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Fabienne un soir hors du temps – Chapitre 1




Voici une histoire qui mest arrivée à 20 ans. Etudiant en BTS, je logeais à cette époque dans une chambre chez lhabitant, mes parents nayant pas les moyens de payer pour un appartement. Ma meilleure amie à cette époque étudiait dans la même ville que moi mais dans une école privée en BTS également. Elle habitait un appartement dans un immeuble ancien en bas du centre ville alors que moi jhabitais un quartier extérieur près de mon lycée à lautre bout de la ville.

Nous avions pris lhabitude de nous retrouver le soir pour sortir car nous nétions pas forcément des étudiants assidus. Cest donc moi qui la rejoignais le soir en prenant le bus après les cours et nous trainions ainsi dans les bars de la ville où nous finissions souvent en discothèque. Mon amie Karine était une très jolie fille, 1m66, 54kg, les yeux marron et de longs cheveux bruns. Moi 1m80, 75 kg, les yeux bleus et des cheveux mi longs comme beaucoup de garçon de la fin des années 80 début 90.

Duo de choc écumants les bars ou se retrouvaient militaires ou étudiants, elle a très attiré quelques jeunes hommes qui pour la séduire, nous offraient régulièrement des verres, resto ou entrées en boite. Nous profitions de ces cadeaux sans gêne, rentrant toujours tous les deux le soir. Je la laissais une fois sa porte refermée ou de temps en temps après un dernier verre. Je rentrais alors chez moi à pied marchant pendant environ 1h.

Un soir après une de nos virées nocturne en plein hiver, je la raccompagnais chez elle comme à notre habitude, je commençais à avoir une envie pressente tout comme Karine. Il faut avouer que nous avions bu pas mal de bière ce soir là. Nous pressions donc le pas et elle mavait interdit de me soulager dans un endroit discret comme tout mec aurait fait à cet instant car elle ne souhaitait pas rester seule dans la rue à cette heure tardive et avec elle aussi une forte envie daller aux toilettes. Cest donc dun pas rapide que nous arrivons chez elle, elle se précipite aux toilettes et moi je dandine dans la cuisine en me retenant. Mais la cloison étant mince lentendre uriner ne fait que décupler mon envie et arrive ce qui me pendait au nez je ne peux me retenir et mouille mon jean. Je ne vous raconte pas la honte qui me prend et létonnement de Karine à sa sortie. Me voila dans la cuisine le pantalon trempé et une flaque au sol. Je bafouille, je ne sais plus où me mettre. Connaissant bien lappartement, je sorts de suite de quoi tout nettoyer. Une fois le sol lavé, je dis à Karine que je vais rentrer chez moi.

— Tu ne vas pas rentrer comme ça, je vais te passer un pantalon.

— Je veux bien merci.

Je file donc sous la douche me laver. Elle passe par la porte une de ses culottes et un jean. Je nai pas le choix donc si jarrive à enfiler la culotte, il nen est pas de même pour son jean. Je lui explique le problème, je ne peux remonter plus haut que mes cuisses. Elle me demande alors de sortir pour en essayer dautres. Après 5 essais infructueux de jeans ou autre, elle me propose une solution qui me fait me sentir encore plus mal à laise. Comme je ne peux remettre mon jean, elle me propose une jupe. Karine me tend alors une jupe avec une ceinture élastique. Je ne suis plus en culotte de fille blanche lais en jupe ce qui fait rire Karine à pleine gorge. Je fini par en rire aussi mais je pense aussi au fait que je doive traverser la ville habillé ainsi. Il est tard mais je croise toujours des gens ou des voitures en rentrant chez moi. Je nai pas le choix pour être à lheure le lendemain ayant été convoqué par la CPE à cause des mes absences répétées avant le début des cours.

Karine me dit alors bon vu que tu dois rentrer, enfile ce collant car avec les 5° quil fait dehors tu risques de geler.

— Tes sure ?

— Comme tu veux mais en jupe tu va avoir les jambes à lair.

Jenfile donc le collant et prend congé de Karine en lui disant que je lui ramène ses affaires demain.

— Tu me ramène la jupe, la culotte quand tu lauras lavée et le collant il est trop grand pour moi celui la donc pas obligé.

