La cure de sperme
Marco est le maître de cérémonie., il harangue sa troupe :
— Mais regardez la gourmande, elle se jette sans réfléchir sur la première viande venue. Tu veux cochonner ta nuisette toute neuve ? Amis, elle sera plus appétissante complètement à poil. Debout Julie, lève les bras…. Chacun attrape le bas de la nuisette et nous la faisons monter, doucement. A l’avant la chatte, la motte, le mont de Vénus. A l’arrière les fesses et la splendide cambrure d’un bas de dos de sportive entraînée à la course à pieds et aux joutes amoureuses. Les dorsaux saillants colleront au plafond les distraits et les mauviettes. Méfiez-vous !
Il devient adorateur, veut faire partager son goût de jeune pour le corps bien ferme et sculpté de ma femme. Peut-être l’amant attribue-t-il à ses relations sexuelles avec Julie, une part importante de sa belle apparence présente. Je trouve exagérée sa déclaration :
" Plus nous avons de relations sexuelles, plus les bras et le ventre de ma bien aimée sont dessinés."
C’est oublier un peu vite vingt années de vie conjugale active et le rôle du mari dans la bonne santé de sa femme. Le compliment donne le sourire à Julie. Elle aussi laisse croire que Marco est le responsable des belles formes pour lesquelles les autres éprouvent curiosité et désirs. Le dernier mâle en place efface dans sa mémoire tous les plaisirs pris avec le précédent. Si un jour, de façon fortement improbable, nous nous revoyons, je l’interrogerai sur ce passé mort de notre vie.
Marco ne tarit pas d’éloges:
— Tournons lentement autour de ma belle et que chacun admire le côté pile et le côté face. C’est vu ? Montons le tissu, dégageons tous ensemble le dos et tournons encore. A l’avant, de votre main libre flattez deux seins laiteux, prenez le temps d’une caresse et déposez sur le tétin le plus proche un doux baiser. Ne soyez pas timides, sucez, elle n’attend que ça. Puis tournez, laissez-nous rendre hommage à notre tour à cette poitrine de femme qui n’a jamais allaité. Derrière, comme nous, baisez la nuque sous la racine des cheveux. René ne tète pas comme un nourrisson, il n’y a pas de lait. Avance, ne sois pas égoïste.
Les pieds écartés de Julie lui permettent de garder léquilibre sur le matelas piétiné par ses quatre compagnons. Elle a les bras levés vers le lustre, toujours prisonniers de la nuisette, elle ondule des reins pour amortir les mouvements de déséquilibre. Ce balancement des fesses à lui seul maintient en position haute les verges des quatre hommes. D’un coup sec la légère parure est enlevée. Les trois invités s’émerveillent devant ce corps bien conservé puis imitent le chef, posent leurs mains sur chaque parcelle de peau libre, flairent du groin et lèchent une Julie qui se tord sous les caresses et les suçons.
Commence alors cette partie à laquelle j’ai refusé de donner ma caution. Quatre mâles, huit mains, quatre bouches et quatre queues entrent en action sur une femme nue, résignée d’abord mais qui va progressivement se laisser mettre dans les positions voulues par Marco, et admettre tout ce q’on réclamera d’elle jusqu’à se mettre parfois à diriger les figures ou à se jeter avec enthousiasme dans les jeux imposés. Le déroulement sera tout à fait classique. Julie est le centre d’une roue en mouvement
Accroupie elle est sollicitée par les membres virils. A peu de chose près, ils se ressemblent en longueur ou en diamètre, De mon siège je ne remarque pas de différence notoire. La première verge se présente de face. Il faut une main pour l’amener aux lèvres, pour l’offrir aux premières caresses de la langue, puis pour l’attirer dans la bouche. Aussitôt les deux mains fines sont saisies et portées sur une verge à droite et sur une deuxième à gauche, On synchronise les déplacements des deux mains et de la tête. Les mains montent du scrotum au gland, pressent les bourses, comptent les boules ou enduisent les glands de salive en tournant autour de la tête de noeud avec délicatesse.
