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L'initiation de Guillaume….. – Chapitre 1




La pluie tombait drue sur le pare-brise de la ’Clio’. Claire derrière son volant devait porter tout son attention sur la route luisante devant le capot de la voiture. Aussi c’est avec un immense soulagement qu’elle franchit le portail de sa maison. Stoppant le moteur du véhicule, elle courut jusqu’à la porte d’entré qu’elle ouvrit rapidement pour se mettre à l’abri. Mais comme elle s?ébrouait vivement sur le perron, elle aperçut une silhouette qui s’abritait tant bien que mal sous le porche de la maison d’en face. Reconnaissant Guillaume, le fils de ses voisins, elle l’appela afin qu’il vienne se protéger de la pluie. Ruisselant de la tête aux pieds, le garçon ne se fit pas prier pour se précipiter vers l’abri qu’on lui proposait et dans lequel il s’engouffra dégoulinant.

— Mon Dieu ! Mais tu es trempé, s’exclama Claire en découvrant l’état dans lequel l’adolescent était. Tu vas attraper la mort si tu restes comme ça !… Viens, suis-moi !

Sans se soucier des traces que le garçon laissait sur le carrelage, elle l?entraîna jusqu’à la salle de bain.

— Vite, enlève-moi tes vêtements mouillés que je les fasse sécher vers le radiateur, lui commanda-t-elle.

Heureux de se débarrasser de ses habits trempés Guillaume s’exécuta, ne gardant par pudeur que son slip, qui en fait n’était pas trop humide. Malgré elle, Claire remarqua que l’adolescent possédait un corps harmonieux : des épaules larges, un torse développé, le ventre plat, la taille fine et des cuisses musclées. Inconsciemment elle perçut une étrange attirance pour ce jeune corps d’éphèbe, lisse et svelte, pareil à la statue de David de Michel-Ange à Florence, et elle dut faire un véritable effort sur elle-même pour s’arracher à sa contemplation. Attrapant une serviette éponge, elle entreprit alors de frictionner vigoureusement ce corps d’adolescent qui la troublait curieusement.

— Il y a longtemps que tu étais dehors sous la pluie ? S’inquiéta-t-elle.

— Une demi-heure, précisa l’adolescent.

— Et tes parents ne sont pas là ?

— Maman devait être là, mais je ne sais pas ou elle est allée.

— Tu l’attendras ici.

Tout en conversant avec le garçon, Claire lui avait frotté la tête, puis le torse, et s’étant agenouillée à même le sol carrelé elle continua son essuyage, passant la serviette sur le ventre de l’adolescent debout devant elle, comme elle l?aurait fait avec son propre fils, qui d?ailleurs ne devait guère être plus âgé que Guillaume. A un moment sa main vint par mégarde frôler la virilité tapie sous le slip. Mais si tout à sa tache elle n?y apporta pas d?importance, Guillaume pour sa part ressentit une étrange sensation en sentant la main féminine effleurer son membre viril. Troublé et quelque peu gêné de se trouver ainsi à demi-nu face à sa voisine, même si celle-ci avait à peu prés l?âge de sa propre mère, il baissa son visage vers la femme agenouillée à ses pieds, guettant une réaction de celle-ci. Mais du fait de la position agenouillée de son hôtesse, son regard plongea directement dans le corsage entrebâillé de cette dernière, dans lequel il découvrit la naissance d’un sein blanc ; alors que la main féminine heurtait son sexe pour la seconde fois. Affolé par ce qu’il voyait de la gorge de son hôtesse, et par les frôlements que celle-ci prodiguait inconsciemment à son membre, Guillaume affolé, sentit sa jeune verge se gonfler lentement en se redressant inexorablement. Bouleversé par cette transformation organique qui s’effectuait au niveau de son sexe, il crispa désespérément son bas-ventre, tentant de stopper cette érection inopportune et terriblement gênante.

Tout occupée à son labeur, n?ayant rien remarqué du trouble sexuel qu?elle avait occasionné bien malgré elle, chez l?adolescent, Claire laissa descendre la serviette le long des jambes de ce dernier, qu?elle trouva agréablement développées.

— Tu es rudement musclé, lança-t-elle à l’adolescent. Tu fais du sport ?

— Oui, du foot, répondit fièrement Guillaume.

Etonnée, Claire se surprit à ressentir un certain plaisir à sentir les muscles de l?adolescent se durcirent sous sa main, aussi s?y attarda-t-elle plus qu?elle n?aurait dû, éprouvant une étrange attirance. Mais alors qu?elle remontait la serviette sur les cuisses sportives, son regard se posa par hasard sur la protubérance qui déformait le slip de l’adolescent et elle demeura stupéfaite de ce qu?elle découvrait. Le tissu humide dessinait avec une précision affolante la forme du jeune membre viril, raide et gonflé. La gorge soudainement nouée par un trouble étrange, elle fixa incrédule cette manifestation du désir du garçon. Jamais elle n?aurait imaginé qu?un gamin de cet âge pouvait avoir une érection de cette force et cette découverte la troubla tellement qu?elle resta un long moment à fixer cette extraordinaire excroissance qui déformait le léger slip ; n?en croyant pas ses yeux. Mais se rendant compte que cette vision la perturbait plus qu’il ne fallait, elle tenta de s’y soustraire.

— Tourne-toi, demanda-t-elle à Guillaume d’une voix soudain enrouée, que je t’essuie le dos !

Soulagé à l’idée de cacher son émoi sexuel aux yeux de la femme, l?adolescent pivota vivement sur lui-même.

Le regard encore emplit de ce qu’elle venait de découvrir, Claire s’attaqua au dos du garçon, mais d’une manière plus délicate, plus suave. Rapidement elle laissa descendre la serviette jusqu’aux fesses tendues, qu’elle entreprit de frotter avec douceur, éprouvant soudain un plaisir sensuel à sentir cette jeune chair sous ses doigts. Se rendant compte soudain qu’elle était en train de s’exciter sur le corps d’un garçon qui aurait pu être son propre fils, Claire dans un sursaut de volonté abandonna ses frottements et se redressa le souffle court et la gorge nouée.