Je rigole et fini par partir et me retrouver ainsi dans la rue. Jarrive à rentrer chez moi en évitant de croiser des piétions et dans la peine ombre, je passe pour une fille pour les automobilistes.

Le lendemain après les cours, je redescends chez Karine avec dans un sac ses affaires lavées. Arrivée chez Karine je la retrouve avec Pierre un militaire avec qui nous sortons souvent et qui est très cool même si il est évident quil rêve de sortir avec elle. Nous avions prévu de manger chez Karine avant de sortir. Pierre a ramené du vin et des bières et moi des pâtes et des lardons pour faire le repas. Nous attaquons rapidement les bières, puis le vin en mangeant. Karine sous linfluence de lalcool commence à raconter notre soirée et surtout la fin chez elle. Pierre éclate de rire et dit quil aurait adoré voir ça et surtout me voir en jupe, Karine insistant sur le fait que cela mallait très bien. Le sujet revient régulièrement le long du repas, Karine et Pierre insistant pour que je me remette en jupe. Un peu saoul je fini par accepter de repasser la jupe et le collant. Karine demande alors à Pierre de rester dans la cuisine et nous nous enfermons dans la chambre pour me changer. Alors que jenfilais la jupe par-dessus mon boxer, Karine me dit ben non ce nest pas comme ça et elle me redonne la culotte. Je passe la culotte et le collant et Karine fouille dans sa commode. Quand elle relève la tête elle me tend un haut.

— Juste pour assortir avec la jupe.

— Ok, de toute façon je suis plus à ça près.

— Superbe ça te va très bien

Je me regarde alors dans le miroir, la jupe me moule les fesses, le collant me fait des jambes fines et le t-shirt ample pour Karine est moulant pour moi.

— Tu veux essayer un soutien gorge juste pour parfaire la tenue ?

— Ok

Cinq minutes plus tard, nous entrons dans la cuisine Karine devant moi demande a Pierre de fermer les yeux le temps que je rentre. Il est très surpris de me voir.

— Tu étais comme ça hier ?

— Non juste le bas, cest Karine qui a voulu compléter la tenue ce soir.

— Elle a eu raison, et comme tu las dit Karine la jupe lui va bien.

— Oui super foutez-vous de moi.

— Non je tassure

Je dois avouer que me voir dans le miroir avant de sortir de la chambre ma surpris et jai aimé mon reflet mais je nose lavouer.

— Si je te voyais de loin je te prendrais pour une fille.

— Oui bien sur je vais te croire.

— Si, Pierre a raison il ne faudrait pas grand-chose, un peu de maquillage, te coiffer différemment et on pourrait te prendre pour une fille.

Pour faire passer ce moment ou des sentiments contradictoires me traversent, je propose de boire un verre. On sinstalle à table et nous finissons la deuxième bouteille de rosé. Ce la fait maintenant une heure que je suis habillé en fille avec Pierre et Karine et je fini par oublier ma tenue et nous continuons notre diner. Le repas terminé, la troisième bouteille finie, nous navons plus rien à boire et nous sommes bien saouls maintenant.

— Un dernier verre en ville Karine ?

— Je suis partante et toi Fabrice ?

— Ok, juste le temps de me changer et on y va.

— Nan tu restes comme ça t es super.

— Si tu reste comme ça je me mets aussi en jupe pour que tu ne sois pas toute seule.

— Super Karine comme ça jaurais deux filles avec moi.

— Je ne vais pas sortir comme ça

— Je te maquille un peu et tu verras personne ne se rendra compte.

— Allez Fabrice, chiche, Karine enfile une jupe comme toi.

Face à leurs insistance, je fini par céder et Karine minstalle pour une séance de maquillage. Les yeux, du fond de teint pour masquer ma barbe légère, et un peu de rouge à lèvre pour finir. Elle file se changer et me laisse seule avec Pierre.

— Là je ne vois pas la différence, tu fais vraiment fille.

— Arrête tes conneries.

— Non je tassure

— Je suis prête, vous venez ?

