Je me penche sur le lavabo et fixe mon visage au regard cerné de fatigue.

Je n’arrive pas à fermer l’il, les mots de Mike résonnent dans ma tête et m’empêchent d’avoir la conscience tranquille.

Pendant la soirée, on avait commandé des pizzas mon père n’ayant pas pour vocation la cuisine. Mike restait silencieux et envoyait quelques regards à mon père. Assise dans un coin, j’attendais les jambes grelottantes que Mike lui balance à la figure tout ce qu’il avait vu, et peut-être même la pizza et quelques coups de poing au passage. Mais heureusement, Mike réussit à se contrôler.

Mon père, exténué, s’en alla dormir tôt. J’allais profiter de cet instant pour expliquer à Mike l’inexplicable, ou tenter de lui trouver une excuse bidon à se mettre sous la dent. Au lieu de m’écouter, il se leva dès qu’il entendit son prénom s’échapper d’entre mes lèvres, et se dirigea vers la chambre d’amis sans m’accorder un regard.

Alors, je me suis noyée davantage dans la dépression, ayant pour seule compagnie la pluie qui tapait sans cesse contre les fenêtres.

Je porte un t-shirt qui m’arrive au ras des fesses et une petite culotte qui me serre. J’ai envie de l’enlever mais j’ai peur de m’attirer encore plus de problèmes, si mon père venait à se lever ou bien Mike, ou pire les deux. Une sensation étrange me réchauffe l’entrecuisse.

— Et puis merde…, je lance dans un soupir en baissant ma culotte et en la jetant dans le panier à linge.

Je me regarde encore une fois dans la glace et me mets à bâiller. Je tombe de sommeil, mes yeux mi-clos me donnent un air salope soumise, ce qui n’est pas pour arranger l’état de ma chatte trempée.

Je me penche davantage sur le lavabo en écartant un peu les jambes, ce qui fait remonter mon t-shirt à la moitié de mon cul. Je passe ma main sur mes lèvres intimes et commence à les écarter quand soudain j’entends un bruit derrière-moi. J’ai à peine le temps de me redresser qu’une main vient se plaquer contre ma bouche. Mon cur bat très fort, mais j’arrête de gémir en voyant à travers la glace que c’est mon père. Il retire lentement sa main quand il s’aperçoit que je me tais. Il n’est vêtu que d’un boxer et j’arrive à sentir sa queue frôler mes fesses.

— Pourquoi tu ne dors pas  Anna ?

C’est vrai que je suis très fatiguée. Je m’agrippe au lavabo pour garder l’équilibre. Mon père remarque mon épuisement à travers la rougeur de mes yeux presque fermés. Il pourrait même croire que je me suis shootée à quelque chose.

— Ça va Anna ?

J’hoche de la tête en me cambrant involontairement. Je ne sais pas s’il se colle à moi pour m’empêcher de tomber ou pour autre chose, mais je le sens bien dur derrière-moi.

— Papa, va dormir.

J’entrouvre mes yeux et le vois glisser ses mains derrière mon dos. Mon t-shirt remonte un peu plus et lui dévoile la totalité de mes fesses galbées. Je veux lui demander d’arrêter, mais au lieu de ça, je soupire au contact de ses doigts qui traversent ma raie. Par la suite, il m’embrasse le cou, tout en me maintenant fermement collée à lui. Je ne sais pas encore comment je tiens debout, mais je sens que je mouille l’intérieur de mes cuisses.

— Pourquoi tu n’as plus de culotte ? me souffle-t-il à l’oreille.

— J’avais chaud…

Je réponds lentement et avec douceur, comme si j’allais m’évanouir d’un moment à l’autre. Je sens soudain la chaleur de sa peau contre mes fesses, il a sûrement baissé son boxeur ou complètement enlevé, je ne sais plus.

— Non… Mike est juste à côté…

Mais au lieu de s’arrêter, mon père me suce le cou. A travers la glace, je vois qu’il a glissé une main sous mon t-shirt et qu’il malaxe un de mes seins. J’étouffe un gémissement et bascule ma tête en arrière. J’en peux plus, ses caresses me rendent folle et m’excitent. J’écarte automatiquement les jambes et me cambre encore plus qu’avant, lui offrant ma croupe comme une femelle en chaleur. Oh mon Dieu… Je lève mon visage vers la glace et vois son expression quand il me pénètre, ses pectoraux qui se contractent quand il serre mes hanches. Sa queue entre facilement, avec la quantité incroyable de mouille qui dégouline de mon sexe, il aurait pu y enfoncer ce qu’il veut.

    La vision que j’ai en face de moi m’excite davantage et m’arrache des gémissements. Je vois mon père derrière moi qui me culbute et moi qui tente de m’accrocher au lavabo pour ne pas faillir sous ses coups, les fesses à l’air qui claquent à chaque fois qu’il va et vient en moi. Je ne sais plus où je suis, ni ce que je dis.

— Oh putain quelle salope…

D’une main, mon père me maintient par la hanche et de l’autre il soulève ma jambe droite. Il continue à me pénétrer ainsi écartée. Il ne tarde pas à venir, giclant dans ma chatte brûlante, et finissant de se déverser sur mon cul et mon t-shirt. Je fus parcourue de spasmes et me retrouvai sur le cul, les jambes écartées sur le carrelage froid de la salle de bain. La queue de mon père était à quelques centimètres de mon visage, mais je n’osais pas la toucher, ni même lui adresser un regard. J’avais honte, mais surtout j’étais fatiguée. Je le laissai donc s’éloigner pour regagner sa chambre.

Me croyant sortie d’affaire, j’allais me relever mais je trébuchai aussitôt en voyant Mike s’approcher, téléphone à la main.

— Tu viens de confirmer mes doutes les plus tordus, dit-il en arrêtant de filmer.

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