— Je vais te faire chauffer un chocolat pour te réchauffer, lança-t-elle à Guillaume. Profites-en pour finir de te sécher et te donner un coup de peigne.

Ramassant les vêtements trempés de l’adolescent, Claire les emporta afin de les étendre sur un radiateur pour les faire sécher.

Resté seul avec son trouble, Guillaume se trouva soulagé. Glissant une main curieuse dans son slip, il ne put que constater la triste réalité, il était victime d’une érection phénoménale : une de ces érections qui depuis quelque temps se manifestait le matin à son réveil et qui l?obligeait bien souvent, à l?abri des draps, à se masturber d?une main alerte jusqu?à l?éjaculation libératrice qui venait mettre fin à cette raideur gênante. Comme il ne pouvait décemment pas se calmer ainsi qu?il en avait l?habitude, il tenta d?oublier son érection fâcheuse en s?asseyant sur le bord de la baignoire, espérant que son trouble sexuel allait disparaître après un moment de calme. Mais comme il jetait un regard interrogateur autour de lui, son attention fut attirée par la panière d?osier où s?entassait le linge à laver. Un morceau de dentelle noire capta sa curiosité. Curieux, il avança une main indiscrète avec laquelle il tira le tissu à lui, découvrant avec émoi qu’il tenait entre ses doigts une des culottes de son hôtesse. La gorge nouée par l?importance de sa découverte, il contempla longuement l?affolante lingerie féminine noire et si fine qu’elle en était translucide. C?était la première fois qu?il pouvait toucher et contempler un slip féminin aussi excitant ; ceux que sa mère laissait traîner étaient plus anodins, en coton sans aucunes fioritures, presque des slips d?homme. Pris d’un désir soudain, il écarta les dentelles noires afin de découvrir l’entrejambe renforcé de la si fine culotte, découvrant avec émotion sur le satin noir, quelques taches douteuses. Se laissant guider par son jeune désir, il porta l?affolante lingerie féminine à ses narines, et le visage enfoui dans la soie il tenta d?en humer les odeurs qui s’en dégageaient ; frottant avec une délectation certaine son nez dans les replis secrets de l?affriolant dessous féminin, il s?enivra des senteurs qui s?en dégageaient.

Pendant ce temps, dans la cuisine Claire, tout en préparant le chocolat pour son jeune protégé ne pouvait s’empêcher de penser à ce qui s’était passé dans la salle d’eau. Etrangement émue, elle s?interrogea sur l?étrange mais impérieux désir qui l’avait submergé lorsqu’elle s’était rendue compte que le garçon qu’elle considérait comme un gamin, avait eu une véritable érection d’adulte sous ses attouchements pourtant anodins. Le bas-ventre contracté, elle se surprit à désirer pouvoir contempler cette jeune virilité ; et malgré les efforts qu’elle faisait pour repousser cette tentation perverse et hors nature, son esprit y revenait sans cesse, avec toujours plus d?insistance ; si bien qu’entre ses cuisses une douce chaleur ne tarda pas à enflammer sa vulve qui s’humidifia en s?entrebâillant de désir :

<< Tu es folle, ne cessait-elle de se répéter. Ce n’est qu’un gamin. >>

Elle qui avait toujours été fidèle à son mari, qui n?avait jamais répondu aux avances pourtant nombreuses que lui avaient prodigué nombres d?hommes ; voilà qu’à quarante-deux ans elle se sentait attiré par cet adolescent au corps lisse et musclé, appâtée par sa jeune virilité qu’elle imaginait d’une douceur extrême.

Mais le chocolat étant prêt, elle tenta de chasser une fois de plus de son esprit ses envies pernicieuses.

— Guillaume, appela-t-elle. Ton chocolat est prêt, viens le boire pendant qu’il est chaud !

La voix de la femme tira l’adolescent de ses griseries érotiques. Remettant vivement et à contre coeur l’affriolante lingerie dans la panière, il se dirigea vers la cuisine, affolé à l?idée que son hôtesse allait découvrir son érection qui avait encore gagné en volume. Tentant de cacher maladroitement de ses mains la bosse que faisait sa verge monstrueusement gonflée, il s?avança dans la pièce.

Lorsque le garçon pénétra dans la pièce, Claire ne put s’empêcher de jeter un coup d?oeil salace en direction du bas-ventre de ce dernier. Malgré les efforts que celui-ci tentait pour dissimuler l?indiscrète protubérance qui déformait le devant de son slip, elle put quand même se rendre compte que le malheureux bandait toujours aussi violemment. Elle demeura surprise de constater que cette observation lui procurait une joie perverse.

— Installe-toi, et bois pendant que c’est chaud.

La cuisine était meublée d’une grande table en chêne et de deux bancs fait du même bois. Guillaume s’assit sur l’un des deux et commença à boire son chocolat fumant. Claire demeura un instant debout à regarder tendrement l’adolescent se restaurer, mais le désir qui lui consumait le bas-ventre étant le plus fort, elle vint s’asseoir à coté du garçon à demi nu, collant ostensiblement sa cuisse contre la sienne ; éprouvant un ineffable plaisir à sentir contre sa chair la chair chaude et douce de l?adolescent. Tout à sa dégustation Guillaume ne s’aperçut pas immédiatement du contact de la jambe féminine contre la sienne, aussi ne bougea-t-il pas. Encouragée par cette immobilité, Claire dont le désir devenait de plus en plus insistant osa poser sa main droite sur la cuisse nue de son jeune invité, frémissant de passion contenue en percevant la fermeté et la douceur de la chair sous sa paume.

— Ca va mieux ? Questionna-t-elle maternellement, afin de se donner une contenance et de chasser de son gosier cette boule créée par le désir.

Sous le contact de la main féminine si douce sur sa peau nue, Guillaume éprouva un tel choc émotif, qu’un long frisson le secoua tout.

