Il y a quelques mois, je suis allé consulter mon médecin car j’avais une douleur lombaire qui ne voulait pas partir après un long trajet en voiture Il est vrai que c’était un peu de ma faute car à mon âge, j’utilise une ceinture dorsolombaire chaque fois que j’ai de nombreux kilomètres de voiture à enchaîner, et cette fois là, j’avais négligé cette précaution.
Bref, après une radiographie de contrôle (rien à signaler de ce côté-là) ce médecin m’a prescrit une série de massages et d’exercices à effectuer sous contrôle d’un kiné. Dès la fin de la consultation, je suis allé prendre rendez vous pour la première séance.
Je connais bien le kiné c’est un enfant du pays qui s’est établi depuis fort longtemps et sa réputation n’est plus à faire d’autant qu’il est également chiropracteur et ostéopathe Son cabinet était si chargé que depuis une dizaine d’années, il avait renforcé son équipe de deux membres que je ne connaissais pas encore.
C’est ainsi que j’ai commencé les séances trois hebdomadaires entre les mains de son premier assistant Entre les divers mouvements d’assouplissement, les élongations et les massages, je ressortais complètement moulu du cabinet et je n’avais qu’une hâte : m’allonger sur mon lit et récupérer car je me sentais vidé de tout énergie. J’en avais pour un certain temps car pour une fois mon jeune médecin n’avait pas lésiné : elle m’avait prescrit 45 séances
Les séances se suivaient et d’une fois à l’autre je faisais connaissance avec mon masseur qui, à 35 ans découvrait la région et disait être étonné et agréablement surpris de l’accueil qu’il avait reçu. Originaire du sud ouest de la France, là-bas, beaucoup de personnes lui avaient dit qu’il aurait un temps pourri en toute saison, que les Lorrains étaient des gens froids et peu accueillants Au bout d’un premier hiver et de début de printemps, il s’apercevait qu’il n’en était rien.
Nous approchions de la fin des séances, il n’en restait plus que trois quand mon kiné m’a dit que ces dernières ne seraient pas faites par lui Il devait s’absenter pour une semaine car son père venait de faire un infarctus assez sérieux Il voulait aller le voir peut-être une dernière fois car le cardiologue n’avait pas caché son pessimisme
Le planning du cabinet a été bousculé et je me suis retrouvé être le dernier patient en fin de journée les lundi, mercredi et vendredi qui restaient. Cela ne me gênait pas bien au contraire
Lorsque je suis arrivé vers 17 h 50 le lundi suivant la secrétaire m’a annoncé que ce serait Madame L. qui assurerait la fin de mes séances. Je l’avais déjà croisée rapidement dans le cabinet et en ville et je n’avais plus prêté attention à elle qu’à une autre femme dans la maturité de la quarantaine. En fait j’ignorais tout d’elle.
Mais je dois reconnaître que c’est une belle femme, grande et svelte, blonde aux yeux marron ombrés de long cils, elle a une bouche pulpeuse avec la lèvre supérieure bien dessinée. Ses formes que je cherchais à deviner sous son espèce de kimono de travail me semblaient tout à fait en rapport avec sa silhouette C’était le genre de femme capable de réveiller ma libido de vieux barbon. Et c’est ce qui s’est produit
Le lundi s’est passé normalement Madame L. était vraiment une professionnelle et quand je suis sorti du cabinet, je me suis tout de suite senti ragaillardi. Mais c’est le mercredi que tout a changé Lorsqu’elle en est venue aux massages, elle a commencé par le haut des épaules en me disant de me relaxer, qu’elle allait me masser de haut en bas pour détendre les muscles qui étaient restés noués après les élongations et autres mouvements. Si au début, elle a travaillé avec les mains nues et le bout des doigts durs, par la suite elle a pris un onguent pour faire courir ses mains les long de mon dos et sur mes côtés Son confrère ne m’avait jamais massé ainsi et je le lui ai dit Aussitôt elle m’a rétorqué :
– Chacun sa méthode, le principal est d’arriver au résultat recherché.
– OK Pour moi ça me va en plus c’est très agréable.
Oh oui, c’était agréable car en massant mes côtés, elle allait très loin sur le devant et massait ma poitrine dans le bas du dos, elle avait fait glisser mon boxer et découvert en partie mes fesses Je me retrouvais à Paris, bien des années en arrière lorsqu’un soir à la sortie du travail, j’étais allé me faire masser dans un salon où j’avais mes habitudes et dans lequel la masseuse japonaise m’avait fait une séance digne de l’Orient avec mousse et corps à corps J’étais si bien que lorsque la séance a été terminée, je me suis trouvé un peu bête avec une érection phénoménale que j’avais bien du mal à masquer.
– Je vois que c’était bon çà fait souvent cet effet là lorsque j’utilise cet onguent à base de menthe et de ginseng
– Oh oui, c’est agréable mais excusez moi
– Ce n’est pas grave Un petit massage final et tu seras soulagé.
Un peu surpris du tutoiement, je n’ai rien dit sur le moment Aussitôt Madame L. m’a fait m’appuyer sur la table de massage et en moins de dix secondes, mon boxer était à mes genoux et j’avais droit à une masturbation gratuite jusqu’à ce que j’éjacule une bonne dose de sperme dans la serviette qu’elle avait à portée de main.
Lorsque j’ai été habillé, elle m’a dit avec un clin d’il coquin :
– A vendredi soir !
