Nous en sommes là, bientôt 13 ans que j’ai eu ce CDI et j’y suis toujours. Je n’ai pas tellement cherché à évoluer depuis. J’avais du faire forte impression, car j’avais vraiment eu un salaire confortable… autant que mon cul est resté inconfortable pendant 1 semaine d’ailleurs.

J’étais invitée en moyenne 2 fois par an chez Monsieur Noël, au moment des bilans semestriels, et je peux vous dire que mon anus depuis, est capable d’avaler des trucs énormes sans la moindre grimace. Il a pris sa retraite au soleil il y 7 ans, sa femme me manque parfois, nous avions développé une belle complicité sexuelle, elle était notamment fétichiste des pieds, mêmes sales, et m’a profité de souvent, notamment après une balade dans un parc toutes les deux. Je m’étais plainte d’avoir mal aux pieds dans mes chaussures ouvertes. Sur un banc public, elle m’a proposé de me les masser, j’ai accepté et me suis retrouvée avec ses lèvres fermes entourées sur mes orteils, et sa langue douce en train de me laver la plante des pieds… en public. Quel bonheur de sensations… que je cherchais depuis à retrouver à chaque occasion et pas uniquement en receveuse…

Malgré le départ de la bite douce et fine comme une boîte de conserve, j’ai continué à travailler mon cul tout de même, avec des objets notamment et quelques partenaires adeptes de dilatation.

M. Schmid m’avait foutu une paix royale à partir de mon CDI, il devait avoir peur des risques de harcèlement. Il avait été muté l’année suivante. J’ai continué à voir un de ses potes pendant quelque temps… Celui qui m’avait pissé dans la bouche par surprise, si vous vous souvenez.

Le hic d’avoir stagné, c’est qu’avec les temps qui courent, mon salaire confortable il y a 13 ans l’est nettement moins maintenant. Heureusement que je vis chez Paul, sans quoi je ne m’en sortirais probablement pas sur le plan financier.

Nous avions prévu ce vendredi soir avec Paul d’essayer un nouveau club qui avait ouvert quelques semaines plus tôt dans notre région. J’ai près de 40 ans, alors je me cache beaucoup moins. Nous avons pour habitude, une à 2 fois par mois, d’aller nous amuser en club échangiste. Le plus souvent, nous étions à la recherche de plans à plusieurs, dénichés sur le Net ou au hasard d’une rencontre, et parfois nous nous amusions chacun de notre côté, pour être libres et ne pas nous lasser l’un de l’autre.

Ce soir-là Paul semble particulièrement excité. Le club était grand, plusieurs salles différentes et le thème de la soirée est « open-bar ». Imaginez…

La soirée commence par notre restaurant traditionnel, le gérant que nous connaissions (et qui m’avait prise en missionnaire une fois à la fin du service, sur une table, en échange du repas qui était un peu cher moi à l’époque) était ravi de voir la quantité inhabituelle de boissons alcoolisées bue par Paul.

Comme à mon habitude, j’avais mis une jupe écossaise plissée, assez courte que je prenais plaisir à remonter de quelques centimètres toutes les demi-heures de façon à ce qu’elle m’arrive au ras du sexe à l’arrivée au club et que ma chatte soit exhibée sur le trajet en voiture qui précédait.

Paul m’avait depuis longtemps interdit les sous-vêtements durant ce genre de soirée, ce qui m’arrangeait bien, car j’aimais vraiment beaucoup ne pas en porter, même en semaine au travail ou à la maison. J’aime avoir le cul à l’air, sentir l’air frais entre mes cuisses, et à l’occasion exhiber mon entrejambe à quelques inconnus que je croise, juste pour leur donner envie de moi.

Le patron du resto, heureux de la somme que Paul allait lui lâcher, nous offrit un digestif au bar… Enfin, pas vraiment offert, il se paya en me glissant la main au cul, sous la jupe directement. A peine avait-il compris que je n’avais rien en dessous que ses doigts s’enfilent dans mon sexe déjà humide. Sans gêne, devant Paul qui avait trop bu… Je le laissais faire le temps de finir le verre, pas de scandale et je pus enfin me soustraire à ses doigts. En partant, j’aperçus en me retournant qu’il portait ses doigts à son nez…ça devait lui plaire puisqu’il les suça. Ma mouille devait être à son goût…

A l’arrivée au club, nous croisons quelques connaissances qu’il me faut calmer. Je propose de les rejoindre plus tard et nous visitons les lieux aménagés selon des thématiques géographiques du monde. Par continent apparemment et avec des équipements allant du lit géant, jusqu’à la croix de Saint-André en passant par la balançoire, le glory hole et la salle de projection de films pornos.

Paul est intenable, il ne me considère pas beaucoup, en dehors de quelques caresses et upskirt. D’habitude, il se sert de moi pour aguicher des partenaires et nous choisissons avec qui nous amuser. Là, il semble plus attiré par d’autres personnes de la soirée que par moi et ce que mon cul peut lui apporter. Ca ne me vexe pas, moi aussi des fois j’ai envie d’autres et pas de lui.

Sentant l’ambiance plutôt chacun de son côté ce soir, je décide de m’éclipser lorsque lui va prendre un autre verre. Il me fait un signe d’accord, je m’en doutais, et puis j’ai croisé un jeune homme avec qui j’avais baisé quelques semaines plus tôt et qui m’avait fait beaucoup rire et beaucoup jouir avec sa langue. Je pensais le retrouver.