— Mais tu as froid, s’inquiéta Claire, se méprenant sur l’origine du frisson qui avait parcouru la cuisse sur laquelle ses doigts étaient posés.

     Profitant de l’excuse qui lui était ainsi donnée, elle entreprit de frotter d’une main énergique la cuisse de l?adolescent.

— Tu aurais du ôter ton slip, réprimanda-t-elle. Je t’en aurai donné un de mon mari.

Affolé à l’idée que la femme l’oblige à retirer son dernier vêtement et découvre ainsi son érection toujours aussi vivace, Guillaume s’empressa de répliquer.

— Non, non, je vous assure que ça va bien.

Faisant la sourde oreille, ne voulant pas abandonner son projet, Claire n’en continua pas moins de masser la cuisse musclée du jeune garçon, en un lent et sensuel va-et-vient, qui partant du genou remontait jusqu’à l’entrecuisse. Immobile, transformé soudainement en statue de sel, Guillaume appréciait la caresse de la main féminine qui comme par maladresse venait effleurer l?énorme bosse que faisait son membre prodigieusement gonflé.

Se laissant guider par ses sens en ébullition, incapable de se contrôler davantage, Claire, laissa sa main remonter jusqu’au bas-ventre du garçon, frôlant ainsi la jeune verge raide et dilatée. Un long frisson sexuel la parcouru toute à ce contact.

— Mais qu’est-ce que tu caches là, tenta-t-elle de plaisanter, d’une voix enrouée, réfrénant difficilement l?envie qu?elle avait de refermer sa main autour de cette protubérance affolante.

Incapable de répondre à une pareille question, Guillaume ne réussit qu’à émettre une sorte de borborygme. Ne pouvant contenir plus longtemps le désir insidieux qui lui humidifiait sournoisement l?entrecuisse, Claire, abandonnant toute retenue et toute pudeur, referma ses doigts autour de la raideur qui l’affolait tant :

— Mais tu bandes ! S’exclama-t-elle hypocritement en pressant fermement la colonne de chair gonflée.

Se sentant découvert, Guillaume, mort de honte tenta de se disculper :

— Je vous demande pardon, se lamenta-t-il. Je ne l’ai pas fait exprès.

Ravie par la tournure que prenaient les événements, Claire dont le désir se faisait de plus en plus tenace, s’empressa de mener le débat à sa guise :

— Tu n’as pas à t’excuser, le rassura-t-elle tout en pressant sans vergogne à travers le slip la jeune verge gonflée. Quel âge as-tu ?

— Quinze ans, madame… J’aurai seize ans dans trois mois.

— Et bien Guillaume, à ton âge c’est tout à fait normal d’avoir ce genre de problème… ?a ne t’es jamais arrivé auparavant ?

— Euh !… Si, des fois, soupira l’adolescent, ne sachant qu’elle attitude adopter devant cette femme qui lui posait des questions terriblement embarrassantes, tout en lui étreignant la bitte de si agréable façon.

— Et lorsque cela t?arrive…Tu te… Tu te branles ?… Continua Claire, éprouvant un certain plaisir à interroger l?adolescent.

— Euuhh… Oui, quelquefois, répondit Guillaume dans un souffle, terriblement mal à l?aise.

— Je ne peux tout de même pas te laisser comme ça, insista hypocritement Claire qui mourait d?envie de pouvoir étreindre cette jeune virilité… Tu veux que je te calme ? ?a te ferait plaisir ?

— Ouu… oui, osa répliquer Guillaume d’une petite voix mal assurée.

Heureuse d?avoir pu mener à bien ses désirs, Claire referma fermement ses doigts autour de la colonne qui gonflait le slip, et à travers le vêtement, elle entreprit le coeur battant, de la caresser en une lente et sensuelle masturbation. Mais dans le mouvement de va-et-vient de sa main, le slip glissa légèrement, laissant apparaître aux yeux extasiés de la femme le gland dilaté de l?adolescent. Sidérée devant cette découverte, elle en cessa sa douce câlinerie pour fixer incrédule le bourgeon de chair rose qui tel un diablotin farceur avait jailli des profondeurs du slip. Il fallait à tout prix qu?elle contemple cette jeune verge, tous ses sens, tout son corps le réclamait. Mais l?endroit ne s?y prêtant guère, elle se redressa, abandonnant momentanément l?objet de ses désirs pour saisir Guillaume par la main et le forcer à le suivre. Tirant l’adolescent par la main, elle le guida jusqu’à sa chambre où là elle le poussa sur son lit sur lequel il s’écroula sur le dos. Grimpant à son tour sur la couche, Claire se plaça promptement à genoux entre les jambes écartées du garçon, les fesses reposant sur ses talons. Transformée en véritable nymphomane, ne contrôlant plus ses sens exaltés, elle se pencha sur le bas-ventre de Guillaume. Fixant avec envie la sensuelle protubérance qui déformait le sous-vêtement, elle décida de faire durer encore un peu ce merveilleux supplice qui lui torturait le bas-ventre. Délicatement elle posa ses lèvres sur l?affolante bosse que faisait le jeune membre viril gonflé, et à travers le vêtement qui le recouvrait de nouveau entièrement elle le picora de tendres baisers, le mordillant même à travers le coton du slip.

Sous ces effleurements terriblement agaçants pour son désir exacerbé, Guillaume poussa un gémissement de bonheur en agitant subrepticement ses hanches dans un mouvement d?impatience amoureuse. Mais dans ses agitations désordonnées son slip glissa légèrement, dévoilant de nouveau l?extrémité gonflée de sa jeune virilité.

Découvrant soudain à quelques centimètres de ses yeux le merveilleux gland à la peau rose et lisse, Claire ne put résister plus longtemps à l?envi qu?elle avait de contempler enfin cette virilité aux dimensions extravagantes. Saisissant le slip qui lui cachait l?étonnant objet sexuel, elle le repoussa vivement sur les cuisses de l?adolescent, découvrant enfin ce jeune membre qui l?affolait tant :

— Oh, quel morceau, ne put-elle s?empêcher de s’exclamer, en découvrant la longue verge qui se dressait orgueilleusement devant son visage… Ce n?est pas croyable, tu es monté comme un âne !