Nous enfilons nos manteaux et jen profite pour je ter un il dans la glace, en effet je ne reconnais pas mon reflet. La première seconde jai cru y voir une fille. Nous sortons donc de limmeuble et nous dirigeons vers un bar du centre. Nous installons à une table au fond de la salle. Lendroit est dans la peine ombre et je me détends un peu en me mettant dans le coin de la banquette à labri des regards des personnes dans la salle. La tension qui me tiraille depuis que nous avons quitté lappartement redescend avec le premier verre. Mais comme souvent après 3 bières, jai envie de faire pipi, je me dirige vers les toilettes suivi de Karine qui a la même envie. Elle mattrape par le bras au moment ou jallais entrer dans les toilettes des hommes. Jai failli me griller, elle rigole en entrant dans les toilettes. Nous rejoignons Pierre en rigolant, cette fois je suis totalement à laise et oublie ma tenue qui me semble normale.

— Jai envie daller danser, et toi Pierre ?

— Ouais super

— Je ne sais pas trop, je me vois pas en boite comme ça

— Aller tu as fait le plus dur, en plus y a encore moins de lumière en boite.

— Aller on y va jai trop envie de méclater.

— Bon, ok de toute façon je nai pas le choix, tu as les clefs et mes fringues sont chez toi.

— Super promis je vous lâche pas les mecs ne viendront pas vous faire chier.

— Merci Pierre

Nous entrons sans problème en boite, Pierre paye et les filles entre gratuitement en semaine.

— Tu vois même à lentrée en pleine lumière personne na vu que tu étais un mec.

— Ok, super je passe pour une fille jen suis ravi.

Rapidement Pierre et Karine vont danser tandis que jessaye de ne pas me faire remarquer. Mais voila la série de slow qui commence et comme il y a peu de fille présente, un mec fini par venir vers moi. Karine intervient à temps et me traine sur la piste.

DJ annonce le dernier slow et je remercie Pierre de mavoir sauvé des autres mecs. Pendant que Karine a dansé avec plusieurs garçons.

— Merci, mais du coup tu nas pas pu danser avec Karine.

— Nan ce nest pas grave tu danses bien aussi.

— Je suis plié de rire.

Nous finissons par danser jusqu’à la fermeture et cest fatigué que nous rejoignons lappartement de Karine.

— Karine, Pierre na pas pu danser de slow avec toi du coup vu quil a dansé avec moi toute la série.

— Oui et je le lui avais promis, on va en danser un à lappartement.

— Ok

— Super

Arrivé, je me sers un grand verre de jus de fruit et cherche le slow pour Pierre et Karine, je fini par trouvé et les invites donc à danser tous les deux. Un deuxième senchaine, au troisième, Karine me tend la main et se positionne entre Pierre et moi, Je suis derrière elle, et Pierre devant. Elle pose tours a tours sa tête sur son épaule ou sur mon torse, nous nous laissons aller au son de la musique. Karine embrasse Pierre tendrement et me retient au moment où je veux mécarter pour les laisser tous les deux. Elle se tourne vers moi et membrasse aussi. Son baisé est tendre, ses lèvres douces, et embrasse de nouveau Pierre, elle se tourne, et au moment ou je vais lembrasser, elle sesquive et cest Pierre que jembrasse. Je men rends compte immédiatement mais je ne sais pourquoi je nai pas envie darrêter se baiser que Pierre semble apprécier aussi. Lorsque je mécarte, il me serre contre lui fortement et membrasse de nouveau, je laisse sa langue caresser la mienne, je sens ses mains qui descendent le long de mon dos pour se poser sur mes fesses, cette une sensation nouvelle et très agréable.

— Tu es trop belle comme ça me glisse til à loreille.

— Merci

— Je lai dit a Karine quand nous dansions que tu me faisais beaucoup deffet.

Javais avoué lors dune discutions avec Karine que si loccasion se présentait je pourrais peut être sortir avec un garçon Le fait dêtre habillé en fille et traitée en fille toute la soirée mavais rendue sensible et tomber mes dernières retenues Pierre ne me lâchait pas, continuant à membrasser et caresser mes fesses, je commençais à être excité ce quil remarqua très vite à travers ma jupe. Je se sentais également son sexe enfler, dans son jean. Il me retourna et se frotta pour contre mes fesses, je me penchais pour mieux sentir son sexe a travers nos vêtements.

— Je pense que toi et Pierre avez besoin dêtre seuls

— Tu vas faire quoi ?