D’où vient cette salive qui lubrifie les parties les plus sensibles de ces messieurs ? Deux sources alimentent ce besoin. Ou le garçon crache dans sa main libre et enduit lui-même son gland ou Julie recueille la salive qui échappe à sa bouche lorsque le pieu pénètre sa bouche à fond pendant la fellation. Elle a alors le nez enfoui dans les poils pubiens de l’homme, les lèvres aplaties autour de la base du sexe masculin et, en longs filets épais, le trop plein de salive déborde sur le menton et tombe vers le matelas : d’un coup de main expert elle saisit le liquide, s’en remplit doigts et plat de la main puis l’utilise..
De l’un à l’autre la bouche de Julie répète les fellations. L’un préfère pénétrer à fond jusqu’à la luette dès l’engagement,, enfourne avec l’intention de fouiller la gorge et je le vois placer sur le crâne de Julie une ou même deux mains pour appuyer et tirer la tête vers lui. Il y a même un certain sadisme à la coller contre son bas-ventre le plus longtemps possible, jusqu’à l’étouffement. Julie s’en sort en frappant à coups de poings les cuisses ou le ventre de son assaillants. Lorsque enfin il la libère on l’entend reprendre violemment son souffle. Cette femme au bord de l’étranglement fait rire les gaillards.
Déjà ils se remettent entre ses doigts. Elle n’aura pas de repos, ils ont décidé de se relayer. Le quatrième larron, privé de bouche accueillante ou de mains secourables ne s’ennuie pas. Julie est debout, penchée sur la bite sucée, le dos à l’horizontale ou presque, pieds écartés en raison de la mobilité du matelas. Sous sa poitrine les deux cônes de ses seins suivent les balancements du corps comme à contretemps. Ce quatrième homme a les mains libres et il s’en sert en attendant de remplacer l’un des trois autres à un autre poste. L’heureux complice caresse le dos, un sein, le ventre ou le plus souvent tout l’entrejambe de Julie. Comme l’a montré Marco, l’ordonnateur des festivités, cet homme effacé est un explorateur et un personnage clé : il fait monter Julie en température par les frottements continus de la vulve, de l’anus, du clitoris, des seins, de l’intérieur des cuisses là où la peau la plus douce est la plus chatouilleuse. Pour l’instant la consigne est de ne pas pénétrer trop profondément le sexe ou l’anus.
Parfois le sucé perd le contrôle et son sperme envahit la bouche ou éclabousse le visage féminin. Il fait marche arrière, le sperme reflue avec la salive, peut mouiller le drap. A ce moment se produit un changement de places. Le plus excité par la main masturbatrice se met en tête, reçoit ou dirige la fellation. Il peut avoir envie de jouer au marteau piqueur, multiplier les petits coups à toute vitesse, agir comme une baratte et s’amuser des grelottements caractéristiques de la cavité secouée. Ça fait "" gregregregre….legre"" Au final, la montée des bruits gutturaux de Julie l’obligera à la bâillonner. Il ne faut pas alerter les voisins et le meilleur moyen de faire taire la femme est de lui boucher la bouche en la remplissant de son dard Le plaisir des frottements s’allie à celui d’avoir enflammé le gosier et de réduire les sons pour finalement provoquer une nouvelle éjaculation. Curieusement Julie ne recrache pas les jets de liquide, avale le jus et regarde les amis avec une lueur dans les yeux. Et à ce moment je note une transformation profonde. Cette fois elle n’attend pas qu’une verge vienne la solliciter. Elle tourne sur elle-même, se jette sur un membre dur et lui accorde la fellation attendue. Les autres obéissent à je ne sais quel plan et trouvent d’eux-mêmes leur nouvelle place.
C’est Julie la meneuse désormais. Et elle attaque lèvres bien ouvertes, abritant de ses dents enveloppées par ses lèvres repliées, la colonne du partenaire. Elle fonce en avant, cherche seule à atteindre le mur du ventre. Elle fait retraite, prend de l’élan et fait claquer le fond de sa bouche sur le gland. La montée en chauffe a duré une dizaine de minutes, elle a pris son parti de la situation, a compris qu’elle doit y passer et décide qu’il vaut mieux le faire avec plaisir. Il y a du plaisir à ramasser, pourquoi rechigner et s’en priver. Le mari se tait, laisse faire, elle peut oublier son existence tant il est inutile assis sur sa chaise. Il regarde, qui sait s’il ne prend pas son pied à voir sa femme ainsi traitée, le salaud, le dégonflé. Marco aussi remarque le changement d’attitude A son tour il se met à l’opposé de la tête, empoigne sa bite à pleine main, fait venir Paul à côté de lui et lui demande de dégager la vulve des poils et d’en faciliter l’accès Les lèvres vaginales sont frappées à coups de sexe. Marco prend appui sur ses pieds, tapote l’entrée du vagin. Robert envahit la bouche et Marco pénètre Julie dont le cri ne peut pas résonner.
