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Ma vie rêvée – Chapitre 1




Bonjour, moi c’est Anne-Lise, grande blonde de 26 ans, les yeux bleus, je mesure 1m78 pour 56kg avec un tour de poitrine de 90 C. Je sors d’une relation de cinq années qui m’a éloignée de celle que j’étais ou aurais pu être. Mon ancien compagnon était quelqu’un de tendre et attentionné, mais extrêmement conventionnel (éducation très pieuse). Je veux simplement dire que les choses libertines n’ont jamais dû lui travailler l’esprit, à mon grand regret. Je ne peux pas dire que j’étais malheureuse au début de notre relation ; comme pour toute nouvelle relation, l’euphorie est présente, mais cela s’envole si nous ne prenons pas le temps d’attiser la flamme de notre désir.

À mon grand désespoir, les sorties en amoureux ont laissé place à des soirées devant la télévision, seule pendant qu’il organisait des soirées jeux vidéos avec ses amis en buvant quelque bières. J’ai pris l’habitude de croiser le soir deux de ses amis, François et Simon, lors de leurs venues régulières. Avec le temps, ils se sont vite aperçus que cela commençait à me saouler, le comportement que pouvait avoir mon ex envers moi. Je peux dire maintenant que j’étais devenue la femme au foyer modèle : je n’étais là que pour le ménage, la vaisselle, la lessive, vous aurez compris l’idée.

Un soir, une fois l’épisode de ma série fini, je me dirigeai vers la cuisine ouverte sur le salon, me servis un verre d’eau avant d’aller me doucher et me mettre au lit. Les deux amis de mon homme étaient là en pleine partie de FIFA. Simon me regarda et me demanda si tout allait bien ; je lui répondis un peu sèchement que non, que je ne comprenais pas l’intérêt de jouer à la console quand il y avait une femme à la maison. Les deux amis me regardèrent avec un sourire que je ne compris pas sur le coup : le message était destiné à mon copain qui ne prit même la peine de relever la petite pique à son attention. Je leur souhaitai une bonne soirée, me douchai et me couchai avec le sentiment d’être incomprise.

Quelques jours après, je pus profiter un peu de ma journée : étant en congé, je pus faire une grasse matinée, chose que je m’accorde très peu. J’ouvris donc les yeux et je vis qu’il était déjà plus de onze heures ; je me dis alors que j’avais encore le temps de rester au chaud sous la couette. Malheureusement pour moi, j’entendis la sonnerie de la porte et je me demandai qui pouvait venir me déranger alors que j’étais si bien. Je me décidai donc à sortir de mon lit et attrapai mon peignoir afin d’ouvrir la porte dans une tenue un peu plus décente que la nudité dans laquelle je me trouvais.

J’ouvris la porte et je vis derrière celle-ci François et Simon ; je fus fort surprise car ils devaient savoir que mon chéri était à son travail. Par politesse, je les fis entrer et ils s’installèrent dans le canapé.

Voici à peu près ce qui s’est dit à ce moment-là :

Je suis très surprise de votre venue ; Éric ne vous a pas prévenus qu’il travaillait aujourd’hui ?

Nous sommes au courant qu’il travaille ; hier soir, il nous a dit que tu étais en congé, répliqua Simon.

Ça n’explique toujours pas votre présence ici.

J’ai fait part à François de mon envie de venir te parler par rapport à une chose que tu as dite dernièrement, et François a voulu m’accompagner, précisa-t-il.

Qu’est-ce que j’ai pu dire nécessitant une discussion avec moi ?

Je ne sais pas si tu t’en rappelles, intervint François, mais tu nous as expliqué ton agacement concernant les soirées qu’Éric organise, et tu as dit que tu ne comprenais pas que l’on s’intéresse plus à la partie de football FIFA qu’à la femme présente.

Oui, répondis-je, je m’en rappelle bien, mais j’essayais simplement de faire réagir Éric.

Nous le comprenons fort bien. Ça te dérange de nous faire un café ? demanda Simon.

Non, du tout ; je vais vous préparer cela.

Le temps de me rendre en cuisine et de lancer les deux expressos, je suis dos à eux l’espace de trois quatre minutes. Je place les tasses sur un petit plateau, me retourne en direction du salon, et reste bouche bée et sans voix : sous mes yeux, les deux amis de mon homme ont sorti leur sexe et sont en train de se masturber en me regardant.

Simon prit la parole :

Je te confirme qu’en effet il y a mieux à faire que de jouer à la console quand il y a une femme aussi belle que toi.

Pour nous faire pardonner notre intrusion régulière, Simon et moi mettons à ta disposition deux beaux joysticks. Qu’en penses-tu ? proposa François.

À vrai dire, j’étais comme choquée, pétrifiée de voir cette scène devant moi, et surtout de la proposition qui m’était faite. Ayant repris un peu mes esprits, je repris la discussion :

Mais vous êtes fous ! Rangez-moi ça tout de suite : je suis la petite amie de votre pote Éric.

Simon se leva et se dirigea vers moi et me dit :

Tu en es sûre ? Je peux voir d’où je suis que tes seins pointent, et nous voyons tes tétons à travers ta nuisette.

