant, découvrant un bustier qui explique une telle tenue, elle tente de recaser le tout dans mais galère, l’alcool et ma conduite sportives n’aidant sûrement pas. Elle me demande ensuite de ralentir, ce que je fait en m’excusant. Youpi un feu rouge, je vais pouvoir me rincer l’oeil sans risquer l’accident, j’en profite pour matter ce corp ivre à mes côté. Elle essaye toujours en vain de réajuster sa robe, puis fini par y arriver, c’est là que j’ai poussé un soupir qui me trahit.
— Pourquoi ce soupir jeune homme?
— Pour rien…. Non rien….
— Vous devez me trouver pathétique?
— Non du tout vous êtes très bien les galère ça arrive à tout le monde
Le feu passe au vert et c’est reparti, mais je l’entend sanglante.
— Ça va?
Elle craque et fond en larme.
— Je suis un conne, je rate tout, personne ne veut de moi etc…
La je me gare sur le bas côté et essaye de la consoler lui prenant les épaules .
— Mais non vous n’avez pas eu de chance ça ne veut rien dire, vous êtes très belle pour votre âge
— Vous croyez snif snif
— Mais bien sur, j’avoue que vous êtes très sexy dans cette robe
La mes mains lâche ses épaules pour se poser sur ses cuisses
— Vous dites ça pour être gentil
— Mais non si vous me connaissiez vous sauriez que je suis toujours sincère
— vous mentez je suis juste trop conne
— Que vous faut il pour vous le prouver
(Tout en la consolant mes mains s’était lentement rapproché de son entrejambe, remontant sa robe sur ces cuisses)
— J’en sais rien, j’suis conne etc…
— Si je vous dit que je vous trouve belle c’est que c’est vrai croyez moi
C’est là que pris les choses en main, je pris sa main et la posa sur mon jean arborant la bosse de mon excitation, surprise elle sursautà, et rougit instantanément en retirant sa main. Puis, me regardant avec ses beaux yeux vert encore rouge des larmes qui avait fait couler son maquillage, elle reposa doucement sa main sur mon entrejambe et ce coup ci c’est moi qui tressaillit, mais d’excitation. Ce geste m’avait fait passer du rang de demi molle à une érection de base, ce qu’elle remarqua immédiatement, puis esquissant un sourire commence un léger mouvement de va et viens qui finit de me chauffer. Ni une ni deux, je descend de ma voiture et passe du côté passager, ne comprenant pas ce qui se passe elle s’excuse, au moment où j’ouvre sa portière elle semble croire que je vais la laisser sur le bas côté, et s’est remise à pleurer elle se tourne pour sortir, pose ses deux magnifique jambe hors du siège Bacquet et c’est à ce moment que je me mets à genou et lui écartes les cuisses sans ménagement avant de m’avancer vers cette entre jambe, remontant sa robe sur ses hanches, découvrant sa somptueuse lingerie de dentelle noire. Surprise de mon geste elle tente de baffouiller quelques mots auxquels je ne prette aucune attention. Je plonge ensuite ma tête entre ses jambes afin de renifler son bouton de rose, gêné elle tente de serrer ses cuisses tout en essayant, avec ses mains de m’extirper de son entrejambe, en vain son intimité est bel et bien humide et mes doigts commencent leurs travail de sappe, si bien que très vite elle cesse de se débattre et se laisse aller, sa respiration s’accélère et elle commence à gémir. Je décide donc de passer la seconde, remontant mes mains sur ses fesses d’entreprendre de lui ôter sa culotte que je descend à mi cuisse avant de reprendre mon entreprise tantôt avec mes doigt tantôt avec ma langue, je la sent remuer les gémissements se font plus fort et plus rapproché, je décide donc de m’arrêter un instant histoire de voir sa réaction avant même d’avoir retirer mon visage je sent ses deux mains tenter de me forcer à rester ainsi,en vain je lève les yeux et elle est la les larmes aux yeux me fixant "je vous en supplie c’est tellement bon" avec cette air de chienne battu, je décide de lui enfourner un doigt tout en la fixant sa réaction est magique, un deuxième doigt rejoins le premier et son visage se transforme de nouveaux, ses yeux brillent, puis un troisième et un quatrième je la tiens littéralement pad la chatte et elle aime ça, elle tire sur sa robe dévoilant le fameux bustier qui m’avait fait tilter plutôt, elle en sort deux énorme mamelle aux auréolé gonflé et aux fêtons tendu qu’elle lèche pendant que ma main la ramone, elle se tort dans tout les sens