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Ma collocation avec une femme mariée – Chapitre 2




La journée était interminable, comme chaque premier jour de l’année scolaire. On nous a juste présenté l’école et j’ai fait la connaissance de quelques camarades de classe. Cette dernière est d’ailleurs uniquement masculine. Ce nest pas cette année que je vais me dépuceler… Car oui, je suis encore puceau.

Alors que je faisais ce bilan dans ma tête lors du chemin du retour, je commence à déprimer… Que dans mon lycée, toute ma classe avait déjà eu 68 copines chacun, cette année. Et moi ? Que dalle ! Tout ça à cause du destin qui aimait me jouer des tours.

Et aujourd’hui encore il se moque de moi, il ne me met aucune fille sous mon nez à part une bombe nucléaire qui est déjà mère et mariée. Plus frustrant c’est pas possible.

Mais malgré tout une sorte de force se réveille en moi, une force qui me pousse à rejoindre Laurine le plus rapidement possible !

Je cours retrouver mon logement le plus rapidement possible. Tout le monde se retourne, se demandant qui est cet abruti qui nous a bousculés. Comme ce quartier est un quartier bourge voir un type qui ne se tient pas droit et qui ne respecte pas toutes leurs conventions sociales doit être plus que perturbant pour eux.

Une fois arrivée devant la maison de Laurine, cette dernière m’ouvre la porte. Elle porte la même robe que ce matin, normal. Je suis épuisé, je respire bruyamment, je transpire. Laurine ne permet même une remarque.

— Oula tu as l’air crevé Carl !

— Ouais j’ai couru !

— Mais… pourquoi ?

— Euh… Parce… Parce… Parce que je suis quelqu’un de sportif ! Je dois travailler mon cardio à la première occasion !

— J’ai affaire à quelqu’un d’endurant alors !

— Euh… Ouais !

Elle insinue quoi par-là ? Je me fais des idées il faut que j’arrête ! Je remarque que la télé est allumée, je connais cette émission : c’est une télé-réalité débile où des mannequins doivent faire un the flor is lava dans un volcan et ceux qui perdront… Mourront…

Le temps que je passe à la cuisine prendre un truc à bouffer, Laurine s’est déjà assise devant le téléviseur. Je m’assois à côté d’elle.

Son regard est concentré sur le programme idiot pendant que le mien est concentré sur le corps de ma voisine. Elle ne me remarque pas encore et tant mieux. Voir ses mamelons se gonfler, se mouvoir, à chaque respiration. Ça y est Popol se fait remarquer, il devient même ultra envahissant. Même de profil ses missiles sont énormes, sa robe moulante aide aussi beaucoup au spectacle. Je crois même qu’ils sont plus gros que son crâne.

Bon stop ! Je vais me faire griller si ça continue ! Mais… J’ai bavé non ? Si, j’ai bavé ! Et Popol qui s’expose de plus en plus à travers mon jean ! Bon calme toi Carl, et regarde la télé !

L’émission montre deux filles en maillot qui se cramponnent à un rocher dans le volcan. Elles ont des ballons en plastique à la place des seins, rien à voir avec ceux de ma propriétaire composés de pure chair et de sang.

— Tu as vu, elles ont des gros lolos !

— Euh… Pardon ?!

— Allez dit pas que les gros lolos ça ne te laisse pas indifférent !

— Euh… Bah… Pas ceux-là non !

— Pourquoi donc ?

— J’aime pas le plastique si tu vois ce que je veux dire.

— Ah tu préfères les gros seins naturels toi mmh ?

— Ouais un peu comme euh… J’ai pas d’exemple !

— Comme moi.

— Euh… Hein !

— Tu préfères les gros seins naturels comme les miens non ?

— Ouais, on peut dire ça… Hum… Mais c’est pas pour vous…

— Non non, c’est juste pour te donner un exemple, tu n’es pas un pervers ça se voit ! Sinon tu m’aurais déjà sauté dessus, vu ma corpulence !

Elle rigole. Popol commence à transpirer du crâne, et se tend de plus en plus.

Le soir arrive, on mange le dîner, et je pars me coucher tôt. Demain les cours commencent vraiment.

Je fais la bise à Laurine et je monte dans la chambre. Je m’endors vite, les salles bruyantes de la rentrée m’ont vite fatigué.

Je me réveille en plein milieu d’un rêve érotique avec Laurine comme protagoniste. Après un soupir de déception, je regarde l’heure : 23 H 00. Est-ce que Laurine dort ?

Je sens que Popol est tendu, je regarde sous la couette… Je n’ai jamais vu Popol avoir cette taille !

Il doit au moins avoisiner les 20 centimètres ! Je ne suis plus maître de mes mouvements, je dois exploiter cette gaule avec Laurine ! Elle doit être dans sa chambre ! Je sens que je vais faire une connerie ! J’enfile un caleçon rouge qui moule ma volumineuse bite ! J’ai vraiment l’air dénudé dans ce caleçon serré ! Je ne porte rien de plus !

Je sors de la chambre, me mets devant la porte de celle de la superbe femme qui cohabite avec moi.

Je toque. Mais qu’est-ce que je suis en train de faire ! Me voilà devant la porte de ma logeuse en caleçon avec ma tonitruante gaule !

Elle ouvre…

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