Grisée par la découverte de cette jeune virilité à la dimension hors norme, Claire s?empressa de refermer ses doigts autour, la pressant tendrement, tout en la contemplant avidement. Jamais elle n?aurait pensé qu?il pouvait exister des membres virils de cette taille ; il est vrai qu?elle n?avait pas connu d?autres hommes que son mari. Dans son esprit, elle tenta de comparer le sexe de son époux avec celui qu?elle avait présentement sous les yeux, et qui oscillait doucement. Jacques son mari possédait une queue plus grosse, plus courtaude, mais nettement plus courte que celle de l?adolescent. De sa main refermée dépassait encore cinq à six centimètres de chair douce et veloutée, surmontée d?un gland boursouflé et à peine violacé au centre duquel s’ouvrait l?orifice tendrement refermé du méat. Malgré sa longueur étonnante le jeune membre viril possédait un diamètre correct. Mais c’est surtout l’absence de tous poils qui excitaient le plus Claire. Comme l’adolescent avait les jambes largement écartées, elle pouvait admirer avec émoi les bourses pleines et lisses comme une peau de bébé.

Cependant, affolé par cette main féminine si douce qui l’étreignait de façon fort agréable, mais demeurait par trop passive à son goût, Guillaume agita doucement ses hanches, tentant par ce subterfuge de se masturber soi même.

Comprenant le désir du garçon, Claire se pencha alors sur le merveilleux membre viril qui se dressait orgueilleusement, puis salivant abondamment, elle laissa sa salive couler sur le gland rose afin de l’humidifier copieusement. Alors seulement elle commença à agiter sa main refermée en anneau, en un mouvement alternatif, recouvrant le gland dilaté à l?aide du prépuce mobile, pour aussitôt repousser celui-ci le plus loin possible sur la base de la verge ; décalottant largement le bourgeon de chair gonflé. Les yeux fixés sur le visage du garçon pour y guetter la monté du plaisir, elle agita longuement sa main refermée, en une lente et sensuelle masturbation.

Eprouvant un indicible plaisir à se faire ainsi branler par une main féminine, Guillaume osa alors lancer son bas-ventre en avant, à la rencontre cette merveilleuse main qui le caressait si agréablement, poussant des petits gémissement de bonheur.

— Tu aimes ? Lui demanda Claire, qui éprouvait elle-même une extrême délectation à branler cette jeune queue à la chair si douce… C’est meilleur que lorsque tu te le fais toi-même ?

— Oh oui ! Gémit Guillaume aux anges.

Ressentant un plaisir insolite, mais terriblement intense, Claire fit longuement coulisser sa main refermée le long de la jeune verge, crachant par moments sur le gland pour rendre sa caresse plus fluide, plus sensuelle.

Sous cette caresse nouvelle pour lui, Guillaume ne tarda pas à se trémousser de façon désordonnée, en gémissant doucement sous la formidable sensation qu?il éprouvait au niveau du bas-ventre.

Follement excitée en constatant combien sa suave caresse affolait son jeune partenaire, Claire, prise d’un désir pervers, entreprit d?interroger ce dernier :

— Tu dois bien avoir des copines ?

— Ouui, gémit l’adolescent dont le bas-ventre se crispait désespérément sous le plaisir que lui procurait la main féminine.

— Et… Elles doivent bien te branler quelques fois, non ? Lança Claire, se surprenant elle-même de son audace mais éprouvant un étrange plaisir à pousser l?adolescent aux confidences.

— Noon, continua de gémir Guillaume, qui sentait le plaisir l’envahir inexorablement.

A cette réponse Françoise sentit un étrange plaisir l?envahir : ainsi elle était la première femme à branler l’adolescent ; la première à faire connaître à l’adolescent l?extase d?une savante masturbation.. Cette constatation ne fit qu’aggraver encore le trouble érotique qui l’habitait et lui chauffait les reins. Sa main se fit plus légère autour de la jeune verge monstrueusement gonflée, tandis que de ses ongles elle en griffait délicatement la base. Très vite les sensuelles ondulations qui agitaient les hanches de Guillaume devinrent des trémoussements désordonnés. Comprenant que l?adolescent n?allait pas tarder d?arriver au point de non-retour, Claire cessa immédiatement son affolante masturbation, et afin d’empêcher l’adolescent d’éjaculer trop rapidement, elle pressa fortement la base du gland prêt à exploser, l’étranglant franchement.

— Essaye de te retenir, conseilla-t-elle au garçon au bord de l?apoplexie… Tu verras ce n?en sera que meilleur… Nous avons tout notre temps.

Toujours agenouillée entre les jambes de son jeune compagnon elle ne relâcha sa pression autour de la verge raidie que lorsqu’elle sentit cette dernière cesser de frémir entre ses doigts. Alors seulement elle libéra le gland cramoisi.

— Ca va mieux ? Questionna-t-elle, prête à reprendre ses attouchements érotiques.

— Oui, balbutia Guillaume qui se sentait quelque peu lésé.

Devant l?air dépité de l?adolescent, Claire ressentit une affectueuse pitié :

— Tu veux que je te suce ? Lui demanda-t-elle, s’étonnant elle-même de son impudicité.

Cette offre, qu?elle faisait couramment à son époux, lors de leurs ébats amoureux, sans en éprouver la moindre gêne, la troublait étrangement face à l?adolescent.

– ?a te ferait plaisir ? …

— Oh oui ! S’exclama Guillaume n’en croyant pas ses oreilles.