François rejoignit Simon et je me trouvai entre les deux avec leurs sexes toujours sortis et bien plus raides qu’auparavant.

Simon a raison, renchérit François ; tu ne peux pas nier que cela te fait de l’effet de nous voir ainsi.

François prit l’initiative : il attrapa la ceinture de mon peignoir et défit le nud doucement sans brusquer les choses en essayant de voir si j’arrêterais son geste ou pas. Je ne bougeai pas. Je me demande encore si mon manque de réaction était dû au fait de vivre une telle situation ou à mon manque d’attention de la part de mon chéri. Je me retrouvai donc entre deux hommes le sexe à l’air et moi le peignoir ouvert et nue dessous.

Je pense qu’il est nécessaire de vous décrire un peu plus les deux amis de mon chéri. François est un jeune homme blond de 27 ans, les yeux bleus, dans les 1 métre 80 pour 75 à 80kg, un corps musclé juste ce qu’il faut par le footing et la musculation ; il me fait penser un peu à l’acteur Simon Baker (le mentaliste) en plus jeune. Quant à Simon, il est brun, les yeux marrons, dans le même gabarit que François ; le sport, ce n’est pas pour lui : il préfère les jeux vidéos mais il fait attention un minimum.

François me fit tourner face à lui, se pencha légèrement, prit un de mes seins en bouche et je le sentis me téter. Il mordilla aussi mon téton et je ne pus cacher plus longtemps le plaisir que je commençais à ressentir ; je me mis peu à peu à gémir sous l’action de sa bouche sur mon sein.

Simon ne tarda pas à réagir : il fit glisser mon peignoir au sol et il commença à m’embrasser dans le cou, à glisser ses mains sur mon ventre puis à me caresser en se rapprochant de plus en plus de mon abricot. Sans m’en rendre compte, j’ai tendu la main devant moi et je me suis mise à masturber le sexe de François. Cela dura quelques minutes, laissant le temps à Simon d’explorer et de triturer mon clitoris, me rendant très humide.

François arrêta de me téter pour savourer la masturbation que je lui faisais et me demanda de le prendre en bouche. Je dois dire que maintenant j’étais bien excitée et que j’avais envie d’aller au bout avec ces deux hommes. Je m’agenouillai donc et pris en bouche son sexe et je dois dire qu’il était bien membré sans être un monstre non plus ; je dirais plus de 17 centimètres ; en tout cas, c’était plus gros que mon chéri. Simon me présenta aussi son sexe et je commençai à le branler pendant que je suçais son ami.

Ensuite François est venu mettre sa tête entre mes cuisses et le sol et a commencé à me lécher tandis que j’entreprenais de pomper allègrement le sexe de Simon qui n’avait rien à envier à François niveau taille. Je peux vous dire que François n’a pas mis plus de quelques minutes pour me faire vivre un orgasme dévastateur. Cela faisait longtemps que je n’avais plus connu cela. Je me suis donc laissé aller au bon plaisir et vouloir de mes deux amants du jour.

Simon m’a ensuite demandé de me mettre à quatre pattes et a commencé à me prendre en levrette ; je ne pouvais plus m’arrêter de gémir sous ses coups de reins plus ou moins puissants. François profita de cela pour me caresser les seins, et je dois dire que le mélange caresses et pénétration m’a vite procuré un autre orgasme tout aussi violent. Il m’a fallu quelques instants pour reprendre mes esprits.

Simon laissa sa place à François ; il fut plus doux et me pénétra avec de lents mais vigoureux coups de reins, me donnant tout autant de plaisir que le côté un peu plus brutal de Simon. François se retira et commença à me caresser le petit trou tout en continuant de me doigter par intermittence ; il se servait de ma cyprine pour dilater mon anus en vue de recevoir son membre. Il fit pénétrer doucement un premier doigt suivi d’un second, tout en leur faisant faire des petits cercles en moi pour desserrer mon orifice anal. Il me demanda d’aller m’empaler sur Simon, ce que je fis avec plaisir. Une fois sur lui, je me penchai sur Simon et offris ainsi mon petit trou à la vue de François. Il se présenta et appuya son gland sur ma rondelle qui l’avala doucement, et il continua lentement sa progression en moi. Je n’avais jamais été prise en même temps mais je dois dire que je me sentais bien. Ils commencèrent leurs va-et-vient en moi en trouvant peu à peu leur rythme afin de se synchroniser, et je dois dire que je pris un plaisir fou à me faire prendre de la sorte.

Ils échangèrent ensuite leur place et je pris tout autant de plaisir avec Simon passant par derrière. Nous fîmes l’amour ainsi un bon moment tout en variant les positions et je jouis deux fois encore. Simon et François se retirèrent et éjaculèrent sur mes seins en me souriant et en me remerciant pour cet agréable moment.

Nous avons pris une douche l’un après l’autre et je les ai embrassés à pleine bouche pour les remercier, puis nous nous sommes quittés une demi-heure avant le retour de mon cher et tendre conjoint.

Je ne revenais pas de ce qui venait de se passer, mais je venais de prendre un plaisir nouveau et très intense. Était-ce le début d’un changement chez moi ?

À suivre…

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