Rencontre avec Maîtresse Isabelle

Depuis combien de temps étais-je attachée sur ce lit ? Je ne saurais le dire. Je commençais à m’impatienter lorsque la porte s’ouvrit, laissant passage à une magnifique femme blonde poussant une déserte roulante sur laquelle était disposé divers objets. Lorsqu’elle s’adressa à moi le ton de sa voie me fit peur :

— A partir de maintenant tu m’appelleras maîtresse Isabelle.

Elle s’affairait autour de la déserte, prit une rallonge électrique et la brancha à une prise murale.

— Le temps que se soit à température et je suis à toi. Me dit-elle moqueuse.

Je me demandais ce qu’elle pouvait bien faire chauffer. Très vite, je compris le sort qui m’était réservé. Ce n’était pas la première fois que je subissais une épilation des jambes à la cire, ça tirait un peu mais ce n’était pas douloureux. Isabelle s’avança entre mes jambes écartées tout en agitant à l’aide d’une petite spatule en bois la cire fumante contenue d’un flacon. Son regard fouillait mon intimité. J’étais fière de mon corps et la pointe de jalousie que je voyais briller dans ses yeux me gonflait d’autant plus d’orgueil.

— Ton sexe sera beaucoup plus joli sans poils.

Me dit-elle en riant Lorsque je pris conscience du sens de ces paroles je me mis à hurler :

— Non ! Je ne veux pas ! Indifférente à mes protestations elle continua :

— Il sera comme lorsque tu étais petite fille.

— Je t’interdis de me faire ça! La jeune dominatrice soupira en haussant les épaules :

— Je me moque de tes interdictions. Que tu le veuilles ou non, tu vas être épilée entièrement ! Maître Marc le désire. J’aurai pu le faire sans douleur pour toi, mais depuis que je t’ai vu, je comprends, mieux pourquoi Maître Marc désire faire de toi son esclave personnel. Tu vas me payer le fait de m’avoir supplanté dans l’esprit du Maître.

Pleine d’appréhension je lui dis sur un rythme rapide :

— Ecoute, je n’ai rien fait…

Lorsqu’elle appliqua la cire brûlante sur la peau de mon sexe, je ne pus m’empêcher de gémir de douleur. La chaleur de la cire irradiait et se communiquait à l’intérieur de mon corps, comme si la cire pénétrait dans mon sexe. Isabelle s’appliquait lentement mais sûrement, surtout lorsqu’elle badigeonnait les poils autour de mes lèvres intimes. La douleur se faisait plus vive. Elle s’amusa à faire couler de la cire sur mon clitoris, déclenchant une ruade, tant la douleur était grande.

— Aiii !! ArreetTTEE !!!

— Tu ne me donneras plus d’ordre à l’avenir ?

— Non-Maîtresse, non, jamais plus…

Le moindre centimètre carré de poils fut bientôt englué. Elle posa alors des bandelettes de tissu, qu’elle pressa contre ma peau de telle sorte que le tissu fut bientôt bien imbibé par la cire. Quand elle eut terminé, elle rangea soigneusement ses ustensiles et se recula pour m’admirer : les jambes écartées, les bandelettes blanches adhérentes à la peau de mon sexe. On pouvait y distinguer la forme de ma vulve, le sillon de mes lèvres. Je sentais la cire se durcir sur mon sexe. Mes poils, mes lèvres, mon clitoris se figeaient dans un mélange de cire et de fibres qui se solidifiait au fur et à mesure que la douleur provoquée par la chaleur de la cire liquide disparaissait.

— Bon, je crois que le moment est venu, tu vas ressentir ce que jamais tu as pu imaginer. Sur le pubis, ça ne serra pas très douloureux, mais autour des lèvres par contre… la peau est particulièrement fine et délicate, très sensible et si tu bouges de trop, tu risqueras d’avoir vraiment mal.

Maîtresse Isabelle saisit la première bandelette, la plus éloignée de ma fente. D’un geste brusque et rapide, elle la tira arrachant les poils prisonniers de la fibre. C’était comme si des milliers d’aiguilles me perforaient le sexe. Mon hurlement traduisait le niveau de la douleur que j’avais ressentie.

— aaaAAHHH !!!

— Rassure-toi, ce n’est pas le plus douloureux, il en reste encore deux à retirer.

Mes jambes tremblaient de plus belle, tellement j’appréhendais la suite des événements. Elle tira sur la deuxième bande, ce qui m’arracha un nouveau cri de douleur. – aaaAAHHH !!! Stop … STTOOPPP !!

De grosses larmes coulaient le long de mes joues. Jamais je n’avais pensé pouvoir pleurer aussi fort et aussi longtemps.