Je dois avouer que jamais je n’avais attendu la séance suivante avec autant d’’impatience Dès que Madame L. est entrée dans la salle de massage elle m’a dit en riant :
– Alors, pas de mauvais rêves ?
– Euh Non Pourquoi ?
– Ce que je t’ai fait mercredi, c’est rare mais j’ai de gros besoins de sexe et ce n’est pas mon minable de mari qui me satisfait à peine une fois par mois Alors quand j’ai vu ton sexe bandé, je me suis offert une petite fantaisie avant de me goder la chatte après ton départ.
La conversation avait pris une tournure qui n’était pas pour me déplaire Libertin j’étais jadis, une petite gâterie n’était pas pour me déplaire Elle a poursuivi :
– Allonge toi entièrement nu, je vais mettre une serviette sur tes fesses, on ne sait jamais si la secrétaire entrait Aujourd’hui, il n’y aura pas de mouvements ni élongations Tes muscles et articulations sont bien en place
– OK ! C’est toi qui vois ce qu’il y a de meilleur
– Appelle-moi Olga !
J’étais entré dans son jeu Elle me tutoyait je la tutoyais Coquine elle était, coquin je serais ! Comme la fois dernière, elle m’a d’abord massé à main nue avant de reprendre un onguent gras et parfumé qu’elle a fait pénétrer dans tous mes muscles, y compris ceux des cuisses et des jambes J’étais bien aussi bien que dans un salon de massage traditionnel et non dans un cabinet de kiné Elle m’a dit alors :
– Mets-toi sur le dos ! Je continue devant !
Elle est repartie de la pointe des pieds où elle m’a trituré les orteils en les allongeant puis la plante des pieds et est remontée jusqu’à mes cuisses La serviette qui masquait mon pubis faisait depuis un certain temps une jolie bosse sous l’action de mon sexe dressé comme un I. Olga a enlevé la serviette et donné une petite tape sur mon sexe en disant :
– Sois sage, je m’occuperai de toi tout à l’heure !
Et elle a poursuivi son massage sur mon torse, effleurant au passage de ses ongles courts les aréoles de seins Elles sont très sensibles et, si elles ne pointent pas comme celles des seins de femme, cela me procure du plaisir lorsqu’on les touche Doucement ses mains sont redescendues au niveau de l’aine Elle a fourragé un peu dans mon buisson avant de saisir ma verge entre ses mains :
– Maintenant, passons aux choses sérieuses
Elle a pris sur le bout de ses doigts un nouvel onguent dans un petit pot qui se trouvait dans une poche de son pantalon de toile blanche. Elle a commencé à masser mon sexe Aussitôt j’ai ressenti une douce chaleur, un peu comme si j’avais été dans le vagin d’une femme et ma bite qui était déjà bien bandée s’est alors déployée dans toute sa splendeur Là, ce n’était plus une branlette efficace et rapide comme lundi, mais Olga massait comme si elle avait été une professionnelle du sexe Elle savait vraiment y faire Tantôt ses doigts étaient serrés autour de ma hampe, tantôt, elle relâchait quelque peu son étreinte et achevait de remonter jusqu’au gland qu’elle cajolait dans le creux de sa main.
Je la regardais faire Une mèche de cheveux avait glissé devant son front mais je voyais ses yeux briller d’excitation Je ne pouvais rien faire d’autre que me laisser faire Placée comme elle était, je ne pouvais même pas la toucher mais j’ai eu l’idée de lui prendre la main qui me branlait pour faire comprendre à Olga que je voulais qu’elle se tourne et ainsi se rapproche de moi Lorsqu’elle a été à portée de ma main gauche, je suis remonté le long de sa cuisse, frôlant le tissu pour arriver à la fourche intime, malheureusement inaccessible à cause du pantalon sans ouverture Cela m’a quand même permis de me rendre compte qu’Olga ne portait qu’un string dont j’ai discerné les cordons Au travers du tissu, je sentais la chaleur de son sexe
Olga a soudain défait la ceinture qui était nouée autour de sa taille et la veste de toile s’est ouverte.. C’est ainsi que j’ai pu discerner entre les pans son soutien gorge de dentelle blanche Entre sa main qui allait et venait sur mon sexe et la vision furtive que j’avais sur sa poitrine, cela a achevé de m’exciter :
– Attention, je vais partir !
– Oui Viens Lâche-toi !
Dans un râle sourd, je me suis lâché. Elle a maintenu mon sexe entre ses doigts et elle a entr’ouvert sa bouche pour recevoir les jets de sperme que je projetais vers le haut Elle n’en a pas perdu un seul
– Dis donc, il semble que tu étais sevré toi aussi Mercredi, tu as été généreux mais là, j’ai bien cru que je n’arriverais pas à tout avaler !
– Tu sais depuis de nombreuses années, je suis veuf et puis à mon âge, je ne me vois plus non plus fréquenter les clubs libertins Alors, des occasions comme celles-ci, ça fait du bien
– Je te comprends Rhabille-toi, passe voir la secrétaire pendant que je range un peu On se retrouve dehors. Attends-moi !
– D’accord, ma voiture est au parking à gauche en sortant.
Ce soir-là, Olga n’est pas rentrée chez elle Je ne sais pas quelle excuse elle a pu trouver mais nous nous sommes offerts une belle partie de baise chez moi jusqu’à une heure avancée de la nuit ! Quand elle m’a quitté, j’étais lessivé pour ne pas dire « essoré » Il n’y avait plus rien à tirer de moi