— Pierre mas donné de quoi me payer une chambre pour ce soir.

— Vous aviez tous prévu ce soir tous les deux ?

— Un peu, en faite je lui avais déjà raconté lhistoire de la jupe car on cest vu très tôt laprès midi.

— On en parlera plus tard je pense que tu as autre chose faire.

Elle nous embrassa avant de quitter lappartement. Maintenant seule avec Pierre, il me poussa contre le lit, sallongea à côté de moi et passa sa main sous ma jupe, mon sexe navait jamais été aussi dur, ses baisers me faisaient totalement fondre. Jusqu’à présent je navais pas fait un seul geste vers lui a part recevoir ses baisers, mais ma main alla naturellement caresser son sexe. Pendant ce temps cest dans ma culotte que sa main sattardait, de mon sexe à mes fesses, puis je sentis ses doigts caresser ma raie ce qui eu pour effet de me faire gémir. Il se mit sur le dos, ouvrit son pantalon et en sortit son sexe je le regardais, nosant rien faire.

— Vas y ma belle suce moi

— Allez dépêche toi tu en meurs denvie

— Je nai jamais fait ça avec un mec

— Je sais Karine ma dit que tu nétais pas contre lidée de sortir avec un mec et quand elle ma raconté votre fin de soirée de hier ce la ma excité. Surtout quand elle ma dit que tu étais superbe en jupe, javais envie de te voir comme ça

— Donc vous mavez chauffé toute la soirée pour qua je me retrouve avec toi.

— Pas pour ça au début mais quand tu es sortie de la chambre, je tai trouvée superbe, et Karine sen est tout de suite rendu compte.

— Vous mavez piégée

— Un peu mais avoue que tu aimes ça.non

— Jaime tes caresses tes baisers

— Alors laisse toi aller, viens me sucer.

Son sexe dressé mattendait, je tendis la main commença à le caresser, doucement, timidement je tenais un sexe de mec pour la première fois. Il força ma tête à venir vers son sexe, j nosais encore ouvrir la bouche mais fit de petits bisous. Puis j ouvris la bouche, je gobai son gland, puis ce fut toute sa queue qui entra dans ma bouche. Je fis de lent vas et viens qui firent gémir Pierre, son sexe continuait a gonflé, jaimais cela. Chaque fois que javais pensé à un garçon je le voyais me sucer. Là le rôle était inversé et jy prenais du plaisir.

— Continue ma chérie cest trop bon

— Hummmmmmmmm

Je nentendais ces mots féminin, juste le plaisir que je lui donnais avec ma bouche et celui quil me donnait en me caressant la croupe. Ses mains dans ma culotte, ses doigts caressant ma rondelle, je me tortillais de plus en plus ce qui lui fit comprendre que jétais prêté. Il insinua un doigt dans mon intimité je ne cherchai pas à le refuser, il commença doucement a me dilater

— Humm oui, cest bon continu, oh oui

— Tu aime mon cur

— Oh oui ces bon

— Jai envie de toi tu es trop belle

Je remontai vers le visage de Pierre pour lembrasser de nouveau. Il me mit sur le dos remonta ma jupe et fit descendre le collant et ma culotte, je frémissais, mon désir était de plus en plus fort. Lorsque je senti son sexe contre moi, je me crispais, il entre doucement, prenant le temps que mon cul shabituer a son sexe. Enfin il me pénétra entièrement. La douleur fit place a une douce chaleur qui augmenta avec ses vas et viens. Mon plaisir allait croissant, et à mon tours je gémissais et ça de plus en plus en plus. Je commençais à jouir lorsquil explosa en moi et se laissa tomber sur mon dos.

— Cétait trop bon ma chérie

— Oh oui

— Je ne tai pas fait trop mal ?

— Non je ne pensais pas que jallais aimer ça.

Epuisée, pleine et heureuse, je lembrassais de nouveau, nous nous sommes caressé avant de tomber de sommeil et de nous endormir dans les bras lun de lautre. A réveil, jétais seule dans lappartement, Pierre avait du repartir à la caserne. Je me préparais un café quand Karine rentra.

— Bonjour miss

— haha très drôle ; Bonjour Karine

— Alors ça va ?

— Oui très bien et toi bien dormis ?

— Très bien une nuit calme, pas comme toi je suppose.

