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Les minettes du Val de Saône – Chapitre 6




Je me suis réveillé le lendemain matin avec les rayons du soleil filtrés par les volets, éclaboussant mon visage. Un rapide coup d’il à mon téléphone portable, il était huit heures et demie. Au vu de mon programme de la journée, je n’étais pas mécontent de me réveiller tôt. À côté de moi, Noémie dormait encore. Mes doigts se sont posés sur son corps nu, et je suis venu dégager ses cheveux de devant son visage afin d’embrasser son cou. Elle s’est rapidement réveillée à son tour, et s’est tournée vers moi.

Bonjour.

Bonjour, a-t-elle répondu en gardant ses yeux fermés.

Je l’ai embrassée sur la bouche, puis lui ai dit :

Tu te souviens de notre deal ?

Oui.

Et tu es toujours d’accord ?

Bien sûr.

Très bien. Viens ici alors.

J’ai soulevé le drap d’une main, et de l’autre, j’ai attrapé Noémie par les cheveux. Elle a vite compris où je voulais en venir et s’est laissée glisser entre mes cuisses, puis a pris mon sexe dans sa bouche sans perdre une minute. Elle a commencé à me sucer, lentement, tenant mes testicules dans une main, l’autre étant posée sur mon membre. Je ne voyais pas les choses de la même manière, et lui ai donné une claque, légère, sur le haut du crâne. Surprise, elle a arrêté de me sucer et a levé les yeux vers moi.

Aujourd’hui, c’est moi qui contrôle. Alors tu vas me sucer à ma façon. Mets tes mains dans ton dos et ne les bouge sous aucun prétexte.

Ne pouvant pas répondre, Noémie s’est contentée de hocher vaguement la tête. Ma main toujours dans ses cheveux, j’ai appuyé sur son crâne, la forçant à avaler ma queue progressivement.

Regarde-moi, lui ai-je dit en m’enfonçant en elle.

Je voulais voir son regard quand j’entrerais tout au fond de sa gorge pour la première fois. Elle avait pris les trois quarts de mon sexe quand elle s’est mise à tousser, crachant sur mes testicules une longue coulée de bave épaisse.

Encore, l’ai-je encouragée.

J’ai vu une larme couler le long de sa joue, et ça m’a excité, et j’ai poussé à nouveau sur son crâne, jusqu’à pénétrer entièrement dans sa gorge. Noémie, le nez enfoncé contre mon pubis, s’est mise à tousser à nouveau. J’ai alors compté jusqu’à trois, dans ma tête, avant de la relâcher.

Je l’ai regardée, les yeux rouges, les joues humides, les cheveux en bataille et de la bave partout autour de sa bouche, et je l’ai trouvée magnifique. Je lui ai souri, et elle m’a souri en retour, puis je lui ai dit :

Tu es encore plus belle quand tu me suces comme ça !

Merci, m’a-t-elle répondu avec un sourire un peu gêné.

Allez, continue.

Elle ne s’est pas fait prier, et a gobé à nouveau mon gland, puis avalé mon sexe. Elle avait encore du mal, mais elle était pleine de bonne volonté, et n’avait même plus besoin de mes mains sur son crâne. A plusieurs reprises, elle a dû s’arrêter pour tousser et cracher le surplus de salive qu’elle avait en bouche, mais cela ne l’empêchait pas de continuer et de venir prendre mon sexe entièrement dans sa gorge. C’était bien trop bon pour résister, et j’ai fini par jouir profondément en elle.

Après avoir pris soin de tout avaler, Noémie a lâché mon sexe et m’a regardé, le visage dévasté par ce mélange de bave et de foutre. J’avais envie de lui dire à quel point elle était belle, que je l’aimais, et que j’avais envie de baiser sa gorge pour le restant de ma vie. Mais je me suis retenu. Aujourd’hui, Noémie était mon esclave sexuelle, et je n’avais pas envie de laisser de place au romantisme. Peut-être plus tard, mais pas aujourd’hui.

C’était bien, ai-je fini par lui dire, très bien même. C’est comme ça que je veux que tu me suces. C’était la première fois que tu faisais une gorge profonde ?

Oui, normalement, je m’arrête avant.

Bien, ce sera pas la dernière fois en tout cas.

Noémie m’a souri. J’avais envie de la baiser, mais j’avais prévu de faire les choses tranquillement. Alors j’ai juste saisi l’un de ses tétons entre deux doigts, et en tirant légèrement dessus, je lui ai dit :

Tu vas aller préparer le petit-déjeuner. Je prends un café noir, sans sucre, et deux tartines de beurre salé. Fais-toi ce que tu veux, j’arrive dans cinq minutes.

Oui Monsieur.

Elle avait déjà les bonnes habitudes.