— Non, n’applaudissez pas. Votre tour viendra. Vous ferez comme moi. Elle adore la vigueur. Donc vous y mettrez tout votre coeur en même temps que votre coeur.
Et c’est parti pour une séance de doubles pénétrations vaginales et buccales. La fatigue aidant, au changement suivant Julie se laisse tomber sur le dos. Un type court à la salle de bain, en ramène une serviette et essuie l’écoulement de foutre déversé par le chef. Un nouvel assaut commence. L’envahisseur couché sur le flanc, perpendiculairement à Julie, par petits sauts approche de l’ourlet à peine refermé de Julie, applique son membre raide aux grandes lèvres, fait encore deux ou trois petits bonds et se retrouve dans le sein de ma femme. Il en ressort, tape sa queue sur une fesse et retourne à la conquête du con. A l’autre bout un second jeune soulève la tête de la proie, glisse sur le dos et finit en face de la bouche haletante. Il dit :
-Suce !
Julie se plie à l’ordre. Elle se soumet je ne sais combien de fois ensuite aux mêmes injonctions lors des rotations des amants d’un soir… Marco s’est reposé. Il dispose sa maîtresse sur le dos, la prend de façon classique : ils font la bête à deux dos. En quelques coups de reins le mâle se couche dessous puis revient en position initiale, attrape les pieds de sa partenaire, la retourne comme une crêpe, demande l’aide des deux acolytes masturbés en cadence par les mains de la femme. Elle est de nouveau bâillonnée par la quatrième queue. De chaque côté les compagnons tirent sur une fesse, l’anus bâille, trou bien rond. Marco, toujours lui, donne l’exemple, pousse son gland, maintient sa hampe droite, franchit le sphincter et creuse son trou dans les intestins. L’instinct l’entraîne dans le va et vient des unions charnelles. Il met la gomme. Les gémissements de Julie s’entendent peu. allez savoir si elle est heureuse. Et les trois compagnons succéderont à leur chef, couchés sur ma femme inusable, souvent souriante lors des changements de position.
Le manège s’organise sur deux baiseurs allongés sur le dos, queue vaillante dressée. Julie s’assied sur la bite de Marco, Il pénètre ses fesses, crochète les seins, colle le dos sur ses pectoraux, envoie les mains rouler sur la vulve, puis tirer sur les bourrelets qui longent le vagin. Le sexe ressemble alors à une raie palpitante toute rose-rouge et l’un des sbires enjambe les deux cuisses d’un côté et se glisse entre les deux autres cuisses. Le membre de Marco bouge moins vite que celui du nouveau venu, le sandwich se défait. Marco repousse Julie, elle atterrit sur le ventre de Robert, son vagin se plante autour de ce sexe et presque aussitôt un pieu s’enfonce dans ses entrailles et un autre sandwich s’anime. Et on change de position et on expulse du sperme, sur les yeux, plein la face ou la poitrine de Julie. Marco est de plus en plus brutal et méprisant envers la victime volontaire de sa partie .
— Ho, les gars, vous vous souvenez de notre pari de prendre un bain de minuit. Stop, changeons de cadre. Rhabillez-vous. on pourra continuer nos jeux sur la plage, près du bassin de retenue. Sortie discrète. Jean tu occuperas le veilleur du comptoir . Après tu pourras rejoindre Amélie. Nous nous occuperons de ta salope et lui ferons regretter de tavoir trompé aussi facilement ce soir. Elle ta choisi et aussitôt après elle sest livrée à nous. Nous nous chargerons de lui mettre du plomb dans la cervelle et ce que tu sais dans les trous. Demain elle te sera rendue, saturée de sensations fortes, convertie à la fidélité conjugale et guérie de ses curiosités sexuelles. Amuse-toi avec celle qui devrait tattendre en bas.