Le lendemain matin, je commençais ma première journée de travail. Pierrette, la fermière, m’a emmené au potager et m’a demandé de récolter les carottes et les asperges. Ça n’était pas difficile : je m’acquittais facilement de ma tâche.
Justin passait de temps en temps à quelques mètres de moi, mais je n’osais pas lui parler : j’avais peur que notre relation soit découverte et que nous soyons sanctionnés. Mais j’espérais pouvoir le voir en cachette…
Pierrette semblait satisfaite de mon travail. Aussi elle m’a accordé une pause dans l’après-midi : j’ai choisi d’aller me baigner dans la rivière toute proche. Comme je n’avais pas de maillot de bain, j’ai demandé à Pierrette si elle pouvait m’en prêter un et voici quelle fut sa réponse :
-Tu n’as pas besoin de maillot de bain. Personne n’en porte à la ferme ! On est chez nous, personne ne nous voit !
Ça ne m’a pas du tout choquée, bien au contraire… J’ai retiré mon short et mon T-shirt et je suis rentrée dans l’eau. Je prenais un réel plaisir à nager nue : une sensation de liberté incroyable.
Je n’ai même pas vu Justin rentrer à son tour dans la rivière. Tout à coup, il était à mes côtés ! J’étais comblée !
On a joué comme des gamins à s’asperger d’eau ! Puis on est passé à d’autres types de jeux : sous l’eau, on s’est fait plein de petites caresses ! Personne ne pouvait voir ce qu’on faisait et on en profitait ! On s’amusait bien !
Puis on a vu Pierrette entrer dans la rivière en agitant ses gros nénés. Arrivée à notre hauteur, elle s’est adressée à nous :
-Alors les amoureux ! Vous croyez que je ne vous ai pas vus !
On était pris la main dans le sac alors qu’on pensait s’être caressés en toute discrétion !
-Allez ! Je vais être sympa : vous avez un quart d’heure avant qu’on reprenne le travail !
Avec Justin, on s’est concertés : il fallait vraiment profiter au mieux de ce temps très court !
Nous sommes très vite sortis de l’eau pour aller nous allonger dans l’herbe. Tout de suite, je me suis occupée de lui. J’ai longuement caressé son torse musclé, son ventre, son nombril, sa bistouquette et même ses roubignoles.
Puis j’ai approché ma langue et j’ai léché son organe mâle. J’y ai mis tellement d’entrain qu’il s’est raidi en moins de deux !
La veille, dans la pénombre, je n’avais rien vu ; en plein jour, j’étais vraiment impressionnée ! Au sommet de la tige épaisse trônait un gland tellement appétissant que je m’empressais de le sucer.
Pierrette me regardait comme si elle assistait à un cours ! Alors qu’elle en savait sans doute un rayon sur le sujet…
Je continuais à m’occuper de Justin tout en jetant un il à l’impressionnante poitrine de la fermière. Alors il m’est venu une idée un peu tordue ! J’ai lâché prise et j’ai dit à Pierrette :
-Tiens ! A toi de jouer ! Justin a très envie de tes nichons !
Alors Pierrette lui a donné une bonne branlette espagnole ! J’étais fascinée de voir ce gros dard qui semblait perdu au milieu de ces deux énormes mamelles ! Pierrette semblait y prendre son plaisir tout autant que Justin. Elle pressait sur ses seins tout en allant et venant au-dessus du jeune homme ! J’aurais pu regarder ce spectacle pendant des heures …
Mais la jalousie m’a envahie : je ne pouvais plus supporter de voir Justin avec une autre femme et il fallait que je les interrompe. Pour cela, tous les moyens étaient bons : alors j’ai mis carrément mon index entre les fesses de Pierrette et je l’ai enfoncé le plus possible ! Pierrette a immédiatement lâché Justin !
Alors que je m’attendais à ce qu’elle me gronde, elle a dit :
-Vas-y ! Encore !
J’ai continué à doigter sa petite rondelle jusqu’à ce qu’elle jouisse en poussant un cri rauque puis je l’ai abandonnée.
Chacun de son côté, nous sommes allés nous reposer allongés sur l’herbe. J’avais les cuisses écartées et la brise me caressait la foufoune ! Quelle sensation unique ! J’aurais voulu que ça dure un moment mais la voix de Pierrette s’est faite entendre :
-Plus que cinq minutes avant la fin de la pause !
Il y avait urgence à agir !
Justin est venu me rejoindre, me caressant les seins, puis les léchant. Ce n’était qu’un début, car sa langue est descendue sur mon ventre, elle est entrée dans mon nombril. C’était si bon !
Quelques secondes plus tard, sa langue était entre mes cuisses, me titillant habilement le bouton de rose et me donnant les prémices de l’orgasme. Je commençais à savourer le moment ! Le bout de sa langue entrait et sortait de mon temple à mon plus grand bonheur ! Il savait y faire, je vous l’assure ! Et il ne se lassait pas !
Mais Pierrette nous a prévenus qu’il ne restait plus que deux minutes : Justin est venu mettre ses lèvres sur les miennes, et en même temps il a positionné délicatement son instrument à l’entrée de mon jardin secret.
Comme la veille, il mettait beaucoup de tact et de volupté dans l’entreprise. Je sentais la poutre m’emplir le ventre avec délice ! Soudain, il s’est mis à accélérer le mouvement de va-et-vient. Comme les sensations étaient agréables !
Pierrette continuait à mater la scène. Mais pas seulement…
Sans prévenir, elle a commencé à me masser le berlingot frénétiquement ! Je ne m’y attendais vraiment pas ! Je suis montée directement à l’étage supérieur en terme de plaisir. Mes deux compagnons se complétaient admirablement pour stimuler les emplacements les plus sensibles de mon intimité. Tandis que Justin continuait ses coups de boutoir, Pierrette s’acharnait sur mon petit bouton avec ardeur et j’étais à deux doigts du plaisir absolu.
D’un coup, j’étais rentrée dans un autre monde : je ne contrôlais même plus mon corps pris soudain d’un énorme spasme, tandis que mes cordes vocales lâchaient un hurlement audible à des lieues de là. Il n’y a pas de mots pour décrire un orgasme si intense !
Justin m’a avoué par la suite qu’il avait joui en même temps ! Et Pierrette m’a raconté qu’elle s’était donné du bonheur en se caressant !
Après cette débauche d’efforts, Justin a dû me porter dans mon lit car je ne tenais même pas debout. Je me suis endormie assez vite : j’ai rêvé de lui et du coït incroyable que nous avions connu. Un rêve doux et interminable comme on en a peu !
A mon réveil, Justin était allongé à mes côtés et il m’a dit :
-Alors bien dormi ?
-TRÈS bien dormi !
A son petit sourire en coin, j’ai compris qu’il m’avait fait l’amour toute la nuit ! Ce que j’avais pris pour un rêve n’en était pas un !
C’est alors qu’il m’a enlacée et qu’à nouveau nous nous sommes étreints comme des bêtes !