Cette demande laissa Guillaume sans voix. Que cette femme lui propose ce genre de caresse qu?il ne connaissait que par ouïe dire et dont il avait pu voir quelques photos sur des revues qui circulaient sous le manteau au sein du collège, l?affolait complètement. Il allait enfin connaître les réelles sensations que peuvent procurer une bouche féminine autour de sa queue.

Oubliant alors son mari, oubliant toutes ces années de fidélité, se refusant de voir en cet adolescent superbe au sexe imposant, un gamin dont elle aurait pu être la mère, Claire se pencha sur le merveilleux membre dressé. Emue à l?idée qu?elle allait être la première à prendre en bouche cette jeune verge, elle l’aspira lentement, goûtant avec ivresse ce merveilleux moment. Du fait de la longueur extraordinaire du membre, elle ne réussit, malgré le désir qu?elle en avait à en avaler qu?une partie. L?adolescent était véritablement monté comme un âne songea-t-elle. Ses lèvres atteignirent les trois quarts de la jeune virilité lorsque que le gland gonflé vint lui heurter la glotte, l?obligeant à abandonner l?avance de sa bouche.

Sentant ce fourreau chaud et humide lui enserrer la verge, Guillaume se cambra de plaisir. Complètement affolé par la douceur de cette caresse nouvelle pour lui, il recommença à s’agiter sensuellement, lançant de plus en plus furieusement son bas-ventre en avant, à la rencontre de cette bouche féminine qui lui dispensait un aussi grand bien-être. Surprise par la violence des coups de reins de son fougueux partenaire, Claire dut lui saisir les hanches et le maintenir fermement sur le lit.

— Tu aimes ? Lui demanda-t-elle vicieusement.

— Oh oui ! S’empressa de répondre Guillaume épanoui.

— Alors laisse-moi faire… Tu vas voir, ça va être meilleur encore !

Replongeant son visage sur la jeune verge dressée, elle reprit sa voluptueuse fellation. Et comme elle avait fait quelques instants plus tôt avec sa main, elle entreprit d’agiter sa tête de haut en bas, faisant charnellement coulisser ses lèvres humides le long du jeune membre raidi. Lorsqu’elle remontait sa bouche sur le sommet de la verge, elle refermait délicatement ses dents quelques instants sous l’extrémité renflée du pénis, tout en léchant d?une langue souple et agile le gland turgide, finissant d?affoler le jeune garçon. Puis lorsqu’elle sentait l?énorme bourgeon de chair se dilater, elle relâchait vivement sa morsure sexuelle pour de nouveau sucer avec passion la verge dure et rigide. Ou alors, abandonnant sa sensuelle fellation elle plongeait son visage entre les jambes du garçon pour lécher avec tendresse les couilles pleines et gonflées, et aussi lisses qu’une de peau de bébé. Cependant à sucer ainsi ce jeune sexe à la peau si douce ne tarda pas à accroître encore la fontaine qui avait pris naissance quelques instants auparavant dans sa vulve ; et c’était maintenant un véritable torrent bouillonnant qui s’échappait des tréfonds de son vagin, inondant tout sur son passage. Aussi excitée que son jeune partenaire, Claire accéléra sa savoureuse succion, tandis que d’une main experte elle pressait les couilles dures et veloutées.

Sur des charbons ardents depuis le moment ou son hôtesse avait commencé à le branler, Guillaume, malgré les efforts désespérés qu’il faisait pour essayer de contenir le plaisir qui lui crispait les entrailles, sentit qu’il ne pourrait retenir plus longtemps la jouissance qu’il sentait monter en lui. Ne sachant qu’elle attitude adopter, il tenta de prévenir sa sensuelle initiatrice.

— Ca vient ! Haleta-t-il, affolé à l’idée de ne pouvoir s?empêcher de jouir dans la bouche qui l?aspirait si voluptueusement.

Comprenant le trouble que sa jeune victime ressentait, Claire referma vivement ses doigts autour de la partie du membre qui se trouvait hors de sa bouche, pour la branler d’une main énergique, tout en continuant de sucer fiévreusement la partie supérieure du pénis.

Prisonnier de la bouche avide de la femme, incapable de résister à l?affolant plaisir qui le torturait, Guillaume cessa de lutter, et alors que tout son corps se tétanisait il lâcha sa semence virile. Déchargeant à longs jets épais en se tordant convulsivement sur le lit, tel un ver de terre coupé en deux, il accompagna son éjaculation de longs grognements de bête en rut.

Bien que s’attendant à recevoir les puissants jets que l?adolescent n?allait pas manquer de lui lâcher, Claire demeura sidérée par la force de l’éjaculation et par la quantité importante de sperme que chaque giclée lui envoyait dans la gorge ; comme l?énorme gland tressautant se trouvait niché au plus profond de son gosier, elle n?eut qu?à laisser l’épais liquide glisser dans sa gorge et l?avaler précipitamment pour ne pas s’étrangler, et risquer de perdre une partie du précieux nectar. L’adolescent jouit longtemps. Avalant précipitamment l’épaisse liqueur au goût âcre et salé, Claire songea que jamais elle n’avait reçu autant de sperme en une seule fois dans la bouche ; jamais en vingt ans de mariage, son mari ne l?avait ainsi abreuvé de sa semence intime. Ce n’est qu’après de longues minutes que le débit diminua enfin. Le gland cracha encore quelques gouttes humorales, puis la source séminale se tarit totalement. Claire n’en continua pas moins de sucer et lécher tendrement la jeune verge en essayant de reprendre quelque peu ses esprits : car l’abondante éjaculation de son jeune partenaire dans sa bouche avait déclenché en elle un mini orgasme qui lui avait abondamment inondé les cuisses, et l’entrejambe de sa culotte n’était plus qu’un chiffon trempé.

