A la fin de sa première semaine de stage, le vendredi midi, Christine mit son sac dans la voiture pour reprendre la direction de Bordeaux. Il faisait toujours aussi chaud et elle ne portait qu’une robe légère à bretelles fines sans rien dessous.
Elle était « sage » avec les hommes depuis le mercredi soir, mais sage ne signifiait pas que toute seule… dans la moiteur de sa chambre d’hôtel…
elle décida de prendre l’autoroute bien que n’étant pas spécialement pressée de rentrer chez elle, de toutes façons son mari ne l’attendrait que le soir, le séminaire étant supposé se terminer vers 17 heures.
Tout en écoutant distraitement la radio elle conduisait en repensant à sa semaine et sa main gauche remonta et se posa sur son sein gauche dont elle se mit lentement a masser le globe charnu du bout des doigts, remontant sur le mamelon qu’elle mit très vite en érection au travers de sa petite robe, l’étirant doucement, le pinçant parfois…
mal à l’aise elle changea de main et tirant sur son décolleté elle dégagea ses deux seins dont elle s’occupa avec application de la main droite, baissant parfois les yeux et souriant en voyant l’état de ses seins gonflés et tendus de désir.
Délaissant ses seins sa main glissa sur ses cuisses et remonta entraînant le tissu avec. Baissant les yeux elle ouvrit les cuisses regardant sa motte lisse et renflée, déjà humide qu’elle se mit à câliner avec le bout des doigts aussi puis avec la paume de la main qu’elle pressait contre son ventre enfonçant profondément ses doigts en elle en ondulant doucement sur le siège la respiration courte et rapide. Avisant une station service avec une aire de repos elle s’y engagea et s’y arrêta un peu à l’écart. S’appuyant sur le dossier et ouvrant plus largement les cuisses elle entreprit de se faire plaisir en regrettant d’avoir laissé ses toys a la maison et soupira sans se retenir quand le plaisir éclata en elle remontant dans ses seins… ses doigts étaient trempés et elle les lécha lentement avant de finir de les essuyer avec un kleenex. Elle alla faire le plein et entra dans le snack pour y prendre un sandwich au comptoir, s’insinuant entre une famille a sa droite et deux routiers à sa gauche. Sa chatte et ses cuisses étaient encore trempée, elle adorait se sentir comme ça et mangea de bon appétit. De temps en temps les routiers lui jetaient un coup d’il, le regard glissant sur les tétons encore tendus et sur son corps et elle entendit l’un des deux murmurer
— Ca sent la chatte en feu, crois moi elle doit être bonne !
puis ils payèrent et sortirent rejoindre leur camion. Elle observa le camion dans lequel ils montaient puis régla à son tour quelques minutes après eux et sortit aussi rejoindre sa voiture. Se sachant observée par les deux hommes du haut de leur cabine, elle alla vérifier ses pneus, s’accroupissant devant eux les cuisses ouvertes ou leur tournant le dos et se penchant très en avant, ne sachant même pas s’ils pouvaient voir mais le faisant quand même. Puis elle alla se prendre un café au distributeur et revient le boire dans sa voiture sa portière ouverte en les surveillant du coin de l’il. Au bout d’à peine une minute ils descendirent et tout en discutant se dirigèrent vers la station stoppant innocemment à quelques mètres de sa voiture tout en continuant à discuter entre eux. Elle était assise les pieds posés à plat a l’extérieur de sa voiture et innocemment ses cuisses s’ouvrirent les dévoilant de plus en plus haut et le renflement lisse de son abricot et ses petites lèvres proéminentes. Ils mataient discrètement, elle sentait le feu envahir son ventre et elle ouvrit et ferma plusieurs fois ses cuisses devant les deux hommes espérant secrètement que…. mais ils ne bougèrent pas alors en désespoir de cause, elle s’assit normalement à son volant, remontant complètement sa robe sur son ventre, ferma sa portière et démarra en se disant que c’était bien dommage…
Elle décida de sortir de l’autoroute et se présenta a la barrière du péage à la sortie suivanten. A celle ci deux jeunes faisaient du stop avec un pancarte marquée Tours. Elle sarrêta et leur proposa et elle leur proposa de leur faire faire un bout de route puisqu’elle passait de toutes façons près de cette ville. Ils acceptèrent de suite. Un monta a ses cotes l’autre derrière et ils repartirent.
