La dernière fois, je vous ai raconté comment j’ai fait ma première pipe avec mon copain. Ça a été tellement agréable, que nous avons recommencé très souvent. Moi je pipais mon pote et lui, ne voulant pas me sucer, me branlait. Je n’étais pas frustré car mon plaisir était énorme d’avoir la bite de mon ami en bouche et de l’amener à la jouissance avec ma bouche. Grâce aux branlettes de mon copain, je prenais mon pied à fond. Le seul truc que je ne voulais pas, c’était qu’il jouisse dans ma bouche.
Quelques mois se sont passés ainsi, avec mes pipes et ses branlettes et ce avec toujours autant de plaisir. Nous nous retrouvions 2 à 3 fois la semaine.
Un jour, mon copain me téléphone pour me dire que ses parents n’étaient pas chez lui. Je l’ai donc rejoins pour nous prêter à nos jeux favoris. Comme l’appartement était vide, nous avons décidé de rester au salon. Nous nous sommes déshabillés et avons commencé nos pratique sexuels. Pour créer l’ambiance mon pote avait mis de la musique. En pleine action, la porte s’est ouverte et le père de mon pote, qui avait oublié son portefeuille, nous a trouvé, moi en train de sucer mon ami et lui me masturbant. Sans jeu de mots, ce fût la débandade générale. Il nous a ordonné de nous rhabiller. C’était la catastrophe. Mon pote ne rigolait vraiment pas et moi je me demandais ce qui allait ce passer. Il demanda à son fils de monter dans sa chambre. Quand celui-ci fût parti, il m’ordonna de m’assoir. Je m’attendais à une sérieuse réprimande et surtout, ce que je craignais le plus, c’est qu’il aille raconter tout à mes parents. Mais, au lieu de tout ça, il me parla gentiment. Il me raconta que lui aussi il aimait se faire sucer par un homme ou un garçon. Voyant mon air ahuri, il me proposa un marché. Si j’étais d’accord, je lui faisais une pipe et il ne dirait rien à mes parents. Évidement, j’acceptais de suite ce marché. J’étais content d’éviter la colère de mes parents et surtout l’idée de sucer un homme m’excitait à fond. Nous avons convenu de se retrouver le samedi qui suit, il enverrait sa femme et mon copain faire des achats le matin. Il me dit de venir vers 9h30. Les quelques jours me séparant du samedi furent longs.
Le samedi arriva enfin. A l’heure convenue, je me présente donc chez mon copain. Comme c’était prévu le père de mon pote était seul. Il me fît entrer puis me demanda de me déshabiller tout de suite car il était impatient de commencer. Je me déshabillais donc pendant qu’il en faisait de même. Étant de dos, j’étais un peu anxieux car c’était la première fois que j’allais voir une bite d’adulte n’ayant vu que celle de mon copain. Quand je me suis retourné, j’ai vu le sexe du père de mon ami en pleine érection. Mon dieu, qu’elle était belle sa bite et surtout énorme comparativement à celle de son fils. Il s’installa sur le divan et me demanda de commencer à le sucer. Je me suis donc agenouillé et j’ai commencé à pomper le père de mon copain. Étant lui-même assez excité, il ne tarda pas à jouir. Quand il sentit monter son plaisir, il me repoussa pour ne pas jouir dans ma bouche. Pour me remercier, il me masturba et je jouis presque de suite car mon excitation était grande.
Profitant de ce moment de répit, il m’expliqua qu’il avait un peu sermonné son fils pour le principe, mais qu’il n’avait rien dit à sa mère.
Ayant reprit des forces, nous avons recommencé d’abord à nous masturber puis je le repris dans ma bouche. Il prit ma bite en main et comme nous étions tête bêche il me fit également un pompier. Ce fût une explosion dans ma tête car c’était une grande première pour moi. Une personne me sucait et je n’avais jamais rien ressenti de pareil. Je ne fût pas long à exploser, mais contrairement à moi, il me laissa jouir dans sa bouche. Puis ce fût lui qui jouit, mais moi, je n’étais pas prêt à recueillir sa semence dans ma bouche.
Après quelques moments de récupération, il me demanda si j’étais d’accord de recommencer. Bien sur que j’étais d’accord. Il me demanda également de ne pas parler de ce qui venait de ce passer. Je marquais mon accord et avant de partir nous prîmes rendez-vous pour le samedi suivant.
Le mercredi suivant, mon copain est passé chez moi pour voir comment j’allais. Il me dit qu’il était étonné de ne pas être fort puni. Il me demanda ce que mes parents avaient dit. Je lui racontais que son père n’avait rien dit à mes parents. Il fût étonné. Ayant une heure avant le retour de mes parents, nous avons profité pour pratiquer nos jeux sexuels.
Suite au prochain si…