Je suis resté un instant dans mon lit, bandant déjà à nouveau en pensant à toutes les opportunités qu’allait m’offrir cette journée. J’avais envie de lui faire mille choses. J’avais envie de tout lui faire, tout ce qui me passerait par la tête, tout ce que j’avais voulu faire à une fille et que je n’avais jamais osé faire. Il fallait que je me calme.

Je me suis levé et suis allé pisser, avant de me rendre au salon où Noémie installait la table du petit-déjeuner. J’étais resté entièrement nu, et j’ai aimé voir son regard glisser entre mes cuisses, puis son sourire. Ne t’en fais pas ma chérie, tu en auras encore. Je me suis installé à table, et ai pris une lampée de mon café. Noémie, elle, était restée debout à côté de moi, mains dans le dos, attendant les ordres.

Viens déjeuner quand même, lui ai-je dit, je ne suis pas un monstre, non plus.

Merci Monsieur.

Elle s’est assise à côté de moi et a commencé à boire le thé qu’elle s’était préparé. Je l’ai regardée en buvant mon café, la salive avait séché autour de sa bouche, mais son visage avait toujours l’air autant en vrac. Et ça la rendait belle. D’une main, j’ai attrapé une tartine, de l’autre, j’ai glissé entre ses cuisses. Noémie a continué à boire son thé alors que je m’immisçais entre ses lèvres, et elle a écarté un peu plus ses cuisses pour me faciliter le passage. J’ai ainsi continué mon petit-déjeuner tout en la doigtant, sentant sa liqueur dégouliner sur mes doigts. Je me suis arrêté au bout de deux ou trois minutes, quand elle s’est mise à gémir un peu trop, et quand la sonnette a retenti.

T’attends quelqu’un ? a demandé Noémie, prenant soudain conscience de sa nudité.

Je n’attendais personne, mais au bruit du scooter devant la fenêtre, j’ai compris de quoi il s’agissait.

C’est le facteur. Va lui ouvrir.

Comme elle ne réagissait pas, j’ai pincé l’un de ses tétons, ce qui l’a fait sursauter.

Qu’est-ce que tu attends ?

Je vais lui ouvrir… comme ça ?

Dépêche-toi avant que je sévisse.

Noémie a posé sa tasse de thé vide et s’est levée puis, lentement, s’est dirigée vers l’entrée. Je l’ai entendue ouvrir la porte et dire bonjour, et le facteur lui répondre en bégayant, sûrement surpris par cet accueil. Trente secondes plus tard, la porte se refermait et Noémie revenait au salon, le visage empourpré par l’embarras.

Une lettre recommandée pour vous Monsieur Karl, a-t-elle dit en lisant le courrier.

Merci, tu peux la poser sur la table.

Tu sais que je ne connaissais même pas ton prénom ?

Je ne m’en étais pas rendu compte. J’ai souri. Elle avait connu beaucoup de choses avec moi avant de connaître mon prénom.

Voilà qui est rectifié alors, lui ai-je dit, mais de toute façon, aujourd’hui pour toi, c’est « Monsieur ». Viens là.

Oui Monsieur.

Noémie s’est approchée de moi en souriant. J’ai caressé son ventre un moment, puis je suis descendu glisser un doigt entre ses lèvres humides, et suis ensuite remonté jusqu’à sa poitrine. De deux doigts, j’ai attrapé l’un de ses tétons, et ai tiré dessus pour la forcer à se baisser. Noémie s’est mise à geindre, mais s’est exécutée et s’est retrouvée à genoux à côté de moi.

Ouvre tes cuisses et mets tes mains dans le dos, lui ai-je ordonné.

Toujours assis sur ma chaise, je me suis tourné vers elle pour lui faire face, et j’ai repris ses tétons entre mes doigts. Je les ai pincés, tirés, tordus, puis j’ai claqué ses seins, la faisant grogner à nouveau.

La prochaine fois que je te dis de faire un truc, ne réfléchis pas, et fais-le. C’est compris ?

Oui Monsieur, désolée.

Bien. Je dois aller chercher quelque chose à la cave. Tu restes dans cette position et tu ne bouges pas d’un poil avant mon retour.

Oui Monsieur.

J’ai enfilé un short et emprunté les escaliers qui menaient à la cave, puis allumé le plafonnier, tellement poussiéreux qu’il n’éclairait plus grand-chose. Mes parents y avaient entassé l’équivalent de toute une vie, préférant garder les choses « au cas où » plutôt que de s’en débarrasser. Ainsi, dans un carton humide, perdu sous trois autres cartons, et après dix minutes de fouille, j’ai retrouvé ce que je cherchais.