c’est magique, puis comme sous l’impulsion d’un choc électrique elle jouit dans un râle bruyant avant de retomber, mais je continue , puis je tire ses jambes et elle retrouve le cul hors du siege j’en profite pour titiller son petit trou du cul " non pas là s’il vous plait, je n’ai jamais…" avant qu’elle put finir sa phrase mon index s’est introduit tant bien que mal, elle laisse échapper un cri et je décide de replonger ma langue dans cette chatte détrempé, tout en continuant de lui écarter son petit trou pour y rentrer un deuxième doigt l’entrée étant serré je profite de sà moule inondé pour lubrifier son anus et caser un troisième doigt, mais les pleure recommence je relève la tête elle m’agrippé me fourre sa langue dans la bouche me tire contre elle avant d’enserrer mes hanches de ses cuisses et de se frotter frénétiquement contre moi, puis cesse de m’embrasse, me fixe et me sort " prend moi, je t’en supplie prend moi comme tu veut, mais baisé moi, j’ai besoin de te sentir en moi s’il te plait…" ses mots ne font qu’un tour je lui choppe les fesses et la sort de la voiture et la plaque contre l’aile en s’embrassant sauvagement mes mains écartant ses fesses et titillant son anus, puis la relâchant j’appuie sur ses épaules pour la forcer à se mettre à genou, après une légère réticence elle comprend et deboutonne mon jeans qu’elle baisse avec mon boxer laissant émerger mon sexe tendu et déjà luisant, elle commence à me branler et je décide de prendre sa nuque et d’avancer son visage de mon sexe, elle finit par comprendre et commencé avec quelques coup de langue, soudain une voiture passe en plein phare, et surprise elle lâche un "oh!" qui me permet de coller ma bite au fond de sa gorge, ce qui provoque chez elle une légère suffocation, son visage s’incline et je voit ses beaux yeux me fixer avec ce regard triste toujours au bord des larmes. Ma main sur sa nuque imprimé un mouvement régulier qu’elle suit docilement, tentant parfois de s’aider de ses mains que je tape immédiatement puis je décide d’augmenter le rythme. Je n’ai jamais oser facefucker mes copines c’est l’occasion où jamais. Je commence donc à bouger les hanches tout en m’aidant de mon autre main pour tenir sa tête, c’est violemment bon, tellement bon que je lâche une giclée de sperme directement au fond de la gorge, ce qui l’étouffe quelque peu. Trop tard je suis chaud bouillant, sans la laisser reprendre ses esprits je la relève lui écarte les cuisses qui déchire sa culotte et je la pénètre violemment et sans retenue, son regard semble perdut, mais bizarrement ça me rend encore plus fou, et j’accellere, la levant je la plaque violemment contre le montant arrière puis sur le coffre, elle pleure et je décide de la retourner elle est maintenant seins nue face contre le coffré, ses talons aiguilles mettent en vvaleur sa croupe toujours ronde malgres l’âge, son porte jartelle et ses bas filer après la fellation, finissent de me mettre hors de moi et je guide mon sexe vers ce trou du cul dont la prétendu virginite me nargue. C’est avec force et difficulter que j’entre, lui arrachant un long cri qui l’a comme fait emmerger " non pas cà, tout mais pas ça, arrêtez … J’vous en prie…. Je vous en supplie" mais c’est trop tard, je suis dedans et j’y suis bien, c’est tellement serrée, ça faisait longtemps (et pourtant mes ex ont entre 18 et 22 ans) j’y vais doucement puis j’accelere, elle pleure mais ne se débat plus et j’accellere encore. À chaque hausse du rythme, elle se tord son visage et affalé sur le coffre et je décide de la réveiller avec une bonne claque sur le cul puis une autre, elle tente de se relever et j’attrape ses bras sa canbrure me rend dingue puis d’une main je la serre contre moi tendit que l’autre part s’occuper de sa chatte la pénétrant avec mon majeur et mon index pendant que mon pouce tourne frénétiquement sur son clitoris gonflé et mouillée à l’extrême. Je continue d’accélérer et finit par jouir en elle avec une force rare. Après avoir remis mon jean, je l’aide à remettre sa robe la fait remonter sans un mot, redémarre et roule jusqu’à Rodilhan à l’entrée du village je lui demande de me guider ce qu’elle fait avec une petite voix tremblante. Nous finissons par arriver je sors pour l’aider à s’extraire puis la raccompagner à la porte
À suivre….