Ils étaient étudiants tous les deux, bruns, et sentaient un peu la transpiration ce qui la fit frémir. Ils devisaient de tout et de rien, des études, de la chaleur et son voisin, tourné vers elle la regardait une lueur de convoitise dans les yeux matant les cuisses presque entièrement découvertes de la conductrice.
Tout en conduisant et se plaignant de contractures elle se mit a se masser la cuisse gauche Tout en les invitant, l’un à lui masser les épaules et l’autre la cuisse droite ce qu’ils firent après une très brève hésitation
Son voisin de droite lui massait la cuisse lentement de haut en bas et de bas en haut, remontant la tunique très haut, les rares fois qu’il lui glissait la main entre les genoux elle les ouvrait mais elle le sentait hésitant a remonter entre…
l’autre derrière, penchée sur sur le siège lui massait les épaules, descendant sur les bras et remontant sur les cotés de son buste. Par le décolleté il avait une vue directe sur les seins et plus bas sur le renflement lisse de la chatte offerte. Discrètement, parfois il allait se toucher la queue, la vue qu’il avait le faisait bander et il se demandait comment cela allait se terminer… l’autre avait bien envie de remonter sa main entre les cuisses et tâter aussi cet abricot offert sans pudeur mais….. ils échangeaient des coups d’il, elle les excitait. Ils la sentait prête a beaucoup de choses mais comment engager les hostilités?.
Ce fut elle qui les engagea en prenant une des mains de celui qui était derrière pour la glisser dans l’échancrure de son décolleté et la plaquer sur un de ses seins en soupirant qu’il pouvait aussi s’occuper d’eux. Sans hésiter il glissa sa seconde main et commença à les masser à pleine paume tout en en excitant tes tétons érigés qui gonflèrent encore plus. L’autre hésitait encore alors elle lui prit la main et sans un mot la posa sur sa vulve enflammée, appuyant dessus et finissant par soupirer qu’il fallait aussi s’occuper de ça….. puis elle se tortilla pour faire glisser les bretelles de sa tunique sur ses bras et se retrouver torse nu se faisant malaxer les seins
les doigts de son voisin jouaient une samba endiablée sur son clitoris tendu et régulièrement venait s’enfoncer dans son fourreau trempé lui faisant pousser des petits soupirs en ondulant
apercevant une entrée de champ sur le bord de la route juste a coté d’un bois elle s’y engagea sans hésiter fit une dizaine de mètres, coupa son moteur et se laisse aller sur son siège en soupirant. Son voisin aussitôt se pencha sur les cuisses en les lui ouvrant plus et commença à la lécher en soupirant qu’elle était brûlante et elle répondit qu’elle voulait être leur catin. Ils sortirent tous les trois elle fit entièrement glisser sa tunique pour se retrouver nue et partirent à l’orée du bois. Tout en marchant derrière elle ils se préparaient et le 1ere enfilait déjà une capote sur sa queue tendue. La poussant il la fit mettre a 4 pattes la croupe offerte, s’agenouilla derrière et d’une seule poussée prit entièrement possession de la chatte offerte en la faisant râler de plaisir… l’autre se présenta a la bouche pour se faire sucer et elle attrape goulûment le membre tendu.
Elle le sentait profondément aller en elle tapant le fond de son ventre, dilatant ses parois humides, parfois doucement parfois avec force et a coups plus secs la basculant encore plus sur la queue qu’elle suçait avec en bruit de fond les voitures qui passaient sur la route…
elle prit son pied assez rapidement en râlant les suppliant de continuer puis invita son partenaire de derrière a essayer son petit trou…. il se pencha sur son dos…
— Vous voulez être sodomisée?
elle gémit
— hummmmm oui.. et être prise par devant en même temps!