Lorsque j’étais gamin, nous avions un chien que j’avais nommé Hector, ne me demandez pas pourquoi. Hector était un énorme berger allemand que j’aimais de tout mon cur et qui avait fini par nous quitter quand j’avais une douzaine d’années. Je ne pensais pas que je ressortirais un jour son collier et sa laisse…

De retour au salon, j’ai souri en me rendant compte que Noémie n’avait effectivement pas bougé d’un poil. Elle avait un air un peu inquiet, le visage un peu crispé, mais n’a pas pu s’empêcher de sourire en voyant ce que je ramenais. Elle s’est laissée faire lorsque j’ai passé le collier autour de son cou, puis lorsque j’ai attaché la laisse au collier. Je me suis reculé de quelques pas pour mieux l’admirer, elle était belle avec cet air de chienne, la laisse tombant indécemment entre ses seins et sur son ventre.

Mon cadeau te plaît ? lui ai-je demandé.

Oui Monsieur, merci. Monsieur ?

Oui ?

Je… je dois faire pipi…

Je n’ai pas pu m’empêcher de sourire. J’ai certes hésité un instant, sachant que je m’apprêtais à franchir une barrière qui était peut-être rédhibitoire pour elle. Mais il fallait que j’essaie, je n’aurais peut-être pas d’autre chance.

Suis-moi, lui ai-je dit en tirant sur la laisse, la forçant à se mettre à quatre pattes.

Elle m’a suivie, tel un animal, jusqu’à la grande baie vitrée menant au jardin, mais s’est arrêtée net lorsque j’ai ouvert la porte vitrée. Peut-être avait-elle compris où je voulais en venir.

Monsieur… a-t-elle tenté de dire.

Mais j’ai tiré sur la laisse sans répondre, et l’ai fait sortir. Le temps était couvert, mais il faisait très lourd. Ça sentait l’orage. Et les orages avaient tendance à m’exciter. J’ai tiré sur la laisse, forçant Noémie à traverser le jardin à quatre pattes, jusqu’à ce qu’on arrive près d’un bosquet.

Vas-y, lui ai-je dit.

N’ayant aucune réponse de sa part, je me suis vu obligé de me répéter.

Tu voulais pisser, non ? Alors, vas-y, je t’en prie.

Monsieur, vous êtes encore plus pervers que ce que je pensais… m’a-t-elle répondu froidement.

Ne fais pas d’histoire, je suis sûr que ça te plaît. Ça te plaît, non ?

Pour toute réponse, je l’ai vue s’accroupir, face à moi, et écarter ses jambes au maximum. J’avais ainsi une vue dégagée sur sa fente entrouverte, et sur le jet doré qui a finalement jailli d’entre ses lèvres. Tout en pissant, Noémie me fixait de ses grands yeux bleus, un sourire arborait son visage. Une érection de folie déformait à nouveau mon short.

Je me suis jamais sentie aussi salope, m’a-t-elle dit alors qu’elle finissait d’uriner.

C’était confirmé, j’étais amoureux de cette fille !

J’ai sorti mon sexe sans répondre quoi que ce soit, et comme par automatisme, Noémie a ouvert la bouche. Je l’ai pénétrée rapidement, et profondément. Elle s’est étouffée à plusieurs reprises, bavant abondamment sur mon sexe et mes testicules, mais je la tenais par les cheveux et baisais sa gorge avec force. J’étais tellement excité par la situation que je n’ai pas tenu bien longtemps. Quelques minutes à peine, et je m’enfonçais au plus profond de sa gorge pour éjaculer. Noémie s’est mise à tousser, mais n’a rien recraché de la liqueur que je lui ai offerte, et a tout avalé en me regardant droit dans les yeux.

D’accord, ai-je dit en reprenant mon souffle, je crois qu’on a quand même mérité une bonne douche.

J’ai à nouveau tiré sur la laisse et on a fait le chemin inverse jusqu’à la maison, Noémie toujours à quatre pattes. On a été prendre une douche à deux, une douche tiède, rafraichissante. Je me suis entièrement occupé d’elle, passant du savon sur tout son corps, du shampoing dans ses cheveux, la rinçant consciencieusement. Aujourd’hui, elle m’appartenait entièrement, et je devais en prendre encore plus soin.

Alors que je sortais de la douche et que Noémie s’enroulait déjà dans une serviette, je lui ai demandé :

Est-ce que Nadia est au courant de ces fantasmes que tu as ?

Je t’ai dit, Nadia est au courant de tout.

Elle serait pas choquée de te voir complètement soumise, alors ?

Noémie s’est tournée vers moi, comme pour lire dans mon regard le plan que j’étais en train de concocter.

Je sais pas, a-t-elle répondu. Je crois pas, mais peut-être. Pourquoi ?

Je pensais qu’on pourrait l’inviter dans l’après-midi, comme hier. On s’est bien amusés, je trouve. Non ?

Oui… Bien sûr, c’est… C’est comme vous voulez Monsieur, je vais lui envoyer un message.

Parfait. Maintenant, habille-toi, on va aller faire quelques courses.

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