Pas de bol, il était occupé avec un couple d’une cinquantaine d’années dans une des pièces vitrées qui ferment, mais qui laisse voir ce qui se passe. Dans ma petite tenue et le cul presque à l’air à force de remonter ma jupe, je décide de prendre un petit plaisir à les mater.

Bien évidemment, je ne pourrais compter le nombre de mains qui sont passées sur mes fesses ni le nombre de doigts qui m’a effleurée ou doigtée pendant que je profite du spectacle. A dire vrai, je ne pourrais même pas reconnaître la moitié des personnes qui m’ont touchée, et ça m’allait bien.

J’étais absorbée par le spectacle et je voyais ce jeune homme en train de se faire pomper la bite par la femme, un peu ronde, d’énormes seins qui gigotaient dans tous les sens. Elle lui avalait la bite avec force et appétit, à en baver partout. Celui que j’ai présumait être le mari était à genoux derrière elle, en train de lui bouffer la chatte ou son gros cul. Il se leva, se mit derrière le garçon pour y enfoncer son visage dans ce jeune cul musclé. Il était en train de lui goûter le trou du cul pendant que sa femme suçait… C’était vraiment très excitant et je me suis dit qu’il serait agréable pour moi d’aller les rejoindre et de continuer ce jeu de lécher des anus, celui du mari compris. Cette pratique est tellement intime et perverse et douce à la fois, comment vous dire qu’elle me met le feu dans le ventre…

C’est tellement bon de lécher le trou du cul de quelqu’un, femme ou homme, pourvu qu’il soit bien ouvert et sans poils, et de se faire lécher le sien en détail et profondeur…

Très excitée par ce que je voyais, et les parfums innombrables de sexe qui traînait dans l’atmosphère, ajoutés aux mains qui m’avaient tripotée et masturbée, j’ai décidé d’aller m’exhiber dans la salle de projection vidéo, de bien montrer mon corps, mes trous à tout le monde, et de me faire jouir devant les spectateurs qui me regardent et se branlent.

J’avais moi aussi envie d’être au centre du désir chez les autres, et je m’exécutais dans des positions hyperprovocatrices, en prenant bien soin d’écarter mes lèvres avec mes doigts et mes fesses pour montrer l’intérieur de mon anus… Ma jupe était remontée sur mon ventre, mes seins déballés d’un chemisier presque inutile et je m’offrais à la vue de tout le monde, jeunes et vieux, minces ou costauds, seuls ou en couple… Quelques femmes ouvertes au spectacle me passèrent les mains sur les cuisses et 5 personnes m’effleurèrent la chatte. Pas plus, j’étais là pour être matée.

Un homme relativement classe, d’un âge mur, m’a murmuré à l’oreille qu’il était organisateur de soirées privées spéciales et que si cela pouvait m’intéresser, il serait ravi de faire connaissance. Satisfaite de ma prestation, je l’écoutais, il m’offrit un verre.

Il tenait un manoir au profit d’un petit vieux très aisé qui s’ennuyait, et il organisait des soirées privées, plusieurs fois par mois, avec toujours un thème bien précis. Les locaux étaient offerts, ainsi que la boisson. La seule condition était que le thème soit divergent : pas de baise traditionnelle. Du hard, du bizarre, de l’extrême, du déviant, du sale… Grosso modo. Le gars voulait juste voir et éventuellement filmer ; apparemment, il ne bandait plus et prenait son plaisir ainsi.

Intriguée et attirée, je me disais que ce serait à tester… Il me demanda si j’avais des fantasmes un peu extrêmes ou hard… J’en avais plein et certains avaient déjà été assouvis.

Je lui expliquais que j’avais maté un trio sur base d’anulingus tout à l’heure, et que j’aurais envie d’en faire un gigantesque : avoir au moins 20 ou 30 anus à lécher… J’imaginais toutes ces personnes alignées à 4 pattes, ou assises sur des chaises de bar, les fesses dehors. Hommes et femmes m’offrant leurs fesses, que je devrais lécher en détail. Pourquoi ne pas rajouter un challenge : devoir lécher la raie, et enfoncer ma langue dans chaque trou du cul, avec une durée minimum par personne. Je pourrais traire les bites des hommes en même temps, et récolter le foutre dans un bol, puis tout boire à la fin comme une récompense… Et les femmes, peut-être les doigter, ou devoir aussi lécher leurs pieds… Les idées s’envolaient tellement mon imagination allait loin, bouffer tous ces trous du cul d’inconnus, j’étais songeuse et mes cuisses s’étaient desserrées pour laisser ma mouille couler… Je me mis à me caresser le clito devant lui, pour l’inviter à me toucher, il n’en fit rien.

Mon interlocuteur était séduit par mon idée en revanche, exactement le genre de dépravation recherchée. Il me proposa une date, mais je repensais à Paul, il me fallait d’abord lui en parler.

Avec courtoisie, il n’insista pas, mais me glissa sa carte, roulée en tube, directement dans ma chatte béante. Enfin, il se décidait à me toucher ce que je lui offrais. En souriant, je la retirai pour ne pas la tremper, et la glissais dans l’élastique de ma jupe.

La soirée n’est pas finie, alors suivez-moi pour la suite…

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