— Un café ?

— Oui, je vois que tu ne quitte plus ta tenue.

— Oh désolé je men suis même pas rendu compte, je voulais dabord me prendre un café.

— Tu as passé une bonne nuit ?

— Oui excellente.

— Tu as eu du succès hier soir, Pierre nest pas le seul à qui tu as fait de leffet en boite plusieurs mecs te mataient.

— Je nai pas trop vu

— Trop occupée dans les bras de Pierre ?

— En tout cas merci il ma raconté un peu tu as bien joué pour me faire me mettre en jupe.

— Ça na pas lair de te déranger plus que ça ?

— Je dois avouer que jaime bien.

— Et tu me la dis, quand on avait parlé de relation avec une personne du même sexe que nous que Pierre serait le genre de garçon qui pourrais te plaire.

— Oui mais je navais jamais envisagé de faire lamour avec lui

— Ben écoute quand on a parlé de notre dernière soirée, il ma dit quil avait toujours rêvé dun mec habillé en fille.

— Oui mais tu as tout fais pour que je me retrouve avec lui.

— Tu men veux ?

— Non, jai pris beaucoup de plaisir, je ne pensais pas aimer autant faire lamour avec un homme. Mais ce nest pas dans le rôle dune fille que je lavais rêvé.

— Tu aurais préféré être le mec ?

— Maintenant je te dirais que non.

— Bon alors tout va bien ?

— Oui

Je me penche vers elle lui fait un bisou.

— Merci.

— Bon tu me le sers ce café ?

— Oui avec plaisir.

— Dis tu fais quoi ce matin ?

— Pour les cours cest raté et vu mon rdv de hier là je vais choper une exclusion donc je nai rien de prévu et toi ?

— Pas envie daller en cours aujourdhui je suis crevée

— Je dois avouer que moi aussi

— Bon file sous la douche je te prépare un truc, on se repose un peu et ensuite on sortira.

— Ok jen ai bien besoin.

Karine me donna un short de sport très moulant sur le quel jenfilais un débardeur, nous nous sommes couché collé lun à lautre. A midi lorsque nous sous sommes enfin levée, le ciel était bleu un doux soleil dhiver avait fait place au vent et au crachin de la veille.

— Ça te dit un tour en ville ?

— Oui pourquoi pas.

— Lève-toi, on va shabiller.

— Ok

Je me lève et quand je prends mon tas de vêtements que javais enlevé la veille, Karine me regarde

— Ah ben non pas cela

— Tu rigoles hier ok cétait sympa jai aimé porter une jupe et me sentir féminine avec Pierre mais là on va aller en ville en plein jour.

— Et alors hier personne na vu que tu étais un garçon.

— Il faisait nuit.

— Laisse moi faire, jai envie de passer la journée avec toi en copine. Et puis aujourdhui tu es plus fille que moi, qui a été comblée hier soir ? tu me dois bien ça.

— Tu sais que je peux rien te refuser, alors vas y fait ce que tu veux.

De nouveaux en jupe moulante grise, en collant et ayant changé la culotte pour un tanga qui me rentrait dans les fesses, jenfilais en haut un pull rose. Karine inséra 2 paires de collant roulé dans mon soutien gorge et on passa au maquillage. Il dura presque une heure. Lorsque je fût prête, Karine alla shabiller en minterdisant de regarder dans la glace avant quelle arrive. Le supplice dura 30 min mais quand elle entra, elle portait une robe longue près du corps et était maquillée.

— Viens ma belle on va se regarder.

— Waouh

— Oui en effet

— Je ne ressemble plus du tout à un garçon.

— Oui tu es très jolie.

— Bon on y va tu es rassurée Fabienne.

— Fabienne ?

— Ben oui je ne vais pas tappeler Fabrice en pleine rue.

— Ok daccord va pour Fabienne.

Nous avons a plusieurs reprise fait des sortis ensemble en copines, Pierre et moi somme resté un an ensemble, il est arrivé que très rarement que je ne sois pas Fabienne lors de nos nuit damour. Karine et moi sommes restés en contact pendant quelques années par la suite mais la vie nous a séparées. Je continu à avoir des relations avec des hommes, je rectifie Fabienne a des relations avec des hommes.

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