Haletant, reprenant difficilement ses esprits, Guillaume songeait à ce qu’il allait pouvoir raconter le lendemain à ses copains. Jamais ils ne croiraient à son histoire. Jetant un coup d?oeil en direction de son bas-ventre ou oeuvrait encore sa sensuelle hôtesse, il la vit se redresser après avoir recraché son membre apaisé. Les yeux et les lèvres brillantes elle lui sourit :

— Tu as aimé ? Demanda-t-elle, affectueuse…

Gêné d?avoir ainsi lâché sa semence dans la bouche si délicate de son initiatrice, Guillaume tenta de s?excuser d?une voix mal assurée :

— Excusez-moi, ça été plus fort que moi… Je n?ai pas pu me retenir…

— Tu n?as pas à t?excuser, tenta de le rassurer Claire en lui caressant tendrement le bas-ventre. Ce que tu viens de connaître est tout à fait naturel pour un garçon de ton âge. En vieillissant tu apprendras à te contrôler… D?ailleurs qui te dis que je n?ai pas aimé ? … Ta semence a le goût du miel, et je suis prête à en déguster de nouveau… quand tu le voudras ! … Mais dis-moi, tu en avais une sacré provision ! C’est toujours comme ça quand tu jouis ?

— Oui, répondit Guillaume, fier de lui.

— Et bien ça promet… J’envie tes futures copines, elles vont se régaler !

Désirant que son jeune partenaire reprenne des forces afin qu?il soit en état de continuer leurs ébats érotiques, Claire, que le désir travaillait toujours malgré le rapide orgasme qui lui avait trempé l?entrecuisse quelques Momentanément apaisée, Claire s’allongea sur le flanc à coté de l?adolescent momentanément apaisé. Se penchant sur lui, elle entreprit alors de lui caresser tendrement le visage, presque maternellement, plongeant avec amour son regard dans les grands yeux bleus, pleins d?innocences.

— Tu sais, moi aussi j’ai éprouvé du plaisir, tenta-t-elle de lui expliquer. J’ai été très heureuse de te faire jouir.

Mais alors que légèrement penchée sur le garçon, elle lui caressait tendrement le torse ; l’absence de poils la fascinant, Claire se rendit compte que Guillaume avait les yeux braqués sur, et dans l’échancrure de son corsage. Sous ce regard plein de désir, elle ressentit une bouffée de chaleur lui monter à la tête.

— Qu’est-ce qui t’intéresse tant que ça ? Tenta-t-elle de plaisanter émue sexuellement.

Sous le regard insistant de l?adolescent, elle sentit ses mamelons se gonfler de désir tandis qu?un long frisson lui parcourait l?échine. Prise de nouveau par ses tentations érotiques, elle continua, d’une voix soudain changée :

— Tu aimerais voir mes seins ?

— Oh oui, s’empressa de répondre Guillaume, ravie de l’aubaine qui lui était offerte.

Les joues brûlantes, la gorge nouée, stupéfaite de son audace, Claire s’agenouilla alors sur le lit à coté de l’adolescent qui, appuyé sur un coude la contemplait les yeux brillants d?excitation. D’une main tremblante, elle déboutonna son corsage qu’elle rejeta au pied du lit après s?en être débarrassée, dénudant en partie son torse.

La gorge soudain sèche, Guillaume fixa d’un oeil surexcité le buste féminin qui s?offrait à ses regards. Les merveilleux seins, objets de ses désirs étaient encore cachés par un affriolant soutien-gorge dont les bonnets étaient fait d’une soie mauve si transparente qu?il pouvait deviner à travers le délicat tissu, les larges aréoles bistres qui faisaient une tache sombre au centre des balconnets. Des balconnets d’où émergeaient deux dômes de chair laiteuse, et qui étaient rehaussés d?une bordure de dentelle de couleur parme. Le malheureux garçon sentit son pouls s?accélérer lorsqu?il entendit la femme lui demander :

— Tu veux bien m?aider à dégrafer mon soutien-gorge ?

La gorge nouée, il avança ses deux mains du vêtement qui retenait prisonnier ces merveilleux globes de chair qui le faisaient tant fantasmer le soir dans son lit. Les doigts tremblants il s?attaqua à l?agrafe maintenant le sous-vêtement, la tortillant en tout sens avant de réussir à lui faire lâcher prise. Alors le soutien-gorge devenu inutile alla aussitôt rejoindre le chemisier au pied du lit.

Les joues en feues, éprouvant un plaisir incroyable à dévoiler ses lourds appâts mammaires à l?adolescent, Claire se retourna pour faire face au jeune garçon, soutenant ses seins douloureusement gonflés dans ses paumes refermées en coupe.

Guillaume demeura alors comme pétrifié devant l’affolant spectacle qui s’offrait à ses yeux ébahis. Bien sur, il avait déjà feuilleté des revues où des filles nues exposaient leurs appâts, certaines même possédaient une poitrine nettement plus grosse et certainement plus ferme que celle qu’il avait là sous les yeux ; mais ce n’était que du papier glacé, alors qu’à cet instant, la femme devant lui, lui présentait deux seins vivants, réels, lourds, charnus et qui ballottaient d’une manière terriblement excitante selon les mouvements de leur propriétaire. Sans être énormes, comme ceux que les filles des revues exposaient généralement, les mamelles qui s?offraient à sa vue avaient un volume suffisant pour qu?il ait envie de les prendre dans ses mains. D’une blancheur laiteuse, elles se terminaient par une large aréole brune et granuleuse au centre de laquelle se dressait fièrement un téton d’une incroyable longueur. Etant novice dans la connaissance des femmes, Guillaume ne fit pas le rapprochement entre la raideur des deux boutons de chair, et l’excitation de leur propriétaire.

Du fait de ses quarante-deux ans et de ses deux grossesses suivies d’allaitement, Claire possédait une lourde poitrine, qui tombait légèrement, mais qui n’en avait que plus de charme pour les yeux admiratifs de l’adolescent. Quelque peu gênée de se trouver ainsi la poitrine dénudée face à cet adolescent qui suivant son âge aurait pu être son fils, Claire maintenant toujours ses seins dans ses mains en coupe, les rapprocha l’un de l’autre en les remontant, afin de leur donner encore plus de volume et d?attrait :

— Alors, ils te plaisent ? Demanda-t-elle d?une voix émue.

