Un sourire se dessina sur le visage d’André, mais il ne répondit pas à la question de Marcel. Ce dernier n’attendait d’ailleurs aucune réponse.
Il s’était tourné vers moi, le regard concupiscent ; qu’il était laid ce Marcel !
Il approcha sa tête de la mienne, je m’étais mis au plus profond de l’assise et ne pouvais reculer plus.
– Mignonne tout plein ta copine.
Disait-il en me regardant, mais en parlant à son ami comme si je n’étais pas là, ou n’étais qu’un objet qu’il contemplait.
Sa main se posa sur ma poitrine et il commença un pelotage en bonne et due forme. Il n’était pas délicat, sa caresse, ou plutôt son malaxage n’était pas douloureux, mais nullement agréable.
André éclata de rire, certainement en voyant ma tête.
– Mais tu vas l’écraser.
Dit-il hilare.
– Vraie, p’tite dame ?
Dit-il en s’adressant cette fois à moi.
Je n’ai pas eu le temps de réponse, ses lèvres se collèrent contre les miennes et sa langue chercha à forcer le passage. Mes lèvres résistèrent autant que possible pour finalement abdiquer. Sa langue s’engouffra dans mon palais et pénétra aussi loin que possible. Il m’étouffait et j’ai commencé à tousser, ce qui le fit se retourner.
– Prends ton temps Marcel elle est délicate.
– Ouais, mais tu comprends bien que ça fait tellement longtemps que je n’ai pas vu une aussi belle salope.
Cette révélation ne m’étonna pas, il ne devait pas avoir beaucoup d’opportunité auprès de la gente féminine.
– Ouais et je me souviens de ton dernier coup.
– J’te dis pas, un vrai laideron et nul au lit en plus.
Je profitais de leur discussion pour me repositionner un peu, en effet ses assauts m’avaient fait glisser et j’étais inconfortablement assise.
– Par contre, ta copine, chapeau, elle est super bandante et je suis certain qu’elle doit être bonne.
Mais comment parle-t-il de moi, je m’apprêtais à lui répondre quand il se pencha à nouveau vers moi pour enfoncer sa langue dans ma bouche.
Sa langue visita mon palais sans ménagement. Son baiser n’avait rien d’agréable et en plus il bavait comme un malade, j’avais de la salive qui s’écoulait sur mon menton. Vraiment dégueulasse le mec.
Je ne pouvais voir André, mais il riait de bon cur de voir son ami me malmener ainsi.
Marcel glissa sa bouche dans mon cou et commença à me faire un suçon. Sa main se glissa vers mes cuisses pour fouiller sans précaution mon intimité. J’étais maintenant allongée sur le canapé et il m’écrasait de tout son poids.
André avait pris son appareil photo et commença à prendre des photos de nous. Puis, alors que Marcel commençait à défaire son pantalon, il l’appela pour lui parler.
– Laisse-moi prendre quelques clichés d’elle seule, avant que tu n’ailles plus loin.
Il parlait à Marcel de moi comme si je n’existais pas et surtout sans me demander si je voulais, moi, allez plus loin.
Il me fit me lever et commença à prendre plusieurs clichés et j’exécutais toutes les poses qu’il me demandait. J’étais bien obéissante et surtout contente de retarder le moment où Marcel reviendrait vers moi. D’ailleurs, celui-ci, s’il s’amusait de me voir obéir à son ami et surtout m’admirer sous toutes les coutures, il n’en était pas moins impatient de reprendre là où il en était.
André me voulait nue sur ces photos, Marcel, quant à lui me voulait tout simplement. Il avait son pantalon déboutonné et en avait sorti son sexe pour le masturber en nous regardant.
André m’a ensuite conduite jusqu’à la chambre et bien que tout était filmé, il continua à faire quelques prises de vue. Il me demandait de multiple position, puis me fit allonger sur le lit pour me photographier en train de me masturber. Marcel nous avait suivi et à peine dans la chambre qu’il s’était mis nu. La vision de ce corps gras et difforme ne me donnait qu’une seule envie ; retarder le moment où il viendrait en moi. Car même si rien qu’à y penser, cette idée m’écurait, je savais très bien qu’il finirait par me prendre.
Il s’approcha de moi prit ma main et la posa sur mon sexe. Sans qu’il n’ait besoin de rien dire, j’ai bien entendu compris ce qu’il voulait et j’ai commencé à le masturber. J’avais pris dans ma main un petit corps mou, mais ma caresse lui fit rapidement de l’effet. Son sexe n’était pas très grand, mais assez large après une légère hésitation, j’ai fermé les yeux et gobé l’engin. Le goût était assez neutre, mais l’odeur pas très attirante, cela ne donnait pas vraiment envie de s’attarder sur ce gros bout de chair encore un peu mou. Il posa sa main sur mon crâne et appuya assez pour me faire comprendre qu’il voulait une « gorge profonde ». Je n’ai jamais vraiment compris les mecs qui aiment ce style de fellation, car de ce que j’en sais, la zone la plus sensible, la plus érogène se situe au niveau de gland. Je salivais beaucoup et à l’aide de ma main, d’un mouvement de va-et-vient je badigeonnais l’intégralité de sa hampe de ma salive. Je lubrifiais son sexe par cette caresse et cela eut pour principal effet de lui donner, enfin, une rigidité convenable. J’introduisais ensuite ce sucre d’orge au gout et à l’odeur indéfinissables le plus profondément possible dans ma bouche. J’y allais par étape, doucement, mais à chaque fois, j’accentuais la profondeur du geste son sexe était gros, mais pas vraiment long, cependant quand il fut totalement dans ma bouche, l’intrus pénétrant ma gorge déclencha un réflexe de rejet qui me fit tousser. Cela ne l’arrêta pas pour autant.
Quand enfin je me suis habituée à cet importun, il ne me laissa plus maitriser la situation, il commença doucement ses oscillations, puis d’une manière plus rapide, il baisa ma bouche comme il aurait baisé mon vagin.
André regardait avec intérêt et immortalisait ce coït buccal avec son appareil photo.
Heureusement pour moi, il arrêta le pilonnage de ma bouche avant d’inonder ma gorge de son jus. Je n’avais nullement envie d’y gouter et me serait certainement noyée avec ce liquide au fond de ma gorge. Enfin la crainte est un peu exagérée, mais je n’avais vraiment pas le désir de m’abreuver à se douteuse fontaine.
Il avait arrêté de se secouer dans mon palais, mais il n’en avait pour autant fini avec moi. En effet, à peine son membre libéré de mon gosier qu’il alla s’empaler dans mon sexe. Là encore, il entra sans ménagement et torpilla ma caverne. Il laissait échapper des grognements à chacun de ses coups de butoir. Il ne se souciait nullement de mon plaisir, il s’activait avec frénésie pour délivrer au plus vite son tord-boyaux que j’imaginais indigeste.
Dans un râle aussi bruyant que caverneux, il submergea ma grotte de son abondant foutre, je sentais en moi de multiples jets qui n’en finissaient pas, je n’aurais cru qu’une bourse humaine puisse contenir autant de liquide.
Il s’affala ensuite sur moi en m’écrasant de tout son poids.