— Il n’en reste plus qu’une, la plus délicate… celle qui se trouve sur tes lèvres et ton petit clito…

Lentement cette fois ci, elle tira sur l’ultime bandelette qui était collée sur ma fente. Centimètre par centimètre, je sentais les lèvres de mon sexe tiraillées, comme si l’on cherchait à me les arracher. Mes poils résistaient et entraînaient la fine peau de ma vulve avant d’être déracinés. Il ne restait plus que le clitoris à décoller du tissu. J’avais l’impression que l’on m’excisait. Lorsqu’elle tira d’un coup sec sur la bandelette la douleur fut insupportable et je ne pus retenir un petit jet d’urine. Je me tortillais comme une possédée afin de calmer le feu qui brûlait mon entre-jambes.

— Voilà, c’est terminé. Tu as retrouvé la vulve imberbe de ton enfance.

Je me mis en appui sur mes coudes afin de contempler mon sexe dénué de toute pilosité. Maîtresse Isabelle prit une petite serviette sur la déserte roulante et la posa sur mon bas ventre. La douceur de ce contact me fit gémir, doucement elle la passa sur mon entre-cuisses afin de retirer les morceaux de cire pouvant rester et effacer toute trace de mon incontinence. Ce simple geste eut également pour effet d’apaiser et de faire disparaître toute trace de souffrance.

Elle me dit sur un ton ironique :

— Puisque tu as envie de faire pipi, vas-y !

Choqué par sa proposition je refusais avec vigueur :

— Non, il n’est pas question que je fasse cela devant toi.

— Petite prétentieuse, d’ici dix minutes tu ne pourras même plus te retenir.. Du bout des ongles, Isabelle se mit à gratter délicatement la peau nue de la plante de mon pied droit puis, dans un enchaînement harmonieux de petits mouvements lents et précis, elle effectua des attouchements sur toute la surface sensible de mon pied. Ses gestes obéissaient à un rythme qui ne semblait jamais se répéter. Je résistais autant que possible à l’infernale démangeaison, mais rapidement je cherchais à me soustraire à son emprise. Rien à faire, attachée comme je l’étais, je ne pouvais que subir.

Je me mis à la supplier :

— N.. Non, arrêt .. Ooouh ! Ahahahahhouhihihi ! Pitié, ar … Non, pas ça ahahahhihihihouhouhou ! …

Mes doigts de pied se crispaient et se détendaient tour à tour, fouettant l’air avec l’énergie du désespoir, pour tenter d’atténuer l’infernale sensation. Les variations continuelles du rythme des chatouilles apporté par Maïtresse Isabelle empêchait toute saturation des terminaisons nerveuses qu’elle sollicitaient.

— Stoopp ahahihihouh ! Noonnn plus ahahouhouh !!

J’hurlais et me débattais avec l’énergie du désespoir, sans pour autant parvenir à me soustraire au supplice, ni même d’atténuer d’une manière quelconque les effets de la torture. Arrêtant de gratter des ongles, Isabelle se mit à caresser la peau dans de longs effleurements du bout des doigts, de la base du talon à celle des orteils, du haut vers le bas, puis du bas vers le haut, et ainsi de suite sans me laisser un seul instant de répit. Je fut bientôt secouée de spasmes, mon corps cherchant à échapper à cette horrible démangeaison. Des gouttes de sueur perlaient à présent sur mes seins, mon ventre et mes cuisses. Soudain je ne ressentis plus rien, je redressais la tête, cherchant à croiser le regard de Maîtresse Isabelle afin de la supplier d’arrêter. Lorsque je compris que ce répit ne m’était accorder que le temps de changer de pieds un long hurlement sorti de ma gorge.

— NooONNNN !!!!

Les doigts redoutables se remirent à l’action avec une virtuosité sans pareille sur la plante de mon pied gauche vierge de toute saturation de ses terminaisons nerveuse. Rapidement je me mis à gigoter. Ce supplice était pire que tout ce que j’aurais pu imaginer dans mes cauchemars les plus fous, je ne pouvais m’empêcher de me demander s’il était réellement possible d’être aussi chatouilleuse. Soudain, les doigts d’Isabelle s’écartèrent de mon pied. Mes gémissements cédèrent aussitôt la place à un halètement saccadé. Mon corps inondé de sueur témoignait des instants éprouvants que je venais de passer. Libéré, mon esprit se remit à fonctionner et une peur panique s’empara de moi l’emportant sur toute autre pensée. Je me redressais pour constater que je m’étais laissée allez, la serviette entre mes cuisses était souillée par des taches jaunes, je n’avais pas pu me retenir et j’avais libéré ma vessie de son contenu. Rouge de honte je me mis à pleurer. Maîtresse Isabelle se mit à se moquer de moi :

— Tu n’es qu’une petite pisseuse !! Je vais appeler une servante pour qu’elle te fasse prendre une douche et te t’habille afin que tu sois prête pour ta présentation.

Puis elle me laissa seule avec ma honte.

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