Mais comme Guillaume demeurait immobile, fixant fasciné sa forte poitrine, Claire dont le désir ne faisait que croître insista sur le ton de la plaisanterie :

— Tu ne veux pas les toucher ?… Ils ne vont pas te mordre, tu sais !

Hésitant, n?osant encore croire à son bonheur ; et malgré l?immense désir qu?il avait de refermer ses doigts sur les lourdes mamelles que la femme lui offrait si généreusement, Guillaume avança une main timide, ne sachant trop comment saisir ces merveilleux fruits de chair si tentant. Devant l?embarras de l?adolescent, Claire décida alors de reprendre les événements en main. Forçant le jeune garçon à se recoucher sur le dos, elle retroussa sa jupe sur ses reins, afin de pouvoir le chevaucher facilement en lui faisant face : merveilleuse amazone chevauchant un jeune poulain, seins au vent.

Les yeux fixés sur les lourdes mamelles qui oscillaient sensuellement à quelques centimètres de son visage, Guillaume perçut avec étonnement une douce tiédeur humide se frotter sur son bas-ventre dénudé. Mais affolé par cette poitrine appétissante, qui s’offrait à lui, il osa lancer ses deux mains en avant et crocheta ses doigts dans ces outres de chair moelleuse. Sous cet attouchement soudain et quelque peu brutal, Claire poussa un gémissement.

— Oh, doucement, conseilla-t-elle… Tu sais, les seins d’une femme sont sensibles, il faut les caresser avec beaucoup de douceur… Presse-les doucement dans tes mains…

Saisissant les poignets de son top fougueux partenaire, elle obligea ce dernier à frôler ses seins avec délicatesse, lui faisant glisser ses paumes sur la partie supérieure de ses globes jumeaux qu?elle contourna en les faisant redescendre sur les cotés extérieurs, pour enfin les passer sous ses lourdes mamelles, qu?elle lui fit soupeser :

— Tu vois comme cela, conseilla-t-elle… Presse-les doucement. Oui, comme ça !

S’obligeant à réfréner ses jeunes ardeurs, Guillaume tenta de suivre les recommandations de son initiatrice. Délicatement, comme il l’aurait fait avec un jeune animal, il referma ses doigts sur les merveilleuses mamelles blanches, éprouvant un extrême plaisir à pétrir cette chair élastique qui lui emplissait les mains ; appréciant pour la première fois combien les seins d?une femme pouvaient être à la fois doux, souples et tièdes Serrant passionnément les mamelles si soyeuses, il les pressa l’un contre l’autre, éprouvant une véritable béatitude visuelle à contempler ces deux rondeurs jumelles qui du fait de leur compression ressemblaient étrangement à une paire de fesse. Puis s?enhardissant, il relâcha les admirables mamelles pour s’intéresser aux tétons dont la longueur étonnante l’intriguait. Obéissant aux conseils de son initiatrice, il se contenta de caresser les deux bourgeons de chair à l’aide de son pouce appuyant tendrement dessus, comme il l?aurait fait avec une sonnette électrique.

— Oh oui ! Gémit soudainement Claire en se cambrant toute sous l?onde voluptueuse qui lui parcourait l?échine, offrant ses mamelons boursouflés aux mains de l’adolescent.

Extrêmement surpris par cette réaction soudaine de la femme, Guillaume redoubla sa caresse sur les bouts de chair turgide aussi raide qu?une minuscule verge en érection, en appuyant plus fortement son doigt sur le bouton ocre. De nouveau Claire tressauta violemment en poussant un petit gémissement. Pris d?une soudaine envie, l?adolescent referma ses pouces et ses index sur les deux bourgeons émergeant de leurs corolles bistres, les pinçant délicatement en les tirant à lui.

— Oh oui !… Grogna aussitôt Claire sous l?intense frisson de volupté qui la fit se cambrer.

La poitrine tendue, les reins cambrés elle s?offrit alors sans retenue aux attouchements terriblement voluptueux de son élève :

— C’est bien mon chéri, haleta-t-elle… Prends bien mes bouts entre tes doigts…

Ainsi encouragé, l’adolescent referma ses doigts sur les deux bourgeons de chair érigés, comme lui conseillait la femme, les pinçant plus fortement. De nouveau, il constata que sa complice grimaçait en se cambrant frénétiquement. Comprenant alors que chaque fois qu’il touchait cette partie des seins, la femme semblait éprouver un vif plaisir, il s’acharna alors sur les boutons de chair. Les pressant de plus en plus fortement tout en les tirant à lui, allongeant de ce fait les seins gonflés, il les fit rouler entre ses doigts.

Sous ces attouchements quelque peu désordonnés et parfois même douloureux, Claire n’en éprouva pas moins un plaisir étrange et dévastateur. Entre ses cuisses, tapie dans son épaisse toison, sa chatte s’était remise à couler, trempant de nouveau l’entrejambe de sa culotte déjà abondamment mouillé. Les seins douloureux à force d’être maladroitement triturés, elle repoussa les mains du garçon de ses mamelons endoloris, pour se pencher en avant. Lorsque ses mamelles vinrent frôler le visage de l’adolescent, elle frotta ses tétons sensibles contre ses lèvres de ce dernier.

— Embrasse les, gémit-elle.

Mais comme Guillaume écartait les lèvres afin d’accéder aux désirs de son initiatrice, celle-ci rendue impatiente par le désir qui lui irradiait les seins lui enfonça l’un de ses mamelons congestionnés dans la bouche :

— Tête le ! Grogna-t-elle, ivre de désir.

Retrouvant alors ses instincts de nourrisson, Guillaume pressa ses lèvres sur la saillie mammaire granuleuse, tandis que ses dents se refermaient délicatement sur le téton durement érigé pour le téter goulûment.