elle sentit instantanément leur excitation monter d’un cran. il se dégagea lentement de sa chatte, saliva sur la rondelle offerte, y posa le gland et lentement commença a appuyer… elle était étroite mais il la sentait pousser de l’autre coté, désireuse de le recevoir, il voyait la rondelle s ’ouvrir et avaler son gland, elle gémit
— Continue ! enfonce tout !
d’une poussée régulière il lui rentra entièrement la queue ds les fesses secouant la tête
— Oh putain c’est bon! Hummmm ton cul tu sens bien comment je te le baise ? Tu la sens tu aimes ?…
sans attendre une réponse il bascula sur le coté puis sur le dos avec elle, lui leva les genoux en appelant son copain qui passa devant sans hésiter et qui a la vue du spectacle offert n’hésita pas une seconde à enfoncer sa queue ds la chatte offerte, rendue plus étroite par la présence de la queue tendue dans ses fesses
ils la fourraient en poussant des han de bûcheron, à coups profonds et réguliers, la faisant se tortiller entre eux laissant fuser des soupirs des petits cris, des mots crus parfois sans suite. Elle se sentait possédée a fond, 4 mains lui massaient les seins, des doigts s’enfonçaient parfois dans sa bouche; elle gémissait et exprimait son bonheur d’être ainsi remplie et baisée jusqu’à en jouir tétanisée entre eux le corps en nage…
mais les deux voulaient la totalité de cette femme offerte, ils voulaient tout et changèrent de position voulant l’un la profondeur de la croupe et l’autre la chatte puis la bouche gourmande qu’il se mit a baiser furieusement
leur jouissance commune éclata dans des râles de plaisir non contenu tandis que le sperme jaillissait en jets drus et chauds dans sa bouche
tout en fumant une cigarette et en reprenant leur souffle, allongés tous les trois, elle entre eux, elle les laissait ouvrir ses cuisses et flatter sa motte comme ils l’entendaient, s’offrant aux mains curieuses pleines de doigts qui s’enfonçaient alternativement dans sa grotte et dans son cul. Ils étaient graves et sérieux, elle souriante et humide, ondulante comme une catin… penchés sur elle ils lui tétaient les seins avec vigueur le faisant soupirer de bonheur même quand elle sentait les dents serrer ses mamelons érigés.
Elle se sentait femelle et catin en pleine nature, en pleine journée dans le bruit des voitures qui passaient non loin d’eux. En soupirant elle s’étira et regarda sa montre, il était temps de repartir. Ils se relevèrent et elle les regarda se rajuster restant, elle, nue comme la main. Ils arrivèrent à l’orée du bois et s’immobilisèrent. Dans le chemin ou ils s’étaient garés, un tracteur arrivait lentement vers eux conduit par un homme au visage rubicond. Elle sentit une main se poser sur ses fesses tandis qu’une voix susurrait à son oreille
-Il n’a jamais vu une aussi belle femme que toi je parie…
Trempé de sueur et sifflotant, le conducteur du tracteur allait doucement dans les ornières en pensant à sa douche du soir. Il poussa un juron et pila net. Dans le chemin devant lui une femme nue venait dapparaître. Il écarquilla les yeux de surprise. Les cheveux mi longs sur ses épaules, les seins bien ronds, hauts perchés, la taille bien marquée, des hanches de porteuse, une chatte lisse… renflée…
elle marchait vers lui le cur battant la chamade en se déhanchant un peu. Elle se savait observée, d’abord par ses amants mais aussi par cet homme dont les yeux montaient et descendaient de ses seins au renflement impudique de son ventre, la bouche ouverte mais le pantalon certainement tendu. Elle lui sourit lui disant bonjour et continua son chemin le faisant se retourner sur elle pour mater ses fesses rondes et fermes, profondément fendues. Il secoua la tête et aperçu les deux jeunes hilaires qui arrivaient et les traita mi figue mi raisin de beaux salopards ce à quoi un des deux répondit que s’il avait voulu, il aurait pu sans problèmes…. et qu’elle ne demandait que ça même!
Ayant ré enfilé sa robe elle les attendait au volant et ils reprirent la route en silence et ils finirent même par s’endormir ce qui la fit sourire..
A tours elle sarrêta avant le péage pour les laisser et reprit l’autoroute…