L’histoire que je vais raconter ici est véridique, me croira qui veut.
Pourquoi la raconter me direz-vous.
Parce que ça m’a fait un bien fou de la rédiger, ce genre "d’aventure" qu’il est très difficile parfois de garder pour soi sans pouvoir jamais en parler…
Cette histoire m’est, ou plutôt nous est arrivée en 2015, lors de la sortie d’un film qui suscitait beaucoup d’intérêt pour la presse et dans l’esprit de nombreux couples.
Je ne dévoilerai pas le titre de ce film mais un petit indice tout de même, "sortie pour la st Valentin…"
Ce soir-là, comme beaucoup de couples, nous nous sommes rendus au cinéma pour la sortie de ce film que ma femme ne voulait certainement pas manquer et que, même si je ne l’aurais pas choisi, attisait ma curiosité.
Bref, nous nous sommes installés dans la salle quasi pleine.
Ma femme aurait voulu que nous nous installions sur les sièges contre le mur, mais pas de chance, un homme se trouvait déjà là et comme nous ne savions pas avec combien de personnes il était venu, nous avons donc laissé trois sièges vides entre nous.
Nous nous sommes mis à l’aise et avons commencé par nous goinfrer de pop-corn en attendant que les pubs finissent enfin et que commence ce que beaucoup considéraient déjà comme le chef-duvre de l’année.
Ma femme retira son manteau et je dois bien avouer que ce n’est pas le film qui suscitait toute mon attention à ce moment-là… En effet, cette dernière avait revêtu une petite jupe courte, une tenue particulièrement féminine pour l’occasion. Ce qui n’échappa pas à quelques hommes dans l’assistance et ne manqua pas de me rendre fier de l’avoir épousé il y a 12 ans de cela.
Le film débuta enfin et j’avais, au bout de quelques minutes, l’impression que ma femme était hypnotisée, happée par les images tant rien autour d’elle ne semblait l’intéresser.
Nous étions confortablement installés à trois places de cet homme qui, curieusement, était venu seul, ce qui m’étonna un peu pour ce genre de film ou les gens de l’assistance étaient généralement venus au moins par deux.
C’est après une scène du film relativement chaude que je remarquai quelque chose de curieux dans le comportement de ma femme que je connaissais pourtant par cur.
En regardant pour la énième fois ses jambes que je trouvais sublimes, je remarquai qu’elle les croisait, les décroisait en bougeant son bassin dans un mouvement lent que j’associais alors à de l’excitation, le regard alors comme détourné du film.
Je me remis alors à regarder le film qui finalement était assez plaisant à regarder…
C’est quelques minutes plus tard et alors qu’aucune scène du film n’était en mesure de provoquer une telle réaction, que je remarquai que la même situation que celle précédente se reproduisait. Plus langoureuse encore, le visage de ma femme tourné vers les places vides de notre droite.
Je voulus me reconcentrer sur le film, lorsque cette dernière laissa s’échapper un petit soupir qui, je dois bien l’avouer me mit mal à l’aise. Sans doute par peur que quelqu’un autour puisse l’entendre.
Je me penchais alors et lui murmurais à l’il: "il ne faut pas te mettre dans des états pareils"
Après quelques secondes et alors qu’elle semblait ne pas m’avoir écouté, le visage toujours tourné vers la droite, je remarquai que l’homme contre le mur était en train de se branler.
Je n’en croyais pas mes yeux, c’est finalement ça qui mettait ma femme dans un état pareil…
Vexé, je me reconcentrai sur le film avec tout de même l’envie de quitter cette salle.
Je sentis alors la main de ma femme qui me prit le bras et à mon oreille ce murmure:
— J’aurais aimé te demander quelque chose"
— Dis-moi
— Non, laisse tomber
J’insistai alors:
— Dis-moi
— Non, tu vas te mettre en colère
Je préférai alors ne plus insister et finir de regarder ce foutu film, mais quelques secondes plus tard, ma femme murmura "je n’en peux plus".
Excédé, je lui demandai alors:
— Bordel, tu meurs d’envie de le dire, alors dis-le !
Elle se lança enfin:
— Tu vois ce type là-bas, je suis sûre que si je me lève et que je quitte la salle, il en fera de même.
— Et alors ?
— J’ai très envie de tester…
Mon sang se glaça et je préférai mettre un terme à cette discussion.
Quelques petites minutes plus tard et alors que ma femme, toujours dans le même état, n’était toujours pas revenue dans le film, je me tournai vers elle et, me penchant vers elle, je lui lançai:
— Dégage !
— Comment ?
— Je t’ai dit de dégager, c’est clair !
Alors qu’elle ne disait plus rien, comme interloquée, je lui intimais à nouveau de "dégager"
Elle se leva, laissant son sac et son manteau et se dirigea vers la porte.
A mon grand étonnement, l’homme se leva et quitta à son tour la salle.
N’y tenant plus, je finis par quitter à mon tour la salle et retrouvai ma femme qui discutait avec ce type.
L’homme pénétra dans les toilettes pour homme et après quelques secondes d’hésitation, son regard croisa le mien, elle s’y engouffra à son tour…
Je lui lançai alors:
— Je t’attends à la voiture, fais vite…
Une bonne demi-heure d’attente me parut interminable, lorsqu’elle s’installa dans la voiture. Je démarrais et nous sommes rentrés sans un mot, son visage portait encore les rictus de ses frasques…
Lorsque nous sommes arrivés à la maison, nous sommes allés directement dans la chambre. Assis sur le lit, je la regardais alors relever sa jupe. Son collant avait été arraché et sa petite culotte était trempée. Cet homme avait de plus répandu sa semence sur ses fesses.
Ma femme s’approcha de moi, me sourit et défit mon pantalon qu’elle fit glisser jusqu’à mes genoux. Elle se pencha et entreprit de me sucer.
Après quelques minutes, je n’en pouvais plus et je jouis dans sa bouche et elle avala tout.
Elle qui s’était toujours refusé de faire ça, n’en laissa pas échapper une goutte.
Notre vie de couple a, après une telle aventure et, bizarrement, reprit son cours et nous n’avons d’ailleurs jamais évoqué ce qui s’était passé ce soir-là…