Les deux mains pressées autour de son sein enfoui dans la bouche de son jeune partenaire, Claire laissa échapper un soupir de contentement ; le jeune garçon sans le savoir venait de trouver son point faible ; en effet, très jeune elle s?était rendu compte qu?il suffisait que ses flirts, dans la pénombre d?une salle de cinéma, lui malaxe, lui pince ou lui mordille les tétons, pour que naisse dans tout son corps d’intenses vibrations sexuelles, qui en explosant au plus intimes de sa féminité, la faisaient abondamment ruisseler.

— Oh oui !. C’est bon, gémit-elle terriblement excitée… L’autre aussi, il est jaloux !…

Lâchant le sein droit, qu’il tétait avec ivresse, Guillaume attrapa le gauche, comme le lui demandait sa sensuelle initiatrice, et entreprit de le sucer à son tour, aspirant fortement l?aréole boursouflée au fond de sa bouche, avant de refermer ses lèvres sur le mamelon frémissant. Il avait si souvent rêvé d’un tel moment, qu’il éprouvait un plaisir sans nom à sentir cette masse, douce et velouté, soyeuse et chaude, frémir sous ses lèvres. Tel un chiot affamé, il s’acharna sur ce fruit de chair, l’aspirant fortement dans sa bouche tout en le pressant fiévreusement entre ses lèvres, pour en lécher le mamelon d’une langue agile.

— Oh oui ! Grogna Claire irradiée par le plaisir, tête moi bien mon chéri.

Mais à s’activer ainsi sur les lourdes mamelles, Guillaume sentit avec émoi sa jeune virilité frémir doucement au bas de son ventre, se rigidifier lentement, tout en se gonflant inexorablement. Il ne fallut pas longtemps pour qu’à la jointure de ses cuisses se dresse un pal de chair, raide et dur.

Toujours installée à califourchon sur le bas-ventre de son jeune partenaire, Claire dont la chatte affolée palpitait désespérément en déversant des torrents de mouille brûlante, ondulait lascivement des hanches, frottant sensuellement son entrecuisse trempé sur la peau fraîche du ventre du garçon. Mais alors qu’elle agitait nerveusement sa croupe d’avant en arrière, frottant sensuellement son entrecuisse trempé sur la peau fraîche du ventre du garçon, elle sentit le membre viril redevenu raide et dur venir lui frapper les fesses. Réjouie par cette nouvelle érection elle lança vivement une main dans son dos, pour y débusquer la jeune verge de nouveau raidie et aussi dure qu?une barre d?acier. En frémissant de félicité elle referma ses doigts autour de ce pal de chair orgueilleusement dressé :

— Mais tu bandes de nouveau ! S?exclama-t-elle toute heureuse… Tu as encore envie ?

Percevant dans sa paume les pulsations de la jeune virilité dressée, Claire ne put résister plus longtemps à l?intense désir qui lui irradiait le vagin. Il lui fallait sentir ce pieu charnel s?enfoncer en elle, repousser ses chairs intimes, lui labourer la vulve, la libérer enfin de cette tension érotique qui la faisait ruisseler abondamment. Comprimant le membre convoité de sa main refermée, elle se pencha à l?oreille de son jeune amant pour lui murmurer dans un souffle :

— Tu veux me faire l’amour ?

Et sans attendre la réponse de l?adolescent, elle roula sur le dos à ses cotés. S’arquant toute, reposant sur le lit uniquement par les pieds et les épaules, elle entreprit de faire glisser sa jupe sur ses hanches évasées et le long de ses cuisses, pour enfin la retirer complètement. Puis ce fut au tour de sa culotte trempée de suivre le même chemin, avant d’atterrir sur la descente de lit. Alors complètement nue, magnifique dans son abandon, elle s’allongea confortablement sur le dos, les jambes largement ouvertes sur sa chatte béante et palpitante de désir.

S’étant redressé, Guillaume contempla fasciné ce corps féminin entièrement nu et qui s?offrait sans pudeur à sa convoitise.

Fixant l’adolescent qui la contemplait émerveillé, les yeux brillants d?excitation, Claire ne put s’empêcher de s’enquérir :

— Tu as déjà vu une femme nue ?

— Non, balbutia l’adolescent qui ne sachant ou donner des yeux laissait son regard parcourir ce merveilleux cadeaux que le destin lui offrait ; depuis les seins ronds légèrement avachis sur le torse élancé, jusqu?à la touffe aux reflets roux qui formait un triangle presque parfait à la jointure des cuisses de la femme offerte.

— Je suis la première ? Continua Claire, éprouvant un étrange trouble sensuel en songeant qu’elle jouait là le rôle d’initiatrice sexuelle.

La gorge nouée, les joues brûlantes et le front couvert d’une sueur érotique, Guillaume regarda cet admirable corps féminin qui s’offrait sans pudeur à ses regards affolés ; alors que Claire de son coté éprouvait une intense émotion sous cette inspection pleine de curiosité et de désir.

Ce qui frappa l?adolescent en premier, fut la modification qui s’était opérée au niveau de la poitrine de la femme. Les seins qui quelques instants auparavant lui étaient apparus si gros, se trouvaient, du fait de la position allongée de leur propriétaire, nettement moins volumineux, s’étant avachis de chaque cotés du torse féminin. Mais son regard était surtout attiré par le ventre à peine bombé de son initiatrice, au bas duquel moussait une toison faite d’une multitude de bouclettes tirant sur le roux. Et ce qui l’étonnait c’était l’incroyable figure géométrique que formait cette fourrure. Un triangle parfait dont la base se trouvait placée à quelques centimètres du nombril, et dont la pointe se perdait entre les cuisses écartées. Toutes les filles qu?il avait pu contempler en cachette sur certaines revues qui circulaient au collège avaient pour la plus part le bas-ventre et l?entrecuisse rasé. Attiré par ce sexe féminin dont il découvrait l’effet érotique pour la première fois, il tendit une main curieuse en direction de cette toison bouclée, dans laquelle il glissa timidement ses doigts.

Ruisselante d?une ondée brûlante, Claire